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Temps de lecture estimé : 8 mn
14/04/08
Résumé:  C'est l'été, et on nous envoie une étudiante au travail pour renforcer les équipes pendant les congés. Je m'occupe donc de lui présenter l'entreprise, et me charge de sa formation. Mais je ne me doutais pas de la suite...
Critères:  fh jeunes extracon collègues
Auteur : Bestor  (je suis un debutant en ecriture mais j'aime partager)

Série : Une stagiaire pas comme les autres

Chapitre 01 / 03
Ma rencontre avec une jeune étudiante pas si farouche que ça

Ma rencontre avec une jeune étudiante pas si farouche que ça



Nous sommes en juin 2007, il fait chaud, c’est les vacances.

Je travaille dans une entreprise de finance, qui se charge du conseil clientèle. Je suis sur une antenne de trois personnes et, vacances obligent, je me retrouve seul ou presque. Effectivement, on m’a envoyé une jeune fille qui est en BTS action commerciale et qui fait un stage tout l’été dans le cadre de ses études.


Je suis chargé de lui donner les bases afin qu’elle puisse m’aider à tenir l’agence.


Le premier jour, elle arriva à huit heures et je lui fis faire le tour de l’agence afin qu’elle se familiarise avec son nouveau terrain de jeu. Elle écoutait attentivement et semblait motivée. Je lui expliquai que j’allais l’accompagner la première semaine, afin qu’elle s’acclimate et qu’elle acquière les bases lui permettant ensuite de se débrouiller seule. Je pourrais alors faire mon travail de mon côté.


La première semaine se passa normalement et elle se sentit prête à se débrouiller seule. Je décidai donc de la laisser faire et de m’atteler à mes propres tâches.


La deuxième semaine se passa aussi bien, et j’appris à la connaître. Nous mangions ensemble le midi puisque nous habitions tous les deux trop loin pour rentrer chez nous.


Elle avait dix-neuf ans, habitait un petit studio près de son école, et elle était célibataire. Pour ma part, j’avais 26 ans, j’étais en couple depuis déjà neuf ans et, même s’il existait des difficultés dans mon couple, j’aimais ma femme tendrement.


Au fur et à mesure, nous commencions à nous apprécier, car nous aimions tous les deux l’informatique, la finance et les sports mécaniques.


Quelques jours passèrent et, pour la remercier du travail accompli, je l’invitai au restaurant le midi afin de sortir un peu du boulot. Nous prîmes un apéro léger et mangeâmes dans un petit restaurant au calme avec une cuisine simple.


Le repas se passa normalement mais, je commençai à la découvrir autrement qu’en une collègue de travail, et vis la femme en elle.


Elle était belle, brune avec des cheveux longs et lisses, des yeux vert foncé et un sourire merveilleux. Elle respirait la simplicité et le naturel. Peut-être s’aperçut-elle de mon émoi car elle me sourit différemment et me lança un regard qui laissait supposer que je ne lui étais pas indifférent. Mais il était l’heure de reprendre le travail et nous revînmes sur terre.


En fin de journée, nous fîmes un débriefing et abordâmes une discussion qui sortait du cadre du travail. Le temps passa. Je décidai donc de mettre un terme à cette discussion, pour que nous rentrions chez nous.


Le lendemain, j’appris qu’il allait y avoir une réunion d’information qui se déroulerait ce week-end, et que cela durerait deux jours, dans un gîte, avec une dizaine de personnes. Je proposai à Lucie - prénom de la stagiaire - de m’accompagner afin qu’elle voie bien ce qu’était le monde du travail. Elle accepta.


Le week-end arriva. Je passai chercher Lucie chez elle, après avoir laissé ma femme à la maison, non sans avoir tenté de la combler. Mais elle avait refusé.

Nous arrivâmes donc sur le site, et assistâmes à une première réunion de présentation. La journée passa et on nous donna quartier libre à partir de 17 heures.


