Résumé : Lors de l’opération « Portes Ouvertes » organisée par leur gendre Roméo et Francine leur fille, Pierre et Juliette, sa femme, ont chacun de leur côté, eu une aventure qui a perturbé le couple. Francine et Roméo réclament leur aide dans l’institut pour personnes âgées qu’ils dirigent. Juliette remplit sa part.
Pierre regarde sa femme et sa fille disparaître.
- — Hé bé ! On dirait qu’il y a le feu !
- — C’est juste, approuve Roméo. Je sais pas ce qu’ont nos pensionnaires mâles depuis hier, ce n’est pourtant pas la pleine lune ! On dirait qu’ils se sont donnés le mot. En plus, une partie du personnel fait la grève des soins spéciaux. Ils réclament une augmentation de la prime attachée à ces prestations, augmentation que je ne peux à mon grand regret, accorder pour l’instant sans mettre en danger l’équilibre financier. Dans quelques semaines, deux mois, trois au maximum, il me sera possible de les satisfaire mais pour le moment, nous devons Francine et moi, nous débrouiller avec les moyens du bord. Par chance les pensionnaires féminines sont calmes et les membres de l’équipe soignante qui nous sont fidèles font face. Reste le problème des hommes. C’est la raison pour laquelle nous avons réclamé votre aide. Je vous remercie d’être venu, vous nous ôtez une sacrée épine du pied.
- — Euh… Que faut-il faire ? demande Pierre un peu perdu après la tirade de Roméo.
Tout s’embrouille. Son gendre a parlé de quelques semaines, devront-ils aider le couple les week-ends prochains ? Puis, s’il devine en quoi consistera l’apport de Juliette, la séance avec Georges la journée des « Portes Ouvertes » étant suffisamment claire, quel peut-être son rôle ?
- — Francine et Juliette s’occupent des pensionnaires qui ont des besoins… euh… qu’on peut qualifier de classiques, vous et moi on se charge des autres.
- — Oh ! Je dois enculer des homos ?
- — Euh… Pas enculer, ça c’est mon job… C’est… euh… dans l’autre sens que je compte sur vous.
- — Quoi ? Me faire enculer ? Moi ? Pas question !
- — Euh… J’avais cru comprendre… euh… L’autre jour… il me semblait que vous détestiez pas… Je vous aurais pas sollicité autrement…
Pierre soupire. Il se revoit recevant les hommages de son gendre et de… (Comment s’appelle-t-il l’ami du couple ? Ah ! Robert), le soir des « Portes Ouvertes ».
Roméo, qui le sent fléchir, insiste.
- — Vous nous rendriez un immense service. Je ne peux faire face à la demande à moi tout seul… Je vous en prie…
Le souvenir de la queue coulissant dans son sphincter s’impose à l’esprit de Pierre. Tout à coup, le besoin de retrouver cette sensation le fait frissonner, trembler au point qu’il doit s’appuyer contre le mur. Non, il ne peut laisser passer cette chance !
- — Bon… pour une fois… Présentez-moi ces homos qui veulent me trouer la rondelle !
- — Merci, vous nous sauvez… Suivez-moi.
- — On ne va pas dans les salles spécialisées ? s’étonne-t-il en voyant Roméo s’engager dans un autre couloir.
- — Non, nos épouses les occupent. Nous, nous opèrerons dans les chambres…
oooOOOooo
Roméo invite Pierre à entrer dans son bureau.
- — C’est ici que… euh… que ça se passera ?
- — Non, vous devez vous préparer avant d’opérer. Mettez cette blouse… non, pas comme ça, déshabillez-vous d’abord.
- — Entièrement ?
- — Oui, vous avez pu remarquer que nous ne portons rien sous ce vêtement de travail. Posez vos habits sur cette chaise. Vous les retrouverez dans votre chambre.
Pierre obéit. Un réflexe de pudeur le dissuade d’ôter le slip avant d’enfiler la blouse blanche. Roméo fouille dans un tiroir de son bureau et extrait un engin bizarre.
- — Penchez-vous… Prenez appui sur le bureau… Plus bas… là !
Il soulève la blouse sur les fesses de Pierre.
- — Que… qu’est-ce que vous faites ? Vous allez m’enculer vous aussi ?
