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Ma relation avec ma stagiaire prend de l'ampleur

Alors que le mois de juillet arrive, ma relation avec Lucie ne cesse de s’aventurer sur des chemins toujours plus chauds, sur lesquels je ne vois aucune limite à nos petits jeux sexuels, ce qui me fait oublier les risques encourus.

Effectivement, je profite de mes vacances et de l’absence de ma femme pendant deux semaines (formation d’été à Paris) pour profiter de Lucie. Le lundi nous ne travaillons pas dans mon agence et j’invite donc Lucie à passer la journée à la maison puisque ma femme Alex n’est pas là jusqu’à samedi matin, elle rentrera pour le week-end.

Lucie arrive le matin vers dix heures, vêtue d’une robe courte et presque transparente laissant voir qu’elle ne porte aucun sous-vêtement, ce qui a le don de m’exciter immédiatement. Elle a apporté un sac (dans lequel je ne me doute pas encore de ce qu’il contient) qu’elle jette sur le sol avant de me sauter dessus pour m’embrasser fougueusement. Je la pose alors sur la table et je lui rends son baiser avec la même force puis, stoppant cela, je la regarde et je profite de sa beauté en lisant dans son œil tout le désir qui l’anime, mais ce n’est pas encore le moment de se lancer dans une folle tourmente sexuelle. Je lui explique alors la situation en l’invitant à profiter de cette journée pour mieux nous connaître et qu’elle pourrait passer la nuit à la maison de toute façon et que donc nous avions tout le temps d’en profiter.

Je l’installe dans la chambre d’ami en lui expliquant que je préfère laisser la chambre principale afin de me concentrer sur elle et de ne pas me poser trop de questions en restant dans la chambre que je partage avec Alex. Elle semble comprendre mon souhait et le respecte, ce qui me fait me rendre compte de la maturité de cette fille qui n’a pourtant que dix-neuf ans.

Nous allons manger dans un restaurant en approchant de midi. Après le repas, nous rentrons à la maison, mais, sur le chemin du retour, prise par un désir mutuel de profiter de nos deux corps, Lucie glisse sa main sur mon sexe au travers du pantalon alors que je nous reconduis vers la maison. On arrive enfin et, à peine, le temps d’ouvrir la porte que je la saisis et l’embrasse. Je suis partagé entre l’excitation de ses caresses dans la voiture et le désir de me livrer à elle. Il semble maintenant évident que je ressens autre chose que du désir pour elle, même si tout n’est pas clair dans mon esprit, étant donné que je suis sûr d’aimer encore Alex. Mais alors que mille pensées me traversent l’esprit, Lucie me ramène sur terre au moment où elle descend mon pantalon et me prodigue une caresse buccale, ne pouvant laisser insensible qui que ce soit.

En effet, elle glisse mon sexe au plus profond de sa gorge et semble vouloir l’avaler tout entier. De plus, elle pousse sa langue jusqu’à me lécher les testicules puis elle ressort tout et me lèche à présent le gland gonflé par l’envie. Je la relève, la plaque contre le mur avec douceur mais fermeté et je lui rends la politesse en levant sa robe, lui écartant aussi légèrement les cuisses pour enfoncer ma langue entre ses lèvres intimes, suçotant parfois son clitoris et m’enfonçant d’autres fois dans sa cavité vaginale. Je me relève et je n’ai qu’une envie, entrer en elle et ne faire qu’un dans un moment de plaisir et de partage intense. Je passe alors une de mes mains derrière elle pour la soulever et me permettre de la positionner sur mon sexe, une fois bien en elle je la porte jusque sur la table où je l’allonge afin de me permettre de mieux la pénétrer. Je commence alors un va-et-vient infernal après avoir positionné ses jambes sur mes épaules. Elle m’encourage alors à la pénétrer plus fort, plus profond et plus vite et je m’exécute sans trop demander mon reste. Après quelques minutes, je sens le plaisir monter en moi et elle semble de son côté approcher du but si j’en crois sa respiration. La délivrance enfin, je relâche tout, répandant ainsi ma liqueur intime au cœur de son vagin alors qu’elle semble s’abandonner aussi à un orgasme puissant et déchirant. Je m’allonge sur elle et nous restons ainsi quelques instants avant que je me mette à l’embrasser doucement tout en me retirant d’elle. Nous allons prendre une douche où, en plus de se laver, nous échangeons quelques baisers et caresses puis nous nous installons dans le salon où nous discutons un peu tous les deux. Après une après-midi plus intellectuelle, nous mangeons à la maison une pizza commandée par téléphone et livrée à domicile.

En même temps que nous mangeons, nous discutons et pour la brancher un peu, je lui raconte mes fantasmes les plus érotiques comme partager mon lit à trois ou utiliser des objets… Tout cela ne semble pas la déranger et même plutôt l’émoustiller et cela me fait plaisir de pouvoir discuter sans tabou, car Alex est assez prude à ce sujet. Lucie m’avoue alors qu’elle a pensé à corser la soirée et qu’elle a apporté quelques petites choses avec elle dans son sac et me propose de me les faire découvrir dans la chambre ce que j’accepte.

Je m’installe sur le lit et elle me demande, avant de sortir les surprises du sac, de ne pas la juger et je lui en fais donc la promesse.

Elle sort donc pour commencer un DVD au titre évocateur « le seigneur de l’anus » puis elle sort également un gode de taille impressionnante me faisant sentir tout petit et un flacon de lubrifiant. Je me contiens et je lui fais juste un petit sourire pour la rassurer et je l’encourage même à mettre le film dans le lecteur de la chambre et à venir s’installer près de moi. Nous commençons alors à regarder le film qui s’avère plutôt hard avec des doubles pénétrations anales et quelques doigtés limites.

Les esprits s’échauffent et nous commençons à nous embrasser et à nous caresser faisant un petit 69, mais le film assez excitant ne me permet pas de tenir bien longtemps et j’éjacule rapidement dans sa bouche tout en buvant sa cyprine, mais elle ne relâche pas son effort avant d’avoir intégralement vidé mon sexe de toute sa substance. Je m’excuse alors de ne pouvoir tenir plus longtemps et elle me répond que c’était normal et que de toute façon la soirée n’est pas terminée et pour la remercier, je termine alors mon cunnilingus afin de lui permettre de jouir à son tour.

Nous mettons alors un autre film dont je ne me souviens pas du titre afin de nous motiver en nous caressant mutuellement doucement. Je reprends de la vigueur et elle me sort alors le gode avec le flacon de lubrifiant et me demande de simuler une double pénétration. Je prépare alors ses deux orifices avec mes doigts et le lubrifiant avant d’enfoncer mon sexe dans son anus pendant qu’avec ma main je lui enfonce le gode dans le vagin. Je le cale un peu au-dessus de mon sexe afin de pouvoir la pénétrer en rythme avec ses jambes sur mes épaules et, avec beaucoup de dextérité, nous arrivons au résultat escompté ce qui l’excite beaucoup et moi aussi par la même occasion. Au bout de quelque temps, je sors mon sexe et le gode de ses orifices pour la positionner en levrette. Je mets alors mon sexe dans son vagin et je lui enfonce le gode dans l’anus. Je m’excite alors beaucoup à lui infliger ce traitement qu’elle semble apprécier et je repense alors au film et à la double pénétration anale. Je décide alors de sortir mon sexe de son vagin et d’enfoncer mon sexe avec le gode dans son anus. Plusieurs tentatives ratées me font alors douter, mais au bout d’un moment j’arrive à faire ce que je voulais faire non sans que Lucie me lâche un petit cri de douleur. Je me fais alors doux avec des mouvements lents et calculés le temps qu’elle s’habitue à ces nouvelles dimensions. Une fois bien dilatée, je reprends des mouvements plus rapides, mais pas insoutenables alors qu’elle se caresse le clitoris avec une de ses mains et nous finissons par jouir simultanément.

Après quelques instants de récupération, je lui demande si ça va pour elle et elle me répond que malgré la peur et la douleur ce fut une expérience qu’elle ne regrette pas.

Après tout ceci on décide de dormir, car elle reprend le travail dès demain. Au réveil nous échangeons un baiser comme un couple normal et elle part au travail me disant « à ce soir ». Nous passons toutes les nuits de la semaine à nous faire l’amour (de manière plus classique parfois et d’autres fois avec les ustensiles précédemment utilisés), vivant d’amour de sexe.

Le vendredi, nous décidons de profiter au maximum de notre dernière soirée et, après avoir mangé, nous commençons à faire l’amour dans la salle à manger avec force et passion. Nous avons l’impression d’être seuls dans un univers parallèle qui nous est réservé et où nous pouvons faire ce que nous voulons. Mais après quelques minutes, nous sentons une présence et nous stoppons nos ébats et nous nous retournons voyant ma femme Alex, rentrée ce soir au lieu de demain, avec un visage décomposé alors que j’avais mon sexe à l’intérieur d’une autre femme. Puis, elle se tourne pour que nous puissions nous rhabiller et Lucie part directement alors que pour moi va commencer un long moment de tension et d’horreur.

Je passe la soirée à me justifier alors qu’Alex reste inerte et je lui explique que je n’avais pas eu la force de supporter son manque d’affection et que même si cela n’expliquait pas tout j’étais désolé. Je lui explique toute l’histoire sans les détails et elle se met à pleurer puis elle décide de s’isoler et j’appelle alors Lucie en lui demandant de ne plus se revoir pour le moment et qu’il faudrait qu’elle soit compréhensive ce qu’elle accepte de manière résignée.

Le week-end s’écoule sans un mot ni même un regard puis elle repart à Paris le lundi. Je lui envoie des texto d’excuse lui expliquant que je l’aime toujours, mais que mon histoire à côté avait pris une importante place aussi et que j’étais perdu. J’avais donc besoin que nous éclaircissions notre situation dès qu’elle rentrerait ce week-end ce qu’elle accepte avec un texto de réponse froid.

Je me prépare alors toute la semaine, pesant le pour et le contre, soit rester avec Alex, soit me diriger vers Lucie, voir si Alex me pardonnerait ou bien si elle me jetterait ce qui limiterait mon choix.

Je vous raconterai la suite et fin de cette histoire la prochaine fois pour laquelle c’est moi qui vais me retrouver face à un choix que je n’avais pas envisagé.