n° 12384 | Fiche technique | 16160 caractères | 16160 2725 Temps de lecture estimé : 10 mn |
15/03/08 |
Résumé: Marie-Claude organise les activités sexuelles de ses deux futurs amants et augmente son emprise sur Bébert. Elle lui accorde un petit plaisir. | ||||
Critères: f fh hplusag hsoumis fdomine revede voir exhib entreseins fgode nopéné | ||||
Auteur : Mariechriss |
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En rentrant chez Bébert elle rencontre à nouveau Kamel qui lui fait un grand sourire. Ses yeux brillent de plaisir. Marie-Claude est un peu intriguée.
Marie-Claude repart en sifflotant, ce Kamel est un bon étalon, la semaine prochaine on va s’amuser tous les deux. Elle rentre chez Bébert pour préparer la soirée avec son esclave !
La maison sent bon, Bébert a fait du bon travail, tout est rangé, nickel. Marie-Claude est contente et se dit qu’elle va développer cette qualité pour en faire un véritable homme d’intérieur. Comme cela, elle aura tout le temps de s’occuper d’elle. Un vrai plan bonheur, là.
Elle monte dans sa chambre et ne peut retenir un petit cri de surprise. Bébert a vraiment fait les choses bien et, outre le lit fait, ses habits repassés et rangés, un petit bouquet de fleurs trône sur sa table de nuit. Décidément, il aura droit à une petite récompense ce soir. Pas de fouet, hihi !
Elle se déshabille et se regarde longuement dans la glace. Elle passe ses mains sur son corps en s’arrêtant longuement sur ses seins et elle commence à haleter doucement. Sa chatte se mouille et elle a une envie folle d’une queue. Putain, même Christian je me ferais, même après tout ce qu’il m’a fait. Bientôt un mois que personne ne m’a défoncé la chatte, vite il faut que je trouve un gode.
Elle redescend en catastrophe et se dirige toute excitée vers la cuisine. Elle fouille les tiroirs et tombe en arrêt devant un pilon en bois d’olivier. La taille est un peut grosse mais quand il y a urgence…
Elle remonte dans sa chambre et, dans la course, ses seins se balancent, ce qui a le don de l’exciter aussi. Elle se jette à plat ventre sur le lit et glisse le gode entre ses cuisses. Le contact du bois lisse, dur et froid lui crée une onde de plaisir qui la traverse du bas-ventre au cerveau en un éclair fulgurant.
Ahh que c’est bon, vite je me l’enfonce, je m’empale dessus. Merde, c’est gros ce machin. Ahh oui ouiii, ça y es je l’ai, il me prend le salop, oui baise-moi, défonce-moi, ouii ouiii vas y Kamel, vas-y Christian, non pas toi, mais plutôt Bébert, ouiii.
La danse continue et Marie-Claude se branle de plus belle. Son vagin s’est parfaitement adapté à l’objet et maintenant elle le fait aller et venir à son rythme, faisant monter son plaisir lentement en s’arrêtant quand il y en a trop, en accélérant quand elle le sent baisser. Son corps vibre de partout. La jouissance monte, monte dans son bas-ventre, la boule lumineuse va exploser, elle grandit et le gode continue son va-et-vient.
Oui que c’est bon, jamais un mec peut me donner ça, je vais jouir, ouiii encore, oui ah ahh ouiii aah aaahaha ouiii AAHHH.
Son corps est soulevé par une jouissance énorme qui la remplit complètement. Elle vibre, se tord sur ce gode en bois qui jamais ne débande comme ça arrive aux meilleurs amants. À plat ventre, elle continue d’en profiter et loin de s’apaiser, elle devient frénétique sentant monter en elle un deuxième orgasme tout aussi fort qui la prend dans les minutes qui suivent son premier. Elle vibre, gémit, son lit couine sous l’effort mais elle s’en fout. Elle veut jouir et elle jouit comme cela ne lui était pas arrivé depuis longtemps.
Plusieurs minute, heures, siècles, elle ne sait plus, elle s’écroule en gémissant sur le lit, épuisée, heureuse, le gode toujours enfoncé en elle. Elle s’endort comme cela et c’est l’appel de Bébert qui la réveille.
Elle se secoue péniblement et émerge d’un sommeil si profond qu’elle ne se souvient que de ce bonheur qui l’a envahi, submergé, terrassé.
Elle veut bondir du lit mais étouffe un gémissement, le gode est toujours là mais son vagin s’est un peu tétanisé dessus et cela lui a fait mal.
Elle file sous la douche avec son gode, et elle s’imagine être un mec. Cette pensée la fait sourire mais lui donne aussi une idée. Elle se voit avec son gode en train d’enculer Bébert. Oui, ça c’est une idée. Sa chatte vibre un peu ce qui a le don de décoincer le gode avec un petit bruit de sussion. Elle se précipite sous la douche pour se nettoyer un peu, se réveiller surtout et se faire une beauté du diable.
Elle redescend une heure après, moulée dans une jupe noire sans rien dessous et un chemisier jaune pâle sans rien dessous aussi. Elle s’avance vers Bébert qui la regarde la bouche ouverte.
Bébert part en courant et bientôt la douche froide lui coule dessus. Il se frictionne, se lave à fond et ses mains glissent sur sa queue que l’eau froide a passablement détendue. Elle reprend vite de la vigueur mais il s’arrête aussitôt. Non il ne doit pas, il jouira en défonçant la chatte de Marie-Claude seulement. Euh, à moins que Marie-Claude ne le force à se branler. C’est elle qui décide.
