n° 12296 | Fiche technique | 20316 caractères | 20316 3391 Temps de lecture estimé : 12 mn |
17/02/08 |
Résumé: Bébert est mis au régime sec mais Marie-Claude ne s'ennuie pas avec Kamel et Patricia. | ||||
Critères: fh ff hplusag inconnu essayage hsoumis fdomine hmast fellation cunnilingu nopéné | ||||
Auteur : Mariechriss |
Épisode précédent | Série : Marie-Claude, jeune fille au pair Chapitre 12 / 16 | Épisode suivant |
La nuit a été bonne pour les deux amants, si on peut les appeler ainsi. Marie-Claude a particulièrement bien dormi et tout en se réveillant, elle pense à ses deux amants d’hier. Le jeune Kamel qui promet pour la quantité, la qualité, il faudra qu’elle lui apprenne beaucoup de choses. Mais il a l’air assez doué à vrai dire. Le vieux Bébert qui bande pour elle et sait si bien honorer le corps des femmes. Lui aussi, elle doit lui apprendre la patience, à faire monter le plaisir sans le faire aboutir brutalement mais plutôt le faire monter doucement, gentiment jusqu’à l’éclosion finale en une gerbe de sensations qui vous envahit de la tête aux pieds en passant par là où c’est particulièrement bon.
Machinalement, Marie-Claude a passé sa main sur sa chatte et cela l’a fait sursauter, elle a un peu mal mais ça n’a pas l’air bien grave, un coup de queue et c’est fini. Oui, mais qui. Elle s’est refusée à ses deux amants et, pour le moment, il ne lui reste plus qu’un gode. Mais… point de gode à l’horizon.
Elle pousse un grand soupir et, comme elle a envie de pisser, elle se lève et se dirige vers les toilettes. En passant, elle voit Bébert qui dort encore, la petite queue entre les cuisses velues et fortes. C’est vrai qu’il joue au rugby. À ces mots, Marie-Claude rêve, une idée est en train de germer dans sa tête pour aider son Bébert. Oui, ce serait bien pour lui… et pour moi aussi d’ailleurs, se dit-elle.
Et elle s’enferme dans les toilettes en souriant. Cinq minutes après, elle est sous la douche en train de se frotter et de faire disparaître les dernières traces de la nuit. Elle enfile le peignoir de Bébert et va le retrouver dans sa chambre pour le réveiller.
Elle hésite, coup de ceinturon ou coup de langue ? Finalement, elle opte pour un léger suçage de queue car, après tout, elle aime aussi ce genre de petit exercice matinal.
Bébert est vite dans un demi-sommeil et sa verge prend rapidement des proportions qui rendent l’exercice plus délicat. La bouche de Marie-Claude est juste à la bonne taille mais il ne faudrait pas beaucoup plus pour l’étouffer. Quand Marie-Claude sent la queue frémir, elle abandonne sa victime en lui intimant l’ordre de se lever et d’aller préparer le café et le petit déjeuner.
Bébert s’approche face à Marie-Claude, la queue en avant pour la provoquer.
Ce qu’il fait avec grâce malgré un poids certain. Marie-Claude sourit mais reste sérieuse néanmoins. Elle défait la corde, lui enlève le bandeau et se recule pour l’admirer au réveil.
Bébert passe aussi aux toilettes et part rapidement vers la cuisine d’où, bientôt, monte une agréable odeur de café. Pendant ce temps, Marie-Claude finit sa toilette et s’habille légèrement c’est-à-dire sans le moindre sous-vêtement et les seins totalement libres de se balader sous son tee-shirt. Bébert apprécie mais il doit faire le service. D’office, il s’est remis à sa petite table et Marie-Claude approuve d’un hochement de tête. Il n’a pas encore gagné le droit de manger avec Marie-Claude. Le petit déjeuner fini, il part faire la vaisselle.
Bébert est parti faire son ménage et Marie-Claude remonte pour se faire une beauté à damner un saint ou une sainte ! Elle y passe plus d’une heure, ce qui a laissé à Bébert largement le temps de faire ce qu’il avait à faire. Quand Marie-Claude redescend, Bébert a juste fini son ménage.
Marie-Claude, moulée dans un jean blanc et ses seins couverts par un sweat bleu très moulant sort pour une longue ballade en liberté, sans but précis, si ce n’est acheter des slips d’homme qui soient de vrais slips pas des culottes.
Ah, la liberté c’est bon, mais avec un peu d’argent en poche. Bébert n’a pas pu lui en donner beaucoup mais elle est contente d’avoir ce peu. Elle n’a jamais été riche, alors mille balles en poche pour une journée, c’est royal.
