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n° 12580Fiche technique8708 caractères8708
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Temps de lecture estimé : 7 mn
21/05/08
corrigé 01/06/21
Résumé:  Après les émotions, Karine rencontre Mylène chez Chantal.
Critères:  fff voir exhib cunnilingu anulingus fdanus jouet -lesbos
Auteur : Kitty Lévine      Envoi mini-message

Série : Le cours de dessin

Chapitre 03 / 03
Le collier

Si vous avez manqué le début : Je me remémore une étrange expérience avec un de mes modèles : Mylène. Certaines élèves étant parties, l’atmosphère se détend.


Si vous avez manqué la suite : Ce cours de dessin devient un lieu de jouissance, d’exhibition…



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Ils sont tous partis ; enfin presque tous. Karine est assise avec moi, par terre, devant le canapé, et nous sirotons la bouteille de champagne que j’ai ouverte, car nos émotions valent bien ça. J’ai juste enfilé un tee-shirt et je suis bien.



Elle m’émoustille ma Karine. Je deviens insatiable, je deviens une autre :



Elle me regarde, me sourit, et se lève.



Et sans plus attendre, elle se déshabille en un clin d’œil et revient s’asseoir, telle une odalisque. J’ai le droit à la naissance du monde sauf qu’elle est mieux foutue que celle du tableau de Courbet. Je crois que j’ai envie de la dévorer. Des yeux, de mes mains, de ma bouche, de mon nez, de la toucher avec mon cul, de sentir sa vulve contre la mienne. C’est fou, moi qui n’avais jamais fantasmé sur une fille avant d’avoir rencontré Mylène, voilà que je deviens accroc.


Merde ! Mylène ! J’avais oublié qu’elle devait passer. Évidemment, on sonne à la porte à ce moment. Après tout ! Karine va pour se rhabiller, mais je l’arrête :



Et je vais ouvrir à une Mylène qui ne semble absolument pas offusquée de ce qu’elle voit - d’ailleurs, ça m’aurait étonnée ! - qui me fait la bise et de même avec Karine, assise par terre, nue et… presque offerte !


Du coup, je me fends d’une explication chronologique à mes deux amies, tout en servant tout ce monde d’un champagne qui fuse. Puis, Mylène déclare en se levant :



Et elle retire ses chaussures, son pantalon et son slip dans un même geste, puis le reste suit.



À ce moment, elle éternue.



Mylène tend sa main vers son sac, sans doute pour extraire un mouchoir, quand il se renverse en partie sur le tapis, et on voit apparaître trois godes et un truc bizarre, rose fluo, comme un chapelet de grosses perles !



Moi, je passe un autre cap. J’en ai souvent vu en action dans des films, mais mon chéri ne m’en a jamais offert, et je n’ai jamais eu l’idée d’en acheter moi-même ! Mais, là, moi aussi, j’ai envie de voir ça en moi, sur moi.



Je ne vois rien, mais je sens que cela ne va pas tarder ! Karine, qui doit lire dans mes pensées, intervient :



Mylène nous regarde avec un sourire espiègle. Mon cœur bat fort un instant, mais je sais qu’elle va accepter. Effectivement !



Que veut-elle dire ? Je ne tarde pas à le savoir.



Je frissonne de bonheur, mais cela ne dure qu’un court instant, car elle passe à Karine qui apprécie le même traitement rapide en me regardant avec complicité. Le temps de dire ouf, et une de ses mains est en train de s’introduire dans son minou, ce qui provoque un tressaillement de Karine et un mouvement clair qui dit qu’elle en absorberait bien plus, et plus vite !



Je m’exécute de bonne grâce, ne sachant ce qui m’attend. Puis elle vient, accroupie, du côté gauche, à la hauteur de ma tête, et demande à Karine :



Et, elle me tourne le dos pour me montrer son cul, son merveilleux derrière, que j’ai tant admiré l’autre fois. Karine en fait autant et je mate, car celui-là je ne le connais pas. L’œillet est plus brun, plus plissé, plus petit. Un mignon petit trou du cul.


Elles sont toutes les deux accroupies, presque cul à cul, et moi j’ai la tête juste en dessous. Je vois aussi leurs sexes, leurs lèvres, et le clito de Karine, qui semble très long, alors que le petit bouton de Mylène m’est caché, car elles n’ont pas tout fait la même position.


Mylène amène par derrière ses perles, et enfin, je vois où elle veut en venir. Elle s’introduit la première. Puis je vois son anus avaler la seconde, quand Karine, d’une main, attrape l’autre bout et fait de même. Je suis immobile, je ne respire plus. Mes yeux vont et viennent de droite à gauche. J’ai le bas-ventre en feu, mais je ne veux pas me toucher, pas maintenant. J’exploserais trop vite. Les filles avalent progressivement toutes les perles une par une et soudain, leurs fesses se touchent. Je suis en dessous du plus beau pont du monde.


Alors, n’y résistant plus, je relève mes mains, passe par-dessous de chaque côté et prends possession de leurs intimités, doucement. Je sens Karine plus trempée, mais Mylène plus huilée, plus miel. Qu’importe, car je sens leur plaisir ensemble, et je m’aventure dans le vagin de l’une et bouton de l’autre et alternativement.


Elles commencent dans un lent mouvement à faire ressortir les perles, ensemble, une par une, et là, elles se mettent à gémir, de plus en plus fort, à l’unisson. J’accélère le mouvement de mes mains comme si cela me soulageait, car la sortie des perles est encore plus torride que l’entrée. Je vois les muscles de ces jolis petits trous du cul expulser chaque bille comme un nouveau-né – en fait, un plaisir nouveau né. Je suis folle, je voudrais me caresser, mais je ne les lâche pas.


Soudain, Karine immobilise ma main en elle d’une contraction, et je fais de même avec Mylène, car elles viennent, elles partent, elles décollent toutes les deux, dans un long râle. Le « collier » se désolidarise enfin des deux culs, et elles glissent chacune sur le sol, anéanties.


Quelques minutes passent ainsi. Je n’ose bouger. Puis doucement, toutes les deux tête-bêche par rapport à moi, elles relèvent la tête. Mylène, pose une main sur ma poitrine, Karine sur mon ventre. Puis elles se rassoient et se regardent avec un sourire complice. Mylène relève doucement mes jambes et me les écarte en me tenant les reins, pendant que plus près de moi, Karine me tient les cuisses en l’air.


Puis elles plongent toutes les deux leurs têtes, Karine sur mon minou, et Mylène sur mon anus. Et elles me sucent comme jamais je n’ai connu, toutes les deux à la fois ! Karine, tantôt s’activant tantôt sur mon clito, tantôt entrant en moi, Mylène, d’un mouvement très rapide. Je réalise que je suis offerte, qu’elles voient toutes les deux l’autre fouiller mon intimité. J’aime ça.


Soudain je sens les prémices de l’orgasme, et Mylène remplace sa langue par son doigt qui rentre profondément, et me déclenche un long feulement de plaisir. J’ai l’impression que cela ne s’arrête pas. Je ne veux pas que cela s’arrête. Mais progressivement, tel l’océan, le plaisir se retire, laissant place à la félicité.


Mes deux amies s’approchent de moi, et nous partageons toutes les trois un baiser affectueux.


La porte vient de s’ouvrir : mon mari, les yeux écarquillés…