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01/05/08
Résumé:  On finit la soirée dans la discothèque de l'immense complexe. Et j'ai décidé de m'éclater...
Critères:  ff fhh fbi jeunes inconnu nympho boitenuit fmast intermast entreseins facial fellation cunnilingu 69 fgode pénétratio double fsodo humour -humour -fhh
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Le tournoi (part.1)

Chapitre 06 / 06
Discothèque et ce qui s'ensuit

Résumé de l’épisode 1 : Ma copine Audrey et moi (Charlene) nous sommes inscrites à une compétition sans précédent qui vise à déterminer parmi plus d’une centaine de jeunes femmes laquelle sera la plus impressionnante bombe sexuelle. Tania, une hôtesse chargée de l’accueil, nous a d’abord guidées jusqu’à nos loges, où l’on trouve tout, des plus somptueuses tenues aux maquillages les plus extravagants, puis nous a préparées à une première épreuve de sélection sur des critères physiques, que nous avons passée ce matin.


Résumé de l’épisode 2 : En attendant les résultats, Tania nous a montré les différents lieux qu’héberge le magnifique complexe. Audrey et moi allons nous détendre avec une séance de massage avant de passer un peu de temps à la piscine. Puis, au restaurant, nous rencontrons Estelle et Lisa, deux candidates impressionnantes issues du milieu X.


Résumé de l’épisode 3 : Vers 15h30 nous sont communiqués les résultats chiffrés de la première évaluation. J’ai eu 93 / 100 et Audrey 86 / 100. Mais c’est encore moins que Lisa et Estelle qui ont eu respectivement 94 et 96. J’ai fait la connaissance de Maï-Linh, une jeune et très belle Asiatique, également qualifiée. Nous attendons toutes les cinq dans ma loge le début de la seconde épreuve, cette fois-ci "pratique", en essayant de convaincre Audrey du bienfait des "gorges profondes".


Résumé de l’épisode 4 : Je suis convoquée vers 18h, pour passer la seconde épreuve pratique, où nous devons en dix minutes montrer à un jury nos talents avec un homme et avec une femme. Et même si ça commence assez mal pour moi, l’épreuve se termine plutôt bien ; j’ai impressionné les jurés. Je retrouve Audrey à la sortie et nous décidons de nous octroyer une soirée "cool".


Résumé de l’épisode 5 : Audrey, Lisa et moi nous détendons au hammam avant de rejoindre Estelle et Maï-Linh pour le dîner. Nous nous rendons ensuite à la salle de conférence où nous sont communiqués les résultats de la seconde épreuve. Je l’ai remportée avec 98 / 100, battant même Estelle qui le vit assez mal. Je la réconforte un peu et nous décidons ensuite, Lisa, Maï-Linh, Audrey et moi d’aller finir la soirée en boîte.








Une musique entraînante mais écrasante nous accueillit dès l’entrée de la boîte de nuit. Pas de videur, pas de caisse, pas de vestiaire pour nous ennuyer. Maï-Linh, Lisa, Audrey et moi entrâmes pour nous retrouver directement sur une vaste piste de danse, illuminée d’éclairs multicolores qui flashaient au rythme sec des basses assourdissantes, et entourée d’une vingtaine de petits renfoncements, alcôves un peu plus calmes, presque toutes occupées, où l’on pouvait s’asseoir dans une pâle lumière colorée. Au fond, un large bar, où trois serveurs secouaient des cocktails non-stop, nous apparaissait caché derrière des dizaines de personnes.


Au moins trois-quarts des concurrentes avaient dû décider d’aller finir la soirée à la discothèque. Et la plupart des personnels devaient s’y trouver aussi. La piste de danse était pleine. Les mecs trop rares faisaient tous les jeunes coqs, entourés chacun de deux ou trois jeunes femmes, candidates, hôtesses ou employées diverses.



Plusieurs personnes me regardèrent intensément lorsque je m’avançai sur la piste.



Je commençai à bouger un peu au rythme des boums-boums.



Je me retournai et me trouvai face à un clone de Cindy qui me contemplait avec dédain en mâchouillant un gros chewing-gum rose. Avec un rictus malveillant, je levai mes deux majeurs à son attention en continuant de me déhancher, avant de revenir vers mes copines. Nous dansâmes un bon moment, sans échanger le moindre mot.


