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Temps de lecture estimé : 11 mn
02/08/08
Résumé:  La suite de la soirée dansante avec Serge et Nadine.
Critères:  2couples fdomine noculotte fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fsodo échange -entrecoup -fbi -hbi
Auteur : Hardi7273            Envoi mini-message

Série : Soirée dansante

Chapitre 02 / 02
Le lendemain matin...

À moitié endormis, Claire et moi avons entendu du bruit dans la cuisine. À priori, Serge et Nadine étaient levés et préparaient le petit déjeuner.


Claire et moi avons été confrontés à un problème. Comme nous n’avions pas prévu de dormir chez eux, nous n’avions pas de linge de rechange, et franchement, ce matin, avec la barbe naissante, je ne me voyais pas remettre la tenue de la veille. De plus, tant la robe que les sous-vêtements allaient avoir besoin d’un bon nettoyage. Claire eut plus de facilités que moi, et dans un premier temps, remit pantalon et chemise. Je remarquai qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge, ce qui était la première fois. Quant à moi, je fis comme dans les films, quand les héros se lèvent le matin, je me suis entouré dans un drap. Je peux vous garantir une chose, c’est que, si au cinéma, un plan de dix secondes ne choque a priori pas, en vrai, si vous le faites, vous êtes parfaitement ridicule. Ce satané drap ne veut pas tenir sur vous et il s’entête à s’emmêler autour de vos jambes pour vous faire tomber.


Arrivés dans la cuisine, nous avons demandé du secours à Nadine et Serge. Nadine a prêté un déshabillé à Claire, et Serge m’a prêté un short et un tee-shirt. Je l’ai prévenu que, n’ayant pas de slip de rechange et le string de la veille étant immettable, je resterais nu dessous. De fait, j’aime bien n’avoir rien sur moi. Je le fais souvent à la maison, quand je mets une djellaba, ramenée d’un voyage commun en Tunisie. Serge et Nadine avaient déjà pris une douche, aussi sommes-nous allés en prendre une à notre tour.


Quand nous sommes revenus dans la cuisine, j’ai regardé Nadine que je n’avais que peu observée auparavant, pris par mon problème d’habit. Je dois dire que le spectacle en valait la chandelle. Elle portait une nuisette en satin qui lui arrivait à mi-cuisse, et par-dessus un déshabillé qui lui tombait au milieu des mollets. Ce genre de petite chose est en général assez décolleté et, même avec ses petits seins, la vision était tout simplement magnifique. Claire, qui s’était un peu attardée dans la douche, nous rejoignit et Serge et moi eûmes la même réflexion. Elle était tout simplement « bandante ».


Nadine lui avait prêté un déshabillé comme le sien. Claire étant plus petite que Nadine, mais moins fine qu’elle, le déshabillé lui arrivait un peu en dessous des genoux. Par contre, il la serrait un peu plus et mettait en valeur ses seins. Un peu comprimés par le tissu, ils laissaient voir, assez profondément, le sillon qui les séparait. Elle était tout simplement magnifique.


Je pouvais voir que, comme moi, la vision de nos deux femmes ne laissait pas Serge insensible. Il était appuyé contre le mur tandis que Nadine faisait cuire des œufs. Flattée par notre réaction, Claire eut un grand sourire, et après un petit baiser sur mes lèvres, en passant, elle se dirigea vers Serge. