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Temps de lecture estimé : 10 mn
04/05/08
Résumé:  En prenant l'air dans le jardin, nos amis jouissent d'un spectacle inédit...
Critères:  groscul poilu(e)s vacances plage exhib nudisme
Auteur : Mari comblé

Série : Côte atlantique

Chapitre 02
La Palmyre (2)

La première nuit fut douce : fatigués par nos recherches de la journée nous pensions ne pas avoir trop d’envies. Le soir tombé, il n’était pas question de nous promener nus dans la salle, la grande baie vitrée étant parfaitement visible des voisins. Armelle alla se coucher tôt, j’essayai de m’intéresser à un mauvais film. La baie était ouverte, la nuit était douce. On pouvait entendre par moment le bruit du ressac.


Avant d’aller dormir, je sortis fumer une cigarette, je n’avais pas réussi à arrêter totalement, mais je ne fumais jamais à l’intérieur. Il n’y avait aucun bruit chez les voisins. En sortant, je n’espérais pas revoir la petite chatte épilée de la voisine. En allant au fond du petit jardin, j’avais une bonne vue sur le séjour des voisins, vide.


Ma cigarette était presque finie et j’allais rentrer lorsque j’aperçus le voisin. Il était nu et son membre était impressionnant bien que flasque. J’étais dans un recoin, il ne pouvait pas me voir. Il fumait aussi, tranquillement, face au jardin. La lumière l’éclairait de biais comme dans une vitrine. Je vis alors une main venue de nulle part se saisir de la verge et la caresser doucement. La voisine était derrière lui. Je voyais la main aller et venir, bientôt rejointe par une deuxième. Elles enserraient le sexe et allaient et venaient en dégageant le gland qui gonflait.


La verge devenait bien raide, rouge, le mouvement des mains s’accélérait. Je voyais le visage du voisin se crisper. La scène était superbe, la lumière isolait presque le sexe et les deux mains. Une main abandonna le membre pour flatter les grosses boules toutes lisses. Le pouce caressait le sommet du gland. Mon propre sexe s’était réveillé et je le dégageai du short trop étroit. J’avais toujours aimé me masturber.


Je frottai vigoureusement mon membre en regardant les voisins. La jeune femme était maintenant passée devant et, à genoux, suçait le sexe avec gourmandise. Je me masturbais de plus en plus vite, hypnotisé par la scène. Je faillis crier de peur, une main s’était emparée de mon sexe. Armelle était derrière moi… Trop occupé, je ne l’avais pas vue venir.



Je sentais les pointes de ses seins dans mon dos. Elle se collait à moi et frottait son pubis poilu contre mes fesses.



J’avais osé faire allusion à une relation entre elle et un autre ce qui me valait toujours une fin de non-recevoir quand ce n’était pas un haussement d’épaules. La voisine avait accéléré le mouvement et les tressautements du mari traduisaient le plaisir qui jaillissait de son membre. Elle se releva, le visage barbouillé, elle sortit sa langue en souriant pour essuyer ses lèvres.


Armelle lâcha mon sexe et prit ma main pour m’entraîner vers l’intérieur. J’adorais la voir de dos, ses grosses fesses qui se balançaient. Nous nous sommes jetés sur le lit. Elle me regardait, les yeux brillants, couchée sur le dos, les cuisses ouvertes sur sa toison brune au centre de laquelle la fente rose et luisante était ouverte. Je m’enfonçai d’un coup dans son sexe et la tension trop forte me fit jouir rapidement.


Armelle cherchait son plaisir à grands coups de reins, je me glissai entre ses cuisses et me mis à la lécher. Son gros clitoris était tout dressé comme une minuscule verge. Je m’enivrais du parfum de son sexe et de mon sperme mélangé. Le gland du clitoris était cramoisi, je le pris entre mes lèvres. Elle cria de plaisir, secouée de longs frissons.



oooOOOooo




Nous nous étions endormis rapidement. Le matin, le soleil inondait la chambre. Armelle était déjà levée, il y avait un bruit de tasse dans la cuisine. Je me levai encore bien endormi…



Nous avons mangé les croissants en préparant le programme de la journée. Armelle avait vu en sortant que le marché se tenait tous les matins sur la petite place non loin de notre appartement. Il faisait un temps superbe. Nous avons passé un moment à choisir des melons et à faire la queue pour de la charcuterie. Armelle s’attarda à un étalage de paréos colorés dont le vendeur assurait la provenance polynésienne. Elle était presque décidée à prendre un grand carré bleu des mers du sud quand la voisine et le voisin déboulèrent.


