n° 12339 | Fiche technique | 15154 caractères | 15154Temps de lecture estimé : 9 mn | 02/03/08 |
Résumé: Livré à la gourmandise de deux ogresses qui m'écrasent sous leur luxure conjointe, je crois m'en sortir avec quelques jours de convalescence, mais c'est sans compter sur la lubricité de mes hôtes... | ||||
Critères: fh ffh fplusag jeunes couleurs gros(ses) grosseins groscul complexe fellation cunnilingu anulingus 69 légumes fdanus aliments humour | ||||
Auteur : Vagant Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Mes sept péchés capiteux Chapitre 03 | Fin provisoire |
Les mains de Christelle sont parties explorer mon corps, mon buste luisant, mon ventre maculé où elle a dessiné des arabesques de chocolat du bout des doigts, et mes cuisses qu’elle a écartées pour y prendre place. Accroupie entre elles, elle a entrepris de me nettoyer les couilles de la pointe de la langue, lapant comme une petite chienne la glace fondante qui y coulait en gouttes épaisses et sirupeuses.
J’ai tourné la tête vers l’opulente antillaise qui me tournait le dos. Elle me jetait des œillades égrillardes par-dessus son épaule. Son dernier vêtement, un string rouge qu’elle s’apprêtait à retirer mais qui disparaissait déjà entre les plis de sa croupe grandiose, donnait l’impression d’entourer une énorme faute en rouge : son impudicité. Elle s’est penchée en avant pour le faire glisser tout au long de ses jambes tendues, exhibant sous mes yeux ébahis un cul ferme et haut placé, dont chaque fesse avait la taille et la rotondité d’un ballon de basket.
Lucienne a attrapé un pot de confiture sur une étagère, elle est montée sur la table tout en se dandinant, et une fois debout, elle a mis un pied de chaque côté de mon visage, m’offrant une vue plongeante sur son obscur entrecuisse. J’avais l’impression d’être allongé entre les colonnes d’un temple de marbre brun de Vérone, dont les fesses en chapiteau soutenaient un monument de luxure.
Soudain, ce fut le tremblement de terre. Sans qu’un seul autre muscle ne bouge, les fesses de Lucienne ont semblé s’animer de leur vie propre, indépendante du reste de son corps, comme un Mapouka luxurieux avant l’heure. Peu à peu, elle a fléchi les jambes tout en ouvrant le pot de confiture, sans que ses fesses ne cessent jamais de trépider. Elle a plongé les doigts dans le pot, et lorsque sa croupe a cessé enfin de s’agiter à quelques centimètres de mon visage cramoisi, elle a étalé généreusement la confiture rouge sang, de sa vulve luisante aux confins de la raie du cul. La matière poisseuse collait à ses poils pubiens ras et crépus, luisait sur les lèvres de sa vulve noire, ouverte sur ses chairs rosées au bout desquelles pointait déjà le capuchon brun de son clitoris gros comme un petit pois à écosser. À l’autre bout, les grumeaux de confitures semblaient dessiner une étoile de mer dont son petit trou était le centre.
Pendant ce temps-là, Christelle m’avait soigneusement nettoyé les testicules, et elle léchait déjà la glace qui fondait irrémédiablement sur mon ventre.
Je sentis ses seins s’écraser sur mon abdomen recouvert de glace au chocolat, et mon phallus disparaître entre ses globes charnus, comme mon visage s’était déjà perdu au cœur de sa croupe enveloppante. Je baisais, je léchais, je suçais indifféremment tout ce qu’elle me présentait tour à tour, de son clitoris turgescent à son anus palpitant, en passant par sa vulve molle et juteuse comme un abricot trop mûr. Je ne voyais rien d’autre que sa peau tabac, plus foncée et froncée aux abords de son petit trou, pourpre à l’orée de son calice.
Seuls les gloussements, soupirs et suçotements qu’émettaient Lucienne et Christelle me permettaient d’imaginer la lutte homérique qu’elles se livraient pour sucer les reliefs de ma banana split. Privé de tous repères visuels, mes pensées se perdaient dans le gouffre de mon imagination lubrique. Un simple gloussement de Christelle, et j’imaginais Lucienne lui laper une goutte de chocolat fondu à la commissure des lèvres. Il suffisait que le con de Lucienne jute un peu plus dans ma bouche, pour que je soupçonne Christelle de sucer les tétons chocolatés de la voluptueuse antillaise. Un va-et-vient des lèvres de la jeune fille tout au long de ma hampe, et je rêvais que Lucienne tenait la tête de Christelle entre ses mains pour lui indiquer le rythme et l’ampleur du mouvement, à moins que ce soit l’inverse !
