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Temps de lecture estimé : 13 mn
26/02/08
Résumé:  Où Camille se révèle une bien mauvaise joueuse et réclame à Jean-Baptiste une preuve de sa victoire qui le force à être encore plus imaginatif.
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Auteur : Solario  (La curiosité est un vilain défaut)            Envoi mini-message

Série : Camille, Hélène, Clémence et les autres...

Chapitre 05 / 05
La conquête de Camille

Chapitre 12



Où Camille se révèle une bien mauvaise joueuse et réclame à Jean-Baptiste une preuve de sa victoire, qui le force à être encore plus imaginatif.





Quand j’apportai la culotte de Clémence à Camille, cette dernière m’accusa de l’avoir volée tant l’idée même que j’ai pu réussir à dévier la vertu de sa cousine lui était inconcevable. Elle exigea des photos. Je la trouvai bien mauvaise joueuse, mais ne me laissai pas démonter et mis en place un stratagème qui devait m’ouvrir l’accès à son petit trou.


Sans le dire à Marie, je chapardais le double des clefs de l’appartement de Camille et y installai dans la chambre un petit caméscope entre deux livres de son étagère. Je vérifiai la batterie et le cadrage avant de dissimuler la télécommande de l’appareil. J’allais me faire Clémence dans la propre chambre de sa cousine. Une idée plus audacieuse me vint, mais j’avais besoin de demander à Nicole son aide.


J’empruntais à Hélène un de ses bustiers dégageant les tétons et y ajoutais et une petite nuisette affriolante à laquelle j’ajoutais une petite note.


On m’a enfin prêté un lit assez grand pour que je t’aime comme tu le mérites. Viens habillée avec ce que tu trouveras dans la boîte et garde tes mi-bas.


Rendez-vous sur le palier du dessus à 23 heures.


PS : Inutile de porter ta culotte


À l’heure dite, Clémence attendait, excitée et tremblante dans le noir, craignant l’arrivée d’un ascenseur ou le passage d’un locataire. Je l’épiais une minute de plus et lui ouvrit la porte. Elle était sublime, et le fait de l’imaginer nue sous la nuisette couleur prune me faisait douloureusement bander. Sans dire un mot, nous nous embrassâmes longuement, d’abord debout, puis à moitié allongés, rampant lentement vers la chambre de Camille. Clémence me déshabilla, me prit dans sa bouche sur le seuil de la pièce. Pendant qu’elle me suçait, elle m’avoua que le tissu satiné de la nuisette qui lui caressait la pointe de ses petits seins chaque fois qu’elle se penchait pour me sucer la faisait défaillir. Cet aveu faillit me faire exploser dans sa bouche sur le champ. Je la pris par les cheveux et sortis de sa bouche. D’un geste, je fis taire sa protestation et l’amenai vers le lit. J’allumai la lampe couverte d’un voile et mis discrètement en marche le caméscope.


Clémence me reprit dans sa bouche malgré mes protestations. Décidément, elle aimait sucer, et cette fois-ci, inutile d’espérer lui échapper. J’éclatai dans sa bouche rapidement, lui envoyant de longs jets de sperme au fond de la gorge. Elle avala tout consciencieusement, se léchant finalement les lèvres en riant doucement. Elle était adorable.


Je sortis de dessous le lit deux verres et une bouteille de vodka. Clémence ne buvait pas et rapidement, je sentis sa volonté s’amollir dès le premier verre. Elle riait pour un rien, ses mouvements devenaient maladroits, dolents. Malgré ses protestations, je lui en servis un second et rapidement, je sus que je pourrais en faire ce que je voulais.



Je sortis deux foulards et attachai Clémence aux montants du lit. Avec un troisième, je lui bandai les yeux. C’est à ce moment-là que Nicole sortit de derrière la porte. Je lui fis signe d’avancer et de disposer de la jolie Clémence comme bon lui semblerait. Je lui pétrissais les seins pendant qu’elle léchait Clémence, qui couinait comme une perdue, riant et gémissant à chaque coup de langue de Nicole. De mon côté, je mis ma queue dans la chatte de Nicole et la pris doucement, calquant le rythme de ma bite sur celui de sa langue. J’avais l’impression de prendre Clémence moi-même.



Et j’envoyais une claque sur les fesses de Nicole qui me fit un clin d’œil en commençant à caresser la petite chatte lisse de Clémence.



Pour récompenser Nicole, je lui enfonçais l’index entre les fesses. Elle poussa un petit cri de surprise.



Cet enthousiasme et cette imagination nous étonnèrent, Nicole et moi. Elle gloussa et je lui fis signe d’accéder aux désirs secrets de Clémence. Elle se coucha au-dessus d’elle et frotta ses gros nichons sur son visage.



