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Cédric 03

Bonjour à tous, enfin la suite. Merci à ceux qui m’ont écrit et encouragé, j’espère ne pas vous décevoir avec cette troisième partie.Bien sûr j’attends vos commentaires, n’hésitez pas à m’écrire, je réponds toujours.

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Cédric se repaît du spectacle de la belle patricienne, abandonnée à ses caprices barbares. Ses doigts, parfumés du plaisir de sa conquête, remontent lentement sur le ventre de cette dernière, effleurent ses mamelons et viennent dessiner ses lèvres. Un léger mouvement de recul l’amuse. Il dépose un baiser au coin de la bouche de Solange qui ouvre des yeux surpris. Cédric sourit. Ses yeux plongent dans ceux de sa proie. Celle-ci découvre le visage de son profanateur tout maculé de ses sécrétions orgasmiques. Les doigts reprennent leur douce caresse et les lèvres de Solange s’entrouvrent légèrement.

• — Votre chatte a un goût délicieux. Allez, respirez son parfum sur mes doigts et goûtez sa saveur, c’est le nectar des dieux, vous allez voir !

Solange n’entend que le son envoûtant de la voix de Cédric. Les effluves de son plaisir envahissent ses narines. Sa bouche s’ouvre et, telle celle d’une chatte, sa langue lape les doigts de son séducteur. Subjuguée, elle tète les extrémités et avale son jus, les yeux toujours rivés dans ceux du jeune homme. Madame Granger devient goulue et c’est sans retenue qu’elle suce les doigts que Cédric enfonce dans sa bouche. Son autre main pétrit un sein et maltraite le téton. Son regard sombre s’appesantit de plus en plus sur sa conquête.

Lentement le visage du jeune homme se penche vers les lèvres affairées. Il retire ses doigts brusquement et sa bouche s’empare de celle de Solange. Leurs yeux sont toujours fixés dans ceux de l’autre et leurs langues s’enlacent et entament une danse perverse. La main libre de Cédric plonge rapidement dans l’entrecuisse de Solange et prend possession une nouvelle fois de la vulve. Il branle énergiquement la chatte enflammée, ce qui arrache de nouveaux gémissements, étouffés par leur baiser sauvage. D’une pression de la cuisse, il comprime le clitoris contre sa main et soulève sa partenaire qui s’accroche subitement à son cou de peur de perdre l’équilibre. Solange répond au baiser de Cédric et devient avide tant son suborneur lui procure du plaisir. D’une main experte, le bel étalon défait rapidement les boutons de son jeans et libère son sexe bien raide. La voluptueuse soumise écarquille ses yeux quand elle sent percuter le bâton de chair contre sa vulve. Un hoquet de surprise s’étouffe dans sa bouche lorsqu’elle perçoit le membre rigide labourer sa fente. Repue de jouissance, Solange se rend compte que son séducteur n’a pas encore pris son plaisir. Elle réalise qu’il va la posséder sans lui demander son accord. Déjà, la raideur du mâle en rut bouscule son clitoris. Elle sent sa virilité s’insinuer entre ses cuisses et forcer ses nymphes.

Le sexe de Cédric lui fait mal tant son désir est immense et seule la chaleur de la chatte de Solange pourra le calmer. Mais il veut savourer ce moment et c’est sans précipitation, qu’avec sa queue, il glisse entre les cuisses humides. Tantôt il fouille son sillon jusqu’à heurter son bouton sensible, tantôt son dard percute la base des fesses de la femme en émoi.

