n° 12269 | Fiche technique | 45665 caractères | 45665Temps de lecture estimé : 27 mn | 12/02/08 corrigé 31/05/21 |
Résumé: Je poursuis mon expérience dans un sex-shop, en compagnie de mon mari. Il n'avait sans doute pas prévu l'aventure qui s'y déroule. | ||||
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Auteur : Alex (Lectrice assidue de Rêvbébé j'ai voulue savoir si certaines) Envoi mini-message |
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Lectrice assidue de Rêvebébé, je me suis toujours demandé si les histoires qui y sont racontées étaient vraies ou pas. Après de très nombreuses lectures, je suis arrivée à la conclusion que certaines pouvaient l’être, mais sans pourtant vraiment arriver à croire que les événements décrits pouvaient réellement se passer ainsi. J’en ai discuté avec mon mari, qui lit également les histoires du site, et qui pense que les équipées décrites dans les aventures qui paraissent les plus réalistes sont sûrement vraies. Pas convaincue, je lui ai fait part de mon envie d’essayer de reproduire les situations qui me semblaient invraisemblables ou difficilement réalisables. Cela le surprit, car je ne suis pas une femme exhibitionniste, échangiste ou ayant la vocation d’être soumise, mais c’est sans doute pour cela que l’expérience me tentait. Après quelques jours d’insistances, je réussis à le convaincre.
Durant tout le chemin du retour jusqu’à notre domicile, Franck me demande de rester ainsi dévêtue dans la voiture, en m’autorisant toutefois à me rasseoir convenablement les pieds au sol. Reprenant petit à petit mes esprits, je repense à ce qu’il m’a dit tout à l’heure.
Nous discutons comme cela pour arriver à la conclusion que si c’est moi qui provoque les choses, moi en tant que femme, car nous sommes bien d’accord que dans les mêmes circonstances un homme n’aurait pas beaucoup de chances d’arriver à ses fins, eh bien tout peut m’arriver. Il me faut donc réussir à me mettre dans des situations coquines mais sans que cela vienne de moi. Oui… bon… pas simple comme plan !
Franck avait raison, après avoir pris une bonne douche bien chaude, me voici en pleine forme. Nous avalons un petit repas froid et léger et je commence à me préparer. Bien sûr, Franck m’assiste dans le choix de ma tenue. Je ne vous détaille pas le temps passé aux multiples essayages et vous décris la tenue dans laquelle je finis par me retrouver à l’heure du départ : en haut, je suis couverte d’un bustier en résille très fine, noir et rouge, lacé en croix large sur le devant, qui ne fait qu’assombrir légèrement la blancheur de ma peau par une fine pellicule totalement transparente.
Franck me l’avait acheté lors du salon érotique et m’avait pourtant promis de ne pas me le faire porter en dehors de la maison. Pour me convaincre de le mettre, il m’autorise à le recouvrir par un tailleur, noir également, très cintré à la taille. Il offre un décolleté très profond car il est tenu fermé par un seul bouton qui se situe au niveau de mon nombril. L’ouverture est très ample puisque l’on aperçoit le bord de l’aréole de chacun de mes seins.
En bas, j’ai choisi, avec l’approbation de Franck, une jupe mi-longue noire et rouge, arrivant juste en dessous de mes genoux - un peu genre espagnol. Le haut de la jupe est composé d’une bande très large, élastique, qui enserre ma taille. La particularité de cette jupe, c’est sa coupe. Taillée en carré à l’arrière, elle forme une pointe vers le bas sur le devant. Cette pointe part de la bande élastique, de chaque côté de ma taille, et tombe entre mes genoux. Cette coupe, certes très élégante, dénude entièrement mes cuisses et peut facilement laisser entrevoir ce que je porte dessous dès que je marche.
Aux pieds, notre choix s’est porté sur des escarpins rouges à hauts talons lacés en croix jusqu’à mi-mollet. Je suis sûre que vous vous demandez si je porte quelque chose sous ma jupe. Eh bien oui, une culotte brésilienne, noire et rouge, échancrée jusqu’à la taille.
