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Temps de lecture estimé : 31 mn
24/07/08
Résumé:  Ma belle-soeur est au centre de mes fantasmes depuis mon adolescence, mais jamais je n'aurais imaginé que cela puisse sortir du rêve. Et pourtant, la semaine dernière...
Critères:  f h fplusag alliance cérébral revede voir exhib fmast hmast -mastf -masth
Auteur : Rêveur75  (Reveur.75)      

Série : Divine Belle Soeur

Chapitre 01 / 08
Divine belle-soeur

J’ai 41 ans. Ma belle-sœur, Françoise, en a 57.


Il y a quelques années, au cours d’une discussion téléphonique plutôt intimiste avec elle, j’ai eu l’occasion de lui avouer que lorsque j’étais adolescent, elle représentait pour moi l’idéal féminin, et qu’elle avait été le support de tous mes fantasmes de l’époque. Je l’avais choquée, bien entendu, mais nous avions continué notre dialogue, et je pense qu’elle avait été assez troublée quand même par mon aveu et sans doute même assez excitée de m’entendre lui raconter, à mots à peine couverts, ce que je faisais dans ma chambre en pensant à elle.


Et puis, et puis…


La semaine dernière, j’ai eu l’occasion de passer chez mon frère, et de la trouver seule à la maison, en début d’après-midi. Elle portait une robe d’été fleurie, légère, et assez décolletée. Elle ne portait pas de bas ou collants, et avait aux pieds de petites ballerines.


Nous étions assis dans son salon, en face l’un de l’autre, elle jambes croisées comme seules savent le faire les femmes, et moi genoux ouverts et buste penché un peu en avant. Nous parlions d’un problème dans notre maison de vacances familiale, et la discussion était nourrie.


J’ai surpris soudain un regard, puis un autre, puis encore un autre… Ma belle-sœur regardait mon entrejambe, dessinée de façon très visible, c’est vrai, par mon jean. Je n’en croyais pas mes yeux, et j’ai soudain eu une immense bouffée de chaleur, et le souffle un peu court…


Je me suis ressaisi, et ai vérifié, plus calmement, qu’elle regardait bien mon entrejambe. C’était oui… la réponse était oui !


Je cherchais désespérément dans mon esprit CE QU’IL FALLAIT FAIRE… Comment faire durer et grandir ce trouble qui, visiblement, l’avait saisie et la poussait à regarder très régulièrement le renflement de mon entrejambe… Comment le faire sans la brusquer, la choquer, la refroidir…


Que faire ? C’était Françoise, ma belle-sœur, que j’ai tant désirée lorsque j’étais jeune. Elle est encore extrêmement attirante, avec de fort jolies jambes, des hanches à la silhouette un peu ronde mais douce, et une poitrine qui semble lourde sous ses corsages ou ses robes…


J’avais du mal à me concentrer sur notre discussion, et mon cerveau tournait à plein régime…


Je me suis redressé un peu et j’ai rapproché mes fesses du bord du canapé. J’ai laissé mes genoux s’écarter plus largement, et posé mes deux coudes sur eux. J’imaginais, sans pouvoir le vérifier pour ne pas me faire "prendre", que mon entrejambe était cette fois encore plus offerte et "mise en valeur"…


Cela n’a pas duré plus de dix secondes, avant que je voie son regard se fixer entre mes jambes… C’était absolument divin, et cette fois elle resta plus longuement figée, avant de se redresser dans une profonde respiration…


Nous continuions notre discussion, de façon un peu moins nourrie, et ses yeux se fixaient plus souvent qu’avant dans les miens. Et puis toujours, ces divins détours de son regard vers mon entrejambe….


Je cherchais à deviner chez elle ce qui pouvait témoigner d’un trouble, dans ses gestes, ses positions… Elle était toujours assise, un peu penchée en avant, le bas des jambes délicieusement croisé. Son pied gauche était tendu et glissé derrière sa cheville droite, et cette position gonflait son mollet de façon délicieuse. Je me suis laissé aller, timidement, à regarder les courbes troublantes de ses pieds, ses chevilles, ses mollets dénudés… Son genou gauche était découvert, rond, luisant…


J’avais dû rester trop longtemps à admirer ses courbes, vite, mon regard est remonté, pour trouver le sien dirigé sur mon entrejambe… Elle l’a ramené vivement vers moi, et nous nous sommes regardés, cette fois avec une gêne un peu partagée et perceptible. Mon cœur s’est mis à battre plus fort et j’ai senti, mortifié mais heureux en même temps, mon émoi descendre dans mon corps, et déclencher un début d’érection…


Nous continuions à parler de la couleur des volets et de la taille des hortensias, mais j’avais l’esprit totalement ailleurs, et je voyais bien qu’elle essayait également de se concentrer. Nous étions complices de notre trouble, et ce jeu était divin…


Nous arrivions au terme de notre sujet, et chacun sentait qu’il allait nous falloir cesser de parler de notre maison de vacances, et… qu’allions-nous dire ?


Françoise a décroisé tout à coup ses jambes. Je n’ai pu m’empêcher de laisser mon regard glisser furtivement sur la naissance de ses cuisses ainsi dévoilée une seconde… Elle s’est redressée en souriant, s’est levée, et m’a dit :



Je me suis redressé également, mais en restant assis, les fesses au bord du canapé. Ma position avait quelque chose de comique, quoiqu’un peu vulgaire. J’ai eu l’immense plaisir de voir encore alors son regard glisser jusqu’à mon entrejambe, puis remonter brusquement. Elle s’est retournée et s’est éloignée vers la cuisine.



