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Temps de lecture estimé : 10 mn
15/04/08
Résumé:  Pierre profite à sa façon, avec sa secrétaire, des installations particulières de l'institution dirigée par sa fille et son gendre.
Critères:  #totalsexe fh extracon fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo
Auteur : Cidoup            Envoi mini-message

Série : Soins Spéciaux

Chapitre 02 / 08
La faute de Pierre

Roméo et sa femme Francine font visiter l’institution qu’ils dirigent. Sa belle-mère Juliette vient de voir, sur un écran situé dans le local de surveillance de l’établissement, Pierre, son mari, en galante compagnie.



La visite des salles de soins le barbe. Il connaît, Roméo lui a depuis longtemps fait les honneurs des installations. Pierre fausse compagnie à la cohorte des visiteurs. Il s’amuse à contempler la foule qui déambule, un verre ou des petits fours dans la main. Il essaye de deviner parmi les couples ceux qui sont illégitimes. Cet homme et cette femme par exemple qui se tiennent serrés l’un contre l’autre comme des lycéens malgré leur âge, la bonne quarantaine. La femme mordille le lobe de l’oreille de l’homme, ce qui lui attire les regards désapprobateurs d’une douairière genre psychorigide… la jalousie sûrement. Il sourit à quelques connaissances mais les évite avec soin. Il n’a pas l’intention d’engager en ce lieu une conversation qui porterait inévitablement sur les charges sociales écrasantes et les difficultés d’exportation… Oh ! Mais il connaît cette toison blonde ! C’est Lucienne sa secrétaire qu’il aperçoit là bas ! Que vient-elle faire en cet endroit ? Elle le voit et lui sourit. Pierre dérobe deux flûtes de champagne sur un plateau et navigue à sa rencontre.



Elle le dévisage, un sourire coquin au bord des lèvres qui inquiète Pierre. Qu’est-ce qu’elle mijote ? Il se méfie de son imagination.



Elle le plante là et se dirige vers les toilettes. Pierre regarde autour de lui. Personne ne leur porte attention. Il est rassuré. Lulu est très gentille, mais en société elle a tendance à se montrer exubérante. Malgré ses remarques, elle s’obstine à le tutoyer en public. Cela risque d’être gênant, surtout ici où traînent de nombreuses oreilles malveillantes.


Il la voit revenir et ne peut retenir un sourire. Lulu ondule à travers la foule, attirant les regards admiratifs des hommes et ceux plus circonspects des femmes. Elle reprend son verre et le porte à ses lèvres.



Le contact de son corps l’électrise. Elle frotte son pubis contre sa cuisse. Les poils du sexe crissent, elle est nue sous sa robe, devine-t-il. Voilà pourquoi elle s’est isolée aux toilettes ! Quelle imprudence !



Sa queue raide comme une trique parle pour lui. Pierre écarte la main indiscrète qui contrôle l’érection.



Sa décision est prise en un instant. Lors d’une précédente visite, son gendre lui a montré avec fierté les deux salles spéciales où, lui a-t-il dit, ses pensionnaires peuvent calmer certaines ardeurs. Pierre l’a félicité pour l’agencement du mobilier, le grand lit confortable et les illustrations discrètement érotiques sur les murs. Le service de ces salles fait-il partie des tâches du personnel, a-t-il demandé par moquerie lorsqu’ils ont refermé la porte ? Une surveillante, venue pour un problème de remplacement, les a interrompus. Par la suite ils n’ont plus abordé cette question. En ce jour particulier, ces chambres ne doivent pas être utilisées, c’est une chance à courir. Pierre entraîne Lucienne. Il essaye de se repérer. Ils avaient emprunté ce couloir, semble-t-il… Oui, il le reconnaît. Il faut tourner à gauche maintenant. Lucienne se colle à lui. Il sent les tétons qui pointent sous le corsage léger. Leurs lèvres se rejoignent. Aah ! Il empoigne ses fesses, fait remonter le tissu de la jupe, ses doigts touchent la peau satinée des cuisses. Attention, ce n’est pas prudent ! Du personnel peut surgir à tout instant. Il écarte la secrétaire et repart à la recherche des salles spéciales… Ah, les voilà ! Il appuie sur la clenche de la première. Une chance, elle n’est pas fermée à clé. Ils se coulent à l’intérieur.