J’ai tendu les mains pour vérifier mes hypothèses. Elles se sont égarées dans des chairs molles, entremêlées, lourdes et chaudes, indifférenciées : le corps de la luxure. En fin de compte, j’ai préféré enfoncer un doigt dans le petit trou noir qui palpitait sous mes yeux. Lucienne s’est redressée, haletante, elle a attrapé quelque chose derrière moi et me l’a mis entre les mains. C’était une énorme banane plantain, encore verte et bien dure, longue d’une bonne trentaine de centimètres.
J’ai pointé le bout de la banane recouverte d’un préservatif à l’entrée de sa vulve épanouie, et j’ai poussé doucement. Sa fente s’est ouverte, s’est dilatée pour accueillir le gros fruit oblong qui la pénétrait. Lorsque je faisais mine de la retirer, les chairs roses de Lucienne qui émergeaient de sa chatte brune donnaient l’impression d’aspirer la banane avec laquelle j’ai commencé à la pistonner.
Mon poignet en bielle imprimait un mouvement de va-et-vient à la banane piston qui coulissait dans son vagin monocylindre. À chaque tour, sa cyprine visqueuse coulait dans ma bouche en carter moteur. Avec un doigt dans la culasse et ma langue à l’allumage, Lucienne rugissait toutes soupapes ouvertes, comme un avion de voltige prêt au looping. Entre ses cuisses grandes ouvertes en guise d’ailes vrombissantes, je la voyais s’agripper à mon manche vertical. Il a disparu sous le ventre de Christelle accroupie, ample comme un cumulonimbus, et dont les cuisses orageuses prenaient ma taille en étau, engloutie sous la haute pression de ses chairs humides. J’étais pris entre deux sensations opposées : tandis que mon plaisir s’était envolé jusqu’au point de non-retour, j’avais l’impression que mes hanches allaient se briser comme une coque de noix contre une table.
Christelle poussa un cri aigu en même temps qu’un éclair de douleur me foudroya le nerf sciatique. À la fois excité mais incapable de jouir sous la souffrance qui m’avait terrassé, je partageais les sensations ambiguës de cette jeune femme qui n’était plus vierge que par ascendant.
J’étais de retour dans la chambre au papier à fleurs, mais alité pour de bon cette fois-ci. La solide Lucienne m’avait fait descendre de la table de la cuisine où j’avais été cloué comme un papillon, ou plutôt écrasé comme une mouche. Elle m’avait ensuite transporté, clopin-clopant, vers ma chambre. Muscles froissés, rachis traumatisé, trois jours de repos avec interdiction formelle de quitter la chambre, « et d’y pratiquer toute activité physique » avait cru bon d’ajouter le médecin en riant, après m’avoir demandé si je n’étais pas passé sous un rouleau compresseur.
Le lendemain après-midi, vers trois heures, tandis que je somnolais à demi nu sur mon lit écrasé de chaleur, j’ai entendu s’ouvrir doucement la porte de ma chambre. Je lui tournais le dos, couché sur le côté, mais j’ai décidé de ne pas bouger, plus par paresse que pour épargner mon corps douloureux. J’ai juste ouvert une paupière pour contrôler, dans le miroir de l’armoire, qui s’approchait de moi à pas de loup. En l’occurrence, c’étaient des pas de louve.
Agnès s’est arrêtée tout près du lit. Son regard devait être si intense qu’il m’a semblé en sentir le poids se poser sur ma nuque, rouler sur mes épaules où perlaient quelques gouttes de sueur, couler le long de mon flanc où saillaient mes muscles froissés, hésiter à ma taille recouverte du drap blanc, virevolter sur ses plis suggestifs et se reposer sur mes cuisses velues. J’observais Agnès dans le miroir sans qu’elle ne s’en doute. Était-elle venue veiller sur mon sommeil comme une mère sur celui de son enfant ? Sa langue est passée sur ses lèvres en guise de démenti, mais elle a fait demi-tour pour ressortir de la chambre aussi discrètement qu’elle y était entrée.