Cette pensée l’agace et lui plaît aussi. Il est ensorcelé. Tant pis, c’est tellement bon aussi. Cette jeune fille tombée du ciel comme qui dirait, il la veut mais il sera patient. Il attend son heure. Peu après, il sort de la salle de bain, ragaillardi par sa douche froide ce qui, après tout, n’était pas une si mauvaise idée.
Marie-Claude regarde son Bébert, propre comme un sou neuf, non comme un Euro c’est plus à la mode. Il a mis des habits propres et bien repassés, par lui-même d’ailleurs.
Ce n’est pas fait pour le rassurer, car il a le sentiment qu’elle peut le faire attendre comme cela des mois, voire des années.
Bébert est écroulé, il n’avait jamais imaginé que Marie-Claude pouvait partir, surtout pour un autre. Dans sa grande naïveté, il avait imaginé la garder pour lui tout seul. Mais c’est vrai qu’une belle fille comme elle ne devrait pas toujours se contenter d’un guignol comme lui. Il est désespéré.
Il s’approche d’elle, la tête basse, ses envies sont toujours là, mais la branlette va rester son pain quotidien. Marie-Claude se colle à lui, ce qui a le don de lui rendre le sourire immédiatement. Elle se frotte à lui mais, dès qu’il veut la toucher, elle se rebiffe et le repousse.
Elle reprend ses caresses, du body body tout habillé. Elle sent que Bébert s’excite et elle voit la bosse de la braguette s’amplifier. Elle continue en dégrafant deux boutons de son chemisier ce qui laisse voir largement ses deux seins si beaux et si doux à caresser. Elle ouvre encore son chemiser et finit par le retirer sous le regard médusé de Bébert. C’est une première. Il bande comme un fou et sa queue lui fait mal. Marie-Claude le sent mais elle continue à l’exciter en passant ses seins partout sur le corps de Bébert. Devant, derrière, c’est une ronde sans fin qu’elle achève à genoux devant sa braguette.
Marie-Claude, lentement fait glisser la fermeture éclair du pantalon et le slip jaillit, poussé par une tige monumentale. Marie-Claude est aussi excitée mais heureusement qu’elle s’est branlée cet après-midi sinon elle serait déjà à cheval sur l’engin de Bébert. Elle essaye d’attraper la queue de Bébert mais c’est difficile tellement tout ça est serré dans le jean. Alors, elle déboucle la ceinture et fait glisser le pantalon sur les genoux de Bébert. Elle rigole intérieurement : au moins il ne pourra pas me courir après si je me sauve. Les mains de Bébert caressent les cheveux de Marie-Claude et elle le laisse faire. Elle fait glisser le slip bleu et dégage le sexe turgescent avec son extrémité congestionnée.
Lentement, elle passe ses lèvres dessus, ce qui fait gémir Bébert. Sa langue fait le tour du gland doucement en s’arrêtant chaque fois qu’elle sent que Bébert va pousser sa queue contre ses lèvres pour lui envahir la bouche. Ce n’est pas ce qu’elle a prévu.
Elle reprend ses caresses buccales en mouillant le sexe avec sa salive et le prend doucement dans sa bouche. Il veut aller vite mais, de sa main gauche, elle l’enserre comme un étau et freine toute velléité d’enfoncement trop rapide et trop profond. Sa bouche est un pinceau d’artiste qui court sur une toile, des gouttes de jus perlent sur le gland et elle les lèche avec gourmandise.
Et elle continue ses caresses avec une langue de plus en plus incisive. Sa bouche engouffre le sexe dans presque toute sa longueur mais il est trop gros pour l’avoir en entier. Elle insiste mais, non trop c’est trop.
Et elle lâche le sexe.
Et il essaye de l’attraper pour la prendre de force s’il faut. Mais il a oublié son pantalon et il se prend les pieds et se rattrape de justesse au bord du meuble, ce qui a le don de le calmer un peu. Marie-Claude avait prévu le coup et est déjà debout à trois mètres de lui.
Bébert retrouve le sourire et s’exécute. Son sexe reprend de la vigueur à vue d’œil et il est bientôt au même niveau qu’avant l’incident. Marie-Claude reprend elle aussi sa position à genoux devant lui et elle prend ses deux seins entre ses mains. Elle approche lentement du sexe tendu et commence à le caresser avec ses deux seins. Petit à petit, elle l’emprisonne entre les deux mamelons et commence un lent va-et-vient.
Bébert sent son cœur qui accélère et sa respiration devient haletante.
Marie-Claude serre davantage ses seins sur le sexe si doux si chaud, elle aussi sent monter en elle des frissons de plaisir. Le sexe de Bébert est parcouru par des à-coups et la jouissance n’est pas loin. Alors Marie-Claude accélère le mouvement et Bébert se met à gémir.
De longs jets de sperme jaillissent de la queue de Bébert et se répandent sur les seins, sur la poitrine de Marie-Claude qui frémit de tout son corps. Ce n’est pas une vraie jouissance mais un flash qui est remonté le long de sa colonne vertébrale. Elle n’avait jamais connu pareille sensation mais elle ne veut rien laisser paraître sinon il pourrait en tirer profit.
Marie-Claude s’est relevée et est allée s’allonger sur le canapé. Bébert s’approche et se met à genoux à son tour. Sa langue commence à se promener sur le buste de Marie-Claude avalant une à une les gouttes de sperme qui ornent les seins de Marie-Claude. Il lui faut un bon quart d’heure pour mener sa tâche à bien et Marie-Claude en a profité pleinement avec plein de petits frissons qui ont parcouru son corps et notamment son clitoris, quand la langue de Bébert s’attardait sur ses tétons.
Mais il n’a rien vu et n’en a pas profité pour la faire vibrer.