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n° 12532Fiche technique12024 caractères12024
Temps de lecture estimé : 8 mn
02/05/08
Résumé:  Le nouveau modèle est un homme, et cela n'empêchera pas à Chantal de le faire oublier.
Critères:  f ff fff fffh copains exhib noculotte fmast intermast fellation -exhib
Auteur : Kitty Lévine  (Chantal continue son initiation dans l'exibitionnisme)      Envoi mini-message

Série : Le cours de dessin

Chapitre 02 / 04
La pose

Si vous avez manqué le début : Je me remémore une étrange expérience avec un de mes modèles : Mylène. Certaines élèves étant parties, l’atmosphère se détend.








La porte s’étant refermée, je propose des rafraîchissements bienvenus, quand Isa, toujours provocatrice, dit à la cantonade :



Je sens le regard amusé d’Isa se poser sur chacune de nous. Elle veut voir notre réaction, et elle est servie.



Je sens un trait de panique dans le regard de Michel, le modèle, et, en même temps, j’ai l’impression que son slip devient bien étroit, mais c’est pure impression peut-être. Il est temps que je reprenne la main.



Rire général. Mais l’atmosphère est bien détendue et tout le monde reprend sa planche à dessin sauf Isa, qui me lance :



Ne voyant pas les choses venir, je lui réponds qu’elle a carte blanche. Alors, elle s’approche de lui et lui prend délicatement le sexe avec trois doigts et le remonte jusqu’au nombril, puis sur la gauche, sur la droite et recommence.



Effectivement, Michel semble sensible au traitement esthétique proposé par Isa, et un début d’érection s’annonce, surtout que quatre paires d’yeux sont scotchées sur lui. Isabelle, sans aucune gêne, commence maintenant à le masturber doucement, en faisant sortir son gland à la lisière de son prépuce.



Je dois dire que la situation me dépasse totalement. Je savais mes copines délurées et assez portées sur les câlins coquins, mais là, il semble qu’autre chose se dessine. De plus, j’ai l’impression de ressentir quelque chose que j’ai déjà vécu avec Mylène. Je crois que c’est ce plaisir de voir les autres dans leur intimité.


Soudain Linda, qui masturbe avec conviction un Michel qui, lui, ne dit rien, les yeux fermés, résigné, tel un esclave de Michelange, s’approche de sa verge, ralentit le mouvement, la décalotte légèrement, et sans autre forme de procès, la gobe sous les regards de trois filles visiblement partagées entre l’étonnement, la curiosité et peut-être l’envie. Une ou deux minutes passent, dans un silence religieux et Karine miaule doucement :



Karine s’approche, pose une main sur la cuisse gauche de Michel, puis lentement, s’aventure sur ses fesses, doucement, tendrement. De l’autre main, elle s’insinue entre les deux jambes, provoquant chez Michel un léger mouvement d’écartement. Puis ses lèvres se posent sur ses bourses qu’elle vient de dégager, et entame une série de bisous de plus en plus mouillés. Lentement, elle remonte de la base de son sexe à son extrémité, la langue bien sortie, en quelques allers-retours lents et tendres. C’est beau. Tendre. Sensuel. Extrêmement sensuel ! Les regards de mes amies en disent long de leur approbation, leur envie, leur excitation.


Isa, mon Isa, mon amie, se laisse aller complètement. Assise, elle a dégrafé son jean et sa main est plongée dans son slip, sans aucune retenue, les yeux fixés sur la bouche de Karine et le sexe de Michel. Cela devait être un signal pour Linda, car celle-ci relève sa jupe et écarte son petit slip blanc, laissant apparaître une toison fournie mais soignée. Elle ne s’embarrasse pas de fioriture et plonge directement deux doigts dans son intimité. Elle m’avait toujours dit qu’elle était vaginale et qu’elle n’aimait pas perdre de temps en fioritures. J’en ai la preuve.


Moi, je suis béate. Je sais au fond de moi que ce qui se passe est un moment fort entre nous, qui pourrait le nier, mais, en plus, je vis pleinement ce que je vois. Je suis excitée, c’est sûr, mais je ne sais si je me mets à la place de cette bouche ou de ce sexe, de cette femme ou de cet homme, ou bien de mes deux amies qui se livrent devant nous. J’ai l’impression de ressentir leurs sensations à tous les quatre. Pas l’un après l’autre, mais l’ensemble.


