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Temps de lecture estimé : 8 mn
14/04/08
Résumé:  Les vacances s'annonçaient bien !
Critères:  fh couple groscul poilu(e)s fépilée vacances plage jardin voir exhib nudisme intermast fellation pénétratio portrait -couple -vacances
Auteur : Mari comblé

Série : Côte atlantique

Chapitre 01
Début de vacances

L’été dernier, ma femme et moi avions décidé de passer nos vacances sur la côte atlantique. C’était nos premières vacances sans enfants depuis bien longtemps, des amis ayant proposé de les prendre une quinzaine dans le sud.


Nous étions partis un peu au hasard, sans réservation particulière. Il faisait très chaud sur la route de ce début juillet, et le premier soir fut difficile, nous avons fini dans un petit hôtel sans charme, à cinquante kilomètres de la côte, nous n’avions rien trouvé d’autre. Le repas ne fut pas très brillant, la salle était bruyante et la nourriture quelconque. À la fin du repas, Armelle et moi sommes sortis pour prendre le peu de frais de la soirée.


Il y avait un autre couple qui faisait de même. Ils étaient dans nos âges, la petite quarantaine. L’homme fumait cigarette sur cigarette, assis sur une petite table de jardin. La femme, une blonde, essayait de le calmer. La conversation portait sur l’hôtel, ils y étaient depuis la veille et n’avaient rien trouvé d’autre. Armelle engagea la conversation sur le même sujet, cherchant à obtenir des informations sur les possibilités de trouver quelque chose en bord de mer. La blonde était assez calme, elle s’appelait Jocelyne, le mari Richard. Nous avons parlé un peu.


Je regardais Jocelyne, elle avait une grosse poitrine qui s’agitait quand elle bougeait. Armelle a des petits seins, encore bien dressés après deux enfants. Jocelyne ne portait pas de soutien-gorge sous un tee-shirt rose au travers duquel on devinait des tétons épais. Je surpris le regard d’Armelle, elle semblait fixer un peu trop souvent le short de Richard. Je fis un pas de côté pour me mettre dans son angle de vue. Il ne portait pas de slip et le sexe était bien visible dans l’ouverture de la jambe. La verge semblait longue. Armelle rougit en croisant mon regard.


Le couple nous souhaita une bonne nuit, ils devaient se lever tôt. Richard nous souhaita bonne chance pour dormir, tellement l’hôtel était bruyant. Nous les suivîmes, il fallait aussi que nous partions tôt pour trouver quelque chose en bord de mer. Nous nous sommes souhaité bonne nuit dans le couloir, nous avions deux chambres contiguës. La nôtre était étouffante, chauffée toute la journée. Effectivement, c’était bruyant, on entendait des bruits divers de douche et de pas. En plus, les deux chambres étaient communicantes, séparées par une porte verrouillée, mais on entendait distinctement Jocelyne et Richard. J’étais au bord de partir, mais Armelle me dit qu’on ne trouverait rien d’autre ce soir.


Elle s’était mise nue, la lumière d’une lampe de chevet l’éclairait faiblement. Je connaissais son corps par cœur, les tétons étaient dressés, très longs. Ses aréoles disparaissaient entièrement quand les bouts étaient tendus. Le mamelon faisait un bon centimètre et devenait très sombre. C’était un bon baromètre de son désir, quand elle sortait les antennes, comme je lui disais. Elle avait une taille fine et des hanches fortes, avec des cuisses assez fortes et des fesses capitonnées. Le sexe était couvert d’une abondante toison brune dont elle avait toujours refusé de se séparer. J’adorais ses poils, mais j’aurais aimé la voir une fois rasée, elle n’avait jamais voulu. Elle considérait qu’une vraie femme doit avoir des poils. Cela ne l’empêchait pas de porter des petites culottes. L’hiver, de toute façon, elle ne portait que des collants qui lui servaient également de culotte.


La douche avait un rideau trop petit, et je la contemplais à loisir. Elle me tournait le dos et j’adorais son cul large. Je me déshabillais et la rejoignis. La cabine réduite nous obligeait à être collés. Elle m’embrassa et prit rapidement mon sexe déjà bien raide entre ses doigts. L’eau coulait entre nous deux. Je caressai sa chatte, les lèvres étaient ouvertes et bien gonflées. Sans même nous sécher, nous nous jetâmes sur le lit. Je l’embrassai partout, les tétons étaient durs, grumeleux et gros comme des framboises. Elle écartait ses cuisses et maintenait ma tête pendant que je léchais son sexe.


Ses poils étaient doux, le clitoris très développé pointait sa petite tête rose et dure, tout sorti du capuchon, elle bandait et ça m’excitait beaucoup. À chaque coup de langue sur le clitoris elle semblait recevoir une décharge électrique. J’avais mal à mon sexe, tellement il était tendu. Je la sentais prête à jouir, sa respiration s’accélérait, elle geignait un peu et ses grosses cuisses se refermaient sur moi pour m’emprisonner.


Là, nous entendîmes un cri de femme, juste derrière la cloison, ce qui nous figea. Mais la suite nous fit rire : c’était Jocelyne qui criait, mais de plaisir, on reconnaissait son timbre de voix. C’était une suite de petits cris aigus, suivis d’une sorte de râle et d’un cri profond.


Rassurés sur la nature du bruit et excités par son origine, nous reprîmes nos ébats. Armelle m’attira vers elle et prit mon sexe dans sa bouche, entourant le gland nu de ses lèvres et de sa langue. Elle ne prenait jamais le sexe entier mais suçait le gland avec délice. Elle se masturbait en même temps, les cuisses très ouvertes, en frottant le clitoris. Je ne parvins pas à tenir longtemps et déversai un sperme épais par quatre ou cinq giclées sur ses lèvres et dans sa bouche. Son orgasme arriva immédiatement, elle se raidit et fut secouée de frissons.


Nous nous reposâmes un peu en écoutant la chambre d’à côté : Jocelyne et Richard avaient remis ça. On entendait presque le bruit du lit.


Armelle reprit ses caresses et je rebandai rapidement, elle m’embrassait à pleine bouche, je sentais le goût de mon propre sperme. Les voisins accéléraient, Armelle me bascula sur le dos et vint s’asseoir sur moi, elle se pénétra d’un coup et je vis ses yeux se révulser de plaisir. Elle donnait de grands coups de reins et se mit à répéter : « Je vais jouir, je vais jouir je vais jouir » de plus en plus fort et elle cria en s’effondrant sur moi et en me mordant la bouche. Les spasmes la secouaient, elle s’arracha à moi, glissa vers le bas et me prit dans la bouche une nouvelle fois. Depuis longtemps, je ne la prévenais plus de mon plaisir, sans que nous en ayons parlé ; j’avais compris qu’elle aimait le recevoir. Le liquide jaillit dans sa bouche, elle enserra le gland pour que rien ne lui échappe. Elle vint se coller à moi et nous nous sommes endormis.


Lorsque nous nous sommes réveillés, Jocelyne et Richard partaient, on reconnaissait leurs voix dans la cour. Le petit-déjeuner avalé, nous sommes repartis en quête d’une location en bord de mer. Armelle avait enfilé un tee-shirt et un short qui moulait ses fesses. Elle n’avait jamais eu de complexes, et je la soupçonnais même de ne pas détester montrer ses cuisses. Même jeune, elle avait des cuisses fortes et un gros cul, et c’est aussi un peu pour ça que je l’avais épousée. Elle avait la jupe courte facile, pas la mini-jupe, mais largement au-dessus du genou. Nous fîmes les agences méthodiquement, et nous commencions à désespérer, Armelle était moins gaie et amorçait une mini déprime en disant que nous ne trouverions jamais et qu’on aurait dû faire comme tout le monde, etc.


Nous avions fait une bonne partie de la côte depuis l’estuaire et étions arrivés vers un grand zoo. Nous allions renoncer vers le milieu d’après-midi. Nous avons vu une agence et sommes tombés d’accord : c’est la dernière. En entrant, nous avons croisé un jeune couple qui s’en allait ; la femme pleurait, rien d’encourageant. L’employé lui-même avait l’air triste. Nous lui expliquâmes notre recherche.



Le prix était honnête, sans être une grande affaire. Je remarquai le regard du vendeur sur les cuisses d’Armelle.



On traversa une grande artère pleine de circulation. J’avais peur que la location soit au bord de la route mais, après avoir contourné une fontaine, nous nous sommes retrouvés dans les pins. Le petit immeuble était neuf, juste en bordure de forêt. Il n’y avait qu’un étage et tous les volets du premier étaient fermés. L’entrée était fraîche et propre. L’appartement était au rez-de-chaussée et les baies vitrées étaient encore ouvertes après le passage du ménage. Nous avons rapidement fait le tour : il y avait deux pièces, une salle et une chambre. La cuisine donnait dans la salle et la salle de bain était dans la chambre, avec une grande baie vitrée qui donnait sur le petit jardin. Il nous montra le jardin, dont le fond donnait sur la forêt, mais bien entouré de claustras opaques. Il y avait un autre jardin à côté, juste séparé par un grillage. Les papiers furent signés dans la minute et l’agent immobilier s’en alla, non sans avoir, une fois de plus, lorgné sur les fesses d’Armelle.



Nos affaires furent rangées rapidement, il n’y en avait pas beaucoup. Nous sommes sortis pour faire quelques courses pour le repas du soir. L’endroit était agréable, il y avait du monde, les gens rentraient de la plage. La couleur de certains montrait que nous allions devoir faire très attention aux coups de soleil, surtout moi, Armelle bronzait à une vitesse folle. Nous avions prévu les crèmes et les huiles solaires avant de partir.


En rentrant, nous avons constaté la présence des voisins, il y avait dans le jardin un grand sac de plage ouvert sur la table de jardin et un parasol. Mais on n’entendait rien. Armelle courut sous la douche pendant que je rangeais un peu. J’allais la rejoindre avec quelques arrière-pensées lorsque, par la fenêtre, en levant les yeux, je vis la voisine.


Elle étendait sur un fil les serviettes de plage et elle était toute nue. Je la voyais de dos, pas très grande avec des petites fesses qui tremblaient quand elle se mettait sur la pointe des pieds pour fixer les serviettes. Elle prenait son temps, je ne bougeais pas pour qu’elle ne prenne pas conscience de ma présence, en espérant qu’elle se retourne. Elle avait fait le tour des serviettes et du coup je ne voyais plus rien. Quand elle réapparut, j’eus un coup au cœur : elle avait le sexe complètement lisse. Elle devait avoir dans les trente ans, des seins petits mais mangés par des aréoles très larges et très foncées. Elle n’était pas très bronzée, j’avais remarqué les épaules un peu rouges, et les lèvres du sexe bien pigmentées se voyaient plus que si tout le corps avait été halé.


Armelle sortait de la douche, le tee-shirt trempé à la main. Elle était nue, ce qui ne lui ressemblait pas, elle avait toujours le temps de mettre quelque chose. Je fis semblant de m’intéresser au branchement de la télévision.



Et j’eus le courage de répondre non.



À ma stupéfaction, je vis Armelle sortir nue et je m’attendais à un cri lorsqu’elle allait apercevoir la voisine. Devant le silence, je hasardais une tête… La voisine n’était plus dans le jardin. Armelle étendait le tee-shirt et essayait de tendre mieux le fil. Je craignais le pire si jamais la voisine réapparaissait dans le jardin habillée. Le choc fut rude lorsque j’entendis un « Bonjour ! » joyeux venant d’à côté. La voisine était dans l’angle mort : nue ? habillée ? Armelle avait tressauté et s’était retournée d’un coup, en mettant une main devant son sexe et en croisant les bras devant sa poitrine. Je fermais les yeux : ça va être ma fête ! Très à l’aise, la voisine revint dans mon champ de vision, elle était nue. Elle s’approcha de la clôture en s’adressant à Armelle :



Martine tendit la main à Armelle par-dessus le grillage, ce qui obligea ma femme à découvrir son sexe pour lui rendre la politesse. Et là, elles se mirent à discuter comme deux copines, et Armelle, qui n’avait jamais présenté de franches dispositions pour la nudité en public, semblait décontractée.


Les vacances s’annonçaient bien !