Voilà, nous sommes prêts à partir. À ma grande surprise, Franck prend le téléphone et appelle un taxi qui arrive quelques minutes plus tard. Juste avant de monter, Franck me glisse à l’oreille :
Je me retourne et lui lance un large sourire d’approbation. Après seulement quelques kilomètres, Franck commence son petit jeu et me dit d’enlever mon tailleur. Sans hésiter je m’exécute. Je reste sans bouger, les seins livrés au regard du chauffeur. Ce dernier ne s’en aperçoit qu’après un bon moment et ne réagit pas tout à fait comme Franck l’avait sans doute imaginé :
Franck tente de convaincre le chauffeur de me laisser ainsi mais cela ne semble pas lui plaire du tout. Il ralentit soudain, met son clignotant et s’arrête finalement le long du trottoir.
Franck me prend la main tout en ouvrant la portière et nous sortons du véhicule. Le taxi s’éloigne aussitôt la porte refermée.
Franck appelle un autre taxi à l’aide de son téléphone portable. Curieusement, il donne le nom d’une rue qui n’est pas celle dans laquelle nous nous trouvons. J’ai beau lui faire signe qu’il se trompe il ne rectifie pas. Une fois qu’il a raccroché je l’interroge :
OK, j’ai compris, il va sans doute me demander d’enlever mon tailleur que j’ai pourtant pris soin de remettre dès ma sortie du taxi. En effet, cela ne manque pas :
Il s’arrête de marcher et me prend dans ses bras.
Ouf, il me rassure.
Il me tire par la main et je le suis sans résister, car en effet le temps passe et nous allons louper le taxi. Un silence s’instaure entre Franck et moi, ce qui me laisse le temps de réfléchir. Je reconnais qu’il a raison dans le fond mais ce qu’il me demande est quand même de m’exhiber et ça, c’est interdit en public. Nous arrivons bientôt à la rue de notre rendez-vous avec le taxi, je sens bien que j’ai énormément déçu Franck, peut-être même est-il découragé. Je regarde autour de moi. Il n’y a pas grand monde malgré la tiédeur de cette fin d’après-midi et la clarté de ce début d’été. Je m’arrête, lâche la main de Franck et d’un geste rapide, tout en me disant que je suis complètement folle, je déboutonne mon tailleur, le fais échapper de mes épaules et glisser le long de mes bras. En un instant, le voici pendu dans mon dos par-dessus mon épaule. Franck me sourit et s’approche de moi. Il m’embrasse.
Nouveau baiser. Nous reprenons notre marche. Naturellement, j’observe avec beaucoup d’attention le regard de toutes les personnes que nous croisons. Hommes, femmes, tous me regardent avec insistance. Enfin, quand je dis me regardent, je devrais plutôt dire qu’ils matent mes seins et bien entendu plus particulièrement les hommes, surtout s’ils sont seuls. Franck avait raison, la gêne de tous ces regards me procure une excitation bizarre mais certaine. Nous arrivons enfin au lieu de rendez-vous avec le taxi qui arrive peu après.
Une fois installée au milieu de la banquette arrière, je vois immédiatement que le chauffeur remarque ma tenue dans son immense rétroviseur intérieur qui lui permet de voir absolument toute la largeur de l’habitacle arrière. Dès que la voiture démarre, Franck se penche vers moi et m’embrasse. Il pose une main sur ma cuisse et la remonte rapidement sur mon string. Après un long baiser, il reprend sa place à mes côtés tout en restant très serré contre moi. Il retire doucement sa main de mon sexe mais exerce une pression suffisamment forte sur l’intérieur de ma cuisse pour que je comprenne ce qu’il veut. J’entrouvre mes jambes. Pas assez, visiblement, puisqu’il appuie une nouvelle fois contre ma cuisse. Je les écarte alors bien grand. Franck laisse sa main posée sur ma jambe, saisit ma jupe et commence à la tirer. Centimètre par centimètre, elle frotte sur mes jambes jusqu’à glisser entre elles. Ma cuisse gauche est totalement dénudée. Franck continue de tirer, ma jambe droite se dévoile doucement. La pointe de ma jupe est à présent dans sa main. Encore quelques centimètres et ma jupe est à présent complètement de côté. Mon string est totalement visible et ma position des plus inconvenantes. Grâce à son rétroviseur panoramique, le chauffeur voit bien que je suis à moitié nue dans son taxi. Si la vue de mes seins ne semble pas lui déplaire, ma quasi nudité ne lui convient cependant pas.