- — Rassurez-vous cher beau-père, je n’en ferais rien.
Pierre soupire, à la fois soulagé et déçu. La queue de son gendre était douce dans son souvenir.
- — Il faut au préalable assouplir votre sphincter. Ainsi, il acceptera sans mal les pénétrations… Écartez les jambes s’il vous plaît… merci.
- — Shh ! C’est froid !
- — Je vous badigeonne avec du gel lubrifiant. Je vais introduire maintenant le dilatateur… Là… Je vous fais mal ?
- — No… non.
- — Et comme ça ? poursuit-il en manipulant l’engin.
- — Ooh ! Qu’est ce que vous faites ?
- — J’augmente le diamètre. Ça va toujours ?
- — Mmh !… ou… oui !
- — Bon, je pense que ce sera suffisant comme préparation. Vous pouvez vous relever.
Pierre contemple avec stupeur la taille du mini godemiché. Au moins cinq centimètres de diamètre ! Il avait ça dans le cul ? Ça tirait mais sans douleur, c’était même agréable. Il soupire, deviendrait-il pédéraste ? Roméo lui fourre dans la poche un paquet de préservatifs et un tube de gel.
- — Interdiction de vous faire pénétrer sans protection, compris ? Pas de questions ?
- — Qui enfile la capote ? Moi ?
- — Évidemment, si on laissait faire les malades, on en sortirait pas ! Et n’hésitez pas à user du gel.
- — Qu’est-ce que je fais une fois… euh… quand le patient a terminé ?
- — Vous devrez le nettoyer avant de sortir. Puis vous irez au bureau des infirmiers, ils vous indiqueront la chambre où le prochain attend. Bon… On peut y aller ?
Pierre hoche la tête. Son anus dilaté le gêne un peu pour suivre son gendre dans les couloirs. Ils entrent dans une chambre. Un homme en blouse bleue, assis à un petit bureau, se lève pour les saluer.
- — Bonjour monsieur le directeur, comment allez-vous ?
- — Très bien je vous remercie, mais je vous en prie Gaston, appelez-moi Roméo comme tout le monde. Et vous ? Pas trop perturbé en ces temps difficiles ?
- — C’est dur, monsieur Roméo, c’est dur. Vous m’avez bien expliqué que vous aviez des ennuis qui ne vous permettaient pas d’assurer… euh… comment vous appelez ça ?
- — Les séances de décontraction ? suggère Roméo.
- — Oui, les séances de… euh… comme vous dites, mais c’est dur. Si ça devait continuer, dites-le-moi. Je demanderai à mes enfants de trouver un autre établissement.
- — Je ne pense pas qu’il faille en arriver à cette extrémité, mon cher Gaston. Ça ne va pas durer. En attendant permettez-moi de vous présenter monsieur Pierre, mon… euh… qui accepte de me seconder. Il a bien voulu s’occuper des pensionnaires exigeants comme vous.
Je suis sûr qu’il vous donnera entière satisfaction et vous fera oublier l’absence momentanée de votre soignant habituel. Bon, je vous laisse, j’ai d’autres patients à visiter… Ah ! Autre chose Gaston, dit-il au moment de sortir, Monsieur Pierre est novice parmi nous. Je vous ai choisi en premier sachant que saurez le guider. Puis-je compter sur vous ?
- — Faites-moi confiance monsieur le direc… euh Roméo. Il est en de bonnes mains.
Pierre peu rassuré, regarde la porte se refermer. Gaston prend à cœur son rôle de professeur.
- — Veuillez appuyer la poitrine sur le lit monsieur.
- — N’y a-t-il pas quelque chose à faire auparavant ? demande Pierre, extrayant un préservatif de sa poche.
- — Heu… Est-ce bien nécessaire ?
- — Indispensable. Soulevez votre blouse… Allez ! Du courage !
Gaston obéit en soupirant. Il espérait abuser de la crédulité du nouveau venu. C’est loupé ! Il dévoile un sexe imposant déjà dilaté. Pierre retient un sifflet d’étonnement. Quelle taille ! La préparation dans le bureau ne sera pas superflue ! Il manchonne doucement l’énormité tout en la revêtant de latex. Le gel maintenant… Ne pas lésiner !
