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n° 12108Fiche technique18463 caractères18463
Temps de lecture estimé : 11 mn
22/12/07
Résumé:  Après mes expériences dans le métro et dans un cinéma, Franck m'invite à m'exhiber en voiture.
Critères:  f voiture fsoumise exhib noculotte fmast -exhib -voiture
Auteur : Alex  (Lectrice assidue de revbébé j'ai voulue savoir si certaines)            Envoi mini-message

Série : J'ai testé Rêvebébé

Chapitre 03 / 05
J'ai testé Rêvebébé : un peu d'exhib

Ma troisième : Un peu d’exhib



Me voici dans la rue en direction de mon point de rendez-vous avec Franck. Je finis de reboutonner ma robe et glisse ma culotte dans mon sac. Ça y est, je le vois, j’accélère le pas.



Nous regagnons la voiture.



Franck démarre et je lui fais le récit de mon aventure cinématographique, avec tous les détails.



Je le regarde avec un large sourire et relève doucement le bas de ma robe et lorsque j’arrive à la hauteur de mon sexe je le découvre d’un coup sec avant de rabattre immédiatement ma robe.



Je répète l’opération tout aussi brièvement.



Je ris. Je relève une nouvelle fois ma robe et la laisse posée sur mon ventre. Mais arrivés à la hauteur d’une voiture, la peur me fait recouvrir mon sexe.



Cette nouvelle me laisse sans voix.



Après quelques minutes de réflexion, je trouve finalement cela très tentant en pensant que ça pourrait sans aucun doute très vite devenir excitant.



Je dois bien reconnaître qu’il n’a pas tout à fait tort sur ce coup-là. Et puis si je ne lui fais pas confiance pour ce genre de chose ce n’est pas la peine que je reste avec lui et… c’est mon homme, je l’adore. Plus, même, alors…



Je remonte donc le bas de ma robe jusque sur mon ventre, découvrant ainsi mon intimité. Enfin, ça semble simple et facile comme ça à décrire, mais en réalité je le fais tout de même avec un peu de fébrilité. Après quelques minutes, je m’aperçois que Franck avait raison, les conducteurs des voitures se trouvant à notre droite, de mon côté donc, ne semblent pas voir ma nudité. Aussi je prends confiance en moi et finis pas me décontracter totalement. Je me libère tellement de mes appréhensions que je ne réagis même pas lorsqu’un gros bus touristique stoppe juste à ma hauteur. Ce n’est qu’une fois qu’il redémarre et nous dépasse que je réalise que de là où il se trouvait, le chauffeur devait avoir une vue merveilleuse de mon entrejambe. Lorsque je fais part de ma réflexion à Franck, celui-ci ne trouve rien d’autre à me dire que :



Je me cale un peu plus dans le fond du siège et replie mes jambes afin de faire passer mes pieds au-dessus du tableau de bord et les poser juste sous le pare-brise.



Je suis sidérée par cette remarque et la nouvelle attitude de Franck qui me met ainsi en vitrine. Sidérée, mais agréablement surprise de voir qu’il peut aussi facilement se prêter au jeu qui, comme je l’imaginais, commence à devenir excitant. Bientôt à côté de moi se place un véhicule utilitaire (une camionnette, quoi, enfin vous voyez le genre). En prenant mon courage à deux mains j’ose regarder le chauffeur. Celui-ci plonge déjà ses yeux sur mes cuisses et sur mon sexe totalement visible. Lorsque son regard rencontre le mien, je lui fais un petit sourire à la fois coquin et complice. Il baisse sa vitre et se penche légèrement.



Malheureusement, je n’ai pas le temps de réfléchir à sa demande que Franck démarre.



Une fois de plus j’obéis et défais tous les boutons de ma robe jusqu’à mon nombril et ouvre largement les deux pans du tissu qui recouvre ma poitrine. Mes seins sont maintenant à l’air libre, visibles de tous. Mes tétons pointent largement en avant et je sens mon sexe s’enflammer. Les efforts de Franck finissent par payer, revoilà la camionnette à mes côtés. Cette fois le chauffeur me gratifie de quelques sifflets d’admiration. Je le regarde et lui souris à nouveau. Il lève son pouce poing serré. Je lui mime alors un merci de ma bouche muette.



En quelques minutes, nous atteignons la voie rapide puis l’autoroute. Franck s’amuse à dépasser le plus lentement possible tous les camions que nous rencontrons. Ma position n’a pas changé, mon sexe est toujours exposé au grand jour tout comme mes seins. Pourtant, aucune réaction semble se produire, pas un coup de klaxon, pas un appel de phare, rien. Arrivant en vue du péage je retire mes pieds du pare-brise, les glisse sous le tableau de bord et commence à reboutonner ma robe.



Je garde donc mes pieds sur le plancher, mais laisse ma robe grande ouverte et fais mine de dormir en tournant ma tête à droite, car ne veux pas croiser le regard du péagiste. La voiture s’immobilise devant la barrière. J’entends la vitre électrique se baisser et l’échange de bonjours entre Franck et le péagiste. J’imagine que l’homme a remarqué ma présence et surtout ma tenue, mais aucune remarque ne se fait entendre. Ce n’est qu’au redémarrage de la voiture que j’ose enfin ouvrir les yeux et là c’est l’horreur, tous les passagers d’un car de voyage ont le regard sur moi, mes joues deviennent rouges. Heureusement cet instant ne dure que peu de temps, car nous quittons rapidement le péage.