Franck regarde par la vitre sans lui répondre. Quant à moi, je le fixe sans dire un mot.
Franck intervient.
Franck repousse ma cuisse droite contre l’autre, je comprends donc qu’il cède à la demande du chauffeur et je réajuste ma jupe.
Franck se tourne vers moi.
Franck me regarde d’un air qui ne me laisse pas le choix. Je soulève mes fesses, retire mon string et le présente à mon mari. Ce dernier me fait signe de le donner au chauffeur. Je me penche en avant et tends mon bras pour présenter à ce dernier le bout de tissu. Lorsqu’il identifie l’objet que je lui offre, il se met à rire.
Il s’empare de ma culotte et la range dans la boîte à gants. Nous restons sages durant la fin du parcours qui ne s’éternise pas. Nous voici arrivés à destination. Franck paie le chauffeur et nous descendons du véhicule. Toujours avec mon tailleur sur l’épaule, nous arpentons la rue sur quelques mètres seulement pour nous retrouver devant l’entrée très minimaliste et discrète d’un sex-shop. Franck me fait passer devant lui afin que j’entre la première. Je me retrouve devant un petit comptoir servant de caisse placé sur ma gauche. Devant moi, trois rangées de gondoles exposent une multitude de livres, revues et vidéocassettes. J’aperçois dans le fond un peu plus sombre des vitrines dans lesquelles il semble y avoir des vêtements et sans doute quelques accessoires. Au dessus de la caisse, des affichettes mentionnent la présence de cabines de projection et d’une salle de spectacle. Cinq ou six photos d’illustration ne laissent aucun doute sur sa nature.
Un homme est en train de discuter avec le caissier, mais mon entrée coupe court à leur bavardage. Dans la boutique, un homme feuillette une revue et un autre détaille les jaquettes des cassettes. Franck me pousse afin que j’avance entre les présentoirs. Je sens les regards d’abord fixés sur ma poitrine descendre entre mes jambes qui soulèvent ma jupe à chacun de mes pas. N’ayant plus de culotte, l’air que je sens caresser mon entrejambe me donne l’impression que mon sexe se dévoile à chaque pas. J’avais déjà ressenti cela tout à l’heure lorsque nous marchions dans la rue après avoir abandonné notre taxi.
Nous traversons toute la boutique pour nous arrêter devant les vitrines. Il y a des ensembles très sexy, je dirais même des plus osés. Mais cela n’a pas l’air d’intéresser Franck qui porte son regard sur les accessoires. Il me montre et commente des godemichés et autres vibromasseurs. Je n’ai utilisé ce genre d’objet que très rarement, il y a bien longtemps, à l’âge où une femme découvre son corps et ce qu’il peut lui donner comme sensations.
L’homme qui examinait les vidéos s’est approché de nous discrètement, mais cela ne semble pas gêner Franck qui me demande sans baisser la voix si je souhaite acheter l’un de ces objets. Devant ma réponse négative il poursuit son observation.
Il me désigne un coffret en bois, nacré noir et rouge, dans lequel sont posées deux magnifiques boules blanches.
Devant mon hésitation grandissante, Franck prend l’initiative d’aller voir le caissier.
Il fait un ou deux pas et se retourne.
Je reste donc clouée sur place. L’homme qui s’était rapproché en profite pour m’aborder.
