n° 12654 | Fiche technique | 21699 caractères | 21699 3846 Temps de lecture estimé : 16 mn |
17/06/08 |
Résumé: La piscine est le théâtre de jeux érotiques auxquels Guillaume, amoindri, ne peut prendre part. | ||||
Critères: #fantastique grp copains piscine voir nudisme pénétratio init | ||||
Auteur : Cidoup Envoi mini-message |
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Résumé : Guillaume, assassiné, se retrouve à l’état de fantôme prisonnier d’une piscine. Il arrive à nouer le contact avec Sophie, avec qui il avait fait l’amour avant d’être tué.
* * *
La journée est calme. Personne ne me rend visite. Je regarde sans me lasser les feuilles frémir dans la brise légère. Que fait Sophie ? Quand va-t-elle revenir dans la piscine que je puisse me récupérer ? Tout à coup le silence fait place à un brouhaha de conversations juvéniles et une demi-douzaine de garçons et filles déboulent sur la terrasse.
Personne ne daigne répliquer. Je devine que ceux à qui Brigitte s’adresse ne sont pas opposés à admirer les filles à poil sans oser l’avouer, mais cela implique qu’ils se dénudent aussi… Ils hésitent ! Je sens des orteils pianoter sur le bord.
Une personne puis deux, trois, six s’assoient et trempent leurs jambes dans l’eau. C’est drôle ces pieds qui s’amusent à me bousculer. Je tente de lancer mes ondes. Impossible. Tout ce que j’obtiens ce sont de ridicules vaguelettes et encore je ne suis pas sûr d’en être l’auteur !
Est-ce parce que je suis incomplet que je n’y arrive pas ou Sophie est-elle la seule avec qui je puisse communiquer ?
Je dois me résigner au rôle de spectateur. J’identifie trois paires de chevilles féminines et trois mollets masculins dont ceux de Maxime, reconnaissables à un grain de beauté. Je ne perçois pas encore le reste des corps et ne tente pas de me soulever hors de l’eau. Pas question que la fatigue me fasse louper un épisode !
Maxime se lève.
Plouf ! Un fuseau bronzé me traverse.
L’interpellée après une brève hésitation se lève à son tour, se déshabille rapidement et plonge se cacher sous la surface.
Malgré sa révolte de façade la jeune fille s’empresse d’ôter ses vêtements et de glisser dans l’eau.
Ça c’est une idée ! Jouer avec les parties intimes du frère de Sophie… ou d’autres éléments mâles. Quel regret de ne pouvoir utiliser mon pouvoir sur les ondes. Je dois attendre d’être « complet »… Patience !
Un garçon saute en de grosses éclaboussures.
Je découvre un torse imberbe et une touffe de poils roux qui cachent presque une verge au repos. Enchanté de faire votre connaissance jeune homme !
Celui-ci plonge à leur tour. Même vision que son compagnon, à part les poils châtains et le sexe encore plus ratatiné. Il reste encore deux petites jambes qui égratignent l’eau.
Les pieds se soulèvent, hésitent, replongent pour sortir à la fin. Quelques secondes plus tard, un corps gracile glisse dans le liquide. Je m’amuse à comparer. Les filles d’abord !
La poitrine de Josiane est la plus développée, les tétins de Brigitte les plus proéminents, les seins d’Annie les plus mignons, deux petits hémisphères quasi parfaits avec au milieu un bouton rose qui se fripe sous la caresse fraîche de l’eau.
Côté ventre, rien à redire, privilège de la jeunesse. Les culs se ressemblent, lisses, ronds, bien en chair, peut-être un peu plus gros chez Brigitte. Ah ! Si je pouvais… Les garçons vont se régaler ! Des fesses, mon attention passe aux cuisses, bien galbées, la peau douce, sans aspérités, juste un grain de beauté près de l’aine d’Annie, ce qui m’amène tout naturellement à admirer leur pubis.
