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n° 12756Fiche technique30032 caractères30032
Temps de lecture estimé : 18 mn
29/07/08
Résumé:  Lors d'une soirée dansante, je me suis déguisé en femme. Ce qui en a découlé a été super.
Critères:  2couples couplus copains fête miroir travesti intermast entreseins fellation cunnilingu pénétratio hdanus hsodo échange -entrecoup -travesti
Auteur : Hardi7273            Envoi mini-message

Série : Soirée dansante

Chapitre 01 / 02
La soirée

Ma femme Claire et moi pratiquons régulièrement la danse. Nous faisons partie d’une école où nous apprenons les danses latines et de salon, ainsi que le rock. Nous avons sympathisé avec notre prof de danse, Nadine, et son mari Serge.


Je nous présente :


Je m’appelle Bernard, je suis brun, je mesure 1,83 m et pèse 79 kg. J’essaie de me maintenir en forme en faisant du sport (pratique régulière du jogging) et, quand je le peux, un peu de muscu. Je ne souhaite pas devenir Schwarzenegger ou Stallone mais simplement me maintenir en forme.


Ma femme Claire mesure 1,50 m et pèse 50 kg, châtain clair. Personnellement je la trouve très jolie (mais évidemment je suis de parti pris) Elle a une poitrine assez forte pour sa taille, et ça la gêne souvent car c’est toujours la première chose que les gens voient la première fois où ils la rencontrent. Elle en fait même un complexe.


Après vingt ans de mariage, nous avons une sexualité encore importante. Il faut dire que ma femme adore faire l’amour et qu’elle est très sensible des seins. Comme personnellement c’est toujours ce qui me fait fantasmer chez une femme, vous pensez bien que je suis ravi. Ce qu’il y a de paradoxal (et amusant, et en plus qui me plait beaucoup) c’est qu’elle adore mettre des tenues décolletées quand on sort ou qu’on reçoit des amis.


Serge, brun lui aussi, est un peu plus petit que moi mais beaucoup plus sportif, et lorsqu’on va courir ensemble il me crève littéralement car j’essaie toujours de le suivre. J’ai sensiblement amélioré mes performances depuis que je cours régulièrement avec lui. Comme moi, il souhaite conserver la forme et, à bientôt quarante-cinq ans (lui comme moi), nous sommes plutôt content de notre physique et de notre état de forme. Bien qu’il essaie d’être discret, j’ai pu constater à plusieurs reprises que quand il pensait qu’on ne le voyait pas, son regard plongeait dans le décolleté de Claire, que je soupçonne de s’en être aperçue et d’en rajouter parfois.


Si Serge a souvent le regard indiscret, c’est sûrement parce que son épouse Nadine, contrairement à Claire, a une petite poitrine. Je m’en suis rendu compte car, contrairement à ma femme qui ne l’a jamais voulu, elle est souvent sans soutien-gorge. Et quand son décolleté baille, j’ai pu apercevoir de mignons petits seins. Nadine est très belle, une vrai blonde, et comme elle est prof de danse et de fitness, elle a une silhouette superbe malgré ses quarante-cinq ans elle aussi (Claire étant un peu plus jeune, quarante-deux ans). Elle mesure 1,70 m et pèse 58 kg. Je vous laisse imaginer son corps…


Nous sommes très proches, parlant de tout sans tabou, mais il ne s’est jamais rien passé entre nous… jusqu’à cette soirée dansante costumée qu’a organisée Nadine pour la dernière soirée de l’année de son école de danse, en juin.


Il n’y avait pas de thème imposé, et chacun pouvait choisir le costume qu’il voulait. Je ne savais pas exactement comment me déguiser quand Claire a eu une idée.



J’ai été tout de suite d’accord, trouvant cela assez marrant.


Vu la différence de taille entre elle et moi (1,83 m contre 1,50, je vous le rappelle), il était impossible que je prenne des affaires à elle.