Profitant de son absence, je me suis levé rapidement, ai glissé ma main sous la ceinture et sous le Jean’s, perçu sous mes doigts la chaleur de mon sexe durci dans le caleçon. Sans savoir pourquoi je faisais cela, j’ai glissé mon sexe en érection sur le côté de ma cuisse droite, le coinçant sous l’étoffe du Jean’s. Je me suis rassis, le cœur battant. Un rapide coup d’œil : c’était très, très réussi, une longue bosse se dessinait désormais sous le Jean’s, sans équivoque possible sur sa nature… Un peu estomaqué par ma propre audace, je resserrai un peu les genoux et attendis le retour de Françoise.


Elle revint quelques secondes plus tard, apportant deux Perrier. Elle se rassit en face de moi et les posa sur la table basse. Pour les déboucher, elle se pencha en avant et mon regard plongea avec délices dans le décolleté de sa robe légère. Je voyais nettement la naissance de ses seins, qui pendaient un peu en avant à cause de sa position. Elle portait un soutien-gorge blanc, sur lequel reposaient ses seins aux formes pleines.



J’étais piégé, le regard fixé sur la peau nue de sa gorge et de sa poitrine, et elle l’avait bien vu.



Elle tendit le bras vers moi pour me donner mon verre, et cette position m’offrit cette fois une vue complète sur ses seins qui remplissaient le soutien-gorge, l’étoffe de la robe ne me cachant plus rien… Françoise s’est redressée alors, croisant à nouveau ses jambes délicieuses. La robe s’arrêtait à la naissance de la cuisse, et j’avais un mal fou à ne pas laisser mon regard glisser en permanence sur la peau nue de ses mollets et chevilles.


Notre conversation reprit, et j’osai, tout doucement, écarter mes genoux jusqu’à ce qu’ils soient vraiment très ouverts, avec mes coudes posés dessus et mon buste penché en avant. Je savais que mon sexe devait se dessiner très visiblement sous le Jean’s le long de ma cuisse, et j’attendais avec impatience que Françoise laisse son regard glisser sur moi.


Ce fut génial…


J’ai vu son regard descendre furtivement vers mon entrejambe, comme les fois précédentes. Son visage a changé, je l’ai vu ciller et j’ai "senti" son regard dévier de ma braguette à ma cuisse, en suivant mon érection sous le tissu.


Elle a laissé sa phrase en suspens, et s’est donné une contenance en toussotant avec la main devant la bouche. Elle a décroisé puis recroisé ses jambes, et je la sentais très gênée, car son regard a fui le mien pendant quelques instants…


J’étais totalement indécis… Que faire ? J’étais surexcité, mais comment aller plus loin ? J’ai pris mon courage à deux mains et, la voix peu assurée :



Elle m’a regardé en souriant, et j’ai vu son visage rougir incroyablement… Elle était tout aussi gênée que moi, mais visiblement se souvenait aussi bien que moi de nos échanges si troublants…



Elle riait, mais je sentais qu’il n’y avait aucune moquerie dans son rire.



Ouf, j’avais réussi à le dire…


Elle me regardait curieusement, et je voyais ses mains aux doigts fins glisser nerveusement sur l’étoffe de sa robe, sur ses cuisses.



Je m’enhardissais, et sa réponse me comblait d’excitation… Elle avait pensé à moi aussi, et vu le sujet de notre dialogue téléphonique, elle avait dû aussi penser à moi sur un plan sexuel !



Elle parlait très vite, le visage rougissant. Je m’étais redressé un peu, et mon regard allait de ses yeux à ses mains qu’elles frottaient sur sa robe.



Voilà, c’était dit… J’avais le souffle court, je la regardais, en attendant ses mots…



Un grand silence s’est imposé entre nous deux, et je crois que chacun réalisait la portée des paroles qu’il venait de prononcer. La sueur perlait à mon front et mes mains étaient moites, je respirais vraiment plus vite, et je voyais la poitrine de Françoise se gonfler par à-coups sous l’étoffe de sa robe, et ses mains toujours crispées sur ses cuisses… Nos regards se croisaient, des sourires naissaient sur son visage et le mien, mais nous étions incapable de les garder, tant nous ne savions pas si la situation était merveilleuse ou catastrophique…



Elle me regarda avec un sourire presque douloureux, et je vis en elle une espèce de déclic.



J’étais totalement sidéré par cet aveu de Françoise, et en même temps aux anges…



Elle me regardait curieusement, souriant franchement désormais. Son regard est descendu, cette fois doucement et de façon explicite, de mon visage à mon ventre, à ma cuisse…



Je respirai un grand coup pour me détendre. Je me suis redressé, laissant mes genoux grands ouverts, et ai posé, maladroitement, ma main à plat sur mon érection, comme pour la masquer.



