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n° 12336Fiche technique20422 caractères20422
Temps de lecture estimé : 13 mn
01/03/08
Résumé:  Mon amant me place devant un nouveau défi : tromper mon mari dans notre propre foyer conjugal.
Critères:  fh fplusag extracon amour fsoumise exhib fmast cunnilingu fdanus journal -journal
Auteur : Lauriolan            Envoi mini-message

Série : Intimité

Chapitre 03
Intimité (3)

Lundi 22 septembre


Je n’en peux plus, ces quelques heures qui nous séparent me semblent interminables. J’aurais tellement envie de ne pas attendre, d’être nue, blottie contre son torse puissant pour qu’il me caresse les seins avec sa bouche, qu’il me les mordille sans trop de ménagement, tout en branlant mon sexe sous ma jupe. Je ne peux même plus m’empêcher régulièrement d’interrompre l’écriture de mon journal pour me soulager de ma main, en imaginant que c’est la main d’Hervé qui me branle nerveusement…


Le challenge qu’il vient de me fixer par téléphone est arrivé beaucoup plus tôt que je ne l’aurais prévu. J’y avais pensé dès que j’ai eu du désir pour lui. Je voulais que cela arrive, mais je ne pensais pas si vite.


Il doit venir à la maison… et il veut me posséder dans les moindres recoins de notre foyer, les jours qui viennent, et à chaque fois que cela sera possible ! Il m’a déjà dit combien ça l’excitait de me « baiser » dans le lit conjugal et de mêler l’odeur de notre accouplement aux draps qui servent d’écrin secret à notre ménage. Il m’a demandé de l’appeler demain matin dès que Christophe aura fermé la porte derrière lui, pour qu’il me rejoigne…


Maintenant que j’emmène mon journal avec moi à la maison, j’ai l’impression déjà d’avoir un peu « fauté » avec Hervé entre ces murs. Dès que j’ai reçu son appel, j’ai eu envie de m’allonger sur le lit, pour m’imprégner d’une odeur pourtant si familière, mais qui dans l’attente de sa venue avait soudain la saveur du péché…



Mercredi 24 septembre


Il est venu à la maison !

Il fallait absolument que j’écrive aujourd’hui pour fixer autant que possible sur ce journal l’extraordinaire expérience que j’ai vécue dans les bras d’Hervé.


Quand je dis que je me sens renaître à ses côtés, c’est au-delà de ce qu’on peut imaginer… Ce n’est pas seulement la sensation d’une renaissance physique, mais aussi sous l’effet de cette nouvelle vie la recomposition de tous ces lieux où je croyais vivre, que je croyais connaître et qui près de lui semblent renaître comme transformés.


Le fait de vivre ces délicieuses expériences, auprès de mon jeune amant, rend chacun des recoins de cette maison, chacun de ces objets, comme le confident de mon inavouable adultère… Tromper mon mari ici, c’est doublement le tromper. Et notre maison entière est désormais le témoin silencieux de mon forfait.


Dès que la porte a claqué j’ai appelé comme convenu mon chéri. Ces simples mots espérés : « J’arrive ! » m’ont fait frissonner, et c’est dans la géniale excitation de l’attente que je me suis précipitée dans « notre » chambre pour me vêtir de la façon la plus sexy. Pour cela, je savais exactement ce que j’allais mettre… Je n’avais fait qu’y penser depuis lundi soir…


Alors que je m’étais rapidement mise entièrement nue, je commençais par habiller ma taille d’une ceinture de perles fines que je venais d’acheter pour lui et dont j’avais déjà eu l’occasion de tester l’effet plus que troublant sur mon mari… Un peu par jeu, car ce n’était sans doute pas la technique la plus commode, j’enfilais mes sandales à talons hauts et fins afin de donner dès maintenant à ma silhouette la cambrure « racée » que mon hôte imminent m’avait dit apprécier. Et puis une fois enfilé un string de dentelle qui me chatouillait un peu, mais m’émoustillais aussi savoureusement, je glissai mon corps dans l’une de mes robes parmi les plus séduisantes.