Quelques mecs tentaient déjà de nous approcher. Un beau petit blond suivait avec attention tous les mouvements de Maï-Linh, qui lui dardait en retour des yeux de braise. Lisa était en train d’allumer avec exagération un type d’une bonne quarantaine d’années, mais reculait de quelques pas dès qu’il approchait un peu trop d’elle. Et Audrey semblait ne prêter attention qu’à la musique ; elle était comme en transe, vibrant et bougeant comme une junkie.


Pour ma part, plusieurs mecs avaient essayé d’agripper mon regard, mais j’avais plus que jamais envie de jouer. Je ne voulais pas d’un flirt facile qui finirait bêtement dans les chiottes ou dans ma loge. Je voulais m’amuser. Je voulais faire la fête. Je voulais que ça reste un souvenir mémorable.


Tania était là aussi ; elle dansait en rigolant au milieu des autres hôtesses avec qui on l’avait vue prendre un verre à peine une heure auparavant. J’avançai vers elle et lui adressai un signe dès que ses yeux croisèrent les miens.


Puis, j’aperçus Cindy qui gigotait un peu plus loin sur la piste, entourée d’une demi-douzaine de ses avatars. Elle se trémoussait en mastiquant. Et un troupeau de garçons encerclait l’horrible blondasse et ses copines dupliquées. Je sus que j’avais trouvé de quoi me divertir. Observant la scène avec vigilance, j’attendis que Cindy ait jeté son dévolu sur un mec. Je savais au fond de moi que ça ne tarderait pas.


En attendant, je dansais. Et je souris en regardant Audrey s’approcher outrancièrement de Tania et ses copines. Je cherchai des yeux mes autres copines ; Lisa était toujours là à provoquer son mec. Mais Maï-Linh était invisible. Peut-être était-elle déjà partie conclure… J’allai demander à Lisa, puis à Audrey, mais aucune ne put me dire où avait disparu la petite Asiatique.


Pendant ce temps, Cindy semblait s’être rapprochée d’un des garçons. Apparemment un frimeur d’à peine vingt ans qui flashait sur son côté putassier. Je souris en commençant de me rapprocher, mais attendis encore un peu, dansant toujours quelques minutes.


Mais Maï-Linh réapparut soudain, plus radieuse que jamais. Elle vint vers moi, se déhanchant à merveille sous les flashes des stroboscopes et me cria à l’oreille, couvrant avec peine la techno fracassante :



N’étant pas sûre d’avoir bien compris, je levai vers elle des yeux interrogateurs. Et elle mima, me montrant d’abord son pouce levé, puis faisant glisser son majeur dans les doigts refermés de son autre main. Je rigolai en l’observant s’avancer en dansant vers un autre garçon qui la regardait déjà. Puis je me retournai vers le groupe des pouffes.


Et je sus que je tenais ma chance : deux autres mecs semblaient maintenant tourner autour de Cindy qui les allumait lourdement. Le jeune frimeur paraissait maintenant s’intéresser à un des nombreux duplicata de la pouffe. Je m’avançai vers elle doucement, et me mis à danser tout près d’elle, suffisamment pour que les deux garçons puissent m’observer. Et j’exagérai mes déhanchements, me cambrant abusivement ou ondulant copieusement des hanches sous leurs nez, en leur lançant des regards sulfureux et embrasés.



Mais elle m’éjecta quasiment, me poussant littéralement au beau milieu d’un mouvement de danse qu’elle avait un peu exagéré. Je reculai d’un bon mètre et manquai de tomber. Mais j’avais gagné : l’un des deux garçons m’attrapa par le bras avant que je ne me vautre, me retenant, et l’autre se tourna ostensiblement vers moi, tournant son cul à Cindy et son chewing-gum.


Je vins remuer juste entre eux deux, souriant avec provocation, balançant des hanches et agitant ma poitrine, tantôt face à l’un, tantôt face à l’autre. Je les observai maintenant avec attention. Ils devaient tous deux avoir entre vingt-cinq et trente ans. L’un était brun, assez grand, et plutôt beau malgré un nez un peu fort, et me fixait sans sourciller d’un regard séducteur. Il devait porter des lentilles car ses yeux paraissaient briller pastels à chaque coup de lumière violette. L’autre était plus petit, le crâne complètement rasé, la tête presque toute ronde, et ses yeux rieurs achevaient de le rendre mignon. Il me souriait avec charme aussitôt que je me tournais vers lui.