J’emmenai Lucie avec moi pour visiter le coin, car nous nous situions en pleine forêt et il faisait très beau pour aller se promener. Nous nous laissâmes porter à travers les bois jusqu’à ce qu’on arrive devant une de ces vieilles bâtisses abandonnées en pierre. Lucie eut très envie d’y entrer et c’est ce que nous fîmes. C’était délabré à l’intérieur mais il y avait de quoi s’installer confortablement pour pouvoir discuter.


Mais je commençai à repenser à ce repas au restaurant, à cette envie qui m’avait envahi, et que me saisit à nouveau. Nous discutâmes, elle me confia son sentiment de solitude et sa situation de célibat qui lui pesait depuis plus de six mois. À mon tour je lui expliquai mes déboires amoureux. Après une heure de discussion, je commençais doucement à succomber à la tentation et m’approchai doucement d’elle pour l’embrasser. Elle ferma les yeux et nous nous embrassâmes tendrement, laissant nous langues s’entremêler, et nos lèvres se caresser. Mais le lieu ne se prêtait guère à des choses plus sensuelles. Nous décidâmes alors de rentrer au gîte pour manger. Nous prîmes rendez-vous dans sa chambre à minuit afin qu’on ne nous surprenne pas dans les couloirs.


Il fut enfin minuit, je pris ma douche et me mis le plus en valeur possible. Je ne cessais pas de penser à ce que j’allais faire, pris entre le remords de tromper ma femme et l’excitation de faire l’amour avec Lucie. Je me faufilai jusqu’à sa chambre sans bruit et j’entrai.


Elle m’attendait, allongée sur le lit, et vêtue uniquement d’un string en dentelle qui laissait transparaître une entrejambe épilée. Elle portait un soutien-gorge assorti qui ne cachait quasiment rien. Elle était magnifique, fine au teint halé avec une poitrine ni trop grosse, ni trop petite et des formes juste là où il fallait.


Je me mis alors en caleçon, avant de la rejoindre dans le lit. Je m’allongeai près d’elle, le cœur serré et je l’embrassai à nouveau, la prenant dans mes bras. Je caressai alors doucement son dos et ses épaules et lui dégrafai son soutien-gorge. Je me reculai afin d’admirer sa poitrine ainsi libérée et, reprenant notre baiser, je fis glisser ma main sur son sein, agaçant délicatement son téton, ce qui la fit gémir légèrement.

Ensuite, je l’allongeai sur le dos et l’embrassai en descendant petit à petit le long de son corps, suçant au passage son téton durci par mes caresses. Je continuai en embrassant son ventre jusqu’à atteindre le tissu de son dernier vêtement. Là elle se cambra, afin de me permettre d’enlever le dernier rempart, ce que je fis avant de plaquer mes lèvres sur son intimité, que j’embrassai en faisant glisser ma langue sur son clitoris gonflé par le désir. Cela déclencha chez elle des ondulations de ses hanches comme si je la pénétrais déjà. Elle commença à bien s’échauffer et sa vulve lâcha quelques gouttes de plaisir, laissant dans la pièce une odeur intime et envoûtante.

Pour ma part j’avais le sexe tendu, qui me faisait presque mal maintenant. Je remontai alors vers sa bouche et l’embrassai à nouveau, ce qu’elle sembla apprécier. Elle fit glisser sa main sur mon ventre, jusqu’à attraper mon sexe entre ses mains, après l’avoir libéré du tissu devenu trop étroit. Elle me bascula sur le côté et descendit mettre mon pénis dans sa bouche, me léchant le gland en me masturbant délicatement.