La lumière extérieure tamisée par des stores nimbe la pièce d’une lueur rose. Pierre perçoit l’étonnement de Lulu devant la décoration.



Elle se jette à son cou. Leur baiser dure longtemps. Sans se désunir, Pierre la rapproche du lit où ils s’effondrent. Il glisse les mains sous le tissu de la robe, le long des cuisses. Il a hâte de toucher sa chair intime qui n’est plus protégée par une culotte. Tout à coup Lulu se redresse, inquiète.



Avec un sourire elle soulève la robe, dévoilant le triangle de poils qui masque l’entrejambe.



Il se précipite à genoux. Lulu est une fausse blonde. Il écarte une touffe de poils châtains pour découvrir le petit bouton si sensible chez sa secrétaire. Il le presse entre ses lèvres.



Pierre oublie tout, la réception, sa femme, sa fille, où il se trouve. Il consacre toute son habileté à faire jouir cette magnifique jeune femme qui s’offre à lui. Il déguste sa liqueur d’amour, s’applique à en exciter la source. Lulu gémit, agrippe ses cheveux. Elle lui fait mal mais cela lui est égal. Il introduit un doigt dans le puits d’amour puis dans l’autre antre du plaisir. Elle se tord, il doit empoigner ses fesses pour maintenir le contact de la bouche sur son sexe brûlant.



Elle serre les cuisses, l’emprisonnant dans leur étau. Sa chatte dégouline, il a de la peine à tout étancher mais s’efforce de ne rien perdre de son suc.


Elle se calme, sa respiration s’assagit. Pierre se redresse. Elle lui sourit.



Elle l’attire et goûte sur ses lèvres la saveur de son sexe. Puis, attrapant les bords de sa robe, elle la fait passer par-dessus la tête et reste assise, nue, à lui sourire.



De ses doigts agiles, elle déboutonne sa chemise, entortille les poils gris de son torse et dégrafe sa ceinture. Le pantalon glisse sur les talons, vite suivi du slip qu’il enjambe maladroitement. Pierre a l’autorisation de l’enlacer. Il tremble d’excitation quand sa verge raide glisse contre son ventre. Il tente de guider le gland entre ses cuisses.



Avec une force dont il ne la croyait pas capable, elle le fait tourner le dos sur le lit, les jambes pendantes.



À genoux sur le tapis elle empoigne sa queue, en éprouve la raideur de deux coups de poignet et sans préambule avale le gland.



L’effet est immédiat. Le plaisir monte le long de la tige.



Elle serre la base du sexe pour endiguer la venue du sperme. Pierre se calme. Lulu a raison. À près de soixante ans, il n’est pas bon pour lui de gaspiller prématurément son énergie. La récupération est longue, et le temps leur est compté. Elle grimpe sur le lit à quatre pattes en le regardant en coin. Pierre n’a pas besoin de traducteur, il sait ce qu’elle désire, ce qu’elle attend de lui. Il grimpe à son tour et s’agenouille derrière les fesses rondes. Elle tire dessus, découvrant le petit orifice brun qui semble sourire. Il l’agace du bout de la langue. Elle pose la joue sur le couvre-lit. Les mains de Pierre remplacent celles de Lucienne pour écarter les lobes fessiers pendant que la langue s’enfonce de quelques millimètres.



Elle en profite pour se caresser le sexe. Ses doigts chatouillent son menton. Entre deux léchages de son cul, il déguste la liqueur qui dégouline de ses ongles.