Ce fut celui-ci qui tenta sa chance le premier ; profitant d’un instant où je dansais face à lui, il passa ses deux bras noués autour de mon cou. Je continuai de me déhancher, et me collai même à lui avant de m’accroupir en dansant toujours. Et arrivée à hauteur de son bassin, je passai avec provocation ma langue sur mes lèvres, sous ses yeux stupéfaits, mais me relevai rapidement en me dégageant de son étreinte et me tournai vers l’autre garçon.


Ce dernier, en réaction, me prit les mains et nous dansâmes un moment ainsi ; mais il se rapprochait doucement et, comme je ne me débattais pas, il dut croire que c’était gagné et m’attira soudain franchement contre lui. Je refermai mes mains sur ses fesses et pressai ma poitrine contre son torse puis, me dressant sur la pointe des pieds, passai ma tête sur son épaule pour lui suçoter le lobe de l’oreille un court instant, avant de me reculer vivement.


L’autre garçon m’attrapa à cet instant par les hanches, et voulut me faire doucement tourner sur moi-même pour revenir vers lui. Mais je ne me laissai pas faire et reculai encore un peu jusqu’à coller mes fesses contre lui, avant de les remuer lascivement à hauteur de son entrejambe. Quelque chose de dur s’érigeait en réaction à mes déhanchements outranciers. Je l’excitai encore quelques secondes ainsi sans quitter d’un regard malicieux celui qui me faisait encore face et lorgnait alternativement mes seins et mes yeux.


Je me réavançai bientôt vers lui en me léchant une nouvelle fois les lèvres. Il voulut m’embrasser mais je détournai la tête au dernier instant et son baiser fut pour ma joue. Et je pivotai sur moi-même pour, comme à l’autre juste avant, osciller des fesses charnellement contre le haut de ses cuisses, tout en regardant avec concupiscence celui qui me faisait face. Ce dernier s’approcha pour me crier par-dessus la musique :



Je continuai de le fixer de mes yeux ardents.



Je me tournai en reculant d’un pas pour rester entre eux mais les voir tous deux à la fois, et leur fis signe à chacun de s’approcher encore. Ils vinrent se coller presque à moi. Et quand je fus sûre qu’ils pourraient tous deux m’entendre, je leur criai avec un sourire libidineux :



Ils écarquillèrent les yeux de concert. Je me remis à danser, apparemment détachée, mais en les surveillant du coin des yeux. Ils se regardèrent et je devinai sur les lèvres du plus petit un truc comme « Putain ! Quelle salope ! » Ils échangèrent ensuite quelques paroles l’un à l’oreille de l’autre. Mais je ne les laissai pas trop réfléchir et revins me déhancher juste entre les deux, plaquant de nouveau mes fesses contre les cuisses de l’un tandis que l’autre avait mon décolleté juste sous les yeux. Et je passai une main derrière moi et l’autre devant, à la recherche ostensible de leurs deux sexes, que je sentis gonflés sous leurs pantalons.


Le brun qui me faisait face posa ses mains sur mes joues et cette fois je le laissai faire lorsqu’il m’embrassa à pleine bouche. Ma langue roula sur la sienne tandis que mes deux mains massaient de haut en bas leurs organes durcissant encore. Et l’autre jeune homme avait soulevé ma robe et explorait d’une main mes cuisses et mes fesses, attendant patiemment que notre baiser fut fini pour venir à son tour m’embrasser avec fougue dès que je tournai légèrement la tête vers lui.



Ils ne répondirent rien, mais ne retirèrent pas leur main non plus, se contentant de rire lorsque leurs regards se croisèrent. Et retraversant toute la piste de danse encadrée de mes deux conquêtes, je me dirigeai doucement vers la sortie de la boîte sous les yeux hallucinés d’un bon nombre de personnes. J’étais heureuse…


Je croisai Maï-Linh qui se dirigeait apparemment vers les toilettes en tenant un autre gars par la main.