L’homme s’approche encore, il me touche presque, je ne bouge pas.
Je regarde si Franck se décide enfin à revenir car l’homme est à présent contre mon côté gauche, légèrement en arrière. Son bras passe dans mon dos pour poser la main sur ma hanche droite. Il me serre légèrement. Je vois Franck discuter avec le caissier, il tourne sa tête dans ma direction comme pour indiquer au caissier mon emplacement afin qu’il l’accompagne jusqu’à moi. Ouf, il a sûrement vu que l’homme m’a accostée et il va vite revenir. Mais… qu’est-ce qu’il fait ? Oh, eh ! je suis là, regarde moi, il y a un mec contre moi ! Si seulement Franck pouvait avoir le don de télépathie et entendre mes appels de détresse ! Je pense à ce qu’il m’a dit juste avant de me laisser en plan. OK, je comprends, j’ai bien peur qu’il ne soit pas pressé de revenir. J’ai accepté de jouer ce petit jeu alors… OK, je ne bouge pas ! Bien entendu, l’homme en profite, sa main caresse ma hanche. Tout en me parlant de je ne sais quoi, alors que je réponds inconsciemment par des banalités, il glisse sa main sur mes fesses. Il me caresse sans aucune gêne, il a sans doute entendu l’instruction de Franck.
Sa main revient sur ma hanche mais sans s’y arrêter, l’entrée facile créée par la fente de ma jupe lui permet de s’immiscer en dessous. Mais il n’a pas le bras assez long, alors il se décale et se place dans mon dos. Sa main peut maintenant aller à sa guise dans les profondeurs de ma jupe. Elle effleure le devant de ma cuisse et se pose sur l’aine à la lisière de mon sexe. Je pense que c’est l’absence de lingerie qui, surprenant l’exploratrice, est à l’origine de cet arrêt. Mais celui-ci ne dure pas, la main s’aventure un peu plus et tombe inévitablement sur mon sexe nu. Ce contact me fait frissonner, mon bas ventre se contracte et mes lèvres s’humidifient. Mes seins aussi réagissent aussitôt, mes pointes gonflent d’affolement et forment deux petites boules à travers mon bustier moulant. L’homme caresse délicatement mon sexe. Je sens que se dernier mouille de plus en plus et j’ai peur de la réaction de cet inconnu. Heureusement Franck revient, accompagné du caissier libéré de son client. Ils s’approchent, l’homme derrière moi retire sa main, m’embrasse dans le cou en réitérant son invitation au spectacle.
Cette caresse m’a laissée sans voix.
Le caissier nous abandonne. Franck m’interroge sur mon petit séjour en solitaire avec l’inconnu. Je lui décris brièvement les sensations que j’ai ressenties et pour répondre à sa question masquée, je lui avoue que je n’ai pas détesté. D’ailleurs je n’en reviens pas moi-même, moi qui n’ai jamais trompé mon mari, qui n’ai jamais laissé un homme me draguer, me voilà à me laisser tripoter par un inconnu. Et quand je repense à ce que j’ai vécu cet après-midi… Quelle femme suis-je en train de devenir ?
Le caissier réapparaît avec la fameuse Christine.