La toison brune de Josiane déborde sur le haut des cuisses. Elle devrait se raser, cela doit dépasser quand elle porte un maillot ! Je dois m’infiltrer dans les poils pour découvrir des lèvres gonflées légèrement entrouvertes et plus loin la vulve rougie avec l’entrée du vagin d’où s’écoulent quelques gouttes de cyprine.
Ça lui fait de l’effet de se baigner nue ! Le pubis d’Annie est à peine voilé de poils blonds clairsemés qui ne cachent rien de la fente serrée où je ne peux m’introduire.
Je me console en découvrant la chatte de Brigitte, entourée de poils châtains dont aucun ne dépasse le pli de l’aine. Elle se rase elle ! Oh ! La coquine ! La voilà qui glisse un doigt entre ses lèvres et découvre le petit clitoris qu’elle malmène d’un index précis. Je devine qu’elle attend beaucoup de cette baignade imprévue.
Aux garçons à présent ! Trois torses imberbes, Maxime le plus musclé, Marc le plus fin, à la limite de la maigreur. Trois ventres plats, les bouées de sauvetages, c’est pour plus tard !
Trois culs aussi lisses que ceux des filles mais plus nerveux, on devine les muscles qui se dessinent sous la peau.
C’est côté sexe qu’apparaissent les plus grosses différences. La queue de Maxime dépasse des poils, le gland découvert. La verge de Cyril a gonflé depuis son entrée dans l’eau tandis que celle de Marc reste obstinément cachée au milieu de la touffe qui orne son bas-ventre.
Je suis aussi excité de frôler les attributs masculins que les fentes des filles. Qu’est-ce à dire ? L’état de fantôme me rendrait bisexuel ?
À l’inverse de moi, les six jeunes gens ne voient que leurs têtes qui dépassent, le reste des corps étant voilé par la surface miroitante. Je sens Annie se décontracter.
Un rétablissement sur la margelle et le voilà dehors. Il disparaît de ma… perception - j’allais dire « ma vue », mais c’est inexact puisque que n’ai plus d’organe visuel - pour revenir avec un ballon qu’il lance au milieu de la piscine. Les garçons se précipitent.
Elle envoie le ballon en direction de Brigitte mais c’est Maxime qui l’intercepte pour le lancer sur Marc, etc. Les jeunes gens se récréent comme ces gosses qu’ils étaient il n’y a pas si longtemps. Ils en oublient leur nudité.
La jeune Annie, réservée au début, se met vite au diapason. Le jeu reste innocent, les contacts accidentels et vite corrigés. La surface de la piscine ressemble à une mer démontée en miniature. Je n’ai pas à regretter de ne pouvoir produire des ondes, les remous actuels les effaceraient.
Je m’amuse à envelopper les corps lisses, mais je ne pense pas que dans l’excitation du jeu ils s’en rendent compte. Leur chair est ferme, la peau douce. J’entoure les tétins érigés, m’attarde sur les seins hémisphériques que la pesanteur n’a pas encore déformés, soupèse les testicules quasiment imberbes, tente de saisir les pénis souples qui échappent à mes semblants de caresses.
Les cris poussés par les filles effraient les oiseaux du voisinage qui se taisent. Cela ne gêne en rien les baigneurs. J’ai une pensée émue pour mes congénères fantômes du jardin que le bruit doit déranger.
Au bout de dix minutes de bataille acharnée, la fatigue tempère les ardeurs. Je souris : les mains, se sachant protégées des regards par les ondulations de la surface, ne s’écartent plus aussi vite lorsqu’elles touchent une fesse, une poitrine, un ventre, une verge. L’ambiance va changer, j’en veux pour preuve les queues dont le volume s’accroît, même celle de Marc.
Peu à peu les gestes s’alanguissent, les mains traînent sur la peau. Maxime ose le premier geste équivoque. Sous prétexte d’empêcher Annie d’attraper le ballon, il l’empoigne par derrière, les mains sur les seins.