Elle continua mais se retourna pour me lancer un regard empreint de respect. Et un peu plus loin, j’aperçus Tania, et Audrey qui devait être en train d’essayer de la draguer ; mais ma copine me tournait le dos et seule l’hôtesse me vit. Elle haussa les sourcils d’un air interrogateur et leva vers moi une main avec deux doigts tendus. J’acquiesçai à son attention par un furtif hochement de tête. Elle me parut rire et dit quelque chose à l’oreille d’Audrey qui se retourna la seconde d’après pour me regarder à son tour en riant partir avec les deux garçons.


Mais elle courut presque entre les rangs des danseurs, plus épars en bord de piste, pour m’intercepter juste avant que je ne quitte la salle. Elle se planta devant moi, observa rapidement les deux jeunes hommes que je tenais toujours par la main, et m’embrassa à pleine bouche sous leurs yeux ébahis, avant de s’éloigner en leur disant brillamment :



Ils la suivirent un instant de leurs yeux consternés, puis le plus petit me fit :



Nous sortîmes finalement de la discothèque, croisant encore quelques personnes et je les menai sans un mot à travers les escaliers et les couloirs jusqu’à ma loge.



Je tapotai le code de ma porte de loge et nous entrâmes tous les trois. C’était un peu le bronx dans la petite chambre et, en leur proposant de s’asseoir, je rassemblai rapidement au pied de l’armoire les fringues qui traînaient un peu partout, ainsi qu’un splendide gode que Lisa avait utilisé dans l’après-midi pour entraîner Audrey et qui déclencha l’hilarité des deux garçons. Ben prit une chaise et Fabien s’installa sur la banquette. Ils avaient tout de même l’air tendus ( !).



Ils se regardèrent, hésitants.



Je me baissai pour y fouiller, en essayant de garder la pose la plus provocante possible, gardant levées bien haut mes fesses que j’agitai un peu sous leurs nez en continuant :



Ils rirent. Les seuls alcools qui restaient dans le bar étaient des mignonnettes de rhum et de whisky. Il en restait deux de chaque. Il y avait aussi des cannettes diverses.



Je sortis trois gobelets et le nécessaire pour faire leurs boissons et un rhum-coca pour moi, et les préparai en discutant un peu :



J’acquiesçai d’un hochement de tête, puis trinquai rapidement avec eux et bus presque cul sec mon cocktail. Me voyant faire, ils se sentirent obligés de m’imiter. Puis je jetai mon verre en plastique d’un air désinvolte et baissai dans mon dos la petite fermeture qui maintenait serrée ma robe, avant d’en faire aussi tomber les bretelles pour la glisser finalement à mes pieds en me déhanchant lascivement. Et j’apparus ne portant plus qu’un string devant leurs yeux avides dardés sur ma poitrine.


Je les regardai l’un après l’autre d’un air affamé, cherchant par lequel j’allais commencer. Et je me sentis attirée par les yeux fébriles de Fabien. J’allai m’asseoir à califourchon sur ses genoux et me cambrai sous ses yeux. Il referma immédiatement ses mains sur mes seins et se mit à les dévorer presque férocement tandis que je pressai son visage contre mon torse. Puis je tournai la tête au maximum pour essayer de voir Ben derrière moi :



Il se leva et s’approcha en retirant d’un geste sa chemise à boutons-pression, puis, se campant derrière moi, vint m’embrasser avec fougue, passant sa tête au-dessus de la mienne penchée en arrière et me tenant les joues. Fabien, sans cesser de lécher ma poitrine, descendit une main sur mes fesses et retira l’autre de mon dos pour la passer entre mes cuisses ouvertes sur les siennes et parcourir doucement ma raie par-dessus le tissu léger de mon string.


D’une main, derrière moi, je cherchai l’entrejambe de Ben qui m’embrassait toujours, et de l’autre, passant entre ses bras, celui de Fabien. Je trouvai les deux organes à nouveau (ou toujours ?) raidis sous les pantalons et les massai un court instant. Mais la position m’était inconfortable ; je me relevai et retirai mon string. Ben referma ses mains sur ma poitrine ; je le laissai me peloter un instant, tandis que Fabien retirait à son tour son sweat et son tee-shirt.