Les sécrétions féminines enduisent délicieusement sa queue et apaisent la tension qui l’habite comme un doux onguent. D’un mouvement de hanche, Cédric cale son gland entre les lèvres de sa conquête et pousse lentement pour l’embrocher. Instinctivement Solange bascule le bassin pour accueillir le pal qui se présente à l’entrée de son antre. Le nœud viril glisse sur le corail délicat et pénètre dans le goulet soyeux, mais la tête de son mandrin semble buter dans le fourreau encore contracté des violents orgasmes précédents. Enchanté de sentir sa queue enserrée dans cette gaine étroite, Cédric force le passage d’un puissant coup de reins qui arrache un râle profond à Solange. Elle se suspend davantage au cou de son amant, heureuse de recevoir un assaut si fougueux. Au paroxysme de son désir, le jeune homme saisit sa prise à bras le corps par la taille, la soulève et l’empale plus profondément sur son ardente virilité. L’ancienne du Lycée des Sœurs de la Grâce s’agrippe de plus belle à son puissant étalon et passe ses jambes de part et d’autre de ses hanches pour l’emprisonner entre ses cuisses. Elle halète de bonheur. Le jeune homme la transperce de sa lance. Elle sent ses muqueuses refoulées sous la poussée vigoureuse, elle geint de félicité sous l’envahissement de son ventre par cette divine colonne de chair. Cédric alterne savamment les mouvements de bassin pour pénétrer sa conquête en profondeur et les descentes du corps de Solange pour mieux l’embrocher.

• — Vous êtes bien serrée, Madame Granger, c’est un délice de forcer votre chatte en feu. Vous sentez comme je vous prends bien. Ma queue dans votre fourreau, c’est vraiment trop bon !

Le jeune homme ponctue ses phrases de solides coups de reins qui arrachent des onomatopées de ravissement à Solange. Elle s’accroche davantage aux épaules de son amant pour profiter au maximum de ses coups de boutoir.

Mais Cédric en veut plus. Il plaque sa prise contre la desserte et dans un dernier assaut enfile toute la longueur de sa hampe. L’estocade dans le ventre de Solange, décuplée par le choc du meuble dans ses reins, lui arrache un cri d’extase. Son bouton d’amour, comprimé par le pubis de son pourfendeur, ranime les ondes de la jouissance. Cédric ondule du bassin de façon imperceptible et démoniaque. Il s’enfonce profondément dans le conduit de sa victime et broie ses nymphes écumantes. Son mandrin épouse chaque parcelle du fourreau en feu et déclenche de merveilleuses vagues de plaisir qui font gémir Solange de plus en plus fort.

• — Vous êtes bonne, Madame Granger, et tellement serrée ! C’est un délice de vous faire l’amour et en plus, vous aimez vous faire fourrer je vois, chuchote sournoisement Cédric.
• — Tais-toi, je t’en prie, gémit Solange, alors que son amant la rend folle.
• — Me taire ! S’exclame Cédric. Me taire, alors que je prends un pied pas possible dans votre chatte et que mes couilles sont trempées de votre mouille, surenchérit-il pour troubler davantage la belle conquise en proie à la montée d’un nouvel orgasme.
• — Tais-toi, murmure Solange, en s’agrippant mieux à son tourmenteur qui entame de lents va-et-vient dans sa gaine en feu.
• — Avouez que ça vous plait d’avoir une bonne bite qui vous ramone la chatte, susurre Cédric qui augmente la vigueur de ses coups de boutoir tout en contrôlant la montée de son propre plaisir.
• — Je t’en prie Cédric ne soit pas odieux, balbutie la belle empalée qui perd pied, tant la colonne qui laboure son vagin l’envahit de sensations délirantes.
• — Allez, avouez ! C’est bon, n’est-ce pas ? Et ça vous plait, s’écrie Cédric en empalant énergiquement cette poupée de chair sur sa bite aux limites de l’explosion.
• — Salaud ! Tu es un monstre, s’exclame Solange alors qu’un nouvel orgasme la foudroie. C’est bon, c’est trop bon, arrête, je t’en prie, arrête …
• — M’arrêter ? Pas question, rétorque le vil séducteur qui savoure les spasmes violents du fourreau brûlant.

Cédric concentre toute son énergie à bloquer la montée de sa jouissance. Il assène encore de puissants coups de queue à chaque contraction vaginale pour marquer davantage sa prise totale de possession.

• — Oh c’est bon ! Oui c’est bon, j’aime ça, j’aime que tu me défonces la chatte, Cédric, oui j’aime ça, avoue enfin Madame Granger qui se délecte de la présence de cette hampe dans son vagin et oublie toute sa respectable éducation.

