n° 12526 | Fiche technique | 9063 caractères | 9063 1610 Temps de lecture estimé : 7 mn |
01/05/08 |
Résumé: Seul à Los Angeles, un homme cherche une fille pour l'héberger un soir ou deux. Il en trouvera une... qui a un petit plus par rapport aux autres. | ||||
Critères: hh inconnu vacances boitenuit voir trans fellation anulingus hsodo -initiat -gay -transsex | ||||
Auteur : Marc73 (Marc 32ans) |
DEBUT de la série | Série : Rencontre du 3ème sexe Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Cette histoire réelle s’est passée il y a cinq ans aux Etats-Unis. J’avais à l’époque vingt-sept ans et je passais mes vacances chez un ami d’enfance, Éric. Celui-ci vivait à Los Angeles avec sa copine. Celle-ci, assez mignonne, était cependant assez allumeuse, ce qui lui avait déjà valu quelques scènes de ménage.
Il y avait à peu près quinze jours que je partageais leur appartement quand Éric reçut un coup de fil : pour son boulot, il devait partir à l’étranger pour six jours. Afin de ne pas créer de problème, je décidai de déménager de là pendant ces six jours. J’avais l’idée de faire comme quelques années auparavant quand je partais en vacances : séduire une fille qui m’hébergerait quelques jours. En plus, ça faisait au moins trois semaines que je n’avais plus eu de rapports sexuels et ça commençait à me manquer vachement.
C’est ainsi que je me retrouvai ce vendredi soir au "On The Rocks", boîte réputée pour ses jolies filles assez chaudes. Après avoir laissé au vestiaire un petit sac contenant quelques fringues, je commençai la chasse à la jolie fille non accompagnée et vivant seule.
Malheureusement, beaucoup se trouvaient en couple et, même si elles étaient jolies et allumeuses, elles ne me convenaient pas. Je finis par en trouver une assez mignonne. Je lui payai un verre, puis un deuxième et même un troisième… La conversation se passait très bien, on parlait même de phantasmes… Soudain, elle s’absenta pour aller aux toilettes mais ne revint pas.
Il était déjà une heure du matin. Il ne me restait qu’une heure pour trouver une fille assez gentille pour m’héberger et j’étais déjà un peu entamé par les quelques verres de whisky que j’avais consommés. Une fille superbe entra alors dans la boîte. Elle avait le type légèrement asiatique. Bronzée, les yeux d’un bleu de mer, les cheveux longs et noirs, légèrement ondulés… Un corps de déesse moulé dans un jeans troué d’un peu partout et un petit T-shirt kaki au décolleté plongeant sur une poitrine ferme et bien fournie.
Ce T-shirt était si court que l’on voyait au milieu de son ventre plat un double piercing de nombril qui la rendait encore plus sexy. À ma grande satisfaction, elle vint s’installer à côté de moi. Son parfum provoquait une attirance difficilement contrôlable. Je ne parvenais pas à détacher mon regard de cette superbe paire de seins et quand je finis par relever les yeux, je me trouvai fusillé par son regard…
Je m’attendais à une réaction de rejet… Mais non, elle me sourit et me dit, évidemment en anglais :
Il me fallut quelques secondes pour me reprendre. Je me présentai et lui expliquai que sa beauté m’avait perturbé… Pour me faire pardonner, je lui offris un verre. Je n’en revenais pas de pouvoir discuter avec une aussi jolie fille. Je la sentais tout contre moi et ça me faisait énormément d’effet… C’est alors que le sorteur qui évacuait la boîte nous interrompit car il était déjà deux heures et que la boîte allait fermer ses portes.
À ma grande stupéfaction, elle me demanda ce que je faisais après et me proposa un verre chez elle. Je récupérai mon petit sac et on partit dans sa petite Mazda décapotable. Elle habitait dans la colline d’Hollywood. Alors qu’on montait une route sinueuse, elle s’arrêta à un point de vue pour me montrer le panorama. Tout à coup, je la sentis très près de moi dans mon dos… Je me retournai et me retrouvai face à son visage d’ange. L’attirance était trop forte et je l’embrassai.
Elle me rendit la pareille. On s’embrassa comme des fous. Elle se laissa glisser sur le capot de sa voiture. Mes mains passèrent sous son T-shirt… Saisissant ses tétons tendus, je commençais à relever son vêtement pour déguster ses petits monts arrondis quand on fut surpris par un véhicule. Des rôdeurs, probablement. On remonta dans sa voiture et le voyage se poursuivit jusque chez elle.
Elle me fit entrer dans le salon et commença à m’embrasser à nouveau. Puis elle s’arrêta et me servit un verre de whisky avant de partir dans la salle de bain. J’étais tellement excité que je le bus d’un coup en espérant que l’alcool freinerait l’orgasme. Après quelques minutes, elle m’appela. Je me dirigeai au son de sa voix et me retrouvai dans une chambre à peine éclairée par les flammes lancinantes de deux ou trois bougies… Il y avait des grands miroirs sur plusieurs murs ainsi qu’un grand, rond, fixé au plafond.