- — Je crois que nous pouvons y aller, ajoute-t-il en se couchant sur le lit, les cuisses pendantes.
Gaston soulève la blouse sur les fesses couvertes de chair de poule. Il caresse les lobes, insiste sur la raie.
- — Écartez les jambes… encore…
Il promène son sexe sur l’anus saillant. Le contact du latex froid fait frémir Pierre. Il se prépare mentalement à recevoir le manchon. Est-ce que ce sera aussi bon que dans son souvenir ?
Gaston maintient ses hanches et enfonce d’un seul élan la totalité de son sexe. Ouch ! Quelle queue ! Pierre rend grâce à son gendre de la préparation de son cul. Sans cela il aurait eu horriblement mal.
Oooh ! La verge qui se retire aspire son ventre. Il a l’impression de se vider. Cela ne dure pas, de nouveau la hampe s’introduit. Pierre s’agrippe à la couverture pour mieux résister aux coups de reins.
Roméo et Robert étaient plus doux mais cette brutalité n’est pas désagréable. Il retrouve, au-delà de la douleur qui s’estompe, le plaisir de sentir une grosseur aller et venir dans son intestin. Sa queue qui frotte dessus à la cadence imposée par Gaston commence à raidir.
Ah ! Si Juliette était là pour le masturber pendant que son cul se fait tarauder ! Ce serait dommage d’éjaculer en pure perte sans même avoir la possibilité de se caresser ! Par chance Gaston succombe avec force gémissements avant que la jouissance qui monte dans la verge n’atteigne le point de non-retour. La pression diminue dans son cul ainsi que dans son sexe.
Pierre repousse Gaston qui glisse à genoux sur la descente de lit. Un petit tour dans le cabinet de toilette pour prendre une lingette et une serviette et il revient près du bonhomme qui peine à retrouver un rythme normal de respiration. Il l’aide à s’asseoir sur le lit.
- — Montrez-moi ça, dit-il en soulevant la blouse.
Le sexe enveloppé de latex pend misérablement. Cela fait sourire Pierre.
Nous sommes tous pareils après, nous les hommes !pense-t-il. Il jette la capote usagée et essuie la verge poisseuse.
- — Vous… vous pouvez continuer, suggère Gaston quand il s’écarte, ça fait du bien.
- — Je n’en doute pas, mais d’autres pensionnaires attendent mes bons offices. Ai-je été à la hauteur de votre attente ?
- — C’est à vous de me dire si ma prestation vous a satisfait monsieur Pierre. Pour moi, c’était parfait. J’espère vous revoir bientôt.
- — N’y comptez pas trop, je ne suis ici qu’occasionnellement. Enfin, on ne sait jamais. Je vous souhaite un bon après-midi.
Gaston n’a pas bougé, assis sur le lit, les bras ballants quand il referme la porte de la chambre. Il s’appuie contre le chambranle, les jambes flageolantes. Il vient de se faire enculer encore une fois, son anus sensible est là pour en témoigner ! Et ce n’est pas fini, un autre patient l’attend. Aura-t-il la force de le supporter ? Il hésite…
- — Et si je disais à Roméo que je ne veux plus ?
Tout à coup l’envie de se faire pénétrer à nouveau l’enveloppe.
- — Non, je ne peux pas lui faire ça, il compte sur moi, se justifie-t-il en se dirigeant vers le bureau des soignants.
L’infirmier de garde l’expédie d’un air rogue vers une autre chambre.
Sûrement un gréviste qui n’accepte pas que quelqu’un d’autre fasse son travail, se dit Pierre. Il doit me prendre pour un briseur de grève à la solde de la direction !
Son deuxième patient est moins membré que le précédent, à moins que son cul soit plus perméable. L’introduction se fait sans peine. Ce nouveau partenaire l’a installé à quatre pattes sur le lit. Pierre espérait qu’il en profiterait pour le caresser, mais il est déçu. Son client ne s’occupe que de son propre plaisir et éjacule sans que Pierre, inquiet pour leur équilibre, ait pu de se masturber.
Roméo l’accueille à son retour dans la salle des infirmiers.
- — Pas trop dur beau… euh… Monsieur Pierre ?