Et je montai ensuite debout sur la banquette, un pied de chaque côté du garçon assis devant moi, mon bassin à la hauteur de son visage. Il s’appuya en arrière sur ses deux bras et me regarda me glisser un doigt jusqu’entre mes lèvres déjà très humides. Je le lui tendis ensuite à suçoter en lui lançant des yeux enflammés. Puis je vins presque m’asseoir, les cuisses ouvertes, sur sa tête qu’il pencha en arrière et je sentis sa langue chercher à explorer ma vulve, me déclenchant de premières sensations de plaisir. Je me balançai quelque peu d’avant en arrière, me frottant sur sa langue, de mon clitoris jusqu’à l’arrière de mon sexe.


Ben monta soudain sur la banquette à côté de moi ; il était complètement nu et son sexe assez long pointait fièrement vers moi. Je me laissai quasiment tomber à genoux derrière Fabien pour me jeter ensuite sur la queue tendue que Ben me présentait, et l’engouffrai immédiatement dans ma bouche avide. Je suçai avec acharnement en quelques rapides va-et-vient furieux tout en massant doucement ses bourses durcies.


Du coin de l’œil, je vis Fabien se dévêtir à son tour entièrement et monter lui aussi sur la banquette pour venir se camper debout à côté de l’autre garçon, présentant son gros sexe tendu devant mon visage, à quelques centimètres de l’autre que je suçais toujours. Et je passai avec résolution de l’un à l’autre, les dévorant ou les branlant à toute allure, alternant petits coups de langue et profondes intromissions, et les tenant par instants de sorte que leurs deux glands s’effleurent sous mes lèvres.


Mais Ben me contourna bientôt et je le devinai s’agenouiller derrière moi ; il guida son sexe jusqu’à l’entrée du mien, et, me prenant par les hanches, s’enfonça puissamment en moi, m’arrachant un soupir d’extase. Il se mit à me défoncer directement à toute allure, et j’eus du mal à continuer de sucer Fabien tellement mon corps se balançait d’avant en arrière au rythme des vigoureux coups de bassin que m’imprimait Ben. Le plaisir et l’excitation me rendaient folle et je me sentais emplie d’un désir inavouable pour leurs corps exaltés.


Fabien finit par s’asseoir sur le bord de la banquette et je continuai un instant de le sucer avidement, plongeant mes lèvres autour de sa hampe rigide tandis que l’autre garçon me défonçait toujours à toute vitesse. Mais je devinai qu’il ne tiendrait pas longtemps à ce rythme et me dégageai finalement de son étreinte pour venir, tournant le dos à Fabien, m’asseoir, m’empaler même, dans un nouveau gémissement d’extase, sur le sexe épais que je suçais juste auparavant.


Et tout mon corps oscillait de haut en bas à un rythme que je pouvais choisir. Le jeune homme que je chevauchais posa ses mains sur mes seins et les massa avec diligence. Ben se releva et vint à son tour me présenter son sexe odorant de mon plaisir juste devant la bouche. Et je le pompai, toujours avide, ponctuant de profonds soupirs chaque glissement de mes lèvres.


Il se recula bientôt quelque peu, pour venir coincer son sexe debout entre mes deux seins que Fabien maintint bien serrés autour de l’organe prêt à exploser. Et il se laissa branler ainsi quelques secondes ; c’était moi qui me balançais autour de lui, savourant chacun de mes mouvements sur la queue qui m’explorait. Puis Ben présenta à nouveau son gland gonflé devant mes lèvres. Je le suçotai encore et, sentant le souffle chaud de Fabien dans mon cou, fus prise d’une irrésistible envie de jouer.



En accompagnant toujours chacun de mes va-et-vient sur sa queue, il approcha ses lèvres de mon oreille et murmura, entre deux soupirs :



Et je tins fermement la queue de Ben, la branlant toujours mais plus doucement, et me tordis pour passer un bras derrière Fabien et pouvoir presser sa tête vers l’avant, vers le sexe tendu que je léchai une dernière fois. Et à ma plus grande satisfaction excitante, il referma sa bouche autour du gland dilaté. J’y joignis la mienne, cherchant à lécher à la fois le bout de l’organe durci que je masturbais encore énergiquement et les lèvres maladroites du jeune homme.