Françoise avait l’air ébahie de sa propre audace, et me regardait avec un sourire à la fois complice, demandeur, un peu gêné, et le teint rougissant. Je voyais ses deux mains crispées sur l’étoffe de sa robe, sur ses cuisses…


De mon côté, le souffle me manquait presque, tant ses derniers mots m’avaient scotché. Dans mes rêves les plus fous, et cela depuis très longtemps, j’avais imaginé mille fois que Françoise me surprenait en train de bien faire, et qu’elle me demandait de continuer pour elle. Mais j’avais à chaque fois évacué ces rêveries, en me disant que c’était totalement impossible et que, pour être excitant, un fantasme devait avoir une probabilité non nulle de pouvoir se réaliser.


Et là, et là… plus de vingt ans après ces rêveries intimes, je me retrouvais assis en face d’elle, dans un état d’excitation évident qu’elle avait relevé, et elle me demandait… ce à quoi j’avais toujours rêvé !



J’étais surexcité et à la fois terriblement gêné. Je ne savais pas du tout comment "passer à l’acte". Que devais je faire ? Me lever, me déshabiller, là, dans son salon ? Rester assis, ouvrir ma chemise, ouvrir mon pantalon ? Simplement défaire ma braguette ? Toutes ces solutions me semblaient impossibles, là, comme çà, dans le salon de mon frère…


Je regardai Françoise, et je devinai qu’elle lisait mon embarras dans mes yeux…



Je me décidai, tremblant d’excitation, un mélange de honte et de désir fou… Je me suis laissé tomber le dos contre le dossier du canapé, et j’étais donc à moitié allongé, les genoux grands ouverts face à Françoise qui me souriait. Mon sexe se dessinait parfaitement le long de ma cuisse droite et, hésitant, je posai mes doigts sur la bosse, à travers le Jean’s.


Françoise fixait ma main en souriant. J’ai vu ses deux mains se décrisper et se poser bien à plat sur ses cuisses, sur l’étoffe de la robe…


Je n’osais pas croiser véritablement son regard, et je me décidai soudain. Je défis la boucle de ma ceinture et déboutonnai la braguette de mon Jean’s. Des deux mains, j’écartai les pans de mon pantalon et je relevai le bout de ma chemise un peu plus haut sur mon ventre. Mon caleçon était bien visible, et je sentais le regard de Françoise qui le parcourait. Mon sexe était coincé dans la jambe droite du Jean’s, et je dus glisser ma main sous le caleçon pour le saisir et le ramener sur le devant…


La situation était incroyablement excitante : sentir mon sexe chaud dans ma main, à quelques pas de Françoise, et savoir qu’elle attendait que je le fasse sortir du caleçon….


Françoise arborait un sourire curieux, les lèvres très légèrement entrouvertes, les fossettes de ses joues creusées, l’œil fixé sur ma main, le buste penché légèrement vers l’avant, son visage attentif tourné vers moi. Ses jambes étaient repliées sagement sous elle, ses pieds serrés, les genoux en avant, l’étoffe de la robe juste au-dessus du genou, et seules ses mains trahissaient son trouble en étant crispées plus que de raison sur le tissu, sur ses cuisses…


Mon regard se gorgeait de sa position, pourtant fort sage, mais la situation était si terriblement excitante, j’avais attendu si longtemps cet instant depuis mon adolescence ! Je resserrai doucement mes doigts sur mon sexe sous le caleçon, et soulevai l’étoffe avec mon poing. De mon point de vue, l’élastique s’était décollé de mon ventre, et je voyais la base de mon sexe tendu, qui disparaissait entre mes doigts fermés. Je ramenai mon autre main sur ma hanche et glissai les doigts sous l’élastique. Je tirai doucement, et celui-ci glissa sur mon poing fermé, glissa, glissa, et puis soudain se rabattit sur mon poignet. Ça y était ! Ma main était offerte aux yeux de Françoise, tenant mon sexe en complète érection pour elle. Le gland n’était qu’un peu décalotté, et sortait de mon poing fermé.


Françoise laissa échapper un tout petit bruit, curieux et amusant, comme un souffle. Je relevai les yeux vers elle. Son sourire s’était accentué, son buste penché un peu plus encore vers moi. Ses yeux courraient sur mon sexe.


Je n’osais trop faire de geste plus déplacé encore, mais l’excitation était telle que je n’avais plus beaucoup de retenue. Je fis glisser mon poing serré le long de mon sexe, et mon gland fut déshabillé dans le mouvement, la peau glissant, dévoilant le bout de mon sexe, durci, rougi, luisant… Françoise dit, d’une voix de gorge :



J’hésitai, et d’une voix troublée, le souffle court, je répondis :



J’étais fou de joie, fou d’excitation, le tout mélangé d’un sentiment de culpabilité et de honte, c’était un mélange incroyable qui entourait mon esprit de cercles quasi douloureux, de profondes émotions, soutenues et déformées aussi par un désir physique terrible… Je n’avais jamais, jamais été excité de cette façon-là. Mon cœur battait incroyablement vite, j’avais le souffle court, je voyais mon ventre et ma poitrine se gonfler et se vider extrêmement vite, j’avais les mains moites, les jambes tremblantes…


Ses dernières paroles résonnaient dans mon esprit, et je cherchai son regard… Ses yeux quittèrent mon sexe et vinrent se plonger dans les miens. C’était divin, j’y lus un désir puissant, un mélange de jeu et de chair, de plaisir, et de honte aussi… Elle était rouge, et sa bouche était légèrement plus ouverte…