La main de Marie-Claude s’est portée sur la braguette du pantalon de Kamel et elle fait glisser la fermeture éclair.
La main de Marie-Claude lui serre la queue et la tord légèrement.
La main de Kamel va-et-vient sur sa queue qui durcit rapidement pour atteindre des proportions tout à fait convenables. Il a écarté ses cuisses pour augmenter son plaisir et maintenant plus rien ne compte. Il se branle en pleine rue et rien ne peut l’arrêter. Marie-Claude le regarde dans les yeux et l’encourage par des petits mots doux.
Marie-Claude se retourne et part d’un pas allègre laissant le pauvre Kamel qui, entendant une voiture arriver, range précipitamment son matériel pour ne pas être accusé d’exhibitionnisme. Il repart chez lui un peu fatigué, un peu perdu par cette inconnue à qui il obéit. Il a l’impression d’avoir été envoûté et il n’aime pas ça. D’un autre côté, il la veut tellement cette jeune femme qu’il est prêt à tout. Alors une branlette dans la rue pourquoi pas. Là-dessus, il rentre chez lui reprendre des forces.
Marie-Claude, quant à elle, a pris un bus qui la dépose au centre commercial où elle devrait trouver son bonheur. Il n’y a pas grand monde dans le centre et elle peut prendre son temps pour flâner, essayer des vêtements pour elle et en acheter deux ou trois qui plairont sûrement à ses nouveaux amants si « distants » pour le moment du moins.
Dans une boutique de sous-vêtements, une vendeuse la serre de près et la suit jusqu’à la cabine dont elle tient le rideau pendant l’essayage mais son regard est sur Marie-Claude qui se laisse admirer. Sa chatte commence à s’ouvrir car la vendeuse est belle et bien fournie côté seins. Elle regarde Marie-Claude maintenant et est même rentrée dans la cabine pour vérifier le soutien-gorge. Son manège est clair, tellement clair que Marie-Claude se laisse faire car elle a des envies qui ruissellent entre ses cuisses et après tout cette vendeuse est bien belle et semble avertie des choses de l’amour entre femmes.
D’un geste rapide, elle a passé ses bras autour de Marie-Claude pour défaire le soutif. Elle le dégrafe et ses mains suivent les courbes de Marie-Claude pour finir par emprisonner les deux mamelons, ce qui fait gémir Marie-Claude. Elle aime ça et elle était en manque de ce côté-là. La vendeuse l’a bien compris et elle précise ses caresses tout en voulant embrasser Marie-Claude qui, ma foi, ne résiste pas bien longtemps à ses assauts. Les bouches des deux femmes se mélangent et les mains se cherchent. La vendeuse est vite débordée par la fougue de Marie-Claude et elle se retrouve rapidement torse nu aussi. Les deux femmes se frottent l’une contre l’autre, leurs seins se mélangeant et s’écrasant l’un l’autre dans un joyeux concert de gémissements.
La vendeuse se dégage brusquement et regarde derrière elle. Elle a entendu du bruit. Une cliente est entrée. Elle se rhabille en vitesse et sort de la cabine avec un sourire très commercial. Pendant ce temps, Marie-Claude remet de l’ordre dans ses idées et décide d’attendre la vendeuse, mais à sa manière. Elle enlève son jean, ses chaussures et elle attend la vendeuse de pied ferme. Quelques minutes plus tard, elle revient pour continuer ce qu’elle avait commencé avec cette cliente si avenante, mais surprise, elle reçoit un coup de poing dans le ventre qui lui coupe le souffle et la fait tomber à genoux. Deux mains plongent dans ses cheveux et les serrent violemment. Sa tête est tirée en arrière et elle voit les seins de Marie-Claude au-dessus d’elle : magnifiques, ils sont magnifiques.
Marie-Claude lui parle doucement.
En disant cela Marie-Claude a poussé la tête de la vendeuse entre ses cuisses et commence à apprécier la douceur et l’efficacité de sa langue. Elle va-et-vient sur la chatte ruisselante de Marie-Claude et se désaltère à cette source inépuisable. Marie-Claude tremble d’excitation et secoue la tête qu’elle tient à pleines mains.
Un dernier spasme a secoué le corps de Marie-Claude alors que la vendeuse bouge lentement sa tête car la position imposée par Marie-Claude n’était pas des plus confortables. Marie-Claude s’est appuyée contre le mur de la cabine et regarde la vendeuse en souriant.