Je pressai encore plus fort la tête de Fabien qui, surexcité, faisait des efforts pour sucer Ben plus profondément. Mais celui-ci poussa soudain un grand hurlement et, sans que j’eusse rien vu venir, je devinai passer sous mes doigts serrés sur sa queue un flot de sperme qui jaillit par puissantes saccades sur le visage de Fabien, qui s’était pourtant reculé dans un réflexe dès qu’il avait senti arriver les premières gouttes. Je continuai de branler à toute allure et très fermement le sexe convulsif de Ben qui achevait de se décharger sur mon torse, et perçus presque aussitôt au fond de ma vulve la jouissance de Fabien qui s’était mis à serrer bestialement mes épaules sous ses doigts crispés en haletant sur mon dos d’un souffle chaud.


Ben se recula en lâchant sa queue et se laissa tomber en arrière sur la banquette, et Fabien l’imita bientôt, s’effondrant à son tour sur le dos. Je me levai, laissant couler quelques gouttes de sperme sur ses cuisses inertes, et fis quelques pas dans la pièce, m’étirant en repensant à tous les amants que j’avais eus aujourd’hui : le masseur ce matin, les trois gars pendant la seconde épreuve et eux maintenant ; aucun n’était parvenu à me faire jouir…



Ils ne bougèrent même pas.



Je fouillai encore dans le minibar et sortis une nouvelle fiole de rhum que je diluai dans un gobelet avec le reste d’une canette de coca. Ce fut Fabien qui émergea le premier de sa torpeur. Il se redressa ; son visage portait des traces de la jouissance de l’autre garçon, qu’il essaya d’essuyer vaguement sur son front et son menton. En souriant, je lui désignai la salle de bains. Il se leva avec peine et s’y dirigea sans un mot. Je bus quelques gorgées de cocktail, attendant qu’il en sorte pour prendre sa place. Ben se redressa à son tour et darda vers moi des yeux hagards.



Je l’observai, toujours provocante, en récupérant d’un doigt son sperme sur mes seins et lui répondis, mystérieuse :



Ben rit nerveusement en se prenant la tête dans les mains. J’adorais me comporter ainsi. Je continuai :



Sans répondre, il ressortit du coin douche, son sexe toujours un peu gonflé pointant entre ses jambes vers le sol. Je l’effleurai en allant prendre sa place ; je pris un gant de toilette que je mouillai pour essuyer le sperme sur ma poitrine et mon buste, puis entre mes cuisses. Et avisant la "poire" de lavement qui était toujours là depuis l’après-midi, près des toilettes, je fermai la porte et me "préparai" à poursuivre furieusement la soirée.


Et, prenant encore deux sachets de gel lubrifiant qui traînaient encore là, je revins vers mes deux amants qui étaient en train de se marrer en discutant. Je les observai ; ils étaient beaux, surtout Ben, et plutôt bien faits. Lui était un peu maigre à mon goût, mais le corps de Fabien assez musclé et sans une once de graisse me plaisait beaucoup. J’en voulais encore. Et j’en voulais tout de suite…



Celui-ci les avisa, surpris, puis se mit à me caresser doucement les seins et m’embrassa sur la joue. Fabien me regardait, détaillant chaque centimètre carré de mon corps. J’écartai les cuisses, l’invitant tacitement. Mais sous mes yeux excités, il alla se saisir au pied de l’armoire du gode que j’avais écarté en arrivant, puis vint s’asseoir à côté de moi et me le tint oscillant devant mon visage. J’ouvris la bouche en tirant la langue, il me l’enfonça très doucement, puis le fit aller et venir entre mes lèvres.


Ben passa une main entre mes cuisses et remonta un doigt le long de ma raie, à plusieurs reprises. Et trouvant finalement mon clitoris durci, il joua un long moment à le faire tournoyer sous son majeur, tandis que je continuai de sucer sous leurs yeux ravis le sexe factice. Et tout doucement, je sentis se regonfler le pénis de Ben contre ma cuisse. Je l’effleurai d’une main un instant, le faisant durcir encore.


Fabien retira le gode de ma bouche pour aller l’appliquer contre ma vulve, sous les doigts toujours actifs de son compère. Il m’embrassa à pleine bouche et le fit entrer lentement en moi, puis l’agita quelques secondes. Je me cambrai et me relâchai, accompagnant les va-et-vient de l’objet et les caresses sur mon clitoris. Le sexe de Fabien vint durcir à son tour contre mon autre cuisse.