Je m’adossai plus loin dans le fauteuil, abandonnant mon sexe qui vint battre sur mon ventre, dru, vertical, gorgé de désir. Mes mains se posèrent de part et d’autre de mes hanches sur mon caleçon, et je soulevai mon bassin en faisant passer l’élastique sous mes fesses. C’était incroyablement impudique, j’étais quasiment allongé sur le dos, mes épaules touchant le dossier, mon ventre, mon pubis soulevés, mon sexe tendu vers l’avant, vers Françoise. Les fesses dépassées, je me suis laissé redescendre sur le bord du canapé, mes mains entraînant mon caleçon sur mes cuisses. Mon Jean’s n’était pas descendu très bas et j’ai forcé doucement, l’entraînant également jusqu’à mes genoux. Une fois mes genoux passés, j’ai fait glisser Jean’s et caleçon sur mes tibias, jusqu’à mes chevilles. Le moment le plus terrible, même si c’était le plus attendu, était là : je devais me redresser ! Plié en deux, j’ai relevé la tête , cherchant le regard de Françoise.


Elle était souriante, attendant visiblement mon geste.


Je me suis redressé doucement, mes genoux s’ouvrant dans le mouvement. Mon dos est venu se reposer doucement dans le dossier, et j’étais nu, des chevilles à la poitrine, les cuisses grandes ouvertes, mon sexe en érection, devant ma belle-sœur tant désirée, à moins d’un mètre de moi… Je vis le regard de Françoise courir sur mes jambes nues, sur mon ventre, sur mon sexe. Elle me dévorait véritablement du regard.



J’étais toujours dans cet état de surexcitation quasi insupportable, tellement il était puissant. Je lui souris, et je crois que ce sourire était plein d’un tel soulagement – presque vingt-cinq années d’attente ! – qu’il en était drôle ! Françoise éclata de rire en me regardant.



Elle souriait de façon craquante, et son regard passait de mon visage à mon corps, à tout mon corps. Mes yeux glissaient sur ses chevilles et ses genoux, encore sagement serrés, mais ses mains à plat sur ses cuisses allaient et venaient doucement sur le tissu, le retroussant légèrement. Je voyais apparaître un tout petit peu de la chair nue de la naissance de ses cuisses, et j’adorais !



Hésitant encore, mais presque plus pour faire durer ce plaisir immense, je remontai doucement une main du canapé à ma cuisse, je glissai doucement sur la peau nue, jusqu’à effleurer mes testicules. Je voyais le regard de Françoise qui suivait millimètre par millimètre l’avancement de mes doigts, c’était divin. Ma main remontait doucement encore, caressant la base de mon sexe, et puis l’empoignant doucement. Je le redressai pour Françoise, en le serrant très fort dans mon poing. Le gland enfla encore, et devint cramoisi. Je ne pus empêcher un gémissement de m’échapper… Françoise me sourit :



Mon autre main caressait ma cuisse droite, puis jouait avec mes testicules, tandis que je commençais un doux va-et-vient avec ma main gauche. Mon ventre se contractait sous le plaisir, et Françoise soupira plusieurs fois.


Comme dans un rêve, je la vis se redresser, puis laisser son dos glisser doucement vers le dossier. Dans le mouvement, ses genoux s’ouvrirent doucement, légèrement… Elle posa ses épaules sur le dossier, et tendit doucement une de ses jambes, le pied bien à plat sur la moquette, dans sa légère ballerine. Sa cheville était tendue, et mon regard dévorait la peau nue de son mollet, de son genou, de sa cuisse que je découvrais plus haut.



Je me caressais doucement en la regardant, qui me souriait. Ses mains étaient à plat, bien sages, sur le canapé, de part et d’autre de ses jambes. Elle s’était détendue, quasi-allongée aussi en face de moi.



Je lâchai mon sexe doucement en la regardant. Il retomba sur mon ventre, mais était habité de tressaillements réguliers… Il battait au rythme de mon sang…. Françoise le regardait sans hésitation, sans aucune gêne désormais, et son sourire complice me comblait. Elle respira fortement plusieurs fois et je vis sa poitrine gonfler l’étoffe légère de sa robe, dessinant presque parfaitement les globes de ses seins dans leur soutien-gorge. Son décolleté démarrait à la naissance de ses seins, et la peau nue de sa gorge ainsi offerte me faisait trembler de désir…


Mes doigts défirent les trois boutons de ma chemise, et je l’écartai de part et d’autre de ma poitrine…



Je me redressai doucement, la regardant en souriant, et fis glisser la chemise sur le canapé, puis par terre. Je m’adossai à nouveau doucement, désormais nu quasiment tout entier, le pantalon et le caleçon en tire-bouchon sur mes chaussures. Ma main avait repris le chemin de mon sexe, que je décalottais doucement pour Françoise, puis le recouvrais de mes doigts… Mes testicules bougeaient en suivant le même rythme…


Françoise bougea doucement en face de moi, et je vis avec délices sa main droite venir se poser sur la peau nue de son genou droit, qu’elle avait tendu. Elle se crispa sur la naissance de sa cuisse, et remonta doucement, dans un geste si terriblement féminin… L’étoffe de la robe remonta dans le mouvement, et sa cuisse droite fut soudain presque entièrement visible, alors que son autre cuisse était à demi dévoilée… Je voyais ses doigts, comme dans un rêve, monter puis redescendre doucement sur sa peau, glissant parfois sur la face interne, puis sur la face externe de sa jambe… J’étais fasciné par ce spectacle, et mes doigts continuaient leur doux jeu sur mon sexe durci. Je voulais lui demander mille gestes, comme dans tous mes rêves, mais j’ai eu la présence d’esprit de ne rien dire, de ne rien brusquer, de ne rien casser dans cette ambiance si incroyablement troublante.



