n° 12842 | Fiche technique | 9171 caractères | 9171Temps de lecture estimé : 6 mn | 12/09/08 |
Résumé: Depuis leur rencontre, il s'est écoulé trois jours. Trois jours durant lesquels elle a regretté ce long moment d'égarement. Pourtant, à lire ces simples mots, elle ressent à nouveau le tiraillement, le léger pincement dans son ventre. | ||||
Critères: fhh hplusag inconnu fépilée fsoumise hdomine humilié(e) fellation pénétratio sandwich fsodo sm -fhh -fsoumisah | ||||
Auteur : Silian Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Léa Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Le sms l’a tirée d’une étrange rêverie. Ça a vibré et sonné. Léa jette un regard sur le message.
« Que fais-tu cet après-midi ? Signé Paul. »
Elle hésite un moment. Depuis leur rencontre, il s’est écoulé trois jours. Trois jours durant lesquels elle a regretté ce long moment d’égarement. Pourtant, à lire ces simples mots, elle ressent à nouveau le tiraillement, le léger pincement dans son ventre. Le bus qui traverse la ville ne semble pas devoir rencontrer d’obstacle dans ce mois d’août brûlant. Elle tape rapidement sur son portable :
« Rien de précis. »
Pourquoi, pourquoi ce vice rentre-t-il en elle comme dans du beurre ? Qu’est-ce qui peut bien l’attirer chez cet homme ? Une vieille dame s’installe en face d’elle. Elle désélectionne l’alarme sonore. Rapidement, ça vibre à nouveau, là, dans sa main qui repose sur sa cuisse.
« Viens me voir, je suis avec un ami. Du genre que tu aimes. »
Elle réprime un tremblement. La vieille dame la regarde. Elle tape :
« D’accord chez toi à 14h00. »
Deux hommes. Deux qui vont la posséder. Elle devrait avoir peur. Elle a peur. Mais l’excitation, Dieu, l’excitation qu’elle ressent à ce moment renverse la maigre muraille de ses craintes. Elle devrait en parler à sa psy. Elle en parlera. Plus tard. Ça vibre encore.
« Que portes-tu ? »
Elle sourit mécaniquement.
« Robe courte et blanche. »
Dix secondes s’écoulent.
« En dessous ? »
Le bus accélère encore. Un vent chaud passe par les vitres supérieures ouvertes.
« String blanc, soutien-gorge blanc. »
Une vraie vierge en direction de l’autel.
« Débrouille-toi pour les enlever avant d’arriver. »
Elle a pris un autre bus, s’est mêlée à une population bourgeoise. Des gens calmes. Sereins. Arrogants peut-être. L’argent et les antidépresseurs sont la juste réponse aux affres de ce monde, songe-t-elle en regardant, au loin, les tours du centre se déformer sous les trombes de lumière brûlantes du ciel. Ça vient, maintenant. Elle est comme une chatte se frottant aux pieds de son maître. Elle a envie de les sentir tous les deux. Tente d’imaginer le second. L’ami de Paul. Ferme les yeux un instant. Elle descend du bus. Pose un regard gourmand sur les immeubles cossus. Marche un court moment ; sous les effluves chauds de l’été, sa robe légère frotte contre le haut de ses cuisses. Sonne à l’interphone. Voix grave et autoritaire de Paul.
Elle entre dans le hall frais. Appuie sur l’ascenseur. Et tandis que la cabine monte, elle dégrafe son soutien-gorge et ôte son string.
La porte est entrouverte comme l’autre fois. Les battements de son cœur s’accélèrent.
Dans le salon, les deux hommes savourent un whisky sur le canapé en cuir. Elle détaille le second. Celui qu’elle ne connaît pas. Même profil que Paul, oui. Une bonne cinquantaine. Autant de cheveux gris que son amant d’un jour est dégarni. Plus mince peut-être. Quoique. Yeux foncés. Chemise bleue entrouverte. Pantalon de toile. Mocassins marron et cirés. Paul se lève et vient l’enlacer. Embrasse son cou. Elle sent son souffle où se mêlent des relents de whisky et de cigare. Sa main passe sur son dos, descend, flatte tranquillement son cul.
