n° 12664 | Fiche technique | 16598 caractères | 16598Temps de lecture estimé : 11 mn | 20/06/08 |
Résumé: Une rencontre gênante, mais je m'en sors bien. Massage de mon rugbyman favori, dans son grand lit. Puis autre chose, encore plus agréable... | ||||
Critères: fh jeunes grossexe sport voir massage fellation pénétratio -amourpass -fellation | ||||
Auteur : Petite Brune Piquante |
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Isa n’a pas le temps de répondre car on sonne à sa porte au même moment.
Ça fait plusieurs jours que je n’ai pas revu Denis car on doit réviser nos partiels de milieu d’année. De plus, il a ses entraînements de rugby, et moi mes répétitions à l’harmonie où je suis seconde flûtiste. J’ai envie de le revoir car nous n’avons pas eu un moment d’intimité depuis notre nuit torride dans le parc. Il me manque mais je prends aussi beaucoup de plaisir dans cette attente, en pensant à lui et en imaginant des scénarios plus érotiques les uns que les autres pour nos prochaines retrouvailles.
Et là, en ce dimanche de mars, ô stupeur, il se présente sans m’avoir prévenue au préalable à la porte du studio de ma meilleure amie ! Et il n’est pas seul. À côté de lui se tient un jeune homme qui me rappelle vaguement quelqu’un… Mais que… Oh non, on dirait le mec avec qui j’ai flirté au nouvel an ! Mais qu’est-ce qu’il fait là ?
Le soir de la Saint-Sylvestre, Isa, Aurélie et moi étions sorties faire la fête et ce beau jeune homme avait attiré notre attention. Il s’avéra qu’il avait été au Lycée avec Isa et on lia facilement connaissance. Comme il plaisait autant à Aurélie qu’à moi, et qu’aucune n’avait envie de renoncer à le séduire au profit de l’autre, on avait instauré une sorte de concours. Bref, à l’issue d’une lutte acharnée, j’avais remporté mon trophée, à renfort d’œillades coquines et d’effets de wonderbra. Or, il n’y avait eu aucune suite à cette soirée. Ni échange de téléphones ni souhait de se revoir.
D’ailleurs, pour l’heure, je n’arrive même pas à me souvenir de son prénom. Je suis très mal à l’aise, je ne sais pas comment réagir. Je n’ai pas souhaité la présence de ce charmant garçon. Que va penser mon nouveau copain ? Que je joue sur plusieurs tableaux… Pour une fois que j’étais sérieusement éprise, ce n’est pas de chance.
Isa me sauve la mise :
J’ai retrouvé un peu de couleurs, je regarde Denis, je pense qu’il a senti qu’il y avait un truc pas net mais il ne semble pas du tout inquiet, sûr de lui, comme à son habitude.
Ouf, je m’en suis bien sortie, un ange passe. Isa se retient de rire. Philippe a l’air un peu mal à l’aise et Denis, lui, me regarde droit dans les yeux, s’avance vers moi et m’embrasse fougueusement devant les deux autres. C’est fou l’effet qu’il me fait, sitôt qu’il m’a relâchée je me laisse choir dans le fauteuil le plus proche.
Le reste de la soirée se déroule très bien puisqu’on finit tous les quatre devant Le Grand Bleu avec une pizza… Dont acte !
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Après cette sympathique soirée, où j’ai bien failli passer pour une vraie garce aux yeux de celui qui hante désormais mes pensées, je sens que je vais devoir déployer tous mes charmes afin de continuer à le séduire…
Qu’est-ce qui peut bien faire plaisir à un joueur de rugby ? Jouer les groupies dans les gradins avec les autres copines des joueurs, non merci, j’ai autre chose à faire d’un peu plus intéressant et productif. D’ailleurs, la seule chose que j’aime dans ce jeu, ce sont les joueurs et un en particulier. Mumm, une séance de massage relaxant après un match, ça devrait produire son effet.
Le mardi suivant, je me rends chez lui après son entraînement, comme convenu la veille en cours de droit civil. Je porte un jean moulant délavé avec un pull en cachemire gris clair au col en V très échancré qui met en valeur ma poitrine et mes sous-vêtements en dentelle ivoire. J’ai revêtu mes talons les plus hauts afin de réduire la distance qui nous sépare (1m62 pour moi contre 2m02 pour lui, le combat est inégal).
J’ai relevé mes cheveux qui restent attachés grâce à deux baguettes chinoises en ivoire, héritées de ma grand-mère et que je porte sur moi dans les moments vraiment importants. Dans mon sac de ville, j’ai glissé une bougie parfumée orange et cannelle ainsi qu’une huile de massage relaxante à l’enivrante odeur de musc.