Mon hôtesse se tenait dans un coin de la pièce, superbe. Des bas noirs très sexy, une jupe de cuir très courte, un corset en cuir avec deux orifices à l’endroit des seins… Mis en valeur de cette façon, ceux-ci me paraissaient plus gros. Une courte nuisette noire voilait le dessus de son corps. Une paire de longs gants cachait ses avant-bras et un large collier noir cerclait son cou. Elle était atrocement excitante !
Je m’approchai d’elle, on s’embrassa. Elle me poussa sur le lit, se mit sur moi et commença à m’embrasser partout tout en me déshabillant. Je me retrouvai très vite nu devant elle. Du bout de la langue, elle me lécha le contour des oreilles, le torse et le nombril avant de descendre jusqu’à ma bite, tendue à l’extrême, dont elle fit délicatement le tour. Elle s’attarda ensuite sur mon entrejambe et sur mes couilles qu’elle aspira l’une après l’autre avant de revenir enfin à mon gland qu’elle absorba jusqu’au fond de sa gorge tout en serrant dans sa main mes deux couilles prêtes à exploser.
J’admirais son corps de déesse dans les différents miroirs. Ses mouvements d’absorption étaient si intenses et la vue dans le miroir si excitante que je dus repousser cette bouche affamée pour ne pas jouir trop vite. Je la retournai sur le lit et commençai à l’embrasser. Quand ma bouche arriva à ses seins, je passai du temps à les aspirer et les sucer. Elle commença à gémir et même à crier son plaisir. Je descendis encore jusqu’à son nombril, je détachai sa jupe avec une envie folle de glisser ma langue dans son sexe.
Je fis doucement glisser son slip et là, stupéfaction ! Un sexe d’homme apparut… J’étais scotché ! Voyant mon hésitation, elle me repoussa sur le dos et repris mon sexe en bouche pour me sucer avec une sensualité encore plus poussée. Je la regardais dans le miroir : un si beau corps et un visage si délicat… Mais c’était un mec ! Plein de pensées contradictoires me vinrent… C’était dégoûtant, je ne pouvais pas ! Mais comme elle était excitante !
Puis je me souvins m’être caressé en regardant un film de cul dans lequel un mec suçait un autre. Jusqu’ici, j’avais toujours été partant pour de nouvelles expériences… Et puis, zut, personne ne serait au courant.
Je regardai alors dans le miroir ce corps cambré qui me pompait et je tournai la tête pour regarder cette bite longue, très longue et fine, qui se dressait à cinquante centimètres de ma tête. Je tendis la main et, du bout des doigts, je touchai pour la première fois une bite différente de la mienne. Je la caressai tout doucement et, là, je me sentis envahi d’une excitation inouïe comme un jeune puceau qui touche pour la première fois le corps d’une femme.
Elle le ressentit vite en voyant mon sexe qui avait perdu un peu de vigueur se tendre à nouveau. Elle glissa son bassin vers moi jusqu’à ce que son sexe touche mon visage. J’ouvris la bouche et enfournai ce long pieu doux et chaud. Le bout de son gland était plus gros que la base et je pris du plaisir à faire jouer mes lèvres sur cette hampe toute dure, puis à aspirer ses couilles une par une. Je me délectais de ces noix caoutchouteuses !
Je nous admirais dans le miroir et la vue de cette bite me pilonnant la bouche provoqua une augmentation de l’intensité de mon plaisir. Tout en gémissant, elle me cria d’arrêter car elle allait venir. Mais je ne sais pas pourquoi, au lieu de la laisser se retirer, je bloquai ses fesses avec mes mains et j’accélérai le mouvement… Probablement parce que je n’aime pas trop ce sentiment de frustration lorsqu’une fille se retire au moment où l’on jouit…
Elle redressa alors son corps, prit ma tête dans ses mains et imposa son rythme… Entre ses gémissements, elle commença à parler à haute voix :
Ces mots m’excitèrent encore plus ! Je sentis alors de grosses saccades de liquide visqueux et salé jaillir dans ma bouche en quantité impressionnante. J’avalai tout ce que je pouvais mais le surplus coulait sur mes joues… Je sentis que j’étais près de jouir. Elle se mit à quatre pattes et me demanda de la prendre, ce que je fis sans même penser à me protéger.
Elle gémissait et m’incitait à accélérer le mouvement. Dans le miroir, je voyais sa bite à moitié molle balancer dans le vide. Je n’en pouvais plus ! Dans un grand râle, je finis par jouir en elle. Quelques grosses giclées de foutre. Nous nous écroulâmes sur le lit.
Nous restâmes couchés un bon bout de temps. Elle se mit alors à me masser les épaules et le dos. Je commençais à m’endormir, quand je sentis sa langue sur mes fesses, descendre sur mes jambes, glisser sur ma raie… Je sentis que je bandais à nouveau…
Puis sa langue…