La jeune fille, surprise, pousse un petit cri et tente maladroitement de se dégager.
Marc qui se proclame son chevalier servant se précipite pour l’aider. De leur côté Brigitte et Cyril se rapprochent de Josiane qui se défend faiblement contre les caresses qui l’assaillent.
Maxime fronce les sourcils, je devine qu’il considère Josiane comme sa petite amie et que Cyril n’a rien à faire avec elle. Il abandonne Marc et Annie et vole au secours de sa dulcinée. Il lance le ballon à la tête de Cyril.
Maxime arrache Josiane des mains de son amie et l’embrasse brutalement. Cyril et Brigitte regardent le couple enlacé :
Le garçon l’attire par l’épaule et l’embrasse dans le cou.
Brigitte se retourne et plaque un baiser ventouse sur les lèvres entrouvertes. Le garçon un instant surpris par la détermination de sa partenaire l’attire par les fesses contre lui. Elle, sans cesser le baiser, glisse la main entre leurs corps serrés. J’ai le sentiment que c’est bien parti pour ce couple.
Que deviennent Maxime et Josiane ? La jeune fille se dégage comme elle peut et tente de gagner l’échelle. Il la rattrape, l’enlace à nouveau. Ses doigts partent à la découverte de l’entrejambe. Cela sonne le glas de la résistance de Josiane qui accepte sa défaite en prenant à pleines mains la queue du garçon.
Marc entraîne Annie dans un coin du bassin. Il s’adosse avec elle contre la paroi de carrelage, passe la main sur l’épaule et la serre contre lui. Elle se laisse aller sans pouvoir détacher les yeux des deux couples. Ils ne voient que les têtes qui dépassent mais devinent que les mains ne restent pas inactives.
Tout à coup la bouche de la jeune fille s’ouvre sur un cri silencieux : Brigitte, s’appuyant sur les épaules de Cyril, se soulève hors de l’eau pour retomber avec un sourire extatique.
Ils ont raison. La jeune fille danse sur la queue qui la transperce. Elle en dépense de l’énergie ! De l’autre côté du bassin Maxime a coincé Josiane contre le carrelage et la malmène à grands coups de reins. Un peu inquiet je m’approche… pas de problème, elle ne fait rien pour s’échapper, au contraire.
Dans son coin de piscine, le dernier couple ne bouge pas, scotché au spectacle. La main de Marc qui pend sur l’épaule d’Annie atteint un sein. Le téton qui se fripe ne se dérobe pas. Le garçon tout heureux de la permission s’amuse à triturer le petit bout. J’arrive à me glisser entre les cuisses de la jeune fille qui se desserrent. Un peu de cyprine s’échappe du vagin rose.
Une invitation aux caresses ! Qu’est-ce que Marc attend ? Tant pis pour lui, je prends sa place… J’hésite… Je me traite de sale voyeur… Et après ? Quelle importance puisque personne ne peut s’en rendre compte ! Je me faufile dans l’orifice et bute tout de suite contre une membrane. Annie est vierge ! Voilà ce qui explique sa retenue. Je m’en veux d’avoir violé son intimité même si elle en est inconsciente et m’empresse de me retirer.
Les deux couples qui font l’amour changent de position. Brigitte s’est agrippée à l’échelle pendant que dans son dos Cyril la secoue de ses coups de bassin. Est-ce qu’il l’enculerait ? Non ! La queue entre et sort à allure régulière du vagin de la jeune fille. De l’autre côté, Maxime se repose un peu, laissant Josiane monter et descendre toute seule sur la verge du garçon.
Un mouvement du côté des jeunots, la main de Marc quitte le sein qu’elle malaxait et se pose sur le pubis, joue avec les poils follets. C’en est trop pour Annie.
