n° 12360 | Fiche technique | 17524 caractères | 17524Temps de lecture estimé : 11 mn | 08/03/08 |
Résumé: La rencontre (un peu provoquée) entre Caroline, épouse délaissée, et Dominique, son voisin célibataire. | ||||
Critères: fh hplusag voisins fépilée fellation pénétratio | ||||
Auteur : Dominique Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Voisines Chapitre 01 | Épisode suivant |
Au hasard de mes entrées et sorties du T2 que j’occupais la semaine dans la ville où je travaillais, je la rencontrais promenant son chien dans les allées de notre petite résidence calme et tranquille.
Étant locataire depuis plus d’un an, j’avais remarqué cette femme, brune aux cheveux mi longs, environ 1,70 mètre… Pas un « canon » tel que le définiraient les magazines, mais belle, assez fine, avec un corps très agréable à regarder, légèrement maquillée… Elle possédait, a priori, une garde-robe très variée, allant des robes aux jeans, le tout, assez cool, assez sexy mais pas vulgaire, mettant en valeur soit ses jambes, soit sa poitrine, soit sa chute de reins qu’elle avait très cambrée.
Je la savais mariée, mère d’une fille d’environ 18 ans, les ayant croisés en famille à 2 ou 3 reprises dans la résidence. Sans être à l’affût, j’avais remarqué que son mari avait des horaires de travail décalés et que sa fille n’était pas toujours présente.
Au début, je la rencontrais environ tous les deux, trois jours, la saluant comme chacun le faisait en se rencontrant. Puis petit à petit, sans m’en rendre compte au départ, je la croisais de plus en plus souvent promenant son chien aux horaires où je quittais ou retrouvais mon logis.
Était-ce un effet du hasard ? Toujours est-il que je m’étais vite habitué à la rencontrer tous les jours. Je la saluais, elle me répondait avec un grand sourire et un petit mot gentil sur le temps, nos horaires, son adorable toutou qui reniflait le bas de mes pantalons, quêtant une caresse que je lui donnais toujours… De plus en plus, nos conversations prenaient de l’ampleur, sans pour cela entrer dans nos intimités.
Elle avait une voix douce. Un grand sourire illuminait son visage à chaque silence, mais elle était sûre d’elle, de son charme qui ne me laissait pas indifférent. Je devais avoir une bonne dizaine d’années de plus qu’elle et j’étais certainement plus âgé que son mari mais sûrement mieux conservé car j’avais toujours entretenu mon corps par de l’exercice et beaucoup de sports.
À quarante-huit ans, j’avais un petit bourrelet sur les hanches dû à un amour de la « bonne bouffe » et à de bons apéros entre amis… Mon corps bien bronzé par une pratique régulière de nudisme n’était certes pas celui d’un apollon, mais celui d’un homme qui s’entretenait par une pratique régulière de la natation et d’un épicurien avide de tous les plaisirs.
Parlons-en du plaisir… J’ai évoqué celui de la table et des bons moments entre amis, mais un autre plaisir me ravissait jour après jour : un amour pour le sexe, de toutes les façons… Car sans être pervers, j’ai pratiqué l’Amour à peu près sous toutes ses formes et je l’ai décliné à presque tous les temps.
Au départ comme tout adolescent, j’étais hétérosexuel, puis au fil des années, des rencontres, des expériences, je suis devenu bisexuel, trouvant autant de plaisir avec les deux sexes et même avec le troisième…
Vous pensez peut-être que je suis obsédé par le sexe ? Moi, je ne le crois pas : tout simplement je mords la vie à pleines dents, je profite de l’instant présent, et surtout j’essaye de faire partager mon plaisir à mes partenaires, ne me contentant surtout pas d’une approche égoïste et purement machiste.
Quelque part, je sentais que ma belle voisine n’était pas insensible, et que, par mes sourires, par certaines allusions lors de nos conversations, je me montrais ouvert à toutes formes de complicités… J’étais prêt à dépasser les limites qui semblaient nous être imposées. Mais qui allait faire le premier pas ?