Je branlai doucement les deux jeunes hommes qui continuèrent de me masturber un moment. Puis Fabien sortit le gode de mon sexe pour me le présenter à nouveau à sucer. Je refermai mes lèvres sur le plastique mouillé qu’il remua quelque peu dans ma bouche. Et il recommença, l’enfonçant sans le moindre ménagement dans mon sexe coulant pour me le présenter quelques secondes plus tard devant le visage. Mais je l’interceptai cette fois et m’emparai de l’objet pour le donner à sucer à Ben, qui hésita un court instant avant de se mettre finalement à le dévorer avec fougue. Et l’instant d’après, je l’enfonçai encore entre mes cuisses et le portai devant Fabien qui suçait à son tour, aspirant mon plaisir coulant sur le plastique odorant.


Et nous gémissions toujours tous les trois, d’excitation et de plaisir ; les garçons se frottaient maintenant contre moi, masturbant le long de mes cuisses leurs sexes de nouveau tout raides, et exploraient chaque recoin de mon corps de leurs doigts insatiables.


Mais je me redressai bientôt, tendant le gode à Ben qui me regarda sans comprendre, et vins m’allonger à plat ventre sur lui, tête-bêche, plaquant mon pubis contre son visage et me saisissant déjà de sa queue revigorée pour la sucer à nouveau avec acharnement. Il se mit à me lécher avidement en venant sous mes cuisses passer jusqu’à mes fesses ses mains armées du gode, qu’il appuya directement sur mon anus. Le simple contact de sa langue et du plastique rigide me porta à un nouveau degré d’excitation, et j’empoignai vigoureusement la queue qui vint bientôt se tendre à côté de l’autre lorsque Fabien se releva pour venir s’installer à genoux de part et d’autre des jambes de l’autre garçon.


Une fois encore, je pompai un instant l’une et l’autre, les suçant et les branlant alternativement, tandis que Ben dévorait ma vulve chaude en pressant le gode sur mon sphincter. Il s’arrêta soudain et je l’entendis déchirer un des sachets de lubrifiant et le vider en haut de ma raie. Le gel presque liquide coula jusqu’à mon anus où les doigts du jeune homme rentrèrent en tournoyant pour l’étaler. Et il ouvrit même le second sachet et recommença, poussant plus loin ses doigts dans mon derrière.


Et de nouveau, je sentis le gode presser fortement contre mon anus ; je poussai quelque peu et l’engin passa presque facilement la barrière de mon sphincter et s’avança doucement, par saccades qui suivaient les premiers va-et-vient qu’imprimait Ben. La bouche toujours pleine, je gémissais à chaque nouvelle secousse entre mes fesses. Quand le gode fut largement enfoncé, il se remit, sans cesser de l’agiter, à me lécher avec application et ce ne furent plus des gémissements que je laissai échapper, mais de véritables plaintes.


Ce n’était toutefois pas de plastique que j’avais envie. Je me redressai et me dégageai finalement de son étreinte pour me retourner et venir m’agenouiller face à Fabien au-dessus du sexe de Ben que je maintins tendu pour le placer tout contre mes fesses où il vint presque sans difficulté remplacer le gode. Je m’empalai doucement, lentement, jusqu’à ce que mes fesses reposent sur son pubis, sa queue profondément enfoncée dans mon derrière. Je me laissai alors choir en arrière, me retenant de mes bras tendus de chaque côté de son corps.


Fabien m’avait regardé faire et comprit tout seul ce que j’attendais. Il attendit que je sois bien installée, et que Ben commence à s’agiter pour s’avancer jusqu’à ce que sa queue puisse venir s’enfoncer dans ma vulve trempée. Je m’immobilisai complètement et écartai les cuisses au maximum pour faciliter son entrée. Et quand ils furent tous deux en moi, je leur criai :



Ils me prirent au mot et se mirent, autant que leur position le leur permettait, à me "défoncer" de toutes leurs forces. Et je me mis à hurler à chacun de leurs coups de bassin tantôt simultanés et tantôt désynchronisés. Eux gueulaient aussi en enfonçant leurs sexes au plus profond de mon corps.


