Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 12694Fiche technique7437 caractères7437
Temps de lecture estimé : 5 mn
02/07/08
Résumé:  La journée se poursuit pour Léa et son amant mûr.
Critères:  hplusag hagé inconnu fépilée fsoumise hdomine
Auteur : Silian            Envoi mini-message

Série : Léa

Chapitre 02 / 03
Léa (2)

Il la regarde allongée sur le lit. Il observe sa peau lisse et mate et fait danser les glaçons dans son verre de whisky. Les volets sont clos mais la lumière âpre de l’été s’insinue par le moindre interstice. De minces rayons caressent ses courbes pleines. Elle est belle. Elle a quoi ? Vingt ans au plus ? Une jeunette aussi ferme dans son lit, un vrai cadeau du ciel.


Elle ferme les yeux. Ses yeux à lui caressent son ventre, le bas de son ventre. Sa bouche. Quelques traces de sperme ici et là. Il a joui épais et un bon moment dans sa gorge. Puis il a frotté sa queue molle sur ses joues, sur son front. Elle l’a nettoyé, a avalé le liquide qui perlait encore. Longtemps qu’il n’a pas baisé. Longtemps qu’il n’a pas possédé une petite chienne comme ça.

Et il compte bien en profiter encore. Il la regarde. Par l’embrasure de la porte, il devine la sueur légère sur sa peau. Sa queue gonfle un peu. Sa queue gonfle sûrement. Il vient s’allonger derrière Léa. Elle se tourne de l’autre côté. Il trempe un doigt dans son whisky et le passe ensuite sur la bouche fine. Elle entrouvre les lèvres, darde sa langue sur l’index.



Et elle le prend comme s’il s’agissait d’une queue.



Elle s’applique. Il bande. À nouveau. Encore une fois. Il bande fort. Il est dans son dos. S’approche d’elle, colle sa bite sur le haut de ses fesses. Elle continue de lui lécher le doigt, en saisit un autre, puis un autre. En lèche quatre en même temps, passe sa langue sur sa main, reprend les doigts dans sa bouche. Il a posé son verre sur la table de nuit.



Il l’enlace, elle toujours de côté. Elle toujours de dos. Son autre main joue avec les seins lourds, fait durcir les pointes, les agace, les pince. Il y a un miroir dans la chambre cossue. Il regarde leurs deux corps. Le sien à elle, parfaitement lisse, incroyablement fait, le sien à lui, lourd, pâle, si imparfait que la vision des deux réunis l’excite encore un peu plus. Il la retourne vers lui. L’embrasse lentement, fouille sa bouche lascivement. Sa langue sur la sienne. Autour de la sienne. Goutte sa salive. Goutte sa chair. Sa main descend sur son ventre.



Il la branle, entre un doigt puis deux dans sa chatte étroite et chaude. Joue avec son clitoris jusqu’à ce qu’elle mouille bien, jusqu’à ce que sa respiration s’alourdisse. Quand elle est bien chaude, il se met à genoux sur le lit et place sa queue épaisse devant sa bouche.



Elle se jette dessus, la plonge profondément dans sa gorge. Malaxe ses couilles, passe un doigt sur son anus. Il gémit.



Plusieurs fois, il manque de jouir dans sa gorge, mais il tient ses cheveux et imprime la bonne cadence. Après un long moment, il retire sa bite humide et rougie, puis vient se placer entre ses jambes à elle. Les écarte encore un peu plus. Lève son cul à hauteur de sa bouche et doucement tourne sa langue autour de son petit trou qu’il a déjà baisé une heure plus tôt. Mais il en veut encore. Il la travaille, lui mange le cul, la soulève pour qu’elle s’offre et s’ouvre bien. Elle gémit et dit :



Il dit :



Longtemps, il la lèche ainsi, son cul dégouline de salive et de mouille, il peut rentrer trois doigts. Il se redresse, place son gland épais à l’entrée de son anus et rentre doucement, lentement. Il a entré sa queue complètement. De sa main, il doigte sa chatte. Il peut sentir sa propre queue à travers la paroi fine…


Dans la glace, elle le regarde aller et venir en elle. Il a placé ses jambes sur ses épaules blanches et larges. Et sa grosse queue entre et sort de son cul. Son bide en sueur cogne son ventre à elle. Il y a des bruits de succion, des bruits de chair humide. Il plonge sa langue dans sa bouche de façon obscène, pétrit ses seins de façon obscène, crache sur son ventre et étale la salive comme si c’était sa propre semence.

Obscène, tout chez cet homme est sexualité crue, bestiale. Pourtant elle mouille comme jamais, s’offre comme jamais. Passe ses mains sur sa nuque, embrasse ses tétons, caresse son crâne dégarni, se repaît de son corps lourd et suintant. Et cette bite large qui la défonce.

Ça la rend dingue. Elle parle, lui aussi. Elle dit qu’elle aime qu’il la baise, qu’il pourra la baiser encore et encore quand il le voudra, qu’elle est sa pute. Il la retourne, la place à quatre pattes, rentre à nouveau dans son cul.



Et elle regarde. Son reflet à elle, offerte à quatre pattes et lui qui sourit, lui qui tire ses cheveux noirs en arrière, lui qui entre et ressort lentement sa queue. Il joue avec sa chatte, passe son gland sur sa fente puis revient dans son cul. Il la baise. La baise encore un long moment. Elle en a mal, mais elle le supplie de continuer. Il gémit. Elle veut le sentir. Elle veut le sentir venir en elle.

Il se lâche, tire un peu plus fort ses cheveux, place une main sur ses seins et jouit soudainement, se vide dans son cul. Elle sent les jets, courts, épais, chauds. Et tandis qu’il se retire, la semence coule le long de ses jambes. Elle s’écroule sur le lit, les fesses en feu. Il s’allonge près d’elle, embrasse son cou, lèche sa sueur.


Plus tard, bien plus tard, devant la porte d’entrée, alors qu’elle s’apprête à partir, il prend sa main à elle et la place sur la fermeture éclair de son pantalon de toile. Il bande encore. Elle sourit. Il l’embrasse à pleine bouche. Longtemps encore, il l’a possédée. Toute l’après-midi. Toute la soirée durant.



Elle hésite.



Elle lui tend son numéro de portable. Il y a quelque chose de dangereux désormais. Quelque chose qu’elle ne maîtrise pas. Il a remis ses lunettes et il ressemble à un notaire, à un avocat. Ce genre-là. Il ne sourit pas. L’embrasse une dernière fois, passe une main sous sa jupe.

Caresse ses fesses.


Elle ferme la porte, ses talons s’enfoncent dans la moquette épaisse. Dans l’ascenseur, elle regarde son reflet. Fatiguée. Pâle. Elle regrette mais elle sait que la nuit à venir portera à nouveau l’excitation. Dehors, la nuit est tombée. Il fait chaud et humide. La ville brille de mauvaises lumières. Il va pleuvoir.