Et je mis un oreiller sous ses fesses avant de lui écarter les jambes, d’y frotter un des godemichés de Camille contre sa raie et de le placer contre son œillet. Nicole s’était tournée et collait sa chatte sur le joli minois de Clémence, qui se mit à laper comme un petit chien.



Et Nicole plongea entre ses jambes pour reprendre le cunnilingus qu’elle avait entamé auparavant. De mon côté, je godais Clémence avant de l’enculer moi-même. Puis j’alternais entre la bouche de Nicole et le cul de Clémence, qui dans l’intervalle avait joui en couinant doucement. J’allai exploser et lui proposai de jouir sur elle.


Inerte, alors que Nicole venait à son tour de se laisser tomber sur Clémence, crucifiée par l’orgasme, je me levai et les arrosai toutes les deux de mon foutre. Elles se l’étalèrent sur le corps, se léchèrent les doigts, et la langue. Enfin, Nicole enleva le bandeau de Clémence.



Et elle s’endormit sur la poitrine de Nicole.


Cette dernière se dégagea quelques minutes plus tard, attendrie par le spectacle de la jeune fille endormie sur ses impressionnants nichons. Je dois avouer que ce spectacle m’émut moi aussi. Puis Nicole glissa un oreiller sous la tête de Clémence et regagna ses appartements en me remerciant. J’allai vérifier la bande vidéo de mon côté. Je réveillai Clémence et la portai dans mes bras jusque sur le palier des C. J’avais gagné mon pari avec Camille mais le prix qui m’attendait m’intéressait moins que je ne l’aurais cru.


Clémence me troublait de plus en plus.





Chapitre 13



Où Jean-Baptiste réclame son dû à Camille qui lui accorde d’excellente grâce, et où il découvre à cette occasion que Clémence a pris dans son cœur une place plus grande que dans son lit.





Je déposai le lendemain matin la bande vidéo dans la boîte aux lettres de Camille. J’imaginais sa tête en découvrant que j’avais baisé Clémence dans sa propre chambre, et avec l’aide de Nicole en plus.


Le soir, je découvris une enveloppe glissée sous ma porte. À l’intérieur, un mot de Camille m’informant que je pouvais passer « prendre » (le mot était souligné) possession de mon cadeau ce soir à 23 heures.


À l’heure dite, je poussai la porte entrouverte de son appartement. L’intérieur était illuminé par des bougies et Camille m’attendait dans l’entrée, à quatre pattes par terre, les coudes à plat sur le sol. Elle ne portait que des bas, un bustier en cuir noir trop petit et de longs gants sombres qui remontaient haut sur ses avant-bras.


Cambrée au maximum, elle avait un collier de chien autour du cou d’où pendait une chaîne métallique, et un grand ruban rouge autour de la taille. Elle m’offrait son cul en cadeau, attendant que je la sodomise en remuant les hanches, un grand sourire sur les lèvres.



Je fis faire un tour complet à Camille, comme pour la jauger. Du bout de la cravache, je lui désignai ses fesses.



Ce vouvoiement servile m’électrisait. Bien que n’étant pas spécialement amateur de SM, l’ambiance que Camille avait installée me plaisait beaucoup.


Je glissai la pointe de la cravache dans sa raie ouverte et m’arrêtai sur son petit trou, poussant légèrement.



Je sortis la cravache et la fis claquer sur la fesse droite qui se marqua légèrement de rouge.



Sans un mot de plus, je lui fis faire un tour de l’appartement à quatre pattes. Arrivés dans la kitchenette, je la fis monter à quatre pattes sur la table et sortis ma bite de mon pantalon.



Pour me sucer, elle devait se pencher assez bas et ses seins pendaient et ballottaient à chaque fois que ma queue rentrait et sortait de sa bouche. Quand elle sentit que j’allais venir, elle se recula et tira la langue, prête à recevoir mon foutre dans sa bouche. Mais j’eus une meilleure idée. Je me reculai et, du bout de la cravache, lui ordonnai :



Sans que Camille ne puisse voir ce que je faisais, j’attrapai un bol qui séchait sur l’égouttoir et finis de me branler dedans. Je mélangeai le sperme à un peu d’eau et tirai sur la laisse pour faire descendre Camille de la table. De retour dans l’entrée, je posai le bol par terre et le désignai du bout de la cravache. La langue sortie, amusée Camille vint laper mon foutre. Elle n’en laissa pas une goutte dans le bol.



Et elle vint frotter sa tête contre ma jambe.



Je tirai la laisse et l’attirai contre moi dans un cliquetis métallique. Nous nous embrassâmes longtemps.



Je m’assis et lui fis enlever son bustier. Puis je l’attirai à moi et collai ma queue entre ses seins. Elle lui fit bon accueil et l’enferma entre ses nichons avant d’entamer un va-et-vient qui allait crescendo. Je faisais des mouvements plus profonds de temps en temps pour qu’elle puisse prendre mon gland dans sa bouche.