Le lendemain en rentrant du travail, elle me dit :



Le samedi, nous nous sommes rendus dans cette société. Quand on lui a dit ce qu’on voulait faire, la vendeuse nous dit qu’elle avait tout ce qu’il fallait pour ça. Je me mis dans une cabine, en caleçon (j’aime autant mettre des slips, des caleçons que des strings). La vendeuse sortit une espèce de corset qui, une fois passé, me faisait un corps de femme. En effet, il y avait des seins très bien faits – on aurait dit des vrais. Le corset lacé dans le dos et ayant des renforts m’obligeait à me tenir bien droit, donnant l’impression d’une courbure très féminine. Bien que l’essayage ait lieu en présence de ma femme et de la vendeuse, je n’étais pas du tout gêné. Cette dernière avait une attitude toute professionnelle, semblait très amusée par notre idée et ne voulait qu’une chose :



Une fois le corset choisi, elle me fit essayer des perruques jusqu’à ce que l’on trouve celle qui allait le mieux et faisait le plus naturel possible. C’était une perruque blonde, avec des cheveux longs qui me tombait sur les épaules, et une fois que je l’avais passée on avait vraiment l’impression qu’il s’agissait de mes cheveux. Claire et moi étions enchantés, et après la promesse que nous prendrions des photos pour qu’elle puisse les mettre dans son catalogue, nous avons payé nos achats et nous sommes partis.


Ensuite nous sommes allés me choisir une robe. Compte tenu de mon physique, nous sommes allés dans une boutique « spécialisée grande taille ». Là encore, après explication, la vendeuse a trouvé l’idée très amusante et s’est mise en quatre pour nous aider à choisir. Elle eut vite fait de nous montrer que nos premiers choix n’iraient pas du tout et, devant son évident professionnalisme, nous nous en sommes remis totalement à elle.


Dès qu’elle eut pris la situation en main, les choses allèrent beaucoup plus vite. Tout d’abord, elle me fit remettre le corset ainsi que la perruque, ce qui nous prit pas loin d’une demi-heure. Puis elle choisit différentes tenues pour me les faire essayer. Pour ma part, j’étais très tenté par un tailleur pantalon que je trouvais très joli. Mais ma femme et la vendeuse me démontrèrent que ça ne m’allait pas du tout, me redonnant ce côté masculin que nous cherchions justement à éliminer. Je me rendis à leurs raisons, et pensant qu’elles devaient avoir plus l’habitude que moi, je les laissais décider.


J’essayais plusieurs robes, jupes, chemisiers, jusqu’à ce qu’elles s’exclament de joie quand je ressortis de la cabine d’essayage dans une robe qui m’arrivait à peine au-dessus du genou, avec un décolleté assez prononcé. Comme je leur disais que le décolleté me trahirait tout de suite car, même bien imités, on voyait bien que les seins étaient faux, elles me firent remarquer qu’il y avait une espèce de dentelle qui le recouvrait et que, si dans une boutique bien éclairée ou au dehors ce serait peut être visible, dans une salle de danse pas très éclairée, vers vingt-et-une heures, je pourrais faire illusion, au moins le temps qu’on dévoile la supercherie.


Ensuite la vendeuse, qui dans sa boutique avait un rayon lingerie, me choisit un porte-jarretelles, des bas résille et un string très féminin. Quand je lui ai dit que j’en avais à moi, elle me dit qu’un string masculin n’irait pas et se verrait. Ma femme étant d’accord, je décidais de continuer à lui faire confiance et la laissait me guider même si, à ce moment-là et bien que ni ma femme, ni la vendeuse – toujours dans leur amusement d’essayage – ne semblaient pas y faire attention, j’étais à la fois un peu plus gêné, et en même temps un peu excité. Heureusement pour moi, cela ne se voyait pas trop.


Lors de cet essayage, une évidence nous sauta aux yeux à laquelle personne n’avait pensé jusque là, mais qui fut rendu évidente lors du passage des bas résille… mon système pileux, que j’ai fortement développé. J’en ai sur tout le corps.


Enfin, elles me firent essayer des chaussures avec des talons aiguilles. Alors là, je dis chapeau, mesdames ! Je fus incapable de faire trois pas sans risquer l’entorse grave avec déchirure des ligaments, alors que vous non seulement vous marchez mais en plus vous dansez !


On revint donc vers des chaussures à semelles compensées qui me permettaient tout de même d’avoir une cambrure et un maintien très féminin. Je marchais, je fis quelques pas de danse avec ma femme et, ma foi, même si je n’étais pas tout à fait à l’aise, je m’en tirais pas trop mal. Puis la vendeuse et ma femme entreprirent de me donner des leçons de marche pour éviter que j’aie l’air d’une femme aux allures de bûcheron canadien. Je dois reconnaître que mes premiers efforts furent accueillis avec maints éclats de rire de la part de mes deux « professeurs ». Je fus un peu vexé au début, mais elles riaient de si bon cœur que j’ai fini par rire moi aussi. Heureusement pour la vendeuse que cette après-midi-là elle n’eut pas grand monde, et les quelques clientes qui passèrent y allèrent de leur avis et de leur éclat de rire. En fin de compte, pendant plus de deux heures, je fus pratiquement le seul centre d’intérêt et, ma foi, j’aimais bien cela.