Françoise souriait, un sourire presque rieur, charmeur en tout cas, infiniment séduisant… Ses doigts si élégants, si fins, caressaient sa cuisse, sans vulgarité mais sans gêne, et ses gestes étaient appuyés parfois. Elle bougea légèrement, et son bassin descendit de quelques centimètres vers le bord du canapé, vers moi. Dans le mouvement, son genou gauche s’ouvrit, doucement mais sûrement… L’étoffe de la robe faisait un plafond de tissu au-dessus de ses jambes, jetant une ombre merveilleuse sur la peau nue qui s’offrait à moi. Sa jambe droite était dénudée jusqu’en haut de la cuisse désormais, et j’aperçus, à grand renfort de battements de cœur, le divin renflement d’une étoffe rebondie… sa culotte.


Mon sexe palpita seul entre mes doigts… Je le serrai de nouveau plus fort, et ma deuxième main caressait mes testicules en les pinçant doucement.



Je lâchai doucement mon sexe, et me redressai en la regardant. Je me penchai sur mes genoux, et commençai à défaire mes lacets. Mon visage était à la hauteur de l’assise de son canapé et en levant les yeux je découvris, émerveillé, que mes yeux étaient à l’aplomb de son bassin, de ses cuisses. Mon regard partit de son pied droit, posé bien à plat dans sa jolie ballerine, fit le tour, amoureusement, de sa cheville, remonta sur le mollet musclé, vint s’enrouler autour du genou, et puis reprit son ascension le long de sa cuisse. Je dépassai sa main fine qui bougeait doucement sur la peau nue de sa cuisse, et remontai encore. Dans un rêve, mais aussi avec le souffle court, j’atteignis l’étoffe légère, délicieusement blanche, de sa culotte.


C’était une culotte toute simple, qui dessinait divinement le renflement de son sexe, et je dévorais du regard les doux plis de son aine. Son genou gauche s’ouvrait doucement, doucement… Françoise était là, devant moi, une jambe nue, l’autre ouverte désormais réellement, et j’étais plongé dans la contemplation de son entrejambe, sous l’étoffe légère de sa robe, désormais remontée très haut. C’était absolument dingue…


Je défis mes lacets, fis glisser chaussures et chaussettes, puis retirai chaque jambe de mon Jean’s, emportant le caleçon également… Je me redressai, ça y était, j’étais entièrement nu, assis les fesses au bord du canapé, devant Françoise…


Ses joues étaient rouges et je voyais sa poitrine gonfler l’étoffe de sa robe plus rapidement. Son regard rieur était brillant, et passait de mon visage à mon torse, de mon torse à mon ventre, de mon sexe à mes jambes nues.


Elle tordit légèrement la jambe droite, et son pied nu sortit de la ballerine, doucement. Elle le reposa, à plat tout d’abord sur la moquette, puis je la vis contracter son pied, qui se cambra… Elle le tenait arqué sur ses orteils, et la vue de sa cheville ainsi tendue était terriblement érotique.



Elle me regardait en souriant, d’un sourire captivant, enivrant.



Elle referma doucement son genou gauche, et laissa son pied glisser pour venir rejoindre l’autre, sur la moquette. Je ne perdais pas un seul de ses mouvements.


Elle retira sa deuxième ballerine, et tendit ses deux jambes. Je vis les muscles divins de ses cuisses se tendre, dessinant des courbes tellement suggestives sous sa peau… Elle saisit l’étoffe de sa robe, qui était déjà très relevée et, sans hésitation, ni brusquerie, d’un geste d’une féminité absolue, la fit remonter sur son ventre…


J’ai cru suffoquer, tant l’excitation me brûlait le corps tout entier. Ses jambes tendues, vers moi… ses pieds nus qui pointaient vers mon corps nu… mes yeux qui glissaient sur la peau dévoilée de ses jambes tant désirées… Et, Graal absolu, sa robe remontée plus haut que ses hanches… Et, pour la première fois de ma vie, je voyais, j’admirais les flancs de ses hanches, son pubis rebondi qui tendait l’étoffe blanche de la culotte.


J’étais toujours assis, les fesses au bord du canapé, les genoux entrouverts, les yeux ne sachant plus où regarder tant il y avait de beautés offertes. Ma main a retrouvé le chemin de mon sexe, doucement, et s’est refermée sur lui. Mes genoux se sont ouverts… J’étais incroyablement impudique, offert totalement au regard de ma belle-sœur.


Je me laissai aller le dos au fond du dossier, et me retrouvai à demi allongé, face à Françoise qui était dans la même position. Elle avait gardé ses jambes tendues mais les avait relâchées un peu. De mon côté, m’allonger m’avait obligé à refermer un peu les genoux, et je me sentais moins outrageusement impudique. Ma main était fermée sur mon sexe et le cajolait doucement, sans vraiment faire de mouvements de masturbation, plutôt des caresses, qui allaient mieux avec l’ambiance de la pièce.