J’explique à Christine mes craintes et mes peurs quant à l’utilisation de ce type de sex-toy. Très gentiment elle m’explique en détail tous les bienfaits de cet accessoire et annihile mes appréhensions. Je me sens donc bientôt totalement rassurée ou presque. Il reste un détail somme toute très important :
L’attitude de Christine est surprenante. Ses effleurements au cours de ses explications, ses enlacements brefs mais sensuels, le ton de sa voix… je commence à croire que je ne la laisse pas indifférente. Tout comme moi, Franck a dû le remarquer car je l’entends dire, à ma plus grande stupéfaction :
Mais ma surprise n’est que partielle puisque Christine lui répond en se tournant vers moi :
J’ai bien compris le message, mais jamais, au grand jamais, je me suis laissé toucher par une femme. Bizarrement, cette perspective m’effraye d’avantage qu’une aventure avec un ou même plusieurs hommes. Je dis «bizarrement» parce que j’imagine qu’une relation avec une femme doit être bien plus douce qu’avec un homme, ce qui ne devrait pas m’affoler. J’acquiesce timidement de la tête. Après avoir été chercher les clefs de la vitrine, Christine en sort une boîte similaire mais emballée, et nous demande de la suivre. Nous nous retrouvons dans une petite pièce qui visiblement lui sert de loge. Elle ouvre une petite porte à travers laquelle j’aperçois une salle ronde aux murs couverts de miroirs avec en son centre une barre verticale. Au sol, une très épaisse moquette est recouverte de tapis en poils qui paraissent très doux et soyeux. Elle en rapporte deux et quelques coussins qu’elle dispose au sol. Elle m’invite à me coucher, ce que je fais fébrilement en restant cependant appuyée sur mes avant-bras.
Elle déballe la boîte, l’ouvre et en extrait deux boules reliées par une chaînette. Tout d’abord elle me les fait toucher pour que je me rende bien compte de leur texture. Elles sont délicieusement douces, sans aucune aspérité. En les faisant rouler dans ma main je sens qu’il y a quelque chose à l’intérieur. Christine m’explique que dans ce modèle-ci il y a effectivement l’intérieur de chaque boule une petite bille fixée sur une languette de plastique semi-rigide. Lorsque les boules bougent et s’entrechoquent, la languette tremble et la petite bille fixée à son extrémité crée alors des vibrations en tapotant la paroi de la boule. Effet garanti, selon elle.
Christine s’agenouille devant moi et, très doucement, m’écarte les jambes. Lorsqu’elle constate ma nudité, elle m’adresse un sourire très coquin, plein de malice et d’envie. Elle remonte la pointe de ma jupe sur mon ventre et s’installe tout près de mes fesses. Tout en se penchant doucement au-dessus de mon sexe grand ouvert, elle me caresse l’intérieur des cuisses. J’ai terriblement honte de m’exhiber ainsi devant une femme, surtout en songeant au but pour lequel je le fais. Cependant ces caresses me donnent des frissons. Puis elle semble hésiter. Franck s’étonne.
Que veut-il donc que je lui réponde, il sait bien que j’accepte de faire ce qu’il veut alors, qu’espère-t-il donc comme réponse ? Regardant Christine dans les yeux, je fais entendre ma réponse.
Ses mains se posent sur mes genoux et glissent le long de mes cuisses. Sa tête descend elle aussi entre mes cuisses au même rythme, comme si elle était attirée par ces mains baladeuses. Bientôt je sens son souffle chaud sur ma toison réduite au minimum. Ses mains sont à présent de part et d’autre de mon sexe, seuls un ou deux doigts osent caresser ma fente. Je ferme les yeux. Délicatement ils se glissent entre mes lèvres pour les séparer l’une de l’autre. L’entrée de ma grotte d’amour s’ouvre. Deux autres doigts viennent en renfort et tous s’enfoncent alors un peu à l’intérieur, non pas pour visite mon antre mais plutôt pour en écarter davantage les parois. Le but de la manœuvre semble bien être l’introduction des boules. Je ne mouille encore que très peu et j’ai peur d’avoir mal.
