n° 12369 | Fiche technique | 22875 caractères | 22875Temps de lecture estimé : 14 mn | 11/03/08 corrigé 01/06/21 |
Résumé: Caroline et Dominique poursuivent leur découverte. | ||||
Critères: fh hbi fépilée pénétratio fdanus fsodo glaçon | ||||
Auteur : Dominique Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Voisines Chapitre 02 | Fin provisoire |
Résumé :
Comment Caroline, épouse délaissée, voisine de Dominique, fait sa connaissance et sous un prétexte fallacieux, le fait venir chez elle.
Comment Dominique, joyeux célibataire, répond aux avances de sa belle voisine…
Comme à regret, elle se sépara de moi, s’allongea sur le côté, se lovant contre mon torse et au creux de bras.
C’était simple. Depuis quelques années, leur couple s’était installé dans une « routine conjugale ». Elle était occupée par sa fille unique, lui par ses copains, son boulot… Puis, petit à petit, le désir s’était émoussé… Lui se contentait d’un rapport conjugal une fois par mois, vite fait mal fait ; elle acceptait cela mais avec quand même un manque certain.
Depuis que sa fille avait trouvé un copain, elle se retrouvait seule pratiquement toute la semaine. Son mari travaillait de nuit, dormait le jour : elle ne le voyait que le week-end. Elle travaillait dans une société essentiellement composée de femmes. Les rares hommes qui lui auraient convenu et qui y étaient employés étaient soit « en mains », soit carrément inaccessibles. Ses copines de travail lui avaient conseillé de trouver un amant, mais à part une passade qui n’avait pas duré, elle n’avait rien trouvé jusqu’à ce qu’elle me rencontre « à domicile ».
Tout en discutant, j’observais tranquillement cette femme qui venait de s’offrir à moi avec un mélange de douceur, de tendresse et de sincérité. Ses seins pommés, ses tétons qui, sous mes caresses, recommençaient à se tendre et à durcir, son ventre plat barré par sa chaînette en or, son mont de Vénus que coiffait son pubis parfaitement épilé en ticket de métro, son sexe fin totalement rasé, ses hanches bien dessinées, ses longues jambes légèrement écartées, tout était une invite au plaisir.
Mes caresses sur sa peau faisaient leur effet, son corps frissonnait. Sa main partit vers son ventre et ses doigts se mirent à caresser les lèvres rasées. Un doigt, puis deux, pénétrèrent son abricot trempé de mon sperme et de sa jouissance passée. La jouissance revint à la charge sous l’action de mes doigts qui malaxaient le bout de ses seins. Ma langue courait sur son ventre, sur ses hanches, suivant la chaînette dorée. D’un seul coup son corps s’arqua. Du plus profond d’elle-même, Caroline émit un cri bref.
Devant ce corps offert, jambes écartées, fesses soulevées, je changeai de position et glissai ma tête entre ses jambes, mes bras passant sous ses cuisses. Elle comprit tout de suite, noua ses jambes autour de moi et attira mon visage vers son ventre.
Son bassin vint à la rencontre de ma bouche qui embrassa l’intérieur de ses cuisses, remonta vers son pubis, descendit vers ses lèvres si douces qui s’ouvrirent sous mes coups de langue. Léchant mon foutre mélangé à sa cyprine, je lapai ce sexe ouvert et offert, arrivai à grands coups de langue vers son petit bouton qui se mit à grossir et à se tendre : un véritable pénis en miniature.
Caroline ne résista pas longtemps à ces caresses buccales, son corps se mit à trembler, ses reins se soulevèrent, ses mains me bloquèrent la tête sur son ventre. Elle feula longuement, son visage oscillant de droite à gauche, ses mains emprisonnant les miennes sur ses seins que je malaxais avec fermeté.
Elle se releva d’un seul coup, se mit à genoux et emboucha mon sexe avec avidité, le gobant à pleine bouche, le suçant en alternant douceur et vitesse, le griffant de ses ongles, le mordant avec ses dents, butinant mon gland, malaxant mes couilles avec douceur, les gobant une à une… Bref, une véritable Messaline.
D’un subtil mouvement, Caroline se positionna au-dessus de moi, offrant à mes mains ses seins et ses tétons déjà durs, son doux abricot que je m’empressai de gober. Chacun goûtant au sexe de l’autre de sa langue et de sa bouche, mélangeant nos parfums de foutre et de cyprine intimement partagés.
Ma langue caressa doucement sa peau, entre sexe et cul. Doucement elle remonta vers son petit trou plissé qui se cachait au creux de ses belles fesses que j’écartai doucement pour libérer l’accès à cette rondelle que j’avais trop envie de titiller.
J’humectai mon index et commençai à masser sa chair intime. Loin d’opposer une résistance, celle-ci se détendit. Sur un coup de reins de sa propriétaire, j’enfournai ce doigt explorateur qui entreprit une pénétration au plus profond de ce cul volcanique, au rythme des ondulations que Caroline donnait à son bassin. J’accentuai ainsi cette fouille en règle avec un doigt puis deux qui, petit à petit, élargirent doucement son sphincter qui s’ouvrit de plus en plus sous la caresse.
Caroline s’évertua sur ma queue raide, mais je ne comptais pas lui donner ma sève aussi vite. Je voulais encore prolonger ce pur moment de bonheur. Abandonnant son cul, je la saisis aux hanches, la relevai légèrement au-dessus de moi et la guidai doucement vers ma queue dressée.
Ne voulant pas la brusquer, je la fis se retourner face à moi, je positionnai ma queue sur son sexe déjà trempé et elle s’empala doucement, guidant elle-même sa pénétration jusqu’au plus profond d’elle, son pubis se cognant au mien, ses mains s’appuyant sur mon torse, ses seins empaumés par mes mains.
Fiché sur moi, son bassin se mit à onduler doucement, ses muscles intimes se contractant et se relâchant sur ma queue, me procurant ainsi une sensation de massage et d’aspiration que je n’avais jusqu’alors jamais ressentie !
Reprenant l’initiative, et ayant trouvé ses points sensibles, je lui retravaillai les tétons d’une main pendant que de l’autre, je massais son clitoris qui se tendit et durcit sous les caresses de mes doigts.
Ce combat devint inégal. Elle me chevauchait, accélérait le rythme de ses mouvements sur ma queue tendue pendant que je lui butinais les seins de mes doigts, de ma bouche, ne sachant pas qui allait faire jouir l’autre en premier.
Fine mouche, elle se retira de moi doucement, se retourna sur le lit, se mit à genoux, écarta les jambes, me présentant sa chute de reins et une vue à damner un Saint.
Sa main partit dans son sexe trempé, ses doigts le fouillèrent et humidifièrent sa raie qu’elle ouvrit à deux mains, lubrifiant aussi l’entrée de son petit trou. Doucement, j’approchai ma queue luisante de sa mouille vers sa rondelle, présentai mon gland et lentement j’appuyai mon pieu sur son anus qui, bien lubrifié, se détendit et s’ouvrit en m’absorbant petit à petit.
Mon gland hyper lubrifié, mais néanmoins plus gros que mon index, se fraya doucement un chemin au travers de ses chairs intimes et d’un coup de reins venant d’elle, passa le dernier rempart des ses muscles maintenant distendus et à la mesure de mon sexe qu’elle absorba jusqu’à la garde, sans que cela ne la gêne outre mesure.
Planté en elle, mes mains passèrent de ses hanches à ses seins que j’empaumai tendrement, la forçant à se redresser. Nichant ma tête dans son cou, mon corps épousant le sien, nos sueurs respectives nous collant l’un à l’autre, je lui mordis doucement l’oreille.
Lentement, j’entamai un doux va-et-vient dans ses reins, qui se cambrèrent de plus en plus sous mes poussées. Elle se mit sur un avant-bras, les fesses relevées. Sa main partit vers sa chatte et lui donna du plaisir tandis que je lui pilonnais le cul. Durant de longues minutes, je la pénétrai ainsi, mélangeant les va-et-vient lents et les coups de boutoir qui lui arrachaient des petits cris. Sa main allait de plus en plus vite sur et au travers des lèvres de son sexe, caressant de ses doigts trempés de son jus mes couilles qui cognaient contre ses fesses ouvertes.
Sentant mon plaisir monter, je ressortis de ses reins, glissai ma queue raide dans sa chatte trempée, m’enfonçai violemment en elle, crochant mes mains à ses hanches. D’un seul coup, je me vidai à grandes giclées dans ce sexe chaud et humide, sentant le corps de Caroline se contracter, puis se détendre pendant qu’une longue plainte rauque sortait du fond de sa gorge, se transformant en un feulement doux et profond, puis en un long soupir.
Sans un mot, quelques instants plus tard, nos corps basculèrent sur le côté, restant emboîtés l’un dans l’autre, voulant savourer cette fusion. Puis ma queue perdit rapidement de sa vigueur, nos sexes se séparèrent. Caroline vint se blottir dans mes bras, se lova au creux de mon corps, effleurant du bout des ses lèvres la pointe d’un de mes seins, m’administra un long baiser, et me susurra à l’oreille :
Et de m’avouer que depuis deux ans, elle se livrait, seule, le soir dans son lit, à ses doigts et à quelques sex-toys qu’elle avait achetés sur Internet, mais que rien ne valait le plaisir à deux.
Je ne voulais pas trop la choquer, et surtout de ce fait, la perdre. Je ne pouvais donc pas tout lui dire tout de suite : mes habitudes sur certaines plages du littoral où le nudisme se transforme souvent en partie de cul dans les dunes ou dans les bois jouxtant les plages ; mes sorties et rencontres dans les saunas mixtes ou homos de notre grande ville ; les rencontres dans un club privé fréquenté par des travestis… Je préférais lui cacher pour l’instant ce côté de mon personnage, et lui en parler progressivement pour voir si elle adhérerait à mes pratiques.
Bouger, il faudrait être fou ! Une femme délaissée, avide de sexe, pas coincée, mignonne de surcroît… Je ne savais pas où cela allai nous mener, mais en tout cas, je ne comptais pas laisser passer une telle occasion qui se présentait juste à portée de mains, d’autant qu’en dehors de mes rencontres en club ou au sauna, rien de régulier ne se présentait, juste des histoires d’une après-midi ou d’un soir.
Caroline arriva avec un plateau, deux verres remplis, un seau à glaçons et quelques amuse-gueules.
Nous savourâmes le doux liquide en silence, les yeux dans les yeux, et je la vis avaler d’un seul coup la fin de son verre avec les glaçons avant de se ruer sur mon sexe au repos qu’elle emboucha avec douceur. Le contact de ses lèvres chaudes, de l’alcool et des morceaux de glace me fit frissonner. Ce chaud et froid fit réagir mon membre. Sa langue s’enroula autour de mon gland. Ses lents allers-retours sur ma queue la tendirent de nouveau et elle reprit vigueur. Je n’allais pas pouvoir résister longtemps à ce traitement divin !
Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle m’enjamba, et d’un seul coup, s’empala sur mon sexe dressé, me prenant les mains, les emprisonnant dans les siennes. Lentement, son bassin commença à onduler, entamant une danse lente autour de ma queue qui était enfoncée au fond de son vagin. Puis, petit à petit, elle commença un lent va-et-vient, se soulevant en cadence, à son rythme qui commençait à s’accélérer progressivement. Je sentis ses cuisses se contracter et m’enserrer le bassin.
Un long feulement sortit de sa gorge, je sentis son sexe dégouliner, ses muscles intimes se contracter. Elle se releva et se laissa tomber de tout son poids sur moi qui jouissais et l’inondais de longs jets. Elle poussa un cri à réveiller tout l’immeuble.
Son orgasme fut fulgurant. Je la sentis frissonner de tout son corps. Elle se laissa glisser sur moi, ses deux seins aux pointes tendues s’écrasant doucement sur ma poitrine. Elle m’embrassa à m’étouffer, ses mains m’enlaçant la nuque.
Toujours soudés l’un à l’autre, nous basculâmes sur le côté, épuisés par cette longue et douce cavalcade, et d’un seul coup, nous endormîmes, repus…
Love me, please, love me, je suis fou de vous…
Non, je ne rêvais pas, j’entendais bien Polnareff. Je sentis contre mon ventre deux fesses chaudes et fermes qui commençaient à bouger. Un de mes bras enserra une taille, la main qui le prolongeait caressa un ventre plat pendant qu’une tête se nichait au creux de l’autre bras…
Joignant le geste à la parole, elle prit ma main et la glissa de son ventre à son petit buisson, l’emmenant vers son sexe que je sentis de nouveau humide, ondulant en même temps ses fesses au creux de mon ventre, ce qui me fit bander rapidement.
J’avais encore envie de cette femme qui m’avait tout donné sans réfléchir, sans fausse pudeur, qui avait su me faire jouir tout en jouissant elle-même, me donnant plus que son intimité, s’offrant à mes caresses, à ma queue, à ma bouche, le tout sans aucune retenue.
Lentement, elle se retourna, se mit sur le dos, glissa un oreiller sous ses reins, écarta lentement ses jambes, me dévoilant son sexe déjà luisant de son jus, aux lèvres bien ourlées, son clitoris gorgé de sang et déjà saillant…
Doucement, je me glissai entre ses jambes, entrai dans son sexe bouillant et m’enfonçai en elle. Ma queue cognait au fond de son intimité, tout de suite enserrée par ses muscles vaginaux.
Caroline poussa un long soupir, enserra et noua ses jambes autour de mes reins. Ses bras m’enlacèrent, m’emprisonnèrent. Ses seins aux pointes tendues s’écrasaient sur ma poitrine. Elle m’embrassa avec douceur, sa langue s’insinuant entre mes lèvres, et elle commença à faire onduler ses hanches.
Après les rythmes endiablés de nos ébats passés, nos corps avaient besoin de tendresse, d’apaisement, pas de longues et brusques chevauchées, mais de douceur, de lenteur.
Je pris un plaisir fou à la pénétrer lentement, à me retirer en douceur, luttant contre ses muscles intimes qui ne voulaient pas lâcher mon sexe qui, sous la pression, grossissait, envahissant son ventre, épousant toutes ses parois intimes.
Nous étions toujours soudés l’un à l’autre, juste animés par ce doux et lent va-et-vient quand je sentis Caroline se tendre, ses jambes se verrouillant autour de mes reins, ses ongles me griffant le dos et les fesses. Sa respiration devint saccadée, sa tête s’agita de droite à gauche, ses lèvres étaient pincées, son sexe coulait de son jus chaud et parfumé.
Ne pouvant pas me retenir plus longtemps, je me répandis en elle, mon foutre remplissant son vagin, se mélangeant à sa mouille, son pubis se collant au mien, ses jambes nouées m’emprisonnant, ne voulant pas me relâcher.
D’un coup de reins, Caroline me fit basculer sur le coté, me libéra et se précipita sur ma queue qui commençait à débander, l’engloutit avec volupté. Sa langue agile me lécha, me nettoya, tira de mon corps les dernières gouttes de mon sperme.
Elle se redressa, se glissa sur moi, m’embrassa à pleine bouche, mélangeant nos salives, mon sperme et son jus odorant.
J’eus du mal à la laisser seule pour tout remettre en ordre, mais elle me tendit gentiment mes vêtements pour me rhabiller et me poussa vers la porte.
Elle m’embrassa une dernière fois très langoureusement et je me retrouvai sur le palier, gardant dans ma bouche le goût du fruit de nos étreintes.