Françoise semblait également détendue, et son dos était également adossé au fauteuil, la robe retroussée au-dessus de sa culotte merveilleuse. Je vis sa main gauche glisser du canapé à sa cuisse puis, s’ouvrant en étirant ses longs doigts fins, passer sur l’étoffe froissée de sa robe, et venir se poser à plat sur son ventre. De petits mouvements circulaires, qu’elle faisait doucement…


Dans un souffle, elle a tendu doucement son bras, et sa main à plat a glissé de son ventre vers sa culotte. J’ai vu ses doigts atteindre le bord de l’étoffe blanche, et puis glisser encore, plus doucement, en appuyant légèrement, sur le renflement de son sexe. C’était hallucinant, Françoise avait la main posé sur son sexe, et je voyais l’empreinte de son sexe, à travers le tissu, que ses doigts dessinaient.


C’était on ne peut plus clair, Françoise se caressait… devant moi ! Mon sexe palpitait dans ma main, et je le serrais plus fort en le décalottant parfois de façon presque douloureuse !


Son visage s’était penché vers son ventre pendant ce mouvement si troublant, et je vis son menton se relever doucement et ses yeux venir se poser sur moi, cherchant mon regard… L’œil était brillant, le visage rosi, le sourire totalement craquant… Elle laissa son crâne venir se reposer sur le dossier et, alors que nos regards ne se quittaient pas, je vis, sans le regarder, que les mouvements de sa main avaient repris sur son ventre… Les miens reprirent également, et c’était fabuleux, comme dans mes rêves les plus fous d’adolescents, nous étions en train de nous caresser tous les deux, ensemble……


Je me masturbais doucement, avec parfois un mouvement plus brusque, plus ferme, mais je voulais tellement profiter, et profiter encore de ces instants divins que je ne faisais surtout rien pour exacerber l’excitation… Je me caressais doucement, une main sur le sexe, l’autre passant de mes cuisses à mon ventre, glissant parfois sur mes testicules.


Françoise, de son côté, avait écarté tout doucement sa jambe gauche, en la repliant légèrement de biais, le genou sur le canapé. Je voyais sa cuisse, la face interne de sa cuisse, jusqu’à la lisière de sa culotte, et ses doigts qui glissaient sur cette culotte, en conque parfois, s’insinuant plus loin entre les fesses dont je voyais la naissance… Elle avait une respiration un peu saccadée, entrecoupée de brefs sursauts, et je voyais son buste vivre intensément sous l’étoffe de la robe…


Sa main droite s’était relevée et posée sur son ventre… De cette position, ses doigts caressaient imperceptiblement le dessous de sa poitrine, et je la vis soudain se soulever et passer, une fois, deux fois sur sa poitrine, de gauche à droite, puis saisir franchement la forme rebondie de son sein gauche, à travers la robe. Je regardais, fasciné, le mouvement de ses doigts sur son sein. Elle l’effleurait, puis le prenait tout entier, puis le caressait… C’était incroyablement sensuel.


L’étoffe de la robe se froissait avec un léger bruissement sous le mouvement de ses doigts. L’échancrure de son décolleté, au gré de ses gestes, s’ouvrait et se refermait, m’offrant une vue grandissante de la peau nue de sa poitrine, de la naissance de son sein, de ses seins… Le mouvement de sa main s’accrut encore un peu, et puis elle replia ses doigts, avant de les déplier, les glissant à l’intérieur du décolleté… Je vis, transporté de désir, apparaître le rebord blanc de son soutien-gorge, dans le sillon délicat entre ses seins.


Sa main glissait sur son sein gauche, et je voyais ses doigts bouger sous le tissu léger de la robe, tandis qu’elle caressait son sein, ouvertement, devant moi. Son autre main continuait ses mouvements de va-et-vient sur son ventre, descendant parfois sur les cuisses, puis remontant en enfonçant le tissu de sa culotte entre des formes qui me faisaient rêver.



J’étais dans le même état d’esprit qu’elle , mais j’avoue que je savais pas comment continuer à vivre notre expérience sans inévitablement nous toucher, nous caresser, et mélanger nos corps dans un incroyable désir de sexe.


Hésitant, je me redressai, et me relevai. C’est une position extrêmement gênante en général, d’être nu en érection… mais alors, devant Françoise, c’était hallucinant… J’étais debout, mais n’osais bouger… les mollets contre le bord du canapé, mon sexe en érection, proéminent devant moi. Je le tenais encore de la main, mais plus du tout en train de le caresser, presque en train de le masquer, tant la position était dérangeante… Françoise laissa échapper un éclat de rire, en voyant mon air sans doute un peu ridicule…



Elle avait relevé son genou sur le canapé pour se déplacer, et sa cuisse gauche était très ouverte désormais, le pied si joli posé de biais sur le rebord du canapé, l’autre jambe toujours allongée… Je me décollai de mon canapé et, un peu gauche, fis un pas, puis deux… Françoise me regardait, et je voyais ses yeux courir sur mes jambes, mes hanches…



Je m’arrêtai, ne sachant que faire ou que dire, debout, à moins d’un mètre d’elle… Son pied droit était posé sur la moquette, vers moi, à moins de cinquante centimètres de mes propres pieds. Elle rougit délicieusement en me disant



Sa main droite s’était immobilisée sur sa culotte, mais sa main gauche caressait à nouveau ses deux seins sous la robe, dont le décolleté était béant. Je voyais le bout de ses doigts, parfois, qui plongeaient sous le tissu du soutien-gorge, et allaient profondément chercher sans doute ces tétons dont je rêvais depuis tant d’années. J’avais amorcé un mouvement des pieds, pour commencer à me tourner, et j’étais désormais de trois-quarts vis-à-vis de Françoise. Elle éclata de rire encore une fois.