À peine m’a-t-il ouvert la porte qu’il me soulève dans ses bras et me plaque contre le mur en m’embrassant à pleine bouche. Je noue instinctivement mes jambes autour de sa taille, ce qui a pour effet de lui donner envie de me serrer encore plus fort contre lui et les parois de son appartement. Je lâche mon sac pour croiser mes bras autour de son cou et répondre à son étreinte bestiale. Maintenant, il me soulève par à-coups en s’aidant de son bassin.
Je sens son érection à travers nos vêtements. J’ai toujours autant envie de lui. Être dans ses bras, l’embrasser, sentir son désir, répondre à ses ardeurs, tout cela me fait chavirer le cœur et le corps. Je lui murmure à l’oreille :
Il me met de nouveau en travers de son épaule et me porte ainsi jusqu’à son lit.
Il me dépose délicatement sur son lit en riant et s’allonge à mes côtés.
Je file chercher mon sac et reviens, un sourire mystérieux aux lèvres.
Il s’est allongé de tout son long sur son lit (réalisé pour lui sur mesure vu sa carrure atypique) et me regarde en souriant, sans mot dire, les bras croisés derrière la tête. Une des choses que j’apprécie chez ce mec, c’est qu’il a l’art des silences à bon escient. Il remplit pourtant tout l’espace de sa présence, de sa mâle attitude, de son charisme si inattendu chez un homme de son âge. J’aime son visage carré, ses yeux bleus, ses regards si expressifs, tour à tour tendres, coquins, rieurs mais durs et implacables aussi… Ses sourires narquois, ironiques ou franchement amusés… À ce moment, sa posture lascive et détendue contraste avec la passion déployée quelques minutes auparavant.
J’allume la bougie et éteins la lumière de sa chambre. Je mets un CD de Lenny Kravitz et ôte lentement mon pull et mes talons hauts. Je monte sur le lit et m’approche tout doucement de lui en jean et balconnet, une fiole d’huile de massage à la main. Comme c’est un mec intelligent, il a compris où je voulais en venir et accepte silencieusement d’être mon jouet l’espace de quelques heures.
J’entreprends de le déshabiller totalement. D’abord son t-shirt, puis ses baskets, son jean et enfin, son caleçon moulant.
Je lui intime l’ordre de se retourner et de s’allonger sur le ventre. Quelle belle vue ! Ses épaules, son dos, ses fesses, ses cuisses musclées, tout son corps m’invite à le caresser. J’enduis mes paumes d’huile et les frotte afin de les réchauffer un peu. Quand je pose mes pouces sur sa nuque, il tressaille légèrement. Je commence par de légers attouchements sur le haut de son corps, puis mes mouvements se font plus langoureux, pressants et appuyés.
Mes mains glissent sur sa peau, je sens tout son corps qui se relâche et profite de se moment de détente. Mes doigts remontent jusque dans ses cheveux pour un massage crânien des plus efficaces. Je crois que s’il était un gros matou, il se mettrait purement et simplement à ronronner…
Je sens peu à peu le désir monter en moi. Tous mes sens sont en éveil : le toucher, la vue, l’odorat… Je dégrafe mon soutien-gorge et le dépose à quelques centimètres de son visage. Il essaye de se retourner mais je le saisis prestement par les cheveux d’une main ferme :
Je lèche le lobe de son oreille, son cou. Ma langue glisse lentement le long de son dos et s’arrête sur ses fesses. Mes ongles griffent doucement son dos puis l’intérieur de ses cuisses. La pointe des mes seins frotte sur son joli petit postérieur et je commence a être aussi excitée que lui. Je lèche de nouveau avidement ses fesses et glisse une main entre ses cuisses afin de soulever légèrement son bassin pour me saisir de son sexe. J’y découvre une formidable érection. Ma main la flatte sur toute sa longueur et se fait de plus en plus insistante. Ma langue glisse vers ses testicules pour une caresse buccale… accompagnée de mouvements de ma main sur sa verge tendue à l’extrême.
Cette fois, l’effet est immédiat, il relève ses fesses un peu plus vers mon visage afin de m’offrir son cul magnifique et de libérer de l’espace pour sa queue en érection. Je meurs d’envie d’aller plus loin, de lécher l’intérieur de ses fesses au plus profond de son intimité mais je n’ose pas. Pas encore. Cela viendra peut-être naturellement une autre fois.
Je le fais rouler sur le côté afin de mettre fin à son supplice et lui prodiguer une fellation avec tout l’amour et le désir que je ressens pour lui. Je m’arrête un instant pour le regarder. Il avance ses mains pour titiller la pointe de mes seins. Il est tellement beau en cet instant, le corps offert à ma vue, la bite tendue à l’extrême !