La main de Karine qui lui caressait les fesses, s’enfonce soudain dans la raie de notre modèle, lentement. Étant de profil, je suis sans doute la seule à le voir. Le visage de Michel passe de l’étonnement au rictus, puis à un abandon, ce qui en dit long sur ce qu’il vient sûrement de se passer : la pénétration de son anus par un doigt inquisiteur. Rien que de penser « pénétration de son anus », j’en suis toute retournée. Ma respiration est plus intense. Le traitement infligé à Michel lui fait rendre les armes sans doute plus vite que prévu par celles qui n’ont pas tout vu, et son abandon ne fait nullement lâcher prise à Karine, qui ne laisse rien voir de ce qui aurait pu apparaître en quantité. Mais elle déglutit, la coquine !



Karine se relève et se penche sur Isabelle, puis, sans crier gare, lui approche la tête et lui roule un patin mémorable qui permet à Isa d’en profiter un peu vu qu’elle ne dédaigne pas.



Et tout le monde me regarde. Je n’ai rien eu, ce n’est pas vrai. Elle ne sait pas le plaisir que j’ai pris. Mais dans un sens, elle a raison.



Qu’est-ce qu’elles pensent de moi mes copines ? Que je suis une sainte Nitouche ?



Je suis le centre des regards. Elles espèrent me défier ? Me piéger ? Elles ne savent pas à quel point cette proposition me ravit. Étais-je lâche de ne pas l’avoir fait avant ? Je ne sais, mais c’est fébrilement que je commence à retirer mon tee-shirt, mon soutien-gorge et mon pantalon, ayant fait valser mes tennis dans un coin du salon. Puis je fais face à cette assistance maintenant complice, et même plus si l’on songe que Linda continue à se doigter, lentement, peut-être par peur de jouir trop vite.


Je songe un instant à ma sainte famille en vacances : et puis c’est comme ça, j’ai le droit à MON plaisir. C’est chasse gardée, privée, à moi ! Même si le privé est en train de devenir public dans mon salon. Je fais glisser mon petit slip orange, et le lance à Isa qui le passe devant son nez et dit :



Je joue encore à la prof, mais je crois que personne n’y croit plus :



Je prends une première position, le buste en avant, la main droite posée sur l’épaule de Michel qui penche sa tête. Ma main gauche est posée sur mon sein droit, ce qui me procure un bien-être rassurant. Et soudain je réalise qu’elles me regardent, qu’elles peuvent voir et dessiner ma vulve, mes fesses, car Karine a tourné autour de nous. Quand je réalise que cela fait une minute, je change de position, posant ma tête contre le torse de Michel, un pied sur le canapé, puis à la suivante celui-ci s’assied derrière moi, ce qui ne manque pas de me faire perdre mes moyens, et je m’enfonce l’index dans ma chatte tout en me penchant en avant. Il a pleine vue sur mon intimité, comme Mylène l’autre jour. En regardant, j’aperçois son sexe tendu dans mon entrejambe. Le temps de comprendre et Linda, sans doute plus intéressée par la position que par le dessin, réclame un changement.


Alors, je tourne le dos aux filles et me penche en avant, la tête sur la banquette, et mes cheveux, cachant cette verge qu’elles imaginent dans ma bouche et qui me chauffe le front. Puis je passe un doigt devant mon minou et pars explorer doucement mon anus. Que c’est bon ! je sens trois regards scotchés, j’entends des doigts qui s’affairent ! Où ? Je ne sais mais j’imagine. Du coup je tente un deuxième doigt, et je commence un va-et-vient plus rapide.



Comme je tiens à continuer, je biaise ! J’écarte encore un peu les jambes, et ma deuxième main vient se glisser sur mon sexe qui l’accueille, doigt, par doigt. Après tout, j’ai changé de position. Entre temps, notre modèle en a profité pour modifier un peu sa position, et j’ai son gland près de mes yeux, couchés sur le coussin de la banquette. Il en profite pour glisser une main vers un de mes seins, qui, après tout, ne demandait que ça, fièrement érigé par une excitation grandissante. Je rectifie ma première main en insérant un troisième doigt, chose qui ne m’était jamais arrivée, et soudain, je deviens très rapide, je tremble, je tremble, et dans un long cri, je m’étale au sol. Je me love autour de moi-même ; j’ai besoin de mon amour. Je m’embrasse le bras, la main, puis je serre fort mon pouce dans ma bouche, et je ne bouge plus.


Les filles se lèvent, et viennent m’embrasser affectueusement, une sur la fesse, l’autre dans le cou et la troisième sur la joue. Je suis bien.