C’est un long fourreau de soie bleu sombre aux reflets satinés qui moule parfaitement les contours de mon anatomie. Je n’avais pas besoin de soutien-gorge. Ma poitrine ferme et généreuse, surtout gorgée de désir à cet instant, était parfaitement habillée d’un décolleté à la fois pigeonnant et profond qui ne couvrait mes seins que pour mieux inviter à les découvrir…


Hervé était là, à peine un quart d’heure après le départ de Christophe…


Quand j’ai ouvert la porte, mon cœur battait si fort, et j’en savais la raison… Il n’y avait pas que l’excitation de le retrouver après quelques jours d’absence, pour pouvoir enfin le sentir et le toucher. Je savais aussi qu’en lui laissant franchir cette porte il franchissait un pas supplémentaire dans la violation de mon intimité d’épouse, jusqu’ici exemplaire ! J’étais fière comme si je me présentais déjà nue en position d’offrande.


J’eus l’étrange sensation un peu folle qu’en pénétrant dans notre maison, il me pénétrait déjà physiquement, comme les prémices évidents à l’orgasme que je souhaitais plus que tout réaliser, tout à l’heure entre ses bras. J’eus le désir violent de me prosterner à ses genoux pour embrasser son entrejambe, mais avant même que je n’aie pu esquisser un geste, c’est lui qui était à mes pieds !


Il déposa de petits baisers rapides sur mes orteils libres que j’avais soigneusement parés la veille d’un vernis rouge vif. Il remonta doucement tour à tour le long de mes sandales, prodiguant de délicieuses caresses à mes pieds dès qu’une portion de peau dénudée s’offrait à sa bouche. C’étaient ses lèvres, mais aussi rapidement ses petits coups de langue qui me taquinaient délicieusement. Troublée par son attitude faite d’humilité et d’attention déjà appliquée à satisfaire mes plus menus plaisirs, je caressais sa nuque puis ses cheveux en signe d’acquiescement et de remerciement, un peu comme pour un animal affectueux, à cette différence près que je ne plaçais aucune distance entre lui et moi…


Ainsi, si je l’observais avec tendresse, désormais me caresser les chevilles et les mollets de ses mains et de sa bouche, acceptant son geste de soumission comme le merveilleux hommage d’un amant plein de fougue à l’égard de la femme mariée et « respectable » que j’étais… J’étais prête à lui rendre son hommage et à me soumettre également à ses désirs avec la même attention. Mais pour l’instant, j’étais tout entière à savourer la sensation exquise de me sentir la femme désirée par ce beau jeune homme attentif et sensuel.


Il releva légèrement la tête pour offrir à ma vue son ravissant visage en une posture qui paraissait suppliante, la bouche très légèrement entrouverte qui appelait, à l’évidence, la caresse de mes doigts. C’est au moment où je réalisais que ses flatteries buccales m’avaient donné la chair de poule sur tout le bas du corps, que je me mis à frôler du bout de la main ses lèvres. Maintenant, il avait englouti deux de mes doigts et les tétait avec gourmandise, comme le ferait un petit veau qui croit reconnaître dans la main qu’on lui présente les pis de sa maman.


Je me penchai maintenant vers lui pour lui offrir ma bouche. Je lui fourrai ma langue entre ses lèvres pour qu’il la tète à son tour. C’est ce qu’il fit et je me retrouvai moi aussi affalée à quatre pattes, un peu aussi comme un petit animal qui réclame sa pâture. Je me rendais compte que je gémissais et, toute excitée, me trémoussais comme une petite chienne fébrile. De maîtresse, insensiblement, je me sentais glisser dans la position d’esclave…


C’est lui maintenant en effet qui soudainement prenait en charge les opérations, car en même temps que nous continuions à nous bécoter à quatre pattes, il me prit par la nuque avec énergie afin d’écraser plus encore mes lèvres contre les siennes. Et puis il me repoussa par les épaules avec la même détermination, afin que je sois à genoux, mais le buste dressé, le postérieur affalé sur l’arrière de mes souliers, ce qui n’était pas très confortable… J’avais peur que ma robe étroite ne se déchire. Et c’est l’instant qu’il choisit pour libérer ma poitrine !