Après nos emplettes, nous sommes rentrés à la maison et nous avons convenu que j’avais besoin de beaucoup d’entraînement pour arriver à un résultat acceptable, tant pour marcher que pour rendre ma voix et mes intonations plus féminines. Tout notre temps libre des trois semaines suivantes avant la soirée y passèrent.


La tenue de Claire fut beaucoup plus facile à trouver. Elle avait trouvé un costume trois pièces avec une cravate, et nous avions déniché dans un magasin de farces et attrapes une moustache, avec une colle spéciale qui lui permettait de la faire tenir très fermement.


Enfin, la journée arriva. Ce samedi-là fut terrible pour moi. Il fallut me raser sur tout le corps. Puis ma femme me fit un complément d’épilation sur les jambes. Je vous assure, messieurs, n’essayez jamais : c’est horrible ! Et encore, je m’étais rasé les jambes avant ! Puis ma femme me décolora les sourcils. Enfin elle partit pour une séance de maquillage. Je n’imaginais pas tout ce que les femmes peuvent se mettre pour nous plaire. Lait sur le corps, fond de teint, brush et que sais-je encore. Nous y avons passé un sacré bout de temps. Mais le résultat final fut époustouflant. Quand je me regardais dans la glace, il m’était impossible de me reconnaître. Ma femme était très fière de son travail.


Je trouvais son résultat si réussi que nous avons décidé de tenter une expérience. J’ai appelé Nadine (avec ma voix normale) pour lui dire qu’une de nos amies, Catherine, allait se présenter à la soirée. Qu’elle s’y rendrait directement. Et comme nous n’étions pas sûrs d’être là quand elle arriverait, et qu’elle était timide, de bien vouloir l’accueillir. Ce qu’elle accepta sans problème bien sûr.


Arrivés à l’école vers vingt-et-une heures, Claire attendit un peu dehors et je me présentai dans la salle de danse. Je jouai la timide et me présentai à Nadine en disant de la voix basse que je m’étais entraîné à prendre que j’étais Catherine, l’amie de Claire et Bernard, et je lui demandai s’ils étaient déjà arrivés. Nadine me regarda et me dit qu’elle avait été prévenue de mon arrivée. Elle semblait interloquée, et je crus qu’elle m’avait reconnue quand elle me dit :



J’eus un instant d’hésitation et j’eus, je crois, un bon réflexe en disant tout de suite :



Je crus que tout allait tomber à l’eau, mais heureusement d’autres personnes arrivèrent et occupèrent Nadine qui dut les accueillir.


À part elle, personne n’eut de doute, surtout que, continuant à jouer les timides, je parlais le moins possible pour ne pas me trahir.


À ce moment là, Claire arriva et se dirigea vers moi en me disant :



Et à Nadine :



Nadine lui répondit qu’on s’était déjà vu au mariage de notre fille et Claire eut la présence d’esprit de répondre :



Nous avons tenu le coup comme cela une demi-heure environ. Je refusais, évidemment, toutes les danses puisque je ne connaissais pas les pas des filles. Ce fut le temps qu’il fallut à Nadine pour soudain s’exclamer :



Et elles partirent toutes les deux dehors pour me chercher.


Évidemment, elles ne m’ont pas trouvé et revinrent avec Serge qui venait d’arriver (comme il est chauffeur de taxi, il arrive souvent bien après nous dans les soirées).


Elles discutaient toutes les deux pour savoir où j’étais, et ce fut Serge qui dit :



Tout le monde se retourna et finalement je me dévoilais en reprenant ma voix normale. Ils étaient tous très surpris de la réussite de mon déguisement. Tout le monde voulait toucher mes seins pour voir ce que ça donnait. Nadine dit qu’elle avait eu un doute mais que, prise par l’accueil, elle n’y avait plus fait attention. Je fus l’attraction de la soirée. Il y avait un concours pour le meilleur déguisement, que je gagnais haut la main.


Vous imaginez que j’ai dû danser avec tous les hommes mais bref, on a tous passé une bonne soirée.