Un soir, début avril, je l’avais une nouvelle fois croisée en rentrant du travail, nous avions dialogué, que dis je, badiné dans les allées de la résidence. Rentré chez moi, après une bonne douche, j’avais enfilé comme d’habitude un polo et un short court en jeans. Dessous, un de mes strings hyper léger, sous-vêtement que je porte en permanence et que j’adore pour son côté sexy, sensuel, et très anticonformiste. Je me préparais à passer une bonne soirée qui commencerait par une dînette, et qui continuerait par un bon bouquin avec un fond musical.
En fait de fond musical, c’est la sonnette qui carillonna quelques minutes plus tard. Après avoir ouvert la porte, je retrouvai ma charmante voisine l’air penaud, visiblement ennuyée mais toujours aussi mignonne. Elle aussi s’était douchée, changée et je la découvrais sous un aspect d’elle que je connaissais peu. Tenue décontractée, mais assez sexy : mini jupette en jeans, tee-shirt noué sur le ventre, moulant une paire de seins qui, visiblement, n’a pas besoin de soutien-gorge et dont les tétons dardent et tendent le fin tissu, laissant deviner de larges aréoles brunes qui attirent le regard de tout homme normalement constitué…
Après tout, c’était une bonne occasion de forcer le destin et de voir jusqu’où je pouvais aller dans ce libertinage. Mais cette occasion était-elle vraiment due au hasard ? S’agissait-il réellement d’une panne électrique ?
Me précédant dans l’escalier, elle m’ouvrit la porte de son appartement coquet, sobrement meublé, et me guida jusque dans le placard où se trouvait le compteur électrique.
Quelques secondes plus tard, elle revint et je lui montrai comment rétablir le courant sans problème et sans danger…
Ce compliment, pas trop mal tourné, mais assez direct, eut un effet surprenant sur cette femme habituée à nos marivaudages : elle rougit, eut un long frisson et ses tétons reprirent du même coup de la vigueur et dardèrent de nouveau sous son tee-shirt.
Joignant le geste à la parole, elle s’avança vers moi… Son ventre à moitié dénudé se colla au mien, sa douce et ferme poitrine vint s’écraser sur mes pectoraux. Ses lèvres rejoignirent les miennes dans un tendre baiser. Sa main prit mon cou pour que je ne bouge pas. Sa langue s’enroula autour de la mienne, vint fouiller ma bouche… Nos salives se mélangèrent tandis que son autre main se glissa lentement sous mon polo, commençant à me caresser et à me griffer le dos.
Ne voulant pas être en reste, une de mes mains partit à la conquête d’un de ses seins, l’englobant doucement, puis le caressant au travers du tissu. Son téton réagit immédiatement, devint de plus en plus dur… Mon autre main partit à la découverte de son superbe fessier et de sa chute de rein absolument fantastique.
Sous ces douces caresses, son bassin commença à onduler contre mon ventre. Mon sexe qui avait déjà réagi à son fougueux baiser et à ses ongles qui me griffaient le dos, devint aussitôt de plus en plus dur et eut du mal à trouver sa place dans mon mini string.
En effet, une de mes mains s’était insinuée entre ses cuisses et sentait au travers d’un léger tissu en dentelle son doux renflement tout humide…
Aussitôt ma bouche prit possession de ses seins, ma langue vint caresser et lécher ses deux bouts tendus qui s’offraient à moi. Ne voulant pas en rester là, mes mains commencèrent à dégrafer sa mini-jupe, qui tomba rapidement à ses pieds.
Sous mes mains qui caressaient sa chute de reins, je découvris une fine chaîne de taille, et la ficelle d’un mini string. J’empaumai alors ses fesses, fermes à souhait, et la plaquai contre mon ventre, lui faisant sentir combien j’avais envie d’elle.
Sa réaction fut immédiate : tout en gardant son ventre tendu collé au mien, elle m’enleva rapidement mon polo, agaça mes tétons de ses ongles, accentuant encore mon désir. Voyant ou plutôt sentant mon sexe tendu sur son ventre, Caroline s’attaqua rapidement à mon short qui rejoignit sa jupette sur la moquette. Elle eut une légère hésitation en passant ses mains sur mes fesses nues, et avec un grand sourire, elle se détacha de moi, m’observant longuement…
Mon sexe et mes bourses gonflés tendaient le fin tissu de mon string. Caroline vint à mon secours : lentement elle s’agenouilla, fit sauter rapidement les attaches pression, libérant mon sexe qui se détendit et alla se coller à son visage.
Sans attendre, elle l’emboucha avec délicatesse et ses lèvres chaudes entamèrent doucement un lent va-et-vient le long de ma hampe, agaçant le bout du gland avec sa langue, s’attardant sur le frein, ressortant doucement et se ruant de nouveau sur cette queue qui lui comblait la bouche tout en caressant et malaxant doucement mes bourses, les griffant de ses ongles courts et accentuant ainsi un début de jouissance qui commençait à me tarauder les reins.
Je la forçai à se relever, pour ne pas prendre un plaisir égoïste, pour savourer l’instant et aussi pour me préserver pour la suite…
Devant tant de franchise, je sus que nous allions aller loin dans nos ébats, la sentant avide de sexe, de tendresse, et de jouissance.
Nos mains partirent de nouveau à la découverte de nos corps et forcément mes doigts filèrent vers son sexe que je sentais humide au creux de ma jambe. Il était plus qu’humide, il dégoulinait de sa cyprine. Sous la caresse d’un, puis de deux de mes doigts, il s’ouvrit encore plus, je sentis son clitoris émerger de ses lèvres, petit bouton dur que je m’empressai de cajoler et de faire rouler entre mon pouce et mon index. Un long feulement partit du fond de sa gorge, son corps se mit à trembler, ses mains crochèrent ma nuque, ses jambes se tendirent d’un coup, son ventre dur se colla au mien.
Elle s’adossa au mur du couloir, leva une de ses jambes. Je fléchis légèrement les genoux, me relevai doucement, cherchant le chemin de son sexe ouvert. Mon gland glissa lentement dans ses lèvres. Son clitoris, érigé en gardien, nous indiquait que nous étions en bonne voie. Sans nous concerter, comme si nous avions répété ce geste des dizaines de fois, je la pénétrai en me relevant. En même temps que ses jambes se nouaient autour de mes reins, elle s’empala sur mon sexe tendu qui glissait dans son sexe chaud et humide, butant au fond de sa paroi intime.
Nous étions enlacés. Elle avait le dos au mur, mes mains crochées à ses fesses, ses bras noués dans mon dos, mon sexe fiché dans le sien, savourant ce moment de pure extase…
Ce qui, sur l’instant me fit réagir, d’autant plus que son ventre commençait à onduler, ses muscles vaginaux se contractant sur ma tige que je sentais gonflée comme rarement.
Devant ce traitement qui m’excitait au plus haut point, je la soulevai doucement, la fis glisser sur mon sexe tendu et bien lubrifié par sa cyprine, puis la laissai retomber, mon gland venant heurter le fond de son sexe, lui arrachant un petit cri. Elle pinça mes tétons à chaque fois plus durement, m’excitant encore plus. Mes mouvements devenaient plus rapides, elle rythmait la cadence par ses petits cris.
Nos corps ne faisaient plus qu’un. Le rythme s’accéléra, la sueur commençait à perler sur nos corps enlacés et imbriqués. Les muscles de son sexe emprisonnaient le mien qui allait et venait dans son fourreau dégoulinant et brûlant… Je sentis de nouveau son ventre se creuser, un long feulement sortit de sa gorge, ses doigts crochèrent ma nuque, ses narines se dilatèrent…
D’un dernier coup de reins, je la soulevai et la laissai retomber sur mon sexe dressé, m’abutant en elle. Je sentis ma sève jaillir dans son sexe en longs jets qui se déversèrent dans son ventre qui se contractait à chaque giclée, l’agitant de soubresauts. Sa tête dodelinait, ses yeux étaient grands ouverts, sa respiration haletait… Son feulement devint plus grave et de plus en plus doux, sa tête se lova dans mon cou, sa joue se blottit sur mon épaule, ses mèches collées par la sueur.
Son souffle devint plus régulier, elle se laissa décoller du mur. Toujours fichée en moi, ses jambes ceinturant mes reins, ses bras noués autour de ma nuque, elle me guida vers sa chambre. Je m’assis sur le lit, soulageant ainsi mes muscles qui commençaient à fatiguer.
Doucement, elle délia ses jambes de mes reins, me fit m’allonger et lentement se coucha sur moi, son sexe toujours planté dans le mien, le retenant par ses muscles intimes… Et tendrement elle m’embrassa… Longuement.
À suivre…