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n° 12810Fiche technique7123 caractères7123
Temps de lecture estimé : 5 mn
29/08/08
Résumé:  La fin de cette après-midi délicieuse... cette première fois avec Françoise.
Critères:  fh alliance cérébral intermast init nostalgie -prememois -mastf -masth
Auteur : Rêveur75  (reveur.75)      

Série : Divine Belle Soeur

Chapitre 02 / 08
Divine Belle soeur - Épisode 1 - Fin

Nos genoux étaient à nouveau au contact l’un de l’autre. Sa peau nue me semblait si douce, et le contact était brûlant. La position de sa jambe, repliée de travers sur le canapé, faisait naître une délicieuse bosse musculaire à la naissance de sa cuisse, juste au-dessus de son genou…


Mes yeux s’enivraient de ce spectacle insensé, glissant sur la peau nue de l’intérieur de sa cuisse, jusqu’à atteindre son sexe merveilleux…



Je vis ses doigts séparer doucement les poils de sa toison, et puis, doucement, quasi tendrement, un de ses doigts fut sur son bouton et continua à glisser, séparant ses deux lèvres.


Mon ventre se crispa, ma cuisse bougea, et le contact de nos genoux fut plus ferme encore… J’étais résolument tourné vers elle désormais, et je repris mes caresses sur mon sexe, le décalottant complètement, presque douloureusement. Françoise me sourit.



Je sentais mon cœur battre la chamade, tandis que ma main commençait un va-et-vient plus franc sur mon sexe. Mes testicules montaient et descendaient entre mes jambes, au rythme de ma main, et je voyais les doigts délicats de Françoise glisser sur son sexe, désormais très humide. C’était incroyablement érotique… Je savais malheureusement que je n’allais pas pouvoir faire durer éternellement ce plaisir, tant mon corps commençait à ressentir les prémices de la jouissance.


Sa main gauche vint se poser à côté de la droite, doucement, puis la remplaça sur son sexe. Sa main droite se posa sur sa cuisse, et commença à glisser vers son genou. Vers mon genou…


Soudain, le contact. Ses doigts touchent mon genou, montent sur lui… et se crispent. Françoise me regarde :



Sa main serre mon genou, et ce contact irradie en moi jusqu’à mon ventre. Je vois sa poitrine bouger au rythme très rapide de sa respiration, mes yeux ne perdent pas une miette de toutes ces beautés dévoilées… Je ne sais plus où regarder, tant tout est terriblement excitant.


Et puis sa main, soudain… qui semble se décider… desserre son étreinte sur mon genou et glisse sur ma cuisse…


Les doigts fins de Françoise, que j’ai tant et tant regardés à la dérobée lors des repas familiaux, qui montent sur la peau nue de ma cuisse…


Son visage, son cou, son buste tout entier se penchent vers moi, au fur et à mesure que sa main remonte…


Et, divin plaisir… ses doigts soudain au contact de mon aine…


Je ne respire plus, mon cœur s’affole, ma main cesse le mouvement sur mon sexe. Je suis comme foudroyé, tandis que des vagues de plaisir s’annoncent dans mes reins, dans tout mon être.


Françoise a marqué une pause de quelques secondes, et puis…


Et puis, enfin, après toutes ces années, j’ai senti le bout de ses doigts glisser, et venir toucher mes testicules…


Une caresse d’une infinie douceur…


Les doigts en conque, Françoise les a enveloppés en les pressant doucement. Deux de ses doigts, en pince, ont repoussé doucement ma propre main et se sont refermés à la base de mon sexe. J’ai gémi de bonheur en sentant ses doigts toucher enfin mon sexe…



Elle a relevé les yeux vers moi en souriant.



J’ai écarté doucement ma main gauche de mon ventre, et mon avant-bras a effleuré le sien. Penchée légèrement vers moi pour pouvoir me toucher, nos corps étaient très proches, et sa poitrine nue n’était qu’à quelques centimètres de mes doigts. Tremblant presque, j’ai avancé la main, doucement, et j’ai touché la peau nue, chaude, douce, moelleuse de son sein… Mes doigts se sont ouverts et ont pris tout son sein. Je l’ai pressé doucement, déclenchant un soupir de Françoise.


Sa main avait glissé doucement sur ma verge, et elle était désormais refermée sur mon sexe tout entier.


Sensation incroyable de puissance…


Françoise me… masturbait.


D’un doigt, elle passait parfois autour de mon gland, en faisant le tour, en agaçant la peau décalottée. Elle serrait doucement, puis plus fermement, et redescendait doucement jusqu’à ce que son poignet vienne s’écraser sur mes testicules, mon sexe arqué et rougi tendu vers elle, comme jaillissant de son poing fermé…


Mes doigts, quant à moi, malaxaient son sein, et se refermaient régulièrement sur son téton incroyablement dur…


C’était dingue… dingue… dingue… Nous étions enfin nus, tous les deux, et nos doigts caressaient le corps de l’autre.


Françoise se redressa légèrement, le visage tourné vers le mien. Elle me masturbait plus vite, et ma respiration s’accélérait, mon bassin commençait à onduler…


Je vis sa bouche s’entrouvrir… et puis s’approcher de la mienne. Les yeux grand ouverts, elle posa ses lèvres sur les miennes, et je sentis immédiatement sa langue pénétrer ma bouche. J’étais fou de plaisir, de désir, de bonheur, et je répondis avec ferveur à ce baiser interminable.


Les doigts de Françoise avaient encore accéléré leur mouvement, et je gémissais en l’embrassant. Mes gestes étaient devenus erratiques, et mes caresses sur son sein n’étaient plus que de brefs mouvements désordonnés.



Mon corps s’arc-bouta, et alors qu’elle tenait fermement mon sexe dans ses doigts, je sentis la délivrance arriver. Une puissance terrible, qui m’arracha un cri rauque qui interrompit notre baiser… Soudain, une explosion de plaisir, et une vague de chaleur qui jaillit de moi…


Françoise ne cesse pas ses mouvements, et les jets de sperme, encore et encore, jaillissent… Je sens mon sperme venir heurter ma propre joue, ma gorge, nos bouches… Elle rit, tandis que ses doigts continuent à me rendre fou !!!


J’ouvre à nouveau les yeux. La cuisse de Françoise est zébrée de longues traînées qui vont jusqu’à son sexe… quelques taches sur la peau nue de son ventre. C’est… divin.


Je ne peux presque plus supporter son mouvement désormais, tant le plaisir a été fabuleux…



Elle lâche tout doucement mon sexe, le quitte d’une dernière caresse, et puis se redresse doucement, tout doucement, en posant son doigt en biais sur ma bouche entrouverte.


Je suis trempé de sueur, mon cœur est fou, j’ai le souffle court…