Comme d’habitude, quand tout le monde fut parti, nous avons aidé Serge et Nadine à ranger la salle, et comme d’habitude nous avons sorti une bouteille de champagne. La musique continuait et comme il y avait un slow, Serge m’invita de nouveau à danser. Il faisait le fou, comme à son habitude. Il me pelotait les seins, se collait à moi, me posait les mains sur les fesses. Bref nous étions tous éclatés de rire. Soudain, dans les glaces, je vis que Nadine et Claire avaient cessé de rire discutaient toutes les deux en nous regardant. Elles semblaient très excitées, se rapprochèrent de nous et Nadine me dit :



Ma femme surenchérit en disant :



Il est vrai que je lui demandais parfois ce qu’elle ressentait quand elle me faisait cela, et qu’une fois elle m’a dit :



Toutefois, je pensais qu’il ne s’agissait que d’une discussion entre nous, sans jamais avoir à passer à l’acte


Bien qu’un peu tenté, j’essayai de m’échapper mais Serge, qui semblait décider à se faire leur complice, m’en empêcha en me serrant fortement près de lui.


Nadine s’approcha de moi et me dit :



Et prenant ma main, elle la posa sur le sexe de Serge.


Je fus surpris par plusieurs choses. D’abord de l’excitation que je lisais dans les yeux de Claire et de Nadine, puis de constater que Serge avait un début d’érection assez prononcé, et qu’enfin je ne trouvais pas cela si déplaisant que ça.


Je continuai donc une caresse qui ne me semblait pas m’engager beaucoup, et cela ne semblait pas lui déplaire. Je regardai les deux femmes, qui semblaient hypnotisées par ma main qui caressait le sexe de Serge par-dessus son pantalon. Quand je regardais Serge, je vis qu’il semblait apprécier. Me prenant par le cou, il m’approcha de son visage. J’hésitai un peu puis me laissai faire. Il posa ses lèvres sur les miennes et je sentis sa langue jouer avec mes lèvres qui s’ouvrirent presque malgré moi. Nous sommes partis dans un baiser qui, un rien hésitant au début, ne tarda pas à se transformer en baiser passionné.


Les femmes ne disaient plus rien, ne voulant pas nous brusquer et risquer de tout faire échouer (c’est ce que me dira Claire ensuite), mais elles étaient manifestement très excitées. Je sentis une main me caresser les fesses et jouer avec mon string par-dessus ma robe. Je ne savais qui c’était, mais c’était très agréable et très excitant en même temps.


Notre baiser dura de longues minutes et lorsque nous nous sommes séparés, je sentis des mains sur mes épaules.


C’était Nadine qui voulait me faire mettre à genoux. Je résistai un peu, plus pour la forme que pour autre chose car je commençai à ressentir l’envie de tenter l’expérience. Elle accentua sa pression et je me laissai descendre. Lorsque je fus à genoux, je recommençai à caresser Serge. Nadine appuya un peu sur ma tête et je posai mes lèvres sur le sexe de Serge qui maintenant était très tendu sous son pantalon. J’avais encore un peu d’hésitation ; Nadine le sentit, alors elle défit elle-même le bouton et la fermeture éclair du pantalon de Serge et le laissa descendre sur ses chevilles. J’avais maintenant la queue de Serge bien tendue sous son slip. Je reposai mes lèvres sur ce sexe qui m’attendait et lui fit des petits bisous par-dessus le tissu. J’entendis Nadine me dire :



Je me demandai ce que faisait ma femme, et je la cherchai des yeux. Je vis qu’elle avait enlevé la veste et le gilet du costume, qu’elle avait ouvert le pantalon qui était tombé sur ses chevilles et, assise sur une chaise, elle se masturbait en me regardant faire.


Pendant ce temps-là, je continuais à caresser le sexe de Serge qui, de son côté, semblait apprécier. Nadine continuait à m’encourager en me parlant doucement dans l’oreille. Elle s’était agenouillé à côté de moi et me caressait doucement par-dessus ma robe.



Ses paroles, le fait qu’elle continue à m’appeler Catherine, m’excitaient au plus haut point. Je pris le slip de Serge et le fis descendre le long de ses jambes. Son sexe était tendu vers moi. Je le pris dans ma main et je me mis à le caresser, toujours encouragé par Nadine.