Elle se jette sur lui et l’embrasse à bouche que veux-tu. Ses mains partent à la découverte du corps du garçon, empoignent une verge qu’elles tentent de décalotter.
Qu’a-t-il à parler raison ? Ne voit-il pas que son pucelage démange la donzelle et qu’elle souhaite s’en débarrasser sur-le-champ ?
Je délaisse les autres participants : une initiation, voilà qui est plus intéressant ! J’ai beau fouiller dans ma mémoire, je n’ai pas le souvenir de ma première fois, plutôt de vagues images qui mêlent, une chambre, un lit et une piscine… cette piscine !
Se pourrait-il que mon premier acte d’amour se soit passé ici juste avant mon assassinat ? Non ! Aucune douleur n’a entaché mon étreinte avec Sophie, et pas de sang ne s’est échappé de ma queue. Alors ? Pourquoi l’image de la piscine s’impose quand je pense à une première fois ? Foin de mes états d’âme, la vérité m’apparaîtra un jour. Contemplons le jeune couple et voyons comment le garçon se débrouille.
Il s’y prend mal. Il devrait caresser la jeune fille, l’entourer de ses baisers sur la bouche, les seins, les tétons, le nombril, le ventre, les poils pubiens. Tout devrait recevoir la visite de ses lèvres avant la pénétration finale ! Mais non, il laisse bêtement Annie se démener.
Ah si ! Ses doigts s’insinuent entre les cuisses et remontent vers le sexe. Zut ! Il rate le clitoris. Qu’a-t-il donc appris en cours d’éducation sexuelle ? L’aspect de sa verge qui apparaît et disparaît entre les doigts d’Annie, me renseigne : Marc est puceau !
Malgré les efforts de la fille, la fine peau qui recouvre le gland refuse de reculer. Seul le bout violacé fendu du petit méat dépasse. Cela explique sa nervosité. Annie de plus en plus impatiente s’agrippe au jeune homme et met les jambes autour de sa taille.
Sa vulve est juste au-dessus de la pointe de la verge. Ça y est ! Elles se touchent. Marc comprend enfin ce qu’il doit faire et d’un geste prompt place le gland en face de l’orifice convoité.
La chatte étroite toute rose surplombe le gland. Un peu de liquide blanchâtre suinte de l’orifice, elle est prête ! Le bout disparaît d’un petit centimètre.
Quel imbécile ! Ce n’est plus le moment de tergiverser ! Annie en est bien consciente qui d’un mouvement décidé se laisse choir.
Malgré ses efforts, elle n’a pu étouffer le cri arraché quand le gland transperce l’hymen. Elle ne bouge plus, collée à Marc comme une patelle à son rocher. Lui serre les dents. Sa queue a disparu, avalée dans les profondeurs de la chatte déflorée.
Un peu de sang suinte que je m’empresse de dissiper dans un remous. Annie ouvre et ferme la bouche sans proférer un son. Elle se soulève de quelques centimètres. Va-t-elle s’échapper ? Non ! Elle redescend dans un gémissement où la douleur se mêle au plaisir.
Évidemment qu’elle a mal ! Plus que lui sûrement, mais il devrait comprendre qu’elle supporte la souffrance avec courage pour se consacrer à la découverte de la jouissance qu’elle sent poindre dans son ventre.
Elle se soulève une nouvelle fois. Elle ne gémit plus en retombant. Peut-être la douleur diminue-t-elle ? C’est ce que doit ressentir aussi Marc qui peu à peu prend la relève des mouvements.
Du mouvement de l’autre côté de la piscine : Josiane repousse Maxime hors d’haleine. Ses yeux lancent des éclairs. Qu’est-ce qu’il lui prend ? Elle jouissait pourtant, ses cris de plaisir n’étaient pas feints, l’autre couple formé par Brigitte et Cyril en a suspendu un instant leur étreinte.
