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Temps de lecture estimé : 11 mn
11/06/08
Résumé:  Juliette et Pierre acceptent d'aider leur fille et leur gendre. Francine entraîne sa mère.
Critères:  fh hplusag Inconnu noculotte preservati
Auteur : Cidoup            Envoi mini-message

Série : Soins Spéciaux

Chapitre 06 / 08
Mis à contribution

Résumé : Lors de l’opération « portes ouvertes » organisée par leur gendre Roméo et Francine leur fille, Pierre et Juliette, sa femme, ont eu chacun de leur côté, une aventure qui a perturbé le couple. Francine et Roméo réclament leur aide dans l’institut pour personnes âgées qu’ils dirigent.




Deux semaines passent. Pierre est satisfait : Juliette semble avoir rangé ses envies de découchage au rayon des fantasmes irréalisables. Lui de son côté s’efforce de maintenir entre sa maîtresse et son épouse un équilibre qui satisfasse les deux femmes : une étreinte par jour avec chacune d’elles. Pas plus ou c’est la débandade, au sens propre du terme ! Pas moins non plus sinon il craint une éjaculation précoce.


Pour le moment il tient le rythme mais la vue de ses traits tirés ce samedi matin au réveil le tourmente. Jusqu’à quand pourra-t-il satisfaire ses deux… il allait dire épouses ? Ne risque-t-il pas de les perdre toutes les deux si ses capacités déclinent ? En plus, et ça c’est plus inquiétant, Lulu s’imagine qu’il va quitter Juliette pour elle. Il ne sait comment la décourager. C’est l’esprit plein de ces considérations peu réjouissantes qu’il trempe sa tartine dans son bol de café au lait.



La perspective de se coucher à pas d’heures après un repas au restaurant ou une virée en boîte ne l’enchante pas.



Il est abasourdi. Juliette n’a pas abandonné l’idée du club échangiste ! Devant la ride de contrariété qui marque le front de sa femme, il tente de se rattraper :



Elle tend la main pour se saisir du téléphone au moment où la sonnerie se déclenche. Ouf ! Sauvé par le gong ! Pierre respire mieux. L’idée de la soirée échangiste n’est pas mauvaise en soi, cela pourrait être enrichissant pour lui, mais la contrepartie concernant Juliette n’est pas concevable !

En bon macho il répugne d’entendre sa femme envisager de se livrer à plusieurs hommes inconnus. Non, elle ne peut pas s’abaisser ainsi, ce serait indigne d’elle ! Comment lui faire changer d’avis ? Devra-t-il se résoudre à lui choisir un amant ?


La conversation s’éternise. Pierre essaye de deviner avec quel interlocuteur sa femme discute mais les faibles fragments de phrases énoncés par Juliette ne le renseignent pas. Enfin elle repose le téléphone.



Si Juliette tient tant que ça à une aventure extraconjugale, autant que ce soit dans une soirée échangiste, au moins il en retirerait un profit !




oooOOOooo



Roméo accueille seul ses beaux-parents.



Francine qui débouche du couloir évite à son mari de répondre devant Juliette.



Juliette suit Francine jusqu’au bureau de la jeune femme.



Juliette rougit, gênée de s’exhiber nue devant sa fille, puis elle ricane intérieurement, ce n’est pas la première fois, déjà lors de la soirée avec les amis du couple… Elle ôte ses sous-vêtements avant de prendre la blouse des mains de Francine.



Elles ne rencontrent personne sur le chemin des salles spéciales. Juliette est soulagée. Se promener nue sous la blouse la met mal à l’aise. Elle n’a pas la décontraction de sa fille qui ouvre la porte ornée d’un grand A. Francine donne un ordre par le téléphone mural et se retourne vers sa mère.



Un septuagénaire très digne est poussé dans la salle.



Le dénommé Anselme s’incline sur la main que lui tend Juliette et la porte à ses lèvres pour un baisemain dans la plus pure tradition de la galanterie française.



Francine entraîne sa mère à part.



Anselme perd un peu de son assurance lorsque la porte se referme sur Francine. Juliette le devine intimidé.



Elle le manchonne doucement. Cela l’amuse de le sentir raidir entre ses doigts.



Quand Juliette estime atteindre la rigidité nécessaire, elle déchire la protection de la capote et l’enfile sur la hampe qui hoquette, frémissante. Elle a peur un instant, que l’émotion soit trop forte et que le bonhomme éjacule dans sa main. Non, il se calme.