Sans qu’elle ait besoin de me forcer, j’approchai ma bouche du sexe de Serge. Je posai ma langue sur le bout de son sexe et me mit à jouer avec le gland. Serge se mit à gémir. Puis j’ouvris la bouche et, tout doucement, avalai ce sexe qui ne demandait que cela. Je sentais la main de Nadine qui me caressait les cheveux et qui me donnait la cadence. Je pouvais voir dans les glaces Nadine qui me regardait sucer Serge, moi en train de le sucer et Claire qui se masturbait, et qui était manifestement sur le point de jouir. Je ressortis le sexe de Serge de ma bouche et me mit à lui lécher la hampe et les testicules. Je sentis qu’il n’était pas loin de jouir, alors je le repris en bouche et recommençai à le sucer, toujours encouragé par Nadine qui me disait :



Très excité maintenant, j’accélérai ma fellation. Soudain, j’entendis Claire qui poussait un grand cri et dans la glace je vis qu’elle venait de jouir et avait encore des spasmes de jouissance. Serge, qui la regardait aussi, ne put se retenir plus longtemps et en disant des :



Il se mit à jouir. Le premier jet me prit un peu par surprise et je faillis m’étouffer, mais je profitai à fond des jets qui suivirent, tandis que je voyais dans la glace le visage de Nadine qui, elle aussi, s’était mise à se masturber, et qui jouissait. Je continuai à sucer Serge pour finir de boire sa jouissance et je pus constater à ma grande surprise qu’il ne débandait pas du tout.



Serge était toujours très tendu et je continuais à le caresser et à le sucer.


Claire était en train d’installer des tapis de sport par terre quand Nadine revint. Elle ramenait une boite de crème (dont je ne citerais pas la marque mais dont le nom est inscrit en blanc sur fond bleu…).



Elle semblait vraiment décidée à m’appeler comme cela jusqu’au bout. Je compris immédiatement où elle voulait en venir et, bien que me faire sodomiser ne m’ait jamais vraiment attiré, je continuai à jouer la soumise et fit ce qu’elle m’avait demandé. Elle remonta ma robe sur mes reins, enleva mon string en me caressant un peu au passage, prit de la crème et commença à m’en mettre sur le cul. Au début, j’étais un peu contracté, mais quand elle commença à mettre doucement un doigt, puis deux, je m’aperçus que ce n’était pas si désagréable que cela. Claire me fit me pencher en avant afin d’améliorer ma position. Dans la glace, je pus voir que Serge semblait très impatient et qu’il bandait toujours très fort. Ce qui me fit un peu peur, car déjà que je sentais bien les doigts de Nadine, alors le sexe de Serge, qui me semblait bien plus gros, m’inquiétait un peu. Mais je dois avouer que j’étais bien trop excité pour renoncer. D’autant que Claire, passant la main sous ma robe, s’était mise à me branler.


Nadine mit de la crème sur le sexe de Serge et l’approcha de mon cul.



Je sentis le sexe de Serge peser doucement et mon cul, bien préparé par Nadine, s’ouvrit. Serge s’enfonça doucement. Il y eut bien un moment un peu plus désagréable, quand il força, mais dans l’ensemble cela me fit moins mal que je ne le craignais.



Tiens ! Pendant une minute, j’étais redevenu un homme…


Puis je la vis s’avancer vers moi, s’allonger par terre, se mettre en position de 69, et après avoir remonté sa jupe et enlevé son slip, se glisser sous moi. Ses mains appuyèrent sur ma tête pour que je m’occupe de son sexe tandis que sa bouche gourmande avalait le mien. Je me mis à sucer le sexe de Nadine, à m’occuper de son clitoris et, est-ce dû au spectacle que je venais de lui donner, elle se mit à jouir très vite et très fort dans un grand cri.


Je sentis Claire qui me relevait la tête pour m’embrasser malgré ma bouche pleine de la jouissance de Nadine. J’avais le sexe de Serge qui faisait des va-et-vient lentement dans mon cul, la bouche de Nadine qui me suçait et ma femme qui m’embrassait. J’étais au comble de l’excitation. Claire ayant cessé de m’embrasser, Nadine me fit comprendre de m’occuper à nouveau de son sexe. Ce que je fis bien volontiers. Elle avait cessé de me sucer et faisait de commentaires du genre :



Elle avait lâché mon sexe qui s’était posé entre ses seins. Je sentais le haut de son tee-shirt qui frottait sur mon sexe. Je me mis à bouger entre les petits seins de Nadine qui criait littéralement sa jouissance et ne s’occupait plus du tout de moi. Je sentis que Serge accélérait sa cadence. Je suçais Nadine comme un fou, ne faisant plus attention à rien, et je sentais monter ma jouissance.