Je dois dire que je suis assez fière de mes seins et aujourd’hui plus encore que quand j’avais vingt ans. S’ils ont perdu un peu en fermeté, ils ont gagné en volume et en souplesse de telle sorte qu’ils troublent bien des hommes qui ne peuvent que les deviner au travers de l’étoffe. En été, je n’hésite pas à les dévoiler sur la plage et moi qui suis pourtant à bien des égards si pudique, j’ai une certaine fierté à m’exhiber ainsi, et à comparer ma poitrine à ceux de mes voisines tout en observant les regards des hommes converger vers cette partie de mon anatomie…


Je prenais maintenant davantage conscience de l’excitation particulière de notre rapport qui devenait explicitement sexuel dans ce hall d’entrée où quelques instants avant mon mari m’avait laissée seule. À ce moment, j’avais l’impression sans doute puérile que peut connaître tout jeune amoureux, que je ne pouvais plus être seule puisqu’il était là, non seulement physiquement mais présent aussi à ma pauvre petite vie jusqu’ici insipide et monotone, même lorsqu’il serait loin de moi.


En même temps, ce dont je jouissais maintenant, c’était bien de son contact réel, de la chaleur de sa bouche contre mes bouts de seins qu’il avait entrepris de sucer. En voyant son fin visage s’écraser contre mon mamelon qui se raidissait sous la caresse moelleuse et tiède de sa bouche, je glissais mes doigts dans sa chevelure bouclée. C’était une sensation que j’avais perdue depuis bien longtemps et qui me rappelait ma nuit de noce, avant que la calvitie de Christophe ne me prive de ce menu plaisir, sentir glisser entre ses doigts les cheveux souples de l’être aimé…


Il laissa aller sa tête en arrière en libérant ainsi ma poitrine de son étreinte. J’avais les bouts de seins gonflés qui offraient à son regard une saillie évocatrice de mon état d’excitation… Pendant quelques minutes nous nous trouvions assis près l’un de l’autre. Nos caresses n’étaient désormais que celles de nos regards troublés, dévorés de désir… C’était merveilleux de voir ainsi ce beau garçon que je convoitais avec une telle ardeur, me « boire » littéralement des yeux comme s’il savourait, dans la seule vision de mon buste arrogant et superbe, « la liqueur » comme les prémices d’un délicieux breuvage…


Ce n’est qu’à ce moment qu’il m’adressa pour la première fois la parole depuis son entrée :


  • — Ce n’est pas possible que tu sois aussi belle ! Tu es vraiment ravissante ici chez toi, dans ton écrin… Je voulais tellement te voir ici, que ce ne soit pas un lieu où ton mari profite de ta présence plus que je ne pourrais le faire…

La lueur que je percevais dans ses ravissants yeux noirs ne me laissait aucun doute sur son intention de passer à quelque chose de plus sérieux…


  • — Je voudrais que nous allions dans son bureau !

Pour toute réponse, je réajustai mes bretelles afin de recouvrir ma poitrine et de retrouver un semblant de dignité dans mon rôle d’hôtesse accueillante et sérieuse. Mais cela ne dura pas longtemps… Car alors que je lui prenais la main, et l’accompagnais avec cérémonie vers le bas de l’escalier de marbre pour le conduire là où il le souhaitait, il glissa son avant-bras sous ma robe par la fente de l’étoffe qui dévoilait ma cuisse. D’un geste affirmé, il remonta le tissu de telle sorte que je me retrouvai en un instant les fesses à l’air !