Ben leva les bras pour les refermer sur mes seins et comme il m’attirait vers lui en me pelotant avec force, je me laissai littéralement tomber sur lui, mon dos contre son torse et ma tête sur son épaule. Et mes mains libérées, je pus accompagner de vives caresses sur mon clitoris durci comme jamais les violents coups que Fabien m’imprimait en tenant levés mes genoux ouverts. Je criai d’un plaisir d’une rare violence en essayant de savourer chacune des secondes intenses que m’offraient mes partenaires bestiaux.


Mais je ne tardai pas à jouir furieusement dans un long geignement et une ultime crispation, tandis qu’eux continuaient de me défoncer à toute allure. Et quand je m’effondrai bientôt, rassérénée et parfaitement décontractée, ce fut pour savourer encore quelques longues minutes d’un plaisir très différent les va-et-vient brutaux qu’ils effectuaient toujours dans mon corps désormais presque inerte, mais toujours sensible.


Et Fabien, hurlant à son tour, s’immobilisa une seconde au fond de mon sexe, crispé, puis m’asséna deux ou trois ultimes soubresauts extatiques et libérateurs en ahanant par saccades. Il se retira de mon corps que secouaient toujours les déhanchements difficiles de Ben. Je me laissai tomber sur le côté pour me mettre à quatre pattes à côté de celui-ci, les fesses bien levées. En un bond, il fut agenouillé derrière moi et revint me sodomiser avec brutalité, en grognant, pour un court instant avant de jouir à son tour au fond de mes fesses dans un ultime râle de plaisir. Puis il s’écroula lourdement sur la banquette derrière moi ; je m’y laissai aussi tomber à plat ventre ; Fabien était allé lui s’effondrer sur le fauteuil en face du lit. Je soupirai en fermant les yeux.


Mais ayant peur de m’endormir, je me relevai bien vite. Je jetai un coup d’œil vers l’horloge qui indiquait, moqueuse, deux heures et demie passées. Je repris mon ton espiègle pour m’adresser à mes deux partenaires :



Il alla ramasser ses fringues et les repassa lentement. Fabien se leva dans un effort et l’imita bientôt. Je restai nue, à tourner en rond dans la pièce, roulant des fesses sous leurs regards toujours admirateurs. Ben, habillé, s’approcha de moi. Il pelota une dernière fois mes seins, sous mes yeux surpris. Je déposai un baiser sur sa joue.



L’interpellé vint à son tour me faire une bise et me tapota les fesses en souriant, puis alla rejoindre son compère près de la porte de ma loge.



Ils ouvrirent et sortirent dans le couloir ; je les accompagnai jusque sur le seuil de la porte, leur disant :



Ils se retournèrent pour m’adresser un dernier clin d’œil, à l’instant même où une voix pénible s’éleva derrière moi :



C’était évidemment Cindy, qui avait évidemment choisi pile cet instant pour rejoindre sa loge évidemment voisine de la mienne. Et j’étais évidemment toujours nue, bêtement devant elle. Elle me regarda de haut en bas avec insistance, puis commença de tapoter le code de sa chambre. Je cherchai une connerie à lui répondre pour la faire chier :



Et je rentrai en claquant la porte derrière moi. Je l’entendis vaguement beugler quelque chose que je ne compris pas, puis sa porte claqua aussi. J’attendis quelques secondes pour ressortir ; je voulais aller voir si Audrey était rentrée. Toujours nue (j’avais la flemme de remettre quelque chose, et puis, au point où j’en étais…), je retournai dans le couloir pour aller frapper discrètement à la loge voisine de ma copine.


Mais un vilain gloussement se fit entendre et je devinai que je ne serais peut-être pas la bienvenue. J’allais repartir vers ma chambre, d’autant que résonnaient des voix à l’autre bout du couloir, mais la porte s’ouvrit et Audrey passa sa tête dans l’encadrement.



Je haussai les épaules et lui adressai un sourire désarmé.



Elle ouvrit un peu plus grand la porte. Elle aussi était nue. J’entrai ; elle referma. Dans la banquette en vrac, je découvris Tania, rieuse et les joues toutes rouges, qui se cachait vaguement sous les draps.



Tania fit une moue exténuée.



Elle attendait apparemment ma réponse.



Et elle alla s’installer sous les draps près de Tania dans le lit ; celle-ci se mit soudain à rire nerveusement en me regardant.



Je souris en soupirant et m’avançai pour les rejoindre tandis qu’elle soulevait les draps de son côté du lit.