Elle peut-être, mais lui ce n’est pas ce qu’il préfère. Pierre se redresse et frotte le gland contre l’anus. L’endroit est assez mouillé, inutile de lubrifier d’avantage. Il pousse, le bout du sexe s’introduit, il appuie, s’engage.



Il aime contempler la lente disparition du bouclier avalé par le sphincter. Encore un petit effort… Oui ! Le gland franchit le barrage musculaire.



Rien ne s’oppose maintenant au va-et-vient.



Pierre sent dans le conduit voisin, à travers la fine membrane, les doigts de sa maîtresse tenter de saisir sa queue. Ah ! Quel délice !



Une crispation, un gémissement plus fort, la voilà en plein délire, jouissant sans retenue. Pierre accentue ses coups de reins. Quel plaisir suprême à son âge de faire grimper aux rideaux une si belle nana ! Le foutre déforme le conduit séminal… Non ! Ce n’est pas dans le cul qu’il veut décharger. La belle se relâche, il en profite : il la retourne et s’introduit dans la chatte.



Que c’est tendre un con, après l’étroitesse de l’anus ! Pierre a l’impression de s’enfoncer dans un océan de douceur. Lulu est rattrapée par la jouissance. Elle croise les jambes dans son dos et tape des talons sur ses fesses au rythme des coups de bassin. Il sent qu’il ne va pas tenir longtemps. Il résiste du mieux qu’il peut, voulant offrir un nouvel orgasme à sa maîtresse. Encore un effort… oui… Zut ! Il ne peut endiguer le flot de sperme qui se répand dans le vagin, débordant autour de la tige…



Lulu pousse un cri strident. Pierre est fier, il a réussi à la faire jouir pour la troisième fois. Il n’est pas encore à jeter aux orties… N’empêche, son cœur bat la chamade, il est épuisé et s’affale sur sa compagne…


Pierre s’est assoupi un instant. Lorsqu’il ouvre les yeux, Lulu a renfilé sa robe. Elle lui sourit.



Elle a raison, pense-t-il, Juliette aussi doit se demander où il se cache. Un petit passage au lavabo et le voilà prêt à affronter les regards. Un peu chancelant, il ouvre la porte avec prudence. Personne. Ils se faufilent dans les couloirs et débouchent dans la salle principale. La majorité des invités est partie.



Lulu quitte le bras de son patron et se dirige vers le monsieur grisonnant qui l’interpelle.



Pierre sourit : un régal pour les yeux de la voir cuculiner en s’éloignant…



Elle n’est pas dans la salle où quelques groupes terminent les petits fours. Ni sa fille et son mari d’ailleurs. Il erre dans les couloirs déserts. Serait-elle partie en le laissant seul ? Au hasard de ses détours, il se retrouve devant la chambre où il vient de passer des moments si agréables. Est-ce qu’on entend du couloir ce qui se passe à l’intérieur ? C’est qu’ils n’ont pas été discrets, Lulu en particulier. Il n’aurait pas fallu que quelqu’un ouvre la porte par curiosité ! L’autre salle spéciale fait face. Elle aussi est vide, pense-t-il. Un bruit soudain l’alerte. Il s’approche de la porte et tend l’oreille. Un large sourire éclaire sa figure. Les sons qui franchissent le panneau sont sans équivoque, un couple se donne du bon temps. Ils ont raison. Lui, il y a peu…



La stupeur tétanise Pierre. C’est la voix de Juliette, c’est sa femme ! Ce n’est pas possible ! Il est victime d’une hallucination ! Il faut qu’il se rende compte de son erreur. Il ouvre la porte et reste immobile, figé sur le seuil. Il ne s’est pas trompé ! Son épouse à quatre pattes sur le lit, jupe relevée sur les hanches, se fait prendre par un septuagénaire aux cheveux blancs qui la baise avec une régularité de métronome. À ce moment elle remarque sa présence.



Il est effondré. Incapable de bouger, il sent qu’on le tire dans le couloir et voit la porte se refermer sur son infortune.


A suivre