Mais ce ne sont pas les boules qui se présentent contre mon intimité, c’est la langue de Christine ! Ma surprise est aussi grande que le plaisir qui électrise mon corps aussitôt. Je gémis sans pouvoir me retenir tant ce contact est inattendu. Mais la coquine n’en reste pas là. Du bout de sa langue, Christine lèche l’intérieur de mes lèvres intimes. Une vague de chaleur m’envahit. Sa langue devient maintenant plus présente, elle s’impose de toute sa largeur sur mon sexe offert. Elle vient piquer mon clitoris, ce qui me fait prendre conscience qu’il beaucoup plus dilaté que je le croyais. Les piqûres s’enchaînent, devenant de plus en plus appuyées. La langue s’écrase à présent complètement sur mon bouton d’or et la peur qui me retenait jusqu’à présent s’efface au profit d’un plaisir grandissant à toute vitesse. Je sens que mon ventre devient chaud, à l’intérieur je sens monter la source qui ne va pas tarder à arroser cette langue qui me rend folle. Oh oui ! Christine enfonce sa langue dans mon sexe, elle l’enfonce encore et encore jusqu’à ce que sa bouche se pose sur mes lèvres toujours maintenues largement ouvertes. Très fortement collée à mon sexe, Christine fait danser sa langue au plus profond de moi. Jamais je n’aurais imaginé que quelqu’un puisse me procurer un tel ravissement. C’est tout simplement divin.
Puis elle se retire très lentement. Je sens qu’un flot de cyprine va sortir de ma grotte. Je ne suis pourtant pas une femme fontaine mais j’ai l’impression que mon jus d’amour va littéralement jaillir d’entre mes cuisses. La langue de Christine n’est qu’à moitié sortie lorsque je me sens couler abondamment, Christine gémit à plusieurs reprises, elle semble prendre un grand plaisir à recevoir ce breuvage sur la langue. Elle doit effectivement adorer ça parce qu’elle me lèche tout le sexe à grands coups de langue avant de s’enfoncer une nouvelle fois entre mes cuisses. C’est bon, divinement bon, je voudrais qu’elle continue comme cela pendant des heures.
Mais elle retire sa langue et je sens soudain une fraîcheur se poser à l’entrée de mon sexe. Je comprends que Christine vient de mettre entre mes lèvres une des boules de geisha. Elle pousse doucement, mes lèvres s’écartent davantage, la boule pénètre doucement, ça y est, elle entrée. Aussitôt je sens la seconde se présenter. Elle glisse rejoindre sa sœur jumelle à l’intérieur de mon ventre. Les doigts qui jusqu’à présent s’étaient contentés de tenir mon sexe grand ouvert s’introduisent eux aussi à présent. Lorsqu’ils touchent les boules, je ressens immédiatement les vibrations dont parlait Christine tout à l’heure. Elles se répercutent aussitôt dans tout mon ventre et envahissent mon corps tout entier.
J’entends alors la porte s’ouvrir.
Franck répond :
Je crois rêver. Malgré mon état second j’ai bien entendu que ce mec me propose de m’exhiber avec cette fille devant je ne sais pas combien de mecs.
Quoi ? Alors là, c’est sûr, je rêve : Franck vient de dire oui !
Christine tire sèchement sur la chaînette et retire les boules de geisha de mon sexe. Les sentir sortir rapidement de ma chatte me procure une forte contraction dans les reins, et je ne peux retenir un cri de contentement.
Sans réfléchir ni réaliser ce que je m’apprête à faire, je la suis dans la salle ronde. Christine m’installe sur le sol, allongée sur le dos, et me dit doucement d’écarter lentement les jambes. Je m’exécute. Pendant ce temps elle commence un strip-tease qui ne dure pas très longtemps du fait qu’elle ne porte presque rien sur elle. Je regarde discrètement autour moi, consciente que je suis au milieu d’un spectacle qui, même si les clients n’en attendent pas une qualité hollywoodienne, doit leur en donner pour leur argent. Je ne peux qu’imaginer les hommes en train de nous mater, sûrement le sexe à la main, car les miroirs ne me laissent rien voir. Je réalise que nous sommes sur un plateau et que celui-ci tourne pour que chacun puisse admirer le spectacle. Christine a terminé son strip-tease, elle s’agenouille à côté de moi et commence à me caresser.