Dans un dernier souffle, Solange s’affaisse dans les bras de son amant et sa tête se pose sur son épaule. Toujours emmanché dans l’écrin palpitant, le jeune mâle enserre sa partenaire de façon protectrice

• — Tu m’as épuisée Cédric, murmure la belle empalée.
• — Mais je n’en ai pas encore fini avec vous, rétorque l’étalon arrogant en la faisant tressauter sur sa bite tendue
• — Mais tu n’as pas joui, s’aperçoit soudain Solange alors qu’elle a de plus en plus de mal à garder ses jambes autour des reins de son pourfendeur.
• — Ne vous inquiétez pas, nous allons remédier à ça, assène Cédric en se retirant brusquement de la chaleur du ventre de sa conquête.

Un gémissement de déception s’échappe de la bouche de Solange. Ses jambes flageolent quand son amant la repose sur le tapis épais. Avec un sourire carnassier, le maître du jeu fait pivoter sa partenaire sur elle-même. D’un geste sûr et impérieux, il lui écarte les jambes et la penche en avant. Instinctivement la voluptueuse Madame Granger pose les mains sur la desserte et cambre scandaleusement ses reins. Avec empressement, Cédric repousse la robe sur le côté et embrasse du regard le corps magnifique exposé à sa concupiscence. La croupe est rebondie et s’évase harmonieusement au bas du dos. La posture obscène sépare en deux, cette belle pomme charnue. Le sillon élargi est parsemé de petits poils luisants, le petit cratère brunâtre palpite au rythme du déhanchement lascif que vient d’imprimer Solange à son corps. Le beau mâle sourit d’enchantement à la vue des babines rougies par ses assauts. Le délicieux coquillage resplendit des sécrétions qui suintent de la fente entrouverte. Les yeux brillants, Cédric imagine les bijoux qui mettraient encore plus en valeur ces nymphes délicates. Se sentant épié, il relève la tête et découvre le regard de biche énamourée que lui lance l’objet de sa convoitise par miroir interposé. L’air mutin de son amante docile l’amuse, surtout ses cheveux collés au visage. Ses yeux se fixent sur la croix et le médaillon qui balancent nonchalamment au rythme de la danse lubrique. Le lourd parfum de la chatte en fusion emplit le hall et exacerbe ses désirs amoureux.

Cédric pose avec autorité ses mains sur les hanches de Solange et son sceptre se place sur les lèvres accueillantes. Les yeux plongés dans ceux de sa partenaire en chaleur, il s’enfonce d’un trait dans le fourreau moelleux arrachant un feulement de bonheur à la tigresse qui se pavane devant lui. Une deuxième poussée vigoureuse le fait percuter le fond de l’écrin brûlant. La bourgeoise embrochée découvre de nouvelles sensations. Jamais elle n’avait senti une bite la pénétrer aussi loin. Son amant la bouscule en cadence, chaque nouvelle poussée est une véritable extase. Son vagin est totalement investi, ses seins ballottent à chaque impact. La colonne de chair la perfore et l’ouvre chaque fois un peu plus. Ses muqueuses se déploient divinement. Le ventre de Cédric claque sur ses fesses, elle sent sa mouille s’écouler en abondance de sa chatte et dégouliner sur ses cuisses. Elle ondule et balance son bassin pour s’offrir davantage et bénéficier au maximum des assauts fougueux. Des gémissements de plus en plus puissants s’élèvent de sa gorge.