Alors que je m’efforçais de gravir l’escalier sans perdre mon allure honorable de femme bourgeoise et mariée, il insinua son majeur dans la raie de mon cul de telle sorte que je sentis son doigt qui frôlait mon anus, une fois qu’il eut écarté la ficelle de mon string.


En montant les marches, le contact intermittent et léger de son ongle contre ma rosette finissait de me faire fondre de désir et lorsque nous en arrivions au palier, je n’en pouvais plus de devoir faire comme si, comme si je n’étais pas cette « femme en chaleur » qui n’aspirait plus qu’à être humiliée, qui ne voulait plus que s’abaisser à la seule satisfaction animale de sa volupté !


Lorsque j’entrouvris la porte de la chambre, alors qu’Hervé avait toujours sa main plongée dans la raie de mes fesses, il put découvrir le bureau à la fois élégant et austère où travaille mon mari. Il a tout de suite été impressionné par l’aspect massif et luxueux du meuble en bois exotique recouvert de cuir aux motifs dorés.


  • — Est-ce qu’il te baise souvent ici ?

Je lui répondis par un sourire et me dégageant de son toucher, je me positionnai accoudée au bureau en relevant ma robe jusqu’à la taille afin qu’il découvre, outre mon postérieur ferme et soumis, ma ceinture de perles qui n’avait rien de chaste…


Bientôt, il fit courir ses lèvres le long de mon postérieur… C’était délicieusement doux et tendre, d’autant qu’il accompagnait ce mouvement de frôlements et de caresses le long de mes cuisses. Ensuite, il se mit à me donner de petits coups de langue de plus en plus haut, à l’intérieur de mes jambes. Je n’en pouvais plus et j’attrapai sa tignasse à pleines mains pour diriger sa bouche vers ma chatte toute mouillée !


C’est d’abord son joli nez qui vint se frotter légèrement à mes lèvres intimes et j’imaginais qu’il devait alors profiter de la senteur puissante de mon désir. Le désir d’une femme mûre, libérée de toute pudeur, qui ne tend plus que vers un seul but : jouir jusqu’à l’épuisement de son jeune et bel amant ! Les flatteries de sa langue enveloppaient maintenant, de la plus exquise attention, mon bouton intime. J’éprouvai le besoin violent de m’agripper au bureau pour accompagner sa caresse d’une poussée de mon bas-ventre contre la source de tant de délices… Je ne pouvais plus m’empêcher de crier, ce qui ne m’était jamais arrivé en ces lieux avec mon mari !


C’est au moment où je voulais qu’il m’achève que sa bouche se déroba ! Il y eut des secondes interminables où je n’entendais que le souffle de ma respiration et je me suis trouvée prise alors d’un mouvement de panique… J’avais peur qu’il me plante là, dans cette posture humiliante… qu’il ait une réaction de mépris à l’égard de la femme mariée que je suis, capable ainsi de tromper son gentil mari, et avec quel abandon !


Et puis cette voix caressante, comme une libération :


  • — Ton corps est superbe !… Retourne-toi, j’ai envie de te voir… que tu écartes les jambes !

J’étais bientôt allongée sur le dos, et le contact du cuir un peu froid déclencha un frisson que je ressentis de la base de la nuque jusqu’à la pointe des pieds. J’avais la chair de poule. Il releva mes jambes en attrapant mes talons pour incliner mes cuisses, de telle sorte qu’il avait maintenant une vue plongeante à la fois sur mon sexe, mais aussi sur la raie de mon cul. Il apposa la paume de sa main sur mon pubis et commença à masser mon entrejambe trempée de sueur et de désir.


Alors que je commençais à gémir sous l’effet de ses savoureuses caresses, la chaleur gagnant tout mon corps, je fis glisser à nouveau le tissu de ma robe qui adhérait maintenant à ma peau humide et chaude et offris, à nouveau à son regard, la vision de ma poitrine gorgée du désir de le sentir encore… J’étais maintenant à la limite de perdre conscience, mais j’entendis distinctement ce murmure à mon oreille :


  • — Montre-moi son stylo préféré !