Je penchai les yeux et vis évidemment qu’elle avait un spectacle plutôt ridicule ! Nu, légèrement de trois-quarts, mes jambes un peu vrillées par la position, mes bras le long du corps, une main sur mon sexe, les épaules un peu tombantes, et le ventre pas vraiment tout plat… je n’avais plus 20 ans !


Je me redressai, rentrant mon ventre, et finis mon demi-tour, le visage tourné, regardant par dessus mon épaule. J’avais contracté mes fesses, et je pense qu’elles devaient être bien dessinées par cet effet musculaire…



Soudain, je la vis saisir le bord de sa robe retroussée, la remonter sur son buste, et puis tirer dessus, la passer par dessus son visage, ses cheveux. Je voyais, émerveillé, au fur et à mesure, son ventre apparaître, puis, pour la première fois de ma vie, sa poitrine dans son soutien-gorge. Elle avait les bras levés pour retirer la robe, et ses seins étaient majestueux, remplissant complètement les bonnets blancs de son sous-vêtement. Je tournai un peu les épaules pour me remettre de trois-quarts, et l’admirai en train de finir de retirer sa robe. Enfin, elle l’a fit tomber en boule derrière son canapé, et se ré adossa, sourire éclatant aux lèvres…



Le spectacle était divin. Pour ses 57 ans, Françoise avait un corps magnifique, aux formes pleines mais à la silhouette très fine. Ses épaules étaient de pures merveilles, et les courbes de ses seins que je dévorais cette fois des yeux sans retenue étaient d’une sensualité imparable. Mon sexe se redressa quasi immédiatement et il était horizontal, oscillant devant mon ventre… tandis que mes doigts se refermaient sur lui à nouveau.


Françoise me regardait, ses mains ayant repris leurs mouvements. Sa main droite caressait le haut de ses cuisses, glissait sur sa culotte, y dessinait parfois un sillon merveilleux. Sa main gauche avait écarté délicatement le rebord du soutien-gorge, et je voyais ses doigts jouer avec la chair pleine de son sein. Elle le tirait, par petits mouvements des doigts, et je vis bientôt le changement de couleur de l’aréole… puis le téton… Un gros téton, très sombre, que je voyais entre ses doigts….


Je respirai profondément, tant l’émotion était grande et palpable dans la pièce.


Françoise était désormais d’un naturel hallucinant, quasiment allongée, en culotte et soutien-gorge sur ce canapé, à moins d’un mètre de moi. Ses doigts avaient dégagé un de ses seins, et je voyais, comme dans un rêve, le globe lourd, tombant légèrement, qui reposait sur le rebord du soutien-gorge. Ses doigts faisaient le tour de son aréole, titillant et agaçant son téton, sans retenue.


Mon regard se gorgeait de sa poitrine ainsi offerte, et puis glissait sur son ventre où son autre main caressait sans retenue son sexe à travers la culotte. Je voyais l’étoffe froissée, humide, qui dessinait les lèvres de son intimité sous le mouvement de ses doigts.


Françoise fermait les yeux souvent, de très brefs instants, et puis les rouvrait en me regardant. Elle passait de mes yeux à mon torse, de mon ventre à mes jambes, je la voyais parfois fixer ma main refermée sur mon sexe durci. Je me caressais doucement, puis plus vite, debout devant ma belle-sœur tant désirée.



Les joues de Françoise étaient roses d’émotion, peut-être un peu de gêne encore, certainement de trouble.



Elle s’était légèrement redressée, et avait replié sa jambe droite, genou, flanc de la cuisse et flanc du mollet sur le canapé, son adorable pied nu dépassant de l’assise. Son buste s’était redressé, et quelques divins bourrelets apparurent sur son ventre. Elle était tout simplement irrésistible, divine. Elle tapotait de la main sur le canapé, me montrant où venir près d’elle.


Je me tournai donc de nouveau complètement devant elle et, le sexe battant, vint doucement vers elle. Je me tournai doucement, et pliai les genoux, jusqu’à sentir sous mes fesses le tissu du canapé. J’étais assis au bord du canapé, et honnêtement, malgré l’excitation, je sentais ma position un peu ridicule. Françoise prit les choses en mains, et je lui en suis reconnaissant encore aujourd’hui.