Doucement elle s’empare des lacets de mon bustier. Celui-ci s’ouvre au fur et à mesure qu’elle tire sur les petites ficelles noires. Mes seins sont à présent totalement dévoilés. Elle se penche et les embrasse. De ses lèvres elle capture mes tétons, l’un après l’autre, et les suce, les tire. Je la laisse faire, je suis tellement excitée qu’elle pourrait bien me faire n’importe quoi sans que je proteste. Sa main vient de se poser sur mon sexe largement offert aux yeux de tous. Elle introduit un doigt, puis deux. Je retrouve mes sensations et mon excitation. Un troisième doigt vient rejoindre les autres et, comme s’il venait d’en donner l’ordre, tous se mettent à me pistonner d’un lent va-et-vient. Le mouvement s’accélère presque aussitôt, il est vrai que, dans l’état où je suis, elle peut se le permettre. Avec le rythme c’est aussi l’ampleur du mouvement qui s’intensifie. Christine m’enfonce ses doigts très profondément avant de les ressortir complètement, je ne sais pas comment elle fait pour ne pas me griffer de ses ongles à chaque fois mais elle les introduit d’un seul coup tout au fond jusqu’à ce que sa main s’écrase contre mes fesses.
Elle accélère encore, cette fois je sens vraiment que je vais jouir, tant pis pour le spectacle mais je ne peux pas me retenir plus longtemps. Je crie ma jouissance qui me comble de plaisir. Christine retire ses doigts, ma jouissance n’est pourtant pas terminée et cela me fait drôle de ne plus rien sentir en moi. Elle se relève, me contourne, m’enjambe, je vois son sexe pour la première fois, elle s’accroupit… Oh non, non, elle ne va pas faire ça ? Elle s’assoit sur ma poitrine et se penche en avant au-dessus de mon sexe. Curieusement, je ne sens pas trop son poids. Sa langue se pose à nouveau sur mon sexe et aussitôt me pénètre. Je reprends du plaisir, tout mon corps est surexcité. Deux doigts s’enfoncent en même temps que sa langue, c’est incroyable, je sens une nouvelle vague de délices monter en moi, elle arrive vite, très vite, je jouis encore et si vite, c’est fantastique ! Christine ne s’arrête pas, elle est dans son show et il faut faire durer le plaisir de ces messieurs.
Je ne m’en plains pas, bien au contraire, ma jouissance se prolonge et j’adore ça. Après quelques minutes ou peut-être seulement quelques secondes, je ne sais pas, elle s’arrête et se penche sur le côté avant de se coucher à nouveau sur mon sexe. Durant ce petit intermède j’ai ouvert les yeux que j’avais fermés presque dès le début. En gros plan, ses fesses. Un reste de ce plaisir si intense me donne envie de la lécher. Je me demande si je ne suis pas en train de devenir folle. Envie de lécher les fesses d’une femme, mais quel genre de femme suis-je en train de devenir ? Soudain elle enfonce trois doigts dans ma chatte d’un coup, comme ça, sans prévenir. Je suis surprise mais si agréablement que ma seule réaction est de gémir fortement et d’écarter encore plus les jambes. Moi qui croyais être ouverte au maximum !
Comme avec sa langue tout à l’heure, ce sont ses doigts qui dansent à présent au fond de mon sexe. Ça aussi c’est divin. Elle frotte son sexe contre mon corps et je me rends compte qu’elle mouille beaucoup et que ma poitrine est inondée de son jus. Du coup, elle peut se frotter à moi sans que cela me fasse le moindre mal. Au contraire, elle frotte sa fente contre mes tétons et cela me rend folle car je suis très sensible à cet endroit-là. J’ouvre les yeux pour constater la taille impressionnante de mes bouts de seins, il me semble ne jamais les avoir vus ainsi.