- — Non, ça va.
- — Prêt pour un nouveau patient ?
- — Il y en a beaucoup comme ça ?
- — Encore un, mais si vous êtes fatigué, on en restera là.
- — Un seul ? Je crois que je pourrais le supporter.
- — Je vous remercie, vous ne vous imaginez pas à quel point j’apprécie votre aide.
- — Je vous en prie… Où se cache-t-il votre olibrius ?..
oooOOOooo
Pierre sort de la salle de bain attenante à leur chambre. Il termine d’enfiler un peignoir lorsque Juliette entre, jette sa blouse dans un coin et s’affale nue dans un fauteuil.
- — Ah ! T’es là ? s’écrie-t-elle en voyant son mari.
- — Oui, depuis peu, juste le temps de prendre une douche. On dirait que tu es fatiguée.
- — Pfou ! Je suis vidée !
- — Ça se voit ! C’est la première fois que tu te promènes nue dans notre chambre.
- — Passe-moi un peignoir s’il te plaît.
- — Oh ! Ça ne me gêne pas… Au contraire, ajoute-t-il en s’approchant de sa femme et déposant un baiser au creux du cou.
- — Veux-tu être raisonnable… Oh ! Le coquin ! On dirait que tu as envie de moi, sourit-elle devant la verge dressée qui pointe par l’ouverture du peignoir. Roméo n’a pas utilisé tes compétences cet après-midi ?
- — Si… Enfin une partie.
- — Comment ça une partie ? Laquelle ?
- — Euh… La partie arrière.
- — Arrière ? Oh ! Tu t’es fait enc…
- — Tst ! Tst ! Tst ! Je t’en prie, inutile de préciser. Toujours est-il que je reste sur ma faim.
- — Mon pauvre chou ! Malheureusement ma chatte est trop sensible après le traitement subit. Tu seras obligé d’attendre.
- — Combien de… euh… patients as-tu satisfait ?
- — Quatre ! Et toi ?
- — Trois seulement. Ils t’ont fait jouir ?
Elle n’ose pas avouer le plaisir ressenti avec Georges.
- — Euh… Je me suis retenue, il paraît que c’est pas recommandé… T’as raison, je suis en manque. J’ai pas eu mon content de caresses.
Juliette se lève et va s’étendre sur le lit.
- — Embrasse-moi… là ! ordonne-t-elle en désignant son sexe.
Pierre se précipite.
- — Déshabille-toi aussi. Je te veux nu comme moi.
Il ôte le peignoir à la hâte et rampe entre les jambes qu’il tente d’écarter.
- — Non, pas comme ça… Dans l’autre sens… Oui je veux te caresser en même temps… Ça te déplait ?
- — Pas du tout ! Je suis simplement étonné d’une proposition que je n’espérais plus de ta part.
Il se place tête bêche au-dessus de Juliette et soupire quand elle prend la queue en main et l’attire à sa bouche.
- — Aaah !… Ouiii !… Continue !… C’est bon !… Oh ouiii !
- — Caresse-moi, au lieu de débiter des âneries !
Il enfouit la tête entre les cuisses…
- — Tu sais ma chérie, murmure-t-il quand ils reprennent conscience après la jouissance qui les a anesthésiés quelques instant tous les deux, tu m’as fait un énorme plaisir. La première fois que tu acceptes… euh… dans la bouche… Depuis le temps que je l’attendais ! Qu’est-ce qui t’a fait changer d’avis ?
Juliette se mord les lèvres. Non, elle ne peut pas lui avouer qu’elle en rêve depuis qu’elle a vu sa fille le pratiquer avec l’ami du couple.
- — T’as pas aimé ?
- — Oh si ! Je me tue à te le dire.
- — Alors pourquoi poser des questions ?
- — Tu as raison, prenons le plaisir comme il vient, d’où il vient.
Juliette se dirige vers la salle de bain.
- — Je vais prendre une douche… Mais tu en sors ? s’étonne-t-elle quand il la suit.
- — J’ai encore envie de te caresser…
- — Bon, tu me frotteras le dos.
- — Que le dos ?
- — Espèce de gros vicieux !
En riant, elle se laisse pousser par les fesses…
À suivre