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n° 12711Fiche technique7220 caractères7220
Temps de lecture estimé : 5 mn
09/07/08
Résumé:  Cette fois les vacances s'achèvent, mais une autre histoire commence...
Critères:  fh hplusag jeunes extracon cocus alliance piscine amour cérébral voir pénétratio mélo -beaupere
Auteur : Vincent Cokin  (Vincent)            Envoi mini-message

Série : Ma femme...de sa vie

Chapitre 03 / 03
Dénouement

Sur ce, nous sommes rentrés tranquillement chez mes grands-parents. La suite des vacances fut plus calme n’ayant pas trouvé d’autres excuses pour laisser Marion et mon père seuls ensembles et, dix jours après la scène torride nous sommes rentrés chez nous. Mes parents reprenaient le travail deux jours après le retour de vacances, quant à Marion et à moi, nous avions encore le reste des vacances pour nous amuser. Cependant, mon père prit une nouvelle semaine de congé durant le mois d’août ce qui était exceptionnel. En l’apprenant, l’appétit sexuel de Marion et le mien indirectement, furent remontés à bloc.


Presque tous les jours de cette semaine, je me trouvais des excuses pour m’absenter pendant au minimum deux heures si ce n’était pas la journée entière. Le soir quand je rentrais, Marion me racontait comment mon père lui avait magnifiquement fait l’amour, la faisant gémir de plaisir sur le bord de la piscine, dans la piscine, sur le lit de mes parents, dans notre lit conjugal. Je savourais les récits des ébats que je n’avais pas pu observer, mon sexe raide la plupart du temps ne demandait alors qu’à être soulagé, et ces soirs-là nous faisions l’amour comme des bêtes. La semaine s’acheva et mon père reprit le boulot avec un air abattu comme s’il laissait beaucoup plus que de simples vacances, ce qui était le cas.


Nous avons continué nos jeux avec Marion qui était devenue beaucoup plus coquine au contact de mon père. Mais la rentrée arriva, et avec elle bon nombre de soucis, je devais me trouver un appartement à 200km de chez moi pour poursuivre mes études, autant dire que je ne reviendrais pas tous les week-ends chez moi. Marion, elle, resterait chez mes parents pour continuer également ses études de tourisme. J’avais un pincement au cœur à l’idée de la quitter, ça faisait déjà plusieurs mois que l’on habitait ensemble et je m’étais habitué à sa présence, à la voir toujours, j’espérais que ce petit changement ne changerait en rien notre relation.


Ainsi nous reprîmes nos études respectives, nous nous téléphonions tous les soirs pour se tenir au courant et j’en profitais pour prendre des nouvelles de mes parents. Je ne rentrais chez eux qu’une fois par mois, le reste du temps je restais dans mon petit appartement à m’occuper comme je pouvais. Mais au fur et à mesure de nos entretiens téléphoniques quotidiens, je sentais bien que quelque chose changeait chez Marion, elle était différente, fuyante lorsque je lui disais que je l’aimais où lorsque je lui parlais de mes parents, je lui demandais si tout allait bien et me répondait que oui. Je n’insistais pas. Quels que fut ses soucis j’espérais qu’ils ne dureraient pas.


Lorsque je rentrai le premier week-end du mois, nos rapports étaient moins intenses, elle semblait plus distante avec moi. Je lui demandais si elle avait toujours les mêmes fantasmes et elle me répondit que oui et qu’elle continuait de temps en temps l’aventure entamée durant les vacances. Je compris tout de suite de quoi elle parlait et pourquoi elle était aussi froide avec moi depuis quelques temps. Je lui dis alors de ne pas s’inquiéter, elle pouvait faire ce qu’elle voulait du moment que ça la rendait heureuse car cela me rendait également heureux. Elle me confia alors que les rapports qu’elle avait avec mon père n’étaient jamais protégés et qu’elle ne voulait pas qu’ils le soient, car ça rendait la chose encore plus excitante sachant qu’elle m’obligeait à me protéger. Je ne dis rien, je l’acceptais, je le devais.


Désormais lorsque je repartais pour mes études, je savais ce qui risquait de se passer entre Marion et mon père, et cela m’excitait toujours. Durant une semaine, ma mère dut quitter la maison pour un voyage avec son travail, je savais que ça allait être la fête tous les soirs à la maison entre Marion et mon père. Les savoir tous les deux se coucher dans le même lit, dormir ensemble et faire l’amour ensemble sans avoir à se cacher, tandis que moi je restais seul dans mon appartement, cela m’excitait au plus haut point. Je les imaginais, Marion lovée contre lui, gémissant sous ses coups de reins, lui grogner de plaisir à faire l’amour à une si belle et jeune femme, et enfin l’explosion simultanée lorsqu’il déversait en elle un torrent de semence, elle se couchant contre lui et lui disant qu’elle l’aime, il n’en fallait pas plus pour combler un homme.


Après cette semaine d’absence de ma mère, lorsque je rentrais, je les voyais tous les deux plus épanouis, ils étaient plus souvent ensemble, nous délaissant parfois moi et ma mère pendant qu’ils allaient rire dans un coin tous les deux. Ma mère ne remarquait rien, et moi je ne disais rien. Je n’avais presque plus de rapports avec Marion, elle préférait se préserver pour mon père, je devais donc me consoler tout seul, on se parlait moins aussi avec Marion, elle était désormais quasiment en permanence avec mon père durant la journée bien qu’ils ne fassent pas l’amour lorsque moi et ma mère étions là, ils allaient seulement se promener ensemble ou faire une activité ensemble.


Un vendredi soir que je rentrais pour le week-end, je trouvai un mot sur la table, personne n’était dans la maison, ma mère travaillait encore et je me suis dit que Marion et mon père étaient partis se promener. Je pris le papier et lus ce qui était marqué dessus. Je reconnus la belle écriture de Marion, mais je ne reconnus pas les mots qui étaient écrits, je perdis contact avec la réalité durant un bref moment. Ils étaient bien partis oui, mais pour toujours.


Voici sa lettre :


Vincent, je pars avec Paul, je suis désolée de te le dire comme ça, je n’ai pas le courage d’affronter ton regard ni celui de ta mère, Paul non plus. Je l’aime, oui, je l’aime et je m’en suis rendu compte il y a déjà bien longtemps, en revanche depuis que ta mère est partie pour son voyage d’affaire, je me suis aperçue que je l’aimais plus que toi. Il m’aime aussi et il me comble de joie. Vincent tu m’as dit que tu seras heureux quand je serai heureuse, et bien je le suis mais pas avec toi.


Je suis enceinte de Paul, c’est le plus beau cadeau qu’il pouvait me faire, je sais que tu aurais voulu m’en faire un aussi mais tu n’aurais pas su t’y prendre par la suite. Vincent je te dois tout mon bonheur, c’est grâce à toi que j’ai rencontré l’homme de ma vie. Encore une fois, je suis désolée si je te fais du mal à toi et à ta mère mais c’est comme ça et tu n’y peux rien. Je pars avec ton père et on ne reviendra jamais. Adieu Vincent.



J’étais complètement abasourdi, ma mère rentra, je lui montrai la lettre mais je n’ai rien pu lui expliquer. Désormais, elle vit seule dans son chagrin. Moi aussi je suis seul, mais je ne suis pas complètement triste, j’ai perdu la femme de ma vie, mais elle est heureuse, et c’est tout ce qui compte.