Je n’avais pas même la force de l’étonnement où d’une moindre résistance à sa volonté. J’ouvris seulement les yeux pour soutenir son regard, alors qu’il ne cessait pas de me masturber, et portai fébrilement ma main sur la boite de stylos qui se trouvait toute proche, pour en extraire « l’objet ». C’était un beau spécimen aux formes pleines, large et arrondi de la marque Mont-Blanc de couleur noir et or, que mon mari utilise pour tous ces documents un peu officiels…


Je présentai à mon superbe amant l’objet de sa convoitise, qu’il ne mit pas longtemps à détourner de sa fonction naturelle… Le contact glacé de l’ustensile contre ma vulve me tira brutalement de ma douce torpeur. Visiblement ému par ce nouveau spectacle, mon partenaire se rapprocha, comme pour humer mon fumet intime. Il agaçait mon bouton rougeoyant à l’aide du capuchon par petits gestes saccadés et de plus en plus rapides.


Je ne sais pas combien de temps ce délicat supplice dura… Je réalisais à peine, tant j’étais submergée de plaisir, la variation de sa caresse. Il était maintenant en train de me branler, mon sexe humide ayant englouti presqu’entièrement le corps du cylindre oblong. Mais au bout d’un instant qui me parut trop court, il retira à nouveau le singulier phallus, et l’introduisit sans trop de difficulté dans mon anus abondamment lubrifié par l’effet de ma propre jouissance…


Je n’étais pas encore une adepte bien expérimentée de l’exploration de mon trou fessier, mais cette violation si particulière était pour moi sublime ! La dureté du stylo et l’absence de ménagement d’Hervé qui me fourrait les entrailles avec une vigueur troublante faisait que je me sentais comme portée par cette situation si humiliante. Mon amant attentif dut bien ressentir cette situation, car il commençait à m’asséner des propos obscènes :


  • — Tu le sens bien… Tu vois comme il va pouvoir écrire ses lettres avec un stylo qui aura servi à te faire enculer par ton amant !… Ton petit cocu de mari ne se doute pas à quel point tu aimes ça !… S’il savait que sa charmante petite femme est en train de se faire baiser sur son propre bureau pendant qu’il travaille !… S’il savait que sa petite bourgeoise si « comme il faut » et respectable aime se faire mettre comme une petite trainée !…

Ces paroles irrespectueuses ne firent que décupler mon plaisir et alors que le stylo était toujours englouti dans mes entrailles, je m’astiquais le bouton avec fureur et je me mis à jouir comme jamais… J’étais comme prise de convulsions, alors que mon dos ruisselant de sueur adhérait à la surface de cuir. Je ressentis pour la première fois (ce mot qui jusqu’ici était étranger à ma bouche !) ce que se pouvait être que de se sentir comme une petite salope !


Après un long moment, je découvris que je n’avais pas changé de position, et que les jambes écartées, j’offrais toujours le spectacle de l’abandon et de la renonciation à toute dignité, à mon incestueux complice. C’est alors qu’en tournant légèrement le visage, je me retrouvai nez à nez avec une photo placée sur le bureau qui nous représentait Christophe et moi le jour de notre mariage.


Alors que pensivement je songeais à ces années-là où je croyais encore à notre couple, et alors qu’Hervé par des caresses et des mots doux redevenait si tendre, comme pour se faire pardonner de l’audace de ses propos, je me mis à réaliser que les garçons d’honneur si charmants qui nous accompagnaient ce jour-là, devaient aujourd’hui avoir l’âge de mon partenaire !


Mais mon chéri me tira de ma mélancolie :


  • — Tu as encore ta robe de mariée ?

Je voyais là la promesse d’une nouvelle violation délicieuse et honteuse de l’intimité de notre couple. Et c’est avec un sourire complice et malicieux que je pus lui répondre :


  • — Tu veux que je la porte ?



A suivre…