Ah ! Je comprends, elle est furieuse contre Maxime qui l’a baisée sauvagement, furieuse contre elle de n’avoir pas résisté, d’avoir éprouvé un orgasme malgré, ou même pire, peut-être à cause de la brutalité de l’étreinte. Elle regarde avec envie Brigitte qui soupire dans les bras de Cyril.
Même Marc avec son inexpérience est plus tendre que Maxime. Celui-ci se rapproche sans prendre gare au geste d’énervement de la jeune fille.
De voir le plaisir affiché de son amie la calme. Toute à son observation, elle se laisse aller contre le torse de Maxime. Ils sont rejoints par Brigitte et Cyril. Les deux couples contemplent Marc et Annie qui ont pris du retard dans l’éclosion du plaisir.
La jeune fille ne semble pas avoir conscience des spectateurs. Elle ferme les yeux comme pour emprisonner les sensations qu’elle découvre, qui enveloppent son ventre, qui se diffusent dans son corps.
Quand Marc reprend son souffle, c’est elle qui danse sur la queue. Elle ne peut, elle ne veut pas s’arrêter malgré les ondes douloureuses provoquées par le frottement de la verge sur l’hymen meurtri.
Brigitte se penche à l’oreille de Josiane.
Je devine que Marc n’en a plus pour longtemps. Ses couilles se fripent, les testicules montent dans les bourses. Elles vont cracher leur semence. Josiane fait le même constat : elle se précipite vers le couple.
Elle retire Marc qui grogne de dépit pendant que Brigitte soutient la jeune fille. Il était temps ! La queue hoquette et lâche sa semence au premier coup de poignet de Josiane. Je provoque un remous qui dissipe les filaments de sperme. Il ne faudrait pas qu’ils entrent dans la chatte encore entrouverte !
La prochaine fois ! Et Annie qui lui sourit ! C’est bien parti pour ces deux là !
oooOOOooo
Tout le monde est sorti de la piscine. Je ne vois plus grand chose, simplement des pieds nus quand l’un des participants se promène au bord. Je m’efforce de deviner ce qui se passe en écoutant les conversations. C’est ainsi que j’apprends que Marc et Annie se préparent à partir.
Je ne distingue pas la réponse mais je devine que les jeunes gens ont hâte de se retrouver seuls. Je les comprends, un dépucelage en public, cela risque de vous traumatiser à vie si on ne compense pas par quelques câlins dans un endroit intime.
Je pense que dans leur cas j’aurais fait comme eux… au fait ? Comment ai-je été dépucelé moi ? J’ai beau fouiller dans mon esprit, aucune image ne me parvient. Peut-être que ça me reviendra lorsque je serai complet.
Maxime les accompagne. Les trois autres participants ne semblent par perturbés par la défection du couple. Les deux filles piaillent et gloussent à qui mieux mieux. Une flèche rose, non deux… Plouf ! Plouf ! Brigitte et Cyril sautent dans la piscine. Ils sont encore nus. Cela explique les cris excités de ces demoiselles ! Le garçon rattrape la fille qui se débat en riant.
Je fais plus attention, le garçon tente d’enlacer la fille par derrière et patouille les seins malgré les protestations. Ne pouvant se soustraire à la caresse - ou ne le désirant pas ? - elle change de tactique.
Brigitte se dégage sans ouvrir la paume qui s’est refermée sur les bourses.
Elle saute à son tour dans la piscine et rejoint le couple. Brigitte a délaissé les testicules mais s’amuse avec la tige qui raidit entre ses doigts, auxquels Josiane mêle les siens. Cyril ne rouspète plus ! Cela n’est pas du goût de Maxime qui revient de raccompagner Marc et Annie. Josiane est sa chose et il n’entend pas la laisser folâtrer avec un ou une autre.
Josiane se dirige vers l’échelle, suivie de Brigitte. Cyril avec un soupir se résout à les imiter. Il serait bien resté avec les deux filles lui !
À suivre