Nous dépassons beaucoup de camions, bus, camionnettes mais aucune réaction ne se produit. Malgré tous les efforts de Franck qui se fait klaxonner parce qu’il roule comme une tortue sur la voix du milieu, ma tenue inconvenante ni ma position ne paraissent faire recette. Il semble bien que je ne vivrai pas l’une de ces belles aventures lues sur Rêvebébé.



Sa réflexion me stupéfait, mais au point où j’en suis je peux bien faire cela. Je replie donc ma jambe droite afin de poser mon genou contre la vitre de la portière et j’écarte mon autre jambe presque jusqu’à toucher le volant avec mon tibia. Mon sexe est grand ouvert et, l’excitation montant, mes lèvres intimes se gonflent et s’ouvrent légèrement. Je sens de la cyprine humidifier mon entrejambe. Je suis en position. Je pose ma main sur mon sexe et commence à me caresser. Rapidement, j’enfonce un doigt et trouve mon bouton d’amour pour le faire vibrer. Je m’excite de plus en plus, un deuxième doigt vient soutenir le premier et des frissons traversent à présent mon bas-ventre à chaque pression de mes doigts sur mon clitoris. Le plaisir m’envahit, doucement j’enfonce mes doigts dans mon vagin, encore et encore jusqu’à ce que ma main vienne se poser contre mes lèvres. Hum, je sens mon jus couler sur l’intérieur de mes cuisses, c’est bon, cela m’excite davantage et je commence un va-et-vient régulier en faisant ressortir totalement mes doigts avant chaque nouvelle pénétration.


À l’extérieur toujours rien, aucune manifestation. Je suis sûre pourtant que je dois me faire remarquer, alors pourquoi ce silence, cette absence de tout signe qui me ferait comprendre que je suis observée ? L’action de mes doigts dans mon sexe et le plaisir qu’ils me procurent me portent jusqu’à l’extase finale, j’ai très envie d’avoir quelque chose de plus gros en moi, même l’arrivée en renfort d’un troisième doigt ne m’apaise pas, je me masturbe de plus en plus vite, j’enfonce mes doigts tout au fond de ma caverne. Franck se rend compte de l’état dans lequel je suis à cet instant, il m’encourage.



Je suis déçue, déçue par ce faux espoir, déçue parce que personne ne semble me remarquer. Mon plaisir est grandissant, mais ma jouissance ne vient pas, je sens bien qu’elle est toute proche, mais un rien la retient. Soudain, je croise brièvement le regard d’un chauffeur routier qui écarquille ses yeux à les faire sortir de leur orbite.



Lentement nous nous laissons rejoindre par le camion. Je vois le pare-chocs dépasser ma vitre, je lève les yeux, la cabine arrive enfin à ma hauteur. Le chauffeur me gratifie immédiatement d’un grand sourire auquel je réponds tout de suite. Le conducteur perd de son attention, il surveille la route, mais ne manque rien du spectacle que je lui offre. Son regard sur mon intimité et mon indécente attitude me rendent folle, mes doigts s’agitent de plus belle, l’homme fait comprendre en passant sa main sur son torse qu’il souhaite me voir me caresser les seins. Sans hésiter une seconde mon autre main se pose sur ma poitrine, je me caresse, je pince un téton puis l’autre. Mon regard ne le quitte plus, je ne peux pas le dévier. L’homme fait sortir sa langue de sa bouche et la fait trembler comme pour simuler un léchage que j’imagine chaud et savoureux. Tout mon corps se soulève soudainement, je me raidis, mes jambes se crispent, mon ventre se gonfle, ah, ça y est, oui, oui, oui…! Ma main se colle contre ma fente emprisonnant mes doigts bien au fond de mon sexe qui semble vouloir exploser. Le plaisir que je ressens à cet instant est merveilleux, mes yeux se ferment, je reste ainsi, le corps tendu, avec aux premières loges mon sexe envahi de mes doigts.


Quelques secondes se passent. J’ouvre les yeux, le chauffeur est toujours là, il comprend ce qui vient de se passer et me fait un clin d’œil accompagné d’un large sourire. Je retire mes doigts de ma chatte, ils sont trempés, je les porte à ma bouche et les suce l’un après l’autre tout en regardant mon observateur. Celui-ci me fait signe du pouce levé que le spectacle lui a plu. Je lui souris une nouvelle fois. Franck comprend lui aussi que j’ai pris mon pied et que la représentation est terminée.



La voiture accélère, je plaque ma main contre ma vitre et fais un petit signe d’adieu au camionneur qui, enfin, me salut de deux coups de klaxon. Je me remets de mes émotions.



Après plusieurs kilomètres, aucun autre événement ne se produit. Déçu, tout comme moi, Franck décide de rebrousser chemin et ne pas perdre plus de temps, car il a bien d’autres projets pour cette fin de journée.



Ma seule réponse est un joli sourire malicieux. Après avoir fait demi-tour à la sortie suivante, toujours sans aucune remarque d’ailleurs de la part du péagiste, c’est lorsque nous quittons l’autoroute que, par malchance, nous tombons sur non pas un, mais une péagiste. Et celle-ci semble ne pas apprécier du tout ce qu’elle voit. Franck se fait insulter et gratifier d’un "obsédé" de la part de cette femme qui m’afflige également d’un très joli "espèce de traînée". Décidément, notre petite expérience d’exhib sur autoroute n’est pas du tout à la hauteur de nos attentes.


Une prochaine fois peut-être…