Serge m’enculait maintenant très vite et très fort. Je sentis Nadine jouir elle aussi dans ma bouche, et quand soudain Serge se tendit à fond dans mon cul et se mit à jouir, en sentant son sperme couler dans mon cul je me mis à jouir moi aussi, mon sperme allant se perdre entre les seins de Nadine sous son tee-shirt.


En ouvrant les yeux je vis que Claire embrassait Serge à pleine bouche.


Il se dégagea de mon cul et dit :



Nadine, pendant ce temps-là, après avoir joui une nouvelle fois, avait repris mon sexe dans sa bouche. Après la jouissance que je venais d’avoir, je pensais que j’allais débander très vite, mais est-ce la soirée que je venais de connaître ou la bouche habile et gourmande de Nadine, mais je bandais toujours très fort.



Immédiatement elle se leva, enleva son tee-shirt, et pour la première fois je vis ses seins que je m’empressai de peloter, d’embrasser et de sucer. Elle me gratifia d’un baiser très passionné puis, se mettant à genoux, repris mon sexe dans sa bouche pour me sucer un peu. Nous vîmes revenir son mari et ma femme. J’étais très surpris car malgré les deux jouissances qu’il venait de connaître, Serge présentait toujours un sexe bien tendu.


Ils vinrent se mettre à côté de nous et, se mettant à genoux, Claire se mit elle aussi à sucer Serge. Dans la glace, nous pouvions voir nos deux femmes sucer le mari de l’autre. Voir ma femme sucer Serge et Nadine me sucer, d’autant qu’elles y mettaient du cœur, je trouvais cela très excitant. Serge me dira plus tard que lui aussi avait été très excité par cette vision. Je sentais monter ma jouissance et je fus tenter de me laisser faire, mais j’avais beaucoup trop envie de pénétrer Nadine, aussi l’ai-je arrêtée. Le sourire qu’elle m’adressa quand je me penchai pour l’embrasser et lui demander de se mettre en position me remplit d’un grand élan pour elle, car au-delà de la simple envie de sexe je sentais une grande affection entre nous, presque comme de l’amour, et je vis que ma femme et Serge semblaient ressentir la même chose.


Nadine se retourna et, se mettant en position, me tendit son postérieur que je ne pus m’empêcher de caresser. Claire se mit elle aussi dans la même position, et Serge et moi avons présenté nos sexes avides d’amour à leur sexe qui (au moins pour Nadine) dégoulinait littéralement d’excitation. Nous les pénétrâmes tous les deux ensembles et commençâmes à leur faire l’amour à la même cadence. C’était fantastique : les glaces, nos complices, nous renvoyaient cette image merveilleuse. Je voyais le sexe de Serge aller et venir dans le sexe de ma femme et je le voyais regarder le mien aller et venir dans le sexe de la sienne.


Excités comme nous l’étions, hommes et femmes, nous ne fûmes pas longs à jouir et c’est tous les quatre ensemble que, dans des gémissements de plaisir et des cris, nous avons jouis. Je ne crois pas me souvenir avoir eu autant de plaisir à jouir dans le ventre d’une femme. Nous nous sommes écroulés, et afin de soulager Nadine je me suis mis sur le côté. Elle s’est serrée contre moi afin de profiter encore un peu de mon sexe, qui cette fois se détendait. Je pouvais voir dans la glace que Serge et Claire faisait de même. Me dégageant, je retournai Nadine et l’embrassait avec tendresse. Elle me rendit mon baiser et me dit tout doucement :



Très sincèrement, je crois que nous pensions ce que nous venions de nous dire. Et dans l’attitude de ma femme et de son mari, je vis qu’ils se disaient la même chose et, contrairement à ce que j’aurais cru, je n’en fus pas jaloux mais au contraire je ressentis un grand bonheur.


Comme nous avions un peu froid, nous nous sommes relevés, rhabillés tant bien que mal, surtout Nadine qui avait du sperme partout sur son tee-shirt à cause de ma première jouissance.


Nadine et Serge nous ont invité à boire le champagne et ont insisté pour que nous dormions chez eux, compte tenu de l’état de fatigue dans lequel nous étions.


Nous étions certes fatigués, mais je crois qu’aucun de nous quatre n’avait envie que notre soirée s’arrête là. Nous avons pris une bonne douche et nous sommes allés nous coucher.


C’est en fait le lendemain que la soirée s’est continuée… mais c’est une autre histoire, que je vous raconterai plus tard si celle-ci vous a plu.