Anselme grimpe à son tour sur le lit. Un bruit de tissu qu’on retire…



Juliette se retourne, l’homme est nu, le sexe fléchissant.



Elle caresse le latex du bout des doigts. Pas d’effet… Juliette insiste, sans succès. Elle ne va pas rester sur un échec ! Elle ôte la capote et prend le sexe mou en bouche.



Le résultat est immédiat. Elle s’empresse de recouvrir la hampe à nouveau raide d’un autre préservatif. Elle se remet en position.



Il introduit la verge entre les cuisses. Juliette comprend qu’elle doit la guider. Une fois en place, Monsieur le Vicomte ne s’embarrasse pas de finesse. C’est à la hussarde qu’il compte faire l’amour ! Il s’enfonce d’un puissant coup de reins et entame tout de suite les va-et-vient. Une chance, soupire-t-elle, que la préparation ait été excitante, la courte sucette en particulier, sinon sa pauvre chatte aurait souffert ! Elle résiste du mieux qu’elle peut à la violence de l’assaut. Elle aimerait pouvoir se caresser en même temps, mais cela est impossible, elle a besoin de ses deux mains pour conserver l’équilibre.



Anselme s’écroule sur son dos. Juliette se dégage. Se rappelant les instructions de sa fille, elle prend une lavette et une serviette dans le cabinet de toilette et entreprend de nettoyer son patient. La fraîcheur de l’eau le ranime.



Mon Dieu, surtout pas ! s’affole Juliette.



La porte de la salle s’ouvre. Une accorte infirmière en blouse blanche s’avance et prend Anselme par le bras. Il résiste.



Celle-ci comprend qu’elle doit patienter dans la salle. Elle sourit quand, au moment de franchir la porte, l’homme met sur le fessier une main conquérante que la jeune femme écarte :



Anselme soupire et faute de mieux, pose le bras sur l’épaule de sa guide. Au bout de quelques minutes, celle-ci revient avec Georges. Il est ravi de revoir Juliette.



Georges s’assied sur le lit. Juliette prend un préservatif dans la réserve et s’installe entre les genoux écartés. Elle soulève la blouse bleue. Le sexe gît sur la cuisse, ratatiné.



Sous ses doigts experts, la verge grossit et commence à se relever.



Juliette se penche et enfourne le gland, juste le temps de sucer le bout.



Elle déchire l’enveloppe du préservatif.



Elle grimpe sur le lit et découvre ses fesses.



Il se positionne derrière elle, tenant sa queue d’une main et fouillant entre les cuisses de l’autre. Cette fois, il n’a pas besoin d’aide pour découvrir le bon orifice et s’enfonce dans le vagin encore trempé par l’étreinte précédente.



Juliette retrouve le rythme étrange imposé par le bonhomme : en avant, repos, en arrière, repos, en avant etc. Le souvenir de la première fois et de la jouissance intense éprouvée balaie sa volonté de rester maîtresse d’elle-même. Elle ne peut s’empêcher de soupirer en proie à une émotion grandissante.

En cachette de son partenaire, elle glisse la main sous le ventre pour gratouiller le bouton de chair sensible qui gonfle sous l’excitation. Pour éviter de gémir, elle mord le coussin sur lequel repose sa tête.


Elle accompagne du bassin les coups de reins sans perturber son pourfendeur. Une onde de plaisir parcourt son corps… une autre ! Georges poursuit sa chevauchée, indifférent aux mouvements de Juliette. Il maintient un rythme égal, apparemment infatigable. Oh ! Une nouvelle secousse ! Cela va-t-il durer ? Non ! Tout à coup, Georges gémit, accélère, puis s’effondre dans un râle sourd.


Juliette met de nombreuses secondes à s’en remettre. Son client s’agite sur son dos. Elle doit le nettoyer, vite ! Elle le bouscule, fonce à la salle de bain prendre la lavette et une serviette propre et revient au moment où l’homme se lève du lit.



Elle soulève la blouse et débarrasse le sexe de son enveloppe de latex et nettoie le sperme.



Assis côte à côte, ils ne savent que dire. L’entrée de Francine et de l’infirmière fait diversion. Georges les quitte au bras de son accompagnatrice.



À suivre