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Temps de lecture estimé : 10 mn
16/06/08
Résumé:  Pierre et Juliette assurent les soins spéciaux dans l'institution à la demande de leur fille et de leur gendre. Après Juliette, c'est au tour de Pierre.
Critères:  fh hh 69 hgode hsodo
Auteur : Cidoup            Envoi mini-message

Série : Soins Spéciaux

Chapitre 07 / 08
Mis à contribution (suite)

Résumé : Lors de l’opération « Portes Ouvertes » organisée par leur gendre Roméo et Francine leur fille, Pierre et Juliette, sa femme, ont chacun de leur côté, eu une aventure qui a perturbé le couple. Francine et Roméo réclament leur aide dans l’institut pour personnes âgées qu’ils dirigent. Juliette remplit sa part.




Pierre regarde sa femme et sa fille disparaître.



Tout s’embrouille. Son gendre a parlé de quelques semaines, devront-ils aider le couple les week-ends prochains ? Puis, s’il devine en quoi consistera l’apport de Juliette, la séance avec Georges la journée des « Portes Ouvertes » étant suffisamment claire, quel peut-être son rôle ?



Pierre soupire. Il se revoit recevant les hommages de son gendre et de… (Comment s’appelle-t-il l’ami du couple ? Ah ! Robert), le soir des « Portes Ouvertes ».

Roméo, qui le sent fléchir, insiste.



Le souvenir de la queue coulissant dans son sphincter s’impose à l’esprit de Pierre. Tout à coup, le besoin de retrouver cette sensation le fait frissonner, trembler au point qu’il doit s’appuyer contre le mur. Non, il ne peut laisser passer cette chance !




oooOOOooo



Roméo invite Pierre à entrer dans son bureau.



Pierre obéit. Un réflexe de pudeur le dissuade d’ôter le slip avant d’enfiler la blouse blanche. Roméo fouille dans un tiroir de son bureau et extrait un engin bizarre.



Il soulève la blouse sur les fesses de Pierre.



Pierre soupire, à la fois soulagé et déçu. La queue de son gendre était douce dans son souvenir.



Pierre contemple avec stupeur la taille du mini godemiché. Au moins cinq centimètres de diamètre ! Il avait ça dans le cul ? Ça tirait mais sans douleur, c’était même agréable. Il soupire, deviendrait-il pédéraste ? Roméo lui fourre dans la poche un paquet de préservatifs et un tube de gel.



Pierre hoche la tête. Son anus dilaté le gêne un peu pour suivre son gendre dans les couloirs. Ils entrent dans une chambre. Un homme en blouse bleue, assis à un petit bureau, se lève pour les saluer.



Je suis sûr qu’il vous donnera entière satisfaction et vous fera oublier l’absence momentanée de votre soignant habituel. Bon, je vous laisse, j’ai d’autres patients à visiter… Ah ! Autre chose Gaston, dit-il au moment de sortir, Monsieur Pierre est novice parmi nous. Je vous ai choisi en premier sachant que saurez le guider. Puis-je compter sur vous ?



Pierre peu rassuré, regarde la porte se refermer. Gaston prend à cœur son rôle de professeur.



Gaston obéit en soupirant. Il espérait abuser de la crédulité du nouveau venu. C’est loupé ! Il dévoile un sexe imposant déjà dilaté. Pierre retient un sifflet d’étonnement. Quelle taille ! La préparation dans le bureau ne sera pas superflue ! Il manchonne doucement l’énormité tout en la revêtant de latex. Le gel maintenant… Ne pas lésiner !



Gaston soulève la blouse sur les fesses couvertes de chair de poule. Il caresse les lobes, insiste sur la raie.



Il promène son sexe sur l’anus saillant. Le contact du latex froid fait frémir Pierre. Il se prépare mentalement à recevoir le manchon. Est-ce que ce sera aussi bon que dans son souvenir ?



Gaston maintient ses hanches et enfonce d’un seul élan la totalité de son sexe. Ouch ! Quelle queue ! Pierre rend grâce à son gendre de la préparation de son cul. Sans cela il aurait eu horriblement mal.

Oooh ! La verge qui se retire aspire son ventre. Il a l’impression de se vider. Cela ne dure pas, de nouveau la hampe s’introduit. Pierre s’agrippe à la couverture pour mieux résister aux coups de reins.


Roméo et Robert étaient plus doux mais cette brutalité n’est pas désagréable. Il retrouve, au-delà de la douleur qui s’estompe, le plaisir de sentir une grosseur aller et venir dans son intestin. Sa queue qui frotte dessus à la cadence imposée par Gaston commence à raidir.

Ah ! Si Juliette était là pour le masturber pendant que son cul se fait tarauder ! Ce serait dommage d’éjaculer en pure perte sans même avoir la possibilité de se caresser ! Par chance Gaston succombe avec force gémissements avant que la jouissance qui monte dans la verge n’atteigne le point de non-retour. La pression diminue dans son cul ainsi que dans son sexe.


Pierre repousse Gaston qui glisse à genoux sur la descente de lit. Un petit tour dans le cabinet de toilette pour prendre une lingette et une serviette et il revient près du bonhomme qui peine à retrouver un rythme normal de respiration. Il l’aide à s’asseoir sur le lit.



Le sexe enveloppé de latex pend misérablement. Cela fait sourire Pierre.

Nous sommes tous pareils après, nous les hommes !pense-t-il. Il jette la capote usagée et essuie la verge poisseuse.



Gaston n’a pas bougé, assis sur le lit, les bras ballants quand il referme la porte de la chambre. Il s’appuie contre le chambranle, les jambes flageolantes. Il vient de se faire enculer encore une fois, son anus sensible est là pour en témoigner ! Et ce n’est pas fini, un autre patient l’attend. Aura-t-il la force de le supporter ? Il hésite…



Tout à coup l’envie de se faire pénétrer à nouveau l’enveloppe.



L’infirmier de garde l’expédie d’un air rogue vers une autre chambre.

Sûrement un gréviste qui n’accepte pas que quelqu’un d’autre fasse son travail, se dit Pierre. Il doit me prendre pour un briseur de grève à la solde de la direction !


Son deuxième patient est moins membré que le précédent, à moins que son cul soit plus perméable. L’introduction se fait sans peine. Ce nouveau partenaire l’a installé à quatre pattes sur le lit. Pierre espérait qu’il en profiterait pour le caresser, mais il est déçu. Son client ne s’occupe que de son propre plaisir et éjacule sans que Pierre, inquiet pour leur équilibre, ait pu de se masturber.


Roméo l’accueille à son retour dans la salle des infirmiers.




oooOOOooo



Pierre sort de la salle de bain attenante à leur chambre. Il termine d’enfiler un peignoir lorsque Juliette entre, jette sa blouse dans un coin et s’affale nue dans un fauteuil.



Elle n’ose pas avouer le plaisir ressenti avec Georges.



Juliette se lève et va s’étendre sur le lit.



Pierre se précipite.



Il ôte le peignoir à la hâte et rampe entre les jambes qu’il tente d’écarter.



Il se place tête bêche au-dessus de Juliette et soupire quand elle prend la queue en main et l’attire à sa bouche.



Il enfouit la tête entre les cuisses…



Juliette se mord les lèvres. Non, elle ne peut pas lui avouer qu’elle en rêve depuis qu’elle a vu sa fille le pratiquer avec l’ami du couple.



Juliette se dirige vers la salle de bain.



En riant, elle se laisse pousser par les fesses…



À suivre