Ils étaient agréables, souriant et nous fîmes les présentations. Elle s’appelait Sonia et lui Philippe, ils étaient parisiens et étaient là depuis une petite semaine. Les femmes essayèrent les paréos. Sonia ne portait qu’un haut de maillot et un short vert presque fluorescent. Elle avait de petites fesses qui vibraient quand elle marchait. En fait, elle sautillait plus qu’elle ne marchait. Le choix des paréos fut conclu : le bleu pour Armelle et un vert pour Sonia.


Nous décidâmes d’aller prendre un verre pour achever de faire connaissance. La terrasse du café était presque pleine. Les femmes parlèrent produits solaires et bronzage. Philippe m’expliqua un peu les choses à voir et les coins à éviter. Je lui demandai s’il y avait des plages plus agréables que d’autres. Il me répondit en souriant que ça dépendait de ce que l’on cherchait. Avec Sonia ils allaient le plus souvent sur une grande plage au nord du phare dont on apercevait la lanterne juste au-dessus des pins. Il m’expliqua qu’ils se mettaient non loin de la cabane à frites au bord des dunes. Ils y étaient tous les après-midi. Il me dit que les deux premiers jours avaient été maussades, ce qui expliquait qu’ils n’étaient pas encore très bronzés.


Nous rentrâmes lentement vers notre résidence. Les deux femmes marchaient devant et c’était un plaisir de regarder les mouvements des jambes, des cuisses et des fesses. Armelle avait des fesses qui devaient faire le double de celles de Sonia.


Nous avons déjeuné rapidement et j’expliquai à Armelle ce que Philippe m’avait dit sur les plages. Nous décidâmes de suivre ses conseils et d’aller sur la grande plage du phare. Il m’avait prévenu qu’il fallait marcher un bon moment pour traverser les dunes, très larges à cet endroit, et qu’il était interdit pour la préservation de la flore de s’éloigner des sentiers.


Nous préparâmes le sac de plage avec autant de soins que lorsque nous avions les enfants. Armelle fit le tri de quelques tubes de produits solaires périmés, mais qu’elle avait quand même jugé utile d’emporter. Elle était venue avec deux maillots. Elle choisit un bleu très pâle qui s’accordait assez bien à la teinte du paréo. C’était un deux pièces qui faisait un peu « mémère » à mon goût, mais je me gardai de toute remarque. Le soutien-gorge était assez enveloppant et la culotte échancrée moulait tout de même les fesses et soulignait le renflement du pubis en laissant échapper quelques poils noirs qui me rappelèrent la vulve toute lisse de Sonia. Mais il ne fallait pas rêver.


La marche dans le sable mou était fatigante, mais la récompense fut magnifique. L’océan immense et bleu et la plage de sable blanc que l’on découvrait au sommet de la dernière dune faisaient oublier la sueur et le poids du sac.


Aucune cabane à frites en vue si ce n’était peut-être une sorte de ponton de bois, mais très loin… Nous nous étions sans doute trompés d’accès. Nous en discutâmes, il était trop tard pour revenir en arrière et, de plus, nous n’avions pas donné de rendez-vous ferme aux voisins. Armelle voulut marcher un peu dans les dunes malgré la chaleur. J’avais enlevé le tee-shirt et ne gardai que le maillot de bain. Armelle marchait en maillot. Les buissons d’épineux qui fixaient le sable des dunes nous avaient un peu griffé les mollets et nous décidâmes de chercher un coin pour nous fixer.


Un peu plus haut, nous avions repéré un petit bosquet d’acacias qui pourraient aussi nous protéger du soleil brûlant. Nous n’avions croisé que deux personnes : un couple assez âgé. Très bronzés tous les deux, ils marchaient vers l’eau. Ils étaient entièrement nus sans la moindre trace de maillot. Ils devaient avoir la soixantaine, mais leur corps à tous les deux était bien conservé et entièrement épilé.


J’avais surpris le regard d’Armelle sur le sexe rasé de l’homme. Il avait un sexe fin mais très long avec des testicules qui pendaient bas et qui tressautaient à chaque pas. La femme était mince voire maigre avec des petits seins plats qui pendaient, mais des jambes bien faites et une vulve complètement lisse avec des grosses lèvres. Je sentis mon sexe se dresser dans mon maillot en pensant à Armelle : si elle était rasée, elle aurait un sexe semblable à celui de cette femme. Armelle avait remarqué le changement de mon anatomie et passa une main sur mon maillot.



Elle mit carrément la main dans mon slip et enveloppa mon membre dans ses doigts avant de me murmurer :



Mon sexe se raidit brutalement et je manquai d’éjaculer rien qu’à la pensée qu’elle ne refusait plus de se raser. Elle lâcha brutalement mon membre en le tirant fortement, elle venait de trébucher sur un obstacle imprévu qui s’avéra être une jambe. Le propriétaire de la jambe poussa également un cri, à la fois de surprise et de douleur. Nous venions de déranger brutalement un couple dissimulé dans un creux de sable à l’ombre des acacias.