Marie-Claude sort de la cabine et part finir ses achats dans le centre commercial. Elle prend quelques slips pour Bébert, des chemisiers pour elle et, comme il est presque treize heures elle retourne vers le magasin de sous-vêtements retrouver son amante si douée. Elle l’aperçoit, attendant à la porte de la boutique, un peu inquiète de savoir si elle va venir. Quand elle voit Marie-Claude, un large sourire éclaire son visage. Elle s’avance vers Marie-Claude, lui prend la main et l’entraîne chez elle pour une pause casse-croûte un peu particulière.
Les escaliers qui conduisent au petit studio de Patricia sont vite montés et elles y rentrent rapidement. D’un geste, Patricia prend Marie-Claude dans ses bras et l’embrasse avec passion.
Marie-Claude gémit et se croit revenue avec Joana. La même façon de caresser les seins et de faire monter le plaisir. Patricia est une experte et Marie-Claude n’arrive pas à reprendre le dessus. Doucement, lentement, Patricia s’empare de son corps, de son esprit et commence à la branler. Le plaisir monte dans les reins de Marie-Claude et, malgré elle, elle se met à suivre les doigts de Patricia, à les accompagner dans le mouvement de caresses. Son bas-ventre est en feu, sa chatte est mouillée et le désir l’envahit. Patricia est en train de la violer somme toute, mais elle aime ça et se laisse faire. Elle s’abandonne complètement au plaisir qui monte en elle et qui, du plus profond de ses tripes, est en train de générer un orgasme d’une rare intensité. Celui-ci la prend, debout, au beau milieu du salon et Patricia se met à rire.
En disant cela Patricia se déshabille et se retrouve nue devant Marie-Claude qui en fait autant. Les deux femmes roulent sur le lit et se mélangent dans un corps à corps. Mais Patricia est plus musclée que Marie-Claude et elle l’épuise méthodiquement. Elle la force petit à petit à s’agenouiller entre ses cuisses jusqu’à ce que sa bouche se retrouve sur son sexe et, que, vaincue, elle renonce à toutes velléités pour se focaliser sur ce sexe si beau, si mouillé. Elle s’en empare doucement puis de plus en plus goulûment jusqu’à l’avoir entièrement dans sa bouche.
Elle suce les petites lèvres et petit à petit glisse vers le clitoris. Elle le lèche, le suce, le triture entre ses lèvres. Patricia suit le rythme des caresses buccales de Marie-Claude et bientôt rentre en transe. Marie-Claude la maintient au bord de l’orgasme de longues minutes jusqu’à ce que sa partenaire lui demande de la faire jouir. Elle n’en peut plus d’attendre le plaisir suprême, l’orgasme libérateur, l’explosion finale, celui qui vous rend si heureuse et si détendue après.
Le corps de Patricia est parcouru de grandes secousses pendant plusieurs minutes et ses cuisses se serrent convulsivement. Elles sont tellement serrées que Marie-Claude ne peut même plus la branler, pourtant elle aimerait bien mais pas d’accès possible.
Petit à petit, elle se calme et se blottit dans les bras de Marie-Claude pour des câlins tendresses que les femmes aiment tant. Elles se serrent l’une contre l’autre et s’endorment d’un seul coup. Dix minutes après, elles se réveillent et se regardent en souriant. Aucune ne parle mais elles se comprennent très bien. C’est Marie-Claude qui craque la première en suggérant de faire cuire les pizzas.
Elle prend les pizzas dans le frigo et les fourre dans le micro-onde. Le ronronnement de l’appareil et le ding final les surprennent dans les bras l’une de l’autre en train de s’embrasser. Mais la faim est la plus forte et les deux femmes s’installent à table devant une pizza chacune et une bonne bouteille de vin. La conversation tourne autour de la mode et des tendances de l’année. Après le café, la vaisselle, Marie-Claude remettrait bien ça mais Patricia l’arrête car elle doit reprendre le travail dans un quart d’heure. Juste le temps d’une douche, d’un coup de peigne et elle est repartie.
Marie-Claude se recouche, une petite sieste lui fera le plus grand bien et, ce soir, elle aura un avantage sur son Bébert qui, lui, aura travaillé tout l’après-midi. Quand elle se réveille, il est déjà quatre heures passées. Mais cela n’a pas grande importance. La douche la réveille, et le jet d’eau qu’elle se passe longuement entre les cuisses réveille des sensations un peu assoupies. Elle se calme en se disant qu’elle en aura besoin ce soir sans doute. Lavée, habillée, maquillée, elle sort et se dirige vers le centre commercial. Là, elle rend les clefs à Patricia et, après un dernier baiser volé derrière un rayon plus haut que les autres, elle se sauve pour rentrer chez Bébert.