C’était fou… Je tournai le visage vers elle et, doucement, fis ce qu’elle demandait. Mes fesses s’enfoncèrent un peu dans le canapé, et je repliai doucement mon genou gauche, en ramenant ma jambe sur le canapé, comme elle…


Nos deux genoux se touchèrent, divinement… Une onde de chaleur faillit m’emporter en un seul instant ! L’instant était magique…


Je sentais la chaleur de Françoise rayonner sur ma jambe, au contact de son genou… C’était extrêmement fort même si, curieusement, le genou n’est pas la partie la plus terriblement suggestive du corps d’une femme, mais ce premier contact physique me transportait… Je n’osais quasiment plus bouger, et ma main s’était posée, par simple réflexe, sur le haut de ma cuisse et mon sexe, mais je n’osais pas reprendre mes mouvements.


Françoise me regardait avec un sourire craquant, une lueur amusée également au fond du regard. Elle se redressa soudain et, avec un geste d’une absolue féminité, fit passer ses deux mains derrière son dos, et je vis la tension des bretelles du soutien-gorge cesser brusquement… Le mouvement délicat de ses bras, lorsqu’ils revinrent vers moi, fit bouger merveilleusement ses épaules, et je vis comme dans un rêve les bretelles blanches glisser sur la peau nue, et venir mourir dans le pli de ses bras… Un instant après, elle avait tendu les bras devant elle, et c’est avec une émotion infinie que je vis ses deux seins apparaître devant moi, lourds, légèrement tombants, merveilleux dans leur nudité.


Ma main se crispa toute seule sur mon ventre, et mes doigts se refermèrent sur mon sexe tendu. Il était douloureux tant le désir l’arquait, la tension le brûlait.


Françoise fit tomber le soutien-gorge en boule à nos pieds, et s’adossa en me regardant et en souriant.



Elle était visiblement heureuse de mes mots, et son désir semblait aussi vif que le mien… Je voyais ses yeux suivre les muscles de mes épaules, de mes bras, les mouvements de mes doigts… Elle sembla hésiter un instant… puis :



Vision hallucinante qui me hantera toujours. Vision magique, terriblement excitante, sans vulgarité, mais avec tellement d’impudeur ! Françoise resserre ses jambes doucement, les allonge devant elle, et je vois ses deux mains venir se poser à plat sur ses flancs, sur ses hanches, ses doigts si fins glisser sous l’élastique de sa culotte blanche… et commencer, sans hésitation, à la faire glisser.


Mes yeux dévorent cette peau tellement rêvée mais jamais vue, la peau de son ventre qui se dévoile doucement… Les plis divins de la naissance de ses jambes, soudain quelques poils châtains… l’élastique se tend un peu, et puis saute soudain deux ou trois centimètres d’un coup… sa toison est offerte, je vois le renflement divin de son pubis… Son mouvement continue, j’aperçois le dessin de ses lèvres, son sexe nu tout entier…


Et la culotte blanche qui continue de glisser sur ses cuisses, qui passe ses genoux… ses pieds serrés qui se replient pour la laisser passer… ça y est, elle est à terre…


Françoise s’adosse à nouveau doucement, le feu aux joues… Elle est nue. Ma divine belle-sœur, de seize ans mon aînée, est nue devant moi… Je n’ai jamais, au grand jamais, vécu d’instant plus fort dans toute ma vie sexuelle. Ses mains se posent à plat sur ses cuisses et sa main droite glisse à l’intérieur et, comme si elle la tirait, je vois sa jambe remonter sur le canapé, son genou se replier et venir vers le mien… Elle reprend la position que nous avions tous deux.


Mais elle est nue cette fois, et je ne peux rien faire pour que mon regard ignore son intimité totalement offerte. Je me gorge de la vue de son sexe totalement dévoilé, de ses lèvres épaisses, desquelles surgit un clitoris important. Sa toison clairsemée semble si douce, délicatement taillée… Mon Dieu, combien de centaines de fois me serais-je masturbé durant ma vie en rêvant à ce sexe… qui m’est enfin offert ?


Nos genoux sont à nouveau au contact l’un de l’autre. Sa peau nue me semble si douce, et le contact est brûlant. La position de sa jambe, repliée de travers sur le canapé, fait naître une délicieuse bosse musculaire à la naissance de sa cuisse, juste au-dessus de son genou. Mes yeux s’enivrent de ce spectacle insensé, glissant sur la peau nue de l’intérieur de sa cuisse, jusqu’à atteindre son sexe merveilleux.



Je vois ses doigts séparer doucement les poils de sa toison. Doucement, quasi tendrement, un de ses doigts est sur son bouton, et continue à glisser, écartant ses deux lèvres… Mon ventre se crispe, ma cuisse bouge, et le contact de nos genoux est plus ferme encore. Je suis résolument tourné vers elle désormais, et je reprends mes caresses sur mon sexe, le décalottant complètement, presque douloureusement… Françoise me sourit….



Je sens mon cœur battre la chamade tandis que ma main commence un va-et-vient plus franc sur mon sexe. Mes testicules montent et descendent entre mes jambes au rythme de ma main, et je vois les doigts délicats de Françoise glisser sur son sexe, désormais très humide… C’est incroyablement érotique… Je sais que je ne vais malheureusement pas pouvoir faire durer éternellement ce plaisir, tant mon corps commence à ressentir les prémices de la jouissance….


La main gauche de Françoise vient se poser à côté de l’autre, doucement, puis la remplace sur son sexe… Sa main droite vient sur sa cuisse, et commence à glisser vers son genou, vers mon genou…


Soudain, le contact… ses doigts touchent mon genou, montent sur lui… et se crispent…