Lorsque Christine se soulève un peu, j’aperçois son sexe tout humide et là, je ne sais pas pourquoi, est-ce que j’assimile cette cyprine débordante de son sexe au sperme jaillissant de la queue d’un homme ? Toujours est-il que j’ai très envie de lui lécher le sexe et de goutter à son jus. Mais ma moralité me retient, je ne bouge pas. Christine attrape mes mains et les pose sur ses hanches, sans doute pour me faire comprendre que je dois moi aussi participer au spectacle en la caressant. Mes mains se baladent donc sur son dos, ses hanches et ses cuisses. Les doigts qui me fouillaient viennent de se retirer brusquement. Christine m’écarte les lèvres et je sens une boule se poser sur mon sexe. Je n’ai pas le temps de réaliser ce qu’elle s’apprête à faire qu’elle le fait déjà. Tout en poussant la première boule, elle pose la seconde à côté et enfonce les deux ensemble. Mes lèvres s’écartent largement, j’ai l’impression que je vais me déchirer. D’un coup, elles me pénètrent et s’enfoncent tout au fond de moi. Sans m’en rendre compte, sous le plaisir ressenti, mes mains ont enserré la taille de Christine qui s’est soulevée. J’ouvre les yeux. Son sexe est juste au-dessus de mon visage, je vois ses lèvres intimes écartées, je reçois les effluves de son odeur intime. Ce n’est pas désagréable.
Christine enfonce un ou deux doigts, je ne sais pas, dans mon sexe pour jouer avec les boules de geisha. Les vibrations de ces dernières se répandent une nouvelle fois dans tout mon corps. Le petit aperçu auquel j’ai eu droit tout à l’heure se prolonge cette fois pour mon plus grand plaisir. Les sensations provoquées par les boules et les doigts de Christine s’accentuent. Tout mon corps se crispe, se cambre, mes muscles se tendent, l’étau de mes mains se resserre sur Christine. Je vais jouir une nouvelle fois, j’ouvre les yeux, la chatte de ma partenaire est là, juste devant moi, à quelques centimètres de ma bouche, des gouttes de cyprine coulent sur ma joue et à la commissure de mes lèvres. Je les goutte de ma langue, je ne sens presque rien, dommage, j’ai envie de savoir quel goût cette fille peut avoir. Non, je suis folle !
Encore une série de vibrations qui traversent mon corps, je vais me lâcher et hurler cette fois tant mon plaisir est grand. Décidément cette fille est douée, elle est… elle est là, allez, c’est elle qui te fait jouir, Alex ! Je ne peux plus me retenir, mes bras forcent sur la taille de Christine, je l’attire en arrière, son sexe descend vers ma bouche que j’ouvre. Dès le premier contact, ma langue lèche sa fente et enfin je sens son goût. Comme c’est bon, doux, onctueux, bien meilleur que le sperme que j’adore pourtant ! Je pousse ma langue entre ses lèvres et l’enfonce dans sa chatte. Je reçois une grosse quantité de cyprine sur les lèvres, le nez, elle coule le long de mes joues. Christine semble apprécier puisque je l’entends gémir, cela m’excite encore plus et lorsqu’elle déplace une nouvelle fois les boules de geisha, j’explose littéralement de ravissement, de jouissance, de… je ne sais pas, il n’y a pas de mots pour exprimer ce que je ressens à cet instant tant c’est fort.
Ma délicieuse partenaire semble se vider littéralement sur moi, je reçois une énorme quantité de son jus dans la bouche, j’ai l’impression qu’elle éjacule comme un homme, c’est incroyable, ma bouche se remplit de ce breuvage si délicieux que je n’hésite même pas à le boire tout entier, c’est une véritable gourmandise. Je pense que c’est sa façon à elle de jouir mais je continue à fouiller l’intérieur de sa grotte avec ma langue.
Plus tard, Christine retire mes boules de geisha et s’échappe de ma bouche.
Christine passe devant moi et sort la première de la salle.
Je sors à mon tour de la salle et je les rejoins. Franck me félicite et m’embrasse, le goût de Christine ne semble pas le gêner. Soudain, la porte s’ouvre.
Christine me propose de prendre une douche. J’accepte. Une fois toute propre et habillée, je rejoins Franck qui était en train de mater un film, offert par le patron, dans une cabine. Il se lève sans attendre la fin. Nous nous dirigeons vers la sortie et disons au revoir au patron, qui ne manque pas de renouveler sa proposition. Nous sortons, il est 21 h 50.