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Temps de lecture estimé : 9 mn
12/05/08
Résumé:  L'apéritif destiné à arroser l'achat d'une splendide paire de bottes est l'occasion d'initier la maîtresse de maison aux nouveaux plaisirs de l'amour auxquels elle s'est toujours refusée jusqu'à présent.
Critères:  2couples extraoffre fépilée exhib noculotte fellation fdanus fsodo hdanus jeu init -entrecoup -fellation
Auteur : Humoureux            Envoi mini-message

Série : Une paire de bottes en cuir... au débotté

Chapitre 02
Une paire de bottes en cuir ... au débotté (suite )

Sur les conseils de nos amis, Christiane et Bernard, ma femme Hélène est donc allée, sans culotte, acheter cette paire de bottes en cuir noir, pour le plaisir partagé de la vendeuse et de ma femme. Sera-ce le déclic vers une vie sexuelle plus débridée ?






Nous avons donc invité Christiane et Bernard à venir prendre l’apéritif ce dimanche midi, afin d’arroser l’achat de la paire de bottes de cuir noir.


Hélène porte la même tenue que la veille, à savoir un chemisier blanc de soie, une jupe droite de couleur noire et les fameuses bottes dont dépasse une paire de bas en soie, autofixants, du plus bel effet.


Christiane porte une robe en laine, blanche sur le haut, noire sur le bas, et, bien entendu, sa paire de bottes de cuir noir qui avait tout déclenché lors de notre dernière rencontre. Sa robe lui moule admirablement le corps. Et j’ai l’impression que Christiane ne porte ni petite culotte ni soutien-gorge.


Bernard apporte une bouteille de champagne Dom Perignon qu’Hélène s’empresse d’aller mettre au frais à la cuisine, suivie par Christiane qui s’est proposée pour aider ma femme dans les préparatifs pour l’apéritif.


Nous nous retrouvons donc entre hommes, au salon.



En attendant que ces dames reviennent de la cuisine, nous attaquons un 421, histoire de passer le temps.


Au bout d’un long moment, Hélène et Christiane reviennent de la cuisine, portant chacune un plateau avec champagne et whisky, ainsi qu’un assortiment de gâteaux salés chauds dont l’odeur nous titille les narines.


Profitant d’un instant où Hélène a le dos tourné, Christiane me glisse discrètement dans la poche… la petite culotte en dentelles de ma femme, tout en me gratifiant d’un clin d’œil complice.


Un premier toast est bien entendu porté aux bottes d’Hélène.



Tout en discutant, la bouteille de champagne est rapidement vidée, suivie d’une deuxième. Les petits gâteaux salés nous donnent soif.



Pour accompagner le jeu, j’ai ouvert la bouteille de whisky. Même dilué dans le soda, avec quelques glaçons, il devrait aider à lever d’éventuelles inhibitions !


En parfaits gentilshommes, Bernard et moi, bons manieurs des dés, commençons par perdre à tour de rôle. Et nous nous retrouvons très vite en chemise et boxer. Il est temps de rétablir l’équilibre.


Hélène vient à perdre. Elle enlève sa paire de bas noirs et remet ses bottes !


Je viens à perdre ma chemise.


Hélène perd à nouveau et doit enlever son chemisier. La voici en soutien-gorge de dentelle noire Aubade, échancré sur le haut, qui met bien en valeur cette paire de seins que j’aimerais chérir plus.


Christiane nous sort un 421, sous nos applaudissements.



Bernard me propose le sein droit de sa femme, lui se réservant le sein gauche, sous le regard à la fois intrigué et amusé d’Hélène. Quelle bonne idée, d’autant que je suis gaucher et lui droitier.


Je peux donc, à loisir, découvrir ce sein ferme, rond, parfaitement galbé, chaud sous l’excitation. Je passe délicatement l’index autour de l’aréole qui se confond quelque peu avec le sein, puis me dirige lentement, en spirale autour du sein, avant de revenir pleine main vers le téton qui commence à se gonfler, se dresser. Je le caresse d’abord avec l’index et le majeur, je le flatte, je le titille, puis, subitement, je le pince, arrachant un petit cri de plaisir à sa propriétaire, sous le regard amusé de Bernard et de ma femme.


Les deux minutes se sont trop vite écoulées. Christiane nous éconduit et baisse sa robe.



Le jeu continue.


Hélène perd et enlève son soutien-gorge, sans discuter, après avoir avalé une longue gorgée de whisky soda.



Christiane perd, l’a-t-elle fait exprès ? Elle enlève cette fois sa robe, de façon langoureuse, comme si elle était dans un club de strip tease et se retrouve nue, seulement porteuse de ses bottes.


Bernard nous sort un 421 !



Christiane nous gratifie d’un petit clin d’œil, se déchausse, s’installe à nouveau sur la banquette. Elle s’allonge, appuie la tête sur un accoudoir, remonte les jambes, les ouvre et nous invite à nous approcher. Elle caresse alors ses petites lèvres afin de les exciter, remonte jusqu’à son mont de venus parfaitement épilé, écarte lentement ses lèvres et nous laisse admirer une perle discrètement logée sur son clitoris.