Au bout d’une à deux minutes je sentis le plaisir monter en moi - cela faisait deux mois que me femme ne me faisait plus l’amour - et je prévins Lucie, qui sembla devenir plus vorace après cela. J’allais jouir et elle le sentit car elle accéléra le rythme. N’y tenant plus je lâchai mon jus intime dans sa bouche dont elle ne laissa rien échapper. En reprenant mes esprits, je me rendis compte que cette jeune fille semblait bien plus sexuellement libérée que je ne le pensais. Mon érection retomba et elle me demanda si j’avais aimé, ce à quoi je répondis :



Elle se blottit dans mes bras et recommença à m’embrasser. Nous nous caressâmes alors de nouveau et mon érection reprit de plus belle alors que j’enfonçais mon doigt dans son vagin humide. Elle saisit à nouveau mon sexe, le dressa, se mit à cheval sur moi et se laissa glisser me permettant ainsi de m’enfoncer en elle sans même avoir mis une précaution (je sais c’est pas bien mais je n’avais pas tout prévu).

Elle commença alors à monter et descendre à un rythme délicat, qu’elle accéléra doucement. Je la renversai afin de me positionner par dessus et je m’enfonçai aussi profond que possible, et avec vigueur, ce qui sembla être à son goût. Encouragé par ses gémissements, je commençai à accélérer le rythme et à me faire plus bestial puis, je m’arrêtai et l’embrassai tout en sortant doucement mon sexe de ses profondeurs.

Je l’allongeai sur le ventre, lui écartai les jambes et me remis à la lécher et à enfoncer ma langue en elle. Je me laissai même aller à lui lécher sa cavité anale, ce qui n’entraîna, chez elle, aucune protestation. Dès lors j’eus dans l’idée de la sodomiser dès que je l’aurais fait jouir avec ma langue. Ce qui ne tarda pas à arriver lorsque j’insistai sur son clitoris, après l’avoir cambrée.

Elle se mit alors à gémir très fort et à onduler fortement, et je pus désormais boire son jus comme elle avait bu le mien. Puis elle se laissa retomber.

Au bout d’une minute, je la positionnai en levrette afin de me remettre à lui lécher l’anus, ce qu’elle sembla avoir compris, car elle se cambra au maximum. Après quelques coups de langue, je lui enfonçai un doigt profondément, et commençai quelques va-et-vient puis j’ajoutai un deuxième doigt et enfin un troisième. Une fois l’anus bien dilaté, je sortis mes doigts et présentai mon sexe, que je lui enfonçai d’un seul trait au plus profond, lui arrachant des petits cris de douleur et de plaisir mêlés. Je commençai mes aller-retour, doucement, puis de plus en plus fort au fur et à mesure qu’elle s’ouvrait, jusqu’à littéralement lui exploser l’anus de mes coups de reins, encouragé par des gémissements et des mots de plus en plus châtiés, jusqu’à ce que je sente que j’allais jouir. Elle me demanda alors de ne pas relâcher mon effort, ce que je faisais jusqu’à ce que je lâche de longs jets de sperme entre ses reins, en restant fiché en elle. Après quelques secondes, je me retirai et elle se mit à me sucer, pour me nettoyer parfaitement, alors que mon liquide s’échappait encore entre ses fesses, ruisselant le long de ses cuisses.


La nuit s’acheva ainsi et je repartis me coucher dans ma chambre.


En rentrant le dimanche, avant de laisser Lucie seule chez elle, je fus invité à lui refaire l’amour et j’acceptai. Ce fût plus classique mais nous jouîmes ensemble, pendant que je laissais aller mon liquide dans son intimité vaginale, et qu’elle gémissait de plaisir.


En arrivant chez moi, je fis de mon mieux pour sembler normal, mais je sentis que ma femme se doutait qu’il y avait un problème. Surtout le soir, quand je ne tentai rien pour essayer de lui faire l’amour.


Ensuite ma relation avec Lucie s’intensifia, allant jusqu’à faire l’amour entre midi et deux heures, ou en se faisant des gâteries, et même jusqu’à rentrer tard à la maison pour profiter de ces moments où Lucie se montrait d’ailleurs de plus en plus vicieuses, limite nymphomane. Mais le remords envers ma femme était quand même là.


Mais tout ceci fera partie de la suite si mon texte vous plaît bien sûr.