Je me reculai et elle présenta sa tête en attendant, les yeux fermés et la langue dehors que j’éclate sur son beau visage. Elle en avait plein les cheveux, un peu sur le front et sur la pommette droite.


Épuisé, je me laissais tomber sur le fauteuil.



Constatant la mollesse de ma queue de sa main, elle me dit :



Elle m’entraîna dans sa chambre et s’assit à quatre pattes sur le lit, ne portant plus que ses bas et ses gants, sans oublier la chaîne autour du cou. Elle remua son derrière et se mit à me supplier.



Je frottais ma queue contre sa raie et repris un peu de vigueur.



Je me mis à lui lécher la raie et ma queue grossit encore un peu, atteignant des proportions raisonnables. Quand ma langue pénétra son petit anus, je sentis que j’étais prêt. Après une minute de ce traitement, je me redressai et pris la selle dans une main. Camille me positionna dans l’axe et je poussais. Le gland passa d’un coup, et le reste de ma pine rentra lentement entre ses fesses.


Je la ramonais pendant dix bonnes minutes et sentis l’orgasme pointer timidement deux fois sans éclater. Camille tourna la tête et me dit, la télécommande de sa télé dans la main :



Et soudain, la télé se mit en marche. À l’écran, le film tourné au même endroit la veille avec Clémence et Nicole. Camille me regardait, mon foutre encore dans les cheveux. Je me mis alors à la prendre plus sauvagement, plantant mes ongles dans son ravissant petit cul bronzé, les yeux sur l’écran.


Je n’enculais plus Camille, j’étais en train de sodomiser Clémence comme hier. Je me mis à souffler bruyamment.



Je tirais sur la laisse, la faisant se cambrer en même temps que je la bourrais furieusement. Je pris deux longues mèches blondes dans mes mains et lâchai la chaîne, me servant désormais de ses cheveux pour guider mes assauts de plus en plus furieux. Je vis le visage de Clémence devant moi et j’éclatais, remplissant le cul de Camille d’une quantité insoupçonnable de foutre. Elle se finit en se caressant la chatte, ma queue toujours dans son cul et, une minute plus tard éclata d’un râle bestial avant de devenir toute molle dans mes bras.


Je détachai le collier et me couchai contre le corps chaud de Camille. Mais je m’endormis avec le nom de Clémence sur les lèvres.





Épilogue



J’ai épousé Clémence environ un an plus tard.


Le soir de notre nuit de noces, elle m’avoua, fébrile, qu’elle m’avait menti depuis le début : elle n’était pas plus vierge quand elle m’avait rencontré qu’aujourd’hui. Mais elle voulait être sûre de mon engagement, certaine que si j’étais prêt à l’épouser pour avoir sa virginité c’est que j’étais soit un pervers sans nom, soit amoureux d’elle. Je lui fis remarquer que son stratagème n’excluait pas la première possibilité, ce à quoi elle répondit en m’embrassant qu’elle espérait bien que j’étais aussi amoureux que pervers.


Aujourd’hui, nous vivons en Vendée dans une vieille maison que nous retapons lentement. Nous voyons aussi peu que possible ma belle-famille, qui n’a pas été spécialement ravie de notre mariage, et préférons nous occuper de nos deux magnifiques enfants. Notre vie sexuelle reste formidable, malgré l’installation d’une légère routine que nous combattons de nos imaginations conjuguées. Je n’ai jamais trompé Clémence et chaque fois que j’ai envie d’une autre femme, je lui en parle et lui demande son avis. À deux reprises, nous sommes même tombés d’accord pour l’essayer ensemble.


Hélène, aujourd’hui ma tante par alliance, est toujours mariée mais elle rend de fréquentes visites à sa voisine Nicole, qui m’a avoué l’avoir présenté à certains de ses amis livreurs.


En revanche, son dessin n’a pas progressé.


Camille est toujours très occupée, même si elle vient de se fiancer à un homme de quarante-cinq ans, « parce qu’il a du fric, une grosse bite et qu’en plus il s’appelle Gérard » m’a-t-elle avoué dans une carte postale envoyée du Mexique l’an dernier.


Marie vient d’être reçue à Polytechnique. Je regretterai toujours de ne pas avoir doublé la photo que j’avais prise d’elle à l’époque où elle arrondissait ses fins de mois à la main. Thibaut, quant à lui, n’a jamais compris pourquoi du jour au lendemain elle lui a fermé sa porte. C’est un imbécile qui n’a jamais compris que le plaisir se partage paradoxalement mieux à deux que tout seul.


Monsieur C. enfin fait toujours la navette entre Paris et Bruxelles, petit personnage aussi terne qu’indispensable à ces chroniques, qui lui sont bien entendu dédiées.