L’autre la déshabille de haut en bas, lentement. Regard dur. Il a écarté ses jambes et elle devine qu’il est déjà bien excité. Il passe deux doigts sur sa braguette d’un air provocateur.
Il défait sa ceinture, baisse la fermeture éclair et, lentement, sort son sexe dur. Plus épais, plus gros que celui de Paul. Il se branle doucement. De temps à autre, son pouce vient titiller son gland. Paul est passé derrière Léa, déboutonne sa robe par-devant. Libère ses beaux seins blancs. Joue avec les tétons, les pince. Elle reste impassible. Effrayée. Paul murmure à son oreille :
Elle ne devrait pas aimer qu’on lui parle ainsi. Elle ne devrait pas. Sa robe tombe au sol, offrant à leur vue son jeune corps lisse.
Elle ne dit rien. Paul pince plus fort ses pointes de sein.
Elle hoche la tête, Oui, oui, elle lui plait. Jacques baisse son pantalon, puis reprend sa caresse.
Paul la pousse.
Elle s’exécute, avance lascivement sur le tapis épais, dévoilant son cul parfaitement épilé à Paul. À hauteur du canapé, Jacques la saisit par les cheveux et force l’entrée de sa bouche. Elle prend, elle prend autant qu’elle peut.
Paul s’est rapproché. Jacques le regarde et sourit.
Léa se retourne, regarde Paul une petite caméra à la main. Elle va protester, quand Jacques la force à reprendre sa grosse queue en bouche. Odorante. Elle aime. Lèche ses couilles, les mordille, sa langue va-et-vient le long de sa hampe, puis reprend le gland dans sa bouche. Elle salive sur son sexe, crache dessus. Comme une pro. Comme une vraie petite chienne. Et il le lui dit, l’encourage, la traite de tous les noms, lui promet de la baiser un bon moment. Paul ne participe toujours pas, se contente de filmer et de l’insulter de temps à autre. De sa main gauche, elle se caresse, constate à quel point elle est humide. Mais Jacques en veut encore, et durant vingt bonnes minutes, elle lui dévore la queue.
Ils sont allés dans la chambre. Paul a dit :
Et maintenant Jacques la baise, la défonce littéralement. Il s’occupera de son cul juste après, lui promet-il. Elle, sur le dos, caresse le sien, passe un doigt dans son anus, ça le rend dingue, il accélère la cadence. Elle regarde Paul, lui dit :
Il pose sa caméra sur la commode dans leur direction, se déshabille et s’approche. Jacques s’allonge sur le lit, elle le suce, profite de ce répit pour le prendre dans sa bouche un court instant.
Puis elle entre sa queue dans sa chatte et le chevauche comme ça, lentement, en le regardant dans les yeux. Elle ne s’appartient plus désormais. Paul se place derrière elle, mouille avec de la salive son petit trou du cul, le travaille tandis que Jacques la baise. Il entre en elle. Sèchement. Elle crie. Il rigole. Il accélère tranquillement. Elle a les larmes aux yeux tellement il lui fait mal, mais elle en veut.
Vraiment, elle en veut.
Jacques l’embrasse pour étouffer ses cris. Enfonce sa langue dans sa bouche, lui caresse les cheveux. Puis bouffe ses seins, répand sa putain de salive sur son cou, sur son ventre. Par instant, il saisit sa gorge comme s’il voulait l’étrangler puis place son pouce dans sa bouche. Elle le suce. Dans le miroir qui jouxte le lit, elle s’observe, comme l’autre fois. Regarde les deux hommes aux chairs flasques et pâles la baiser sans vergogne, la baiser comme ils baiseraient une entité, un concept. Elle crie, hurle, leur demande de continuer. Jaques se retire. Se met à genoux devant elle, sa grosse bite à hauteur de sa bouche. Elle s’est placée à quatre pattes pour que Paul continue de lui labourer le cul. Jacques se branle fort puis lève les yeux au ciel.
Et elle ouvre sa bouche pour prendre sa semence épaisse et chaude. Paul vient à son tour. Dans son cul. Elle sent ses jets courts à l’intérieur d’elle. Ils sont en nage. Ça sent la transpiration.
Elle sait que ça n’est pas fini et elle se demande bien, oui, elle se demande vraiment ce qu’elle fout là.