La scène s’est renouvelée le jour suivant. J’étais allongé sur le dos, entièrement nu tant la chaleur était insoutenable, avec un bout de drap sur les hanches pour seul tribut à la pudeur. Cette mise en scène ne devait rien au hasard : il était trois heures et j’espérais vivement la visite d’Agnès. Je l’attendais même, avec une ardeur palpable. Quelques minutes plus tard, la porte s’est ouverte. J’ai gardé les paupières closes pour ne pas effrayer mon invitée tacite, qui avançait vers moi avec la prudence d’un cambrioleur. Comme je m’y attendais, il y eut un bruit de chute et je n’ai pas tressailli. « Zut ! » ai-je entendu, et puis « vous dormez ? ».
Je suis resté impassible, bien sûr, je n’allais tout de même pas avouer mon forfait si près du but : j’avais disposé un lourd volume de Guerre et Paix en équilibre précaire au bord de ma table de chevet, auquel j’avais accroché un fil imperceptible tendu en travers de la pièce. J’espérais qu’Agnès, convaincue que je dormais profondément, en profiterait pour abuser de mon corps assoupi. Je fus abusé au-delà de mes espérances. J’ai senti un doigt léger frôler ma peau humide de sueur, là où elle est la plus fine, entre la base du cou et la clavicule. Il glissait jusqu’à mon épaule lorsque j’ai entendu sa voix :
Le doigt a souligné le galbe de mes muscles avant de retourner sur mon torse aux pectoraux saillants.
En entendant cela, je ne suis pas parvenu à me maîtriser totalement. J’ai pris une profonde inspiration et j’ai alors senti la pulpe de son doigt s’attarder sur mon téton, en faire le tour, le frôler délicatement. Je me suis alors dit qu’Agnès était une sacrée perverse, prête à braver tous les tabous pour arriver à ses fins, et dont les caresses prometteuses ne cachaient rien de ses desseins lubriques.
Le doigt poursuivait sa course vers le bas de mon corps avant d’être rejoint par trois autres sur mes abdominaux. Ils les ont passés aussi doucement qu’un cortège funéraire franchit un dos d’âne.
Il n’y avait pas qu’elle à être excité ! Je me suis dit que non seulement elle s’apprêtait à coucher avec l’amant de sa fille, mais qu’il lui fallait en plus avoir l’impression de le pervertir pour prendre son pied ! En attendant, ses doigts étaient aux abords du drap. Ils ont décollé de ma peau lentement, comme à regret, avant que je ne sente le drap glisser sur mon sexe, sur mon phallus gonflé à bloc depuis que j’attendais Agnès.
J’ai senti son souffle sur ma verge raide. Le doigt – ce même doigt qui me titillait et dont les égarements me rendaient fou - s’est posé à sa base, juste à la limite de mes couilles, et a glissé tout au long de ma hampe jusqu’à sa pointe écarlate. J’aurais sans doute dû ouvrir les yeux à ce moment-là, mais me laisser faire était si bon que je n’avais plus le moindre goût de l’effort.
Elle a joint le geste à la parole et elle a gobé le bout de ma queue, avant que je ne sente sa langue humide prendre le chemin inverse de celui qu’avait pris son doigt, du gland jusqu’aux couilles qu’elle a dardées de la pointe de la langue.
J’en ai aussitôt senti les pointes sur mes cuisses et mon ventre. J’étais tant excité d’imaginer Agnès me branler avec ses gros seins - et ils me semblaient encore plus gros les yeux fermés - que je sentais le plaisir monter, irrémédiablement. J’imaginais son doux visage penché sur mon bas ventre frissonnant, ses lèvres vermillon à quelques centimètres de mon gland turgescent, au bout duquel devait pointer déjà une goutte de sperme menaçante. Je me sentais prêt à jaillir, et à me laisser nettoyer sans esquisser le moindre geste.
J’ai à peine eu le temps d’écarquiller les yeux que je l’ai vue s’empaler sur mon sexe d’un grand coup de reins. La douleur s’est réveillée, aussi fulgurante que la jouissance. L’une et l’autre me terrassèrent en me laissant juste assez de conscience pour réaliser que non seulement Christelle avait les yeux de sa mère, mais qu’elle en avait aussi la voix.