Je me permets un sifflet d’admiration, prends ma femme par les épaules et l’incite à s’approcher de plus près.



Moins chanceux, Bernard perd cette fois sa chemise et se trouve, tout comme moi, uniquement en boxer.


Hélène perd et doit enlever sa jupe. Il ne lui reste que ses bottes…


Christiane, vengeresse, sort enfin un 111 ponctué d’un grand cri de joie.



C’est bien de moi qu’il est question !


Mon honneur est en jeu…



Christiane ne se fait pas prier et m’arrache le boxer sans ménagement, non sans me malmener le sexe en pleine érection.



Ses mains remontent le long de ma hampe et viennent me décalotter, laissant apparaître mon gland rouge et gonflé, une petite goutte de bonheur vient perler au bout de ma queue, goutte discrètement éliminée par la langue de Christiane.


Le contact de sa langue brûlante, bien que bref, augmente encore mon excitation et j’ai beaucoup de difficultés à feindre l’indifférence.


Hélène et Bernard nous observent, assis à côté de moi sur la banquette, cependant que Christiane est agenouillée devant moi.


Sans vergogne, Bernard prend la main gauche de ma femme et l’invite à lui caresser la bite au travers de son boxer. Après un petit mouvement de recul, Hélène se prend au jeu et ne tarde pas à plonger carrément dans le boxer de Bernard, déjà taché par l’excitation.


Christiane poursuit l’exploration de mon sexe. Ses mains redescendent délicatement le long de ma hampe, puis saisissent fermement mes bourses, m’arrachant un petit cri de douleur.


Pour se faire pardonner, Christiane frôle mon périnée, le caresse, le contourne, puis reprend ses caresses, me déclenchant une nouvelle perle d’excitation qui est cette fois aspirée goulûment par la bouche avide de mon exploratrice.


Je crains que les deux minutes fatidiques ne soient écoulées, mais, à l’évidence, plus aucun de nous quatre ne s’intéresse au temps imparti.


Christiane me pompe maintenant allègrement, avec une telle sensualité que je commence à avoir les pires difficultés pour ne pas jouir et pouvoir continuer à bénéficier du bonheur qui m’envahit. Elle se caresse la chatte qui doit être dégoulinante, s’enduit les doigts et vient m’en lubrifier l’anus, avec beaucoup d’habileté. Jamais pareil traitement ne m’avait été réservé et cela fait diversion.


Devant moi, Bernard n’a pas hésité à prendre la tête de ma femme qui risque de s’étouffer en lui pompant la queue au même rythme que Christiane me réserve. C’est un véritable challenge qui s’est engagé entre les deux femmes !


La main libre de Christiane s’est égarée entre les fesses de ma femme. Elle se glisse dans la fente humide d’Hélène, lui arrachant un cri étouffé par la bite de Bernard. Elle en ressort toute gluante de bonheur et lui lubrifie sa petite rose à son tour.


Je ne sais si Hélène sent ce que lui réserve à l’instant Christiane. Elle semble trop absorbée par le pompage de la bite de Bernard. Je devine Christiane introduire un puis deux doigts dans la petite rose de ma chérie, qui étouffe à nouveau un petit cri, mais n’a aucun mouvement de recul.


Tout en continuant de masturber l’anus de ma chérie, Christiane dégage sa bouche de mon sexe. Elle m’incite à me lever et elle m’incite à venir m’agenouiller derrière ma tendre Hélène.


Je découvre alors ses cuisses largement écartées, son sexe dont la pilosité est densément humidifiée par l’excitation. Et cette petite rose, toute gonflée par l’excitation, le désir, pénétrée par les doigts de Christiane.


Christiane en sort délicatement les doigts encore couverts de bonheur, me prend le sexe et l’y introduit délicatement.


Moi qui ai fantasmé moult fois sur l’art de la sodomie ! Et c’est la main d’une amie qui m’y guide merveilleusement. Elle me caresse les bourses puis à nouveau le périnée, au rythme de ma pénétration de la petite rose de ma femme.


Soudain, je sens un puis deux doigts pénétrer sans ménagement mon anus. Ce qui a pour don de me déclencher un orgasme fulgurant dans la rose ouverte de ma femme.


Hélène pousse un cri à ébranler tout l’appartement.


Bernard, au comble de l’excitation, se met à jouir à son tour sur le visage d’Hélène.


Hélène et moi, encore l’un dans l’autre, épuisés, nous laissons tomber sur la moquette.


Christiane ne laisse à personne d’autre le soin de récupérer le plaisir de son mari sur le visage de ma femme.


Puis les deux femmes s’embrassent longuement, échangent leurs langues.


Christiane tient à partager la jouissance de son mari avec Hélène.


Hélène, par ses baisers fougueux, remercie Christiane de tant de bonheur nouveau… qu’il faudra encore peaufiner. En tout cas c’est mon ardent souhait !