Un léger liquide s’est échappé de son gland. Je me baisse vers lui pour goûter ce nectar. Ma langue joue avec son extrémité un moment puis j’avale sa queue pour la sentir tout au fond de ma gorge.
Comme j’aime le sucer, sentir son sexe énorme vibrer dans ma bouche, s’éveiller, s’agiter pour y mourir bientôt. Je voudrais enlever le reste de mes vêtements et m’empaler sur sa queue pour jouir avec lui de ce moment d’éternité. Mais la taille de son engin me rebute un peu. J’ai peur de ressentir plus de douleur que de plaisir. Alors que là, je sais que je lui en donne, et j’en prends aussi ma part. Je suce sa queue avec une ardeur décuplée et j’ai l’impression qu’il aime vraiment ça. Je l’entends respirer de plus en plus fort et soupirer mon prénom :
Ces paroles devraient me choquer un peu mais en fait elles m’excitent encore plus. Moi aussi, j’ai envie qu’il vienne en moi pour profiter un peu plus de son plaisir.
Mes lèvres se resserrent plus fort autour de sa queue, mes mouvements se font plus rapides et ma main se saisit de ses bourses pleines pour les malaxer avec douceur. Son bassin donne des coups de plus en plus rapides et fait cogner sa verge tout au fond de ma gorge. Elle est tellement dure que j’ai l’impression qu’elle va exploser et finalement, il éjacule dans ma bouche par saccades.
J’avale toute sa semence, gorgée après gorgée, je lèche son gland pour le nettoyer entièrement. Je ne pense plus à me brosser les dents… je goûte son amertume…
Puis, toujours aussi excitée, je m’allonge sur lui et introduis ma langue dans sa bouche. Il répond à mes baisers avec ferveur et vient à son tour se coller contre mon corps. Sa bouche délaisse la mienne pour se consacrer entièrement au bout de mes seins. Ils sont de plus en plus durs et je mouille comme une folle depuis un long moment déjà. J’ai pris autant de plaisir à le faire jouir dans ma bouche que lui à se laisser aller en moi. Mais là, j’ai envie d’aller encore plus loin.
Tout en léchant avec habileté mes tétons, il dégrafe mon jean. Je me retrouve dans ses bras vêtue en tout et pour tout d’un minuscule string. Il introduit un doigt dans ma chatte humide et l’enfonce le plus profondément possible. Il ressort son doigt et en introduit deux, de la même façon. Je n’en peux plus, je voudrais mourir d’extase dans ses bras. Je pousse un gémissement de plaisir. J’ai envie de lui crier de me pénétrer sur le champ, de me posséder comme un fou, de me prendre de la façon la plus violente qui soit mais je n’ose pas.
Peur de me lâcher réellement, de m’abandonner entièrement, de perdre le contrôle. Seulement, il a compris, sans que j’aie eu besoin de dire quoi que ce soit. Il prend son sexe de nouveau dur dans sa main et l’introduit dans le mien. D’abord le gland large et affûté puis tout le reste. Malgré toute la douceur de son geste, je ressens une vive douleur, comme je le pressentais. Mais je suis au-delà de cette douleur, submergée par le plaisir de lui appartenir enfin, de me soumettre à lui. Viens mon amour, viens au plus profond de moi et donne-moi tout ce que tu es, et même un peu plus.
Sa puissance m’ébranle. Je veux jouir. Je le repousse, retire fiévreusement mon string et me mets à quatre pattes sur le lit en lui présentant ma croupe pour lui offerte. Il ne tarde pas à me pénétrer de nouveau. J’aime tellement ça… Ses mains s’accrochent à mes hanches pour assurer les mouvements de va-et-vient de son bassin. Sa queue s’enfonce de plus en plus profondément en moi. Je glisse ma main sur ma vulve en feu et caresse mon clitoris frénétiquement. Le contact de mes doigts à cet endroit et de son sexe en moi ne tarde pas à produire un effet dévastateur sur mon cerveau. La jouissance survient violemment, totalement et je ne peux pas me retenir de crier mon plaisir. Mon sexe se contracte par saccades autour du sien, ce qui a aussi pour effet de le faire éjaculer en moi pour la première fois.
Lui aussi prend son pied. C’est un vrai feu d’artifice. Nos corps se relâchent d’un seul coup et nous tombons entièrement nus dans les bras l’un de l’autre, extatiques. Pour ma part, je suis complètement chamboulée. J’ai envie de recommencer, d’aller plus loin, de découvrir ensemble toutes les manières de donner et prendre du plaisir. Plus rien n’a d’intérêt sinon le faire jouir et jouir de lui. Est-ce qu’il ressent la même chose ? Est-ce qu’il a la même envie ?
On verra… s’il le veut…