Armelle s’excusa. L’homme rit en disant qu’il n’avait pas mis de triangle de présignalisation et que c’était de sa faute. Sa femme, allongée en plein soleil à quelques mètres, nous dit en riant que c’était leur troisième accident depuis une semaine et qu’elle avait déjà dit à son mari de ne pas laisser traîner ses affaires. Les affaires ne traînaient d’ailleurs pas, car, au moment de la collision, nous avions eu le temps de voir le sexe de l’homme au mieux de sa forme : très turgescent et tendu.


La surprise et la douleur avaient largement diminué l’érection, mais le membre était loin d’être au repos lorsqu’il se releva pour se frotter la jambe. On échangea quelques banalités et Armelle expliqua que nous venions d’arriver et que nous cherchions un endroit un peu ombragé pour l’après-midi.


La femme nous proposa de nous installer dans le creux avec eux… Il y avait largement la place pour quatre et les emplacements de qualités étaient rares. Elle se leva pour tirer sa serviette et, en se penchant, elle découvrit largement des fesses un peu fortes mais fermes et une vulve épilée, superbe. Sa position m’exposa aussi largement son anus plissé, tout brun, dégagé aussi de tous ses poils. Ma verge se redressa dans le maillot alors que l’homme, nullement gêné, exhibait sans pudeur mais presque normalement son sexe qui s’était redressé. La femme regarda son mari en riant :



En me regardant, elle ajouta :



Armelle s’amusait visiblement de ma gêne… Je me sentis rougir et ce n’était pas que le soleil. Mon sexe était tendu à faire craquer mon slip de bain. J’entendis Armelle :



Les deux femmes se mirent à rire et je dois dire que la liberté d’expression d’Armelle m’excitait et me gênait à la fois. Du coup, nous fîmes les présentations. Lui, c’était Patrick et c’était la première fois que je serrais la main d’un homme nu, en érection, et je me surpris même à être excité par le membre dressé au gland bien décalotté. Elle, c’était Isabelle, jolie blonde avec des gros seins, et, comme je l’avais déjà vu, une chatte épilée… Mais il lui restait une petite bande de poils ras au-dessus des lèvres.


Elle s’approcha et m’embrassa, très décontractée. Armelle embrassa Patrick et ne put pas ne pas sentir l’érection contre elle. Les deux femmes étendirent les serviettes sur le sable. Isabelle dit à Armelle :



Elles rirent et, à ma grande surprise, Armelle se déshabilla, elle qui avait toujours remis à plus tard la moindre ébauche de nudisme. Elle quitta le bas du maillot en premier tendant ses grosses fesses vers moi. Sa chatte poilue semblait encore plus sombre dans la lumière blanche. J’étais certain qu’elle prolongeait exprès la position qui me permettait de voir son petit trou sombre bien exposé et presque ouvert… Cela aggrava encore ma tension.


Lorsqu’elle se retourna vers moi, elle souriait. Sa chatte sombre semblait encore plus touffue et sa peau plus blanche avec le soleil. Ses pointes de seins, je la connaissais bien, étaient complètement dressées, grosses, épaisses… Et ce n’était ni le froid ni le vent. Ses tétons semblaient intéresser Isabelle qui, elle, avait des gros seins mais de petits tétons noyés dans une aréole très large et assez pâle. Armelle me lança :



Elle me montra le slip de bain un peu déformé. J’eus l’impression que les deux femmes attendaient que je le retire… mais que Patrick aussi était intéressé car il ne chercha pas à dissimuler son regard lorsque je baissai le maillot et dégageai la verge tendue à exploser. Je me trouvai un peu idiot, immobile devant eux trois, bandant à fond. Isabelle rompit le silence :



Elle parlait tout naturellement.



Je répondis comme s’il s’agissait d’un autre :



Armelle, que je ne reconnaissais décidément pas, enchaîna :



Elle s’approcha de son mari et tira délicatement sur le prépuce qui vint recouvrir le gland. Elle voulut remettre la petite peau sous le rebord ourlé du gland, mais les quelques attouchements nécessaires suffirent à déclencher une superbe éjaculation tellement l’excitation de Patrick avait été prolongée. Armelle n’avait pas perdu une miette du spectacle. Isabelle avait recueilli le liquide épais et blanc dans sa main et s’en frotta le ventre comme avec une crème.



Elle se tourna vers Armelle :



Elle s’approcha et, sans que je fasse le moindre geste, se saisit de ma verge, frotta rapidement et recueillit le liquide abondant que je lâchai en fortes giclées dans sa paume. J’étais vidé mais le plaisir avait été extraordinaire. Armelle se frotta les seins avec mon sperme, les tétons étaient énormes. Patrick dit :



Les deux femmes répondirent :



Nous partîmes, Patrick et moi… Et Armelle me raconta la suite le soir.