D’une poussée plus violente, Cédric s’empale profondément et s’immobilise au sommet la grotte en fusion. Ses mains remontent rapidement sur les épaules de Solange et l’attirent en arrière l’obligeant à se cambrer à l’extrême. Il saisit ensuite la robe et cherche à en débarrasser sa prise. Un bras après l’autre, elle abandonne le vêtement que Cédric laisse tomber négligemment à terre. Fort de la coopération de sa partenaire et ravi de la sentir se déhancher sur sa colonne, le jeune homme dégrafe, avec dextérité, le soutien-gorge qui glisse jusqu’aux poignets, arc-boutés au meuble massif. Les mains de Cédric entament un ballet diabolique sur le dos de Solange, effleurant ses hanches, glissant sur ses flancs, pressant ses épaules pour déferler le long de la colonne vertébrale. Et puis elles s’affolent, pétrissant la croupe voluptueuse pour plonger sur le ventre et empaumer brutalement les seins lourds avant de revenir, plus calmes, caresser les omoplates. Solange devient hystérique et c’est elle qui propulse énergiquement son bassin sur le pubis de son amant. Le plaisir la submerge par tous les côtés, elle veut connaître une jouissance explosive. Deux mains se posent sur ses hanches et prennent le contrôle de son corps. Elle est attirée vers son amant puis repoussée. Elle se sent glisser sur une barre de feu. Son fondement percute violemment le ventre de Cédric, secouant ses seins, alors que le mandrin qui la perfore ébranle son utérus. C’est une étrange sensation, ce n’est pas son amant qui la pistonne avec son membre mais c’est elle qui coulisse sur un axe de chair. Le tempo s’accélère lui arrachant des gémissements de plus en plus bruyants. Elle réclame même que son amant la défonce encore plus fort.

Cédric a les yeux rivés sur sa queue qui disparaît en cadence dans l’antre aux plaisirs de sa conquête dont les cris l’arrachent à sa vision extatique. Relevant la tête, il aperçoit dans le miroir le visage d’une furie resplendissante aux seins qui ballottent au rythme du puissant va-et-vient qu’il imprime. Les bijoux sacrés fouettent régulièrement les mamelons où perlent les gouttes de la rosée du plaisir. Il s’aperçoit que les yeux enflammés de Solange le fixent effrontément. C’est le regard arrogant d’une panthère en furie qui défie son dompteur… Lentement sa main gauche remonte le long du dos de Solange et ses doigts se referment sur la nuque moite. Il ralentit le mouvement de la chatte ruisselante sur sa queue et recommence à la ramoner en douceur. Le regard de Solange se fait plus intense et ne quitte pas les yeux de son assaillant.

• — Regardez, comme vous êtes belle quand vous vous faites prendre, Solange, s’exclame Cédric en accentuant ses assauts.

Les yeux de Solange changent de direction pour découvrir son regard fiévreux. Les cernes du plaisir marquent son visage, sa crinière colle à son front et à ses épaules. Ses seins tressautent à chaque coup de boutoir, ses lèvres halètent son ravissement à chaque percussion contre le col de son utérus. Son reflet l’excite et sa croupe s’anime pour épouser parfaitement le rythme des pénétrations profondes de son amant. Les ondes du plaisir s’intensifient.

La main gauche de Cédric augmente la pression sur la nuque de Solange, sa main droite glisse lentement sur le haut de la fesse en dessinant l’harmonieux contour de cette belle pomme. Le V formé par les deux hémisphères dodus semble indiquer le chemin à suivre et c’est avec détermination que son majeur s’aventure dans le sillon élargi par la cambrure exagérée. La pulpe effleure le sombre cratère palpitant et humide. Solange n’a pas le temps de réagir que d’une nouvelle ruade, elle s’empale sur le doigt vicieux qui disparaît entièrement dans son étroit conduit tant l’entrée est bien lubrifiée. Sidérée, la divine vestale de l’amour subit l’invasion de sa dernière virginité. Imperturbable, Cédric continue de glisser dans la grotte en fusion alors que son doigt s’enfonce de concert dans la corolle étoilée. Tendue à l’extrême, sur la pointe des pieds, Solange voit dans le miroir le rictus pervers du jeune barbare qui profane son dernier sanctuaire. La jouissance monte irrémédiablement en elle, emportant ses dernières réticences et elle abandonne sa croupe aux assauts sauvages de son amant. Ses seins s’agitent en cadence, sa respiration s’accélère, des gémissements de plus en plus sonores s’échappent du fond de sa gorge. Un deuxième doigt impérieux s’enfonce dans sa rosette assouplie alors qu’en même temps le mandrin démoniaque coulisse énergiquement lui arrachant un feulement d’extase. Un nouvel orgasme la submerge.

Cédric vrille ses doigts dans l’anus dilaté de sa soumise et pilonne rageusement sa chatte. Les claquements de son pubis contre le périnée de Solange résonnent dans le hall. La bourgeoise outragée crie son plaisir.

• — Ça vous plait de vous faire prendre comme ça, hein Solange, halète Cédric.
• — Oui c’est bon, tu me fais jouir, lâche la suppliciée dans un souffle
• — Tu es à moi maintenant, assène le satyre en rut, ponctuant chaque syllabe d’un coup de queue prodigieux. Et mes deux doigts dans ton cul, tu aimes ça Solange ? Insiste odieusement le jeune pervers.
• — Cédric, je t’en prie, annone Madame Granger affolée par cette familiarité.
• — Dis que tu es à moi et que tu aimes ce que je te fais, crie Cédric au bord de l’explosion
• — Oui, oui je suis à toi, sale monstre, hurle enfin Solange ivre de félicité, tu me fais trop jouir ! J’aime ce que tu me fais, salaud, j’aime que tu me bourres la chatte et que tu me fouilles le cul…

Ses mots meurent dans un bruyant râle de plaisir. Submergée par son orgasme violent, elle sent le sexe qui l’assaille se contracter et cracher un premier jet puissant contre le fond de sa matrice. L’éruption du foutre brûlant au plus profond de son intimité la ravit. Son vagin se resserre fermement sur cette colonne qui tressaute en elle. Ses contractions sont merveilleusement synchrones avec les décharges fulgurantes qui inondent sa grotte d’amour.

Cédric grogne son plaisir. Il libère enfin, toute son énergie au plus profond de la chatte de sa partenaire. Emporté par sa fougue, il resserre son emprise sur la nuque de Solange et vrille ses doigts vicieux dans l’anus dilaté. Sa queue coulisse de plus en plus rapidement. Le fier étalon s’emballe, il emmène sa partenaire dans une folle cavalcade l’encourageant à hurler son plaisir. Le hall résonne des claquements des corps qui se percutent, des bruits de succion des sexes qui se mêlent couverts par les cris de jouissance des deux amants. Un dernier soubresaut de sa bite et Cédric se fige férocement au fond du vagin en feu. Il savoure l’onctuosité du fourreau ruisselant alors que Solange remue lascivement son fondement pour profiter des fougueux appendices qui viennent de la propulser au nirvana. Cédric sort doucement ses doigts de la corolle brune qui palpite au rythme des dernières répliques orgasmiques. Il caresse avec délectation la croupe rebondie et rassasie son regard du corps de liane qui ondule devant lui. Le jeune homme relâche son emprise sur la nuque et sa main glisse en douceur sur toute la surface du dos et les flancs de sa partenaire.

Le souffle court mais totalement réceptive, Solange apprécie les massages apaisants de son amant. Elle concentre toute son attention sur la bite qui débande lentement dans son vagin pour garder le souvenir de cet accouplement sauvage. Elle relève la tête et croise le regard de son dompteur dans le miroir. Avec un sourire lubrique, celui-ci porte ses doigts à ses narines et hume le parfum animal qu’ils exhalent. Les yeux de Madame Granger sortent de leurs orbites devant cette nouvelle perversité de son amant et elle se crispe d’indignation. Malheureusement, elle expulse la queue de son fourreau et c’est la déception qui l’emporte. Un râle de dépit s’échappe de sa gorge alors qu’un flot épais de foutre s’écoule de son antre. Elle perçoit le chaud liquide se répandre sur les lèvres et ruisseler vers son entrecuisse. Au moment où elle réalise qu’elle va tacher son beau tapis, la main de Cédric se plaque sur sa vulve et masse avec volupté son coquillage. Son geste se fait plus ample et sa main court sur la chair tendre de la face interne des cuisses, glisse vers le mont de Vénus. Son pubis est couvert du cocktail de leurs fluides vitaux. Les doigts reviennent, creusent la fente de Solange, reprennent de la liqueur qui s’épanche encore de la grotte d’amour et remontent vers le sillon fessier pour enduire son oeillet.

• — Vous êtes à moi maintenant, Madame Granger, votre corps m’appartient et je vous marque de mon foutre

À nouveau subjuguée par son séducteur, Solange propulse sa croupe au-devant des mains de Cédric en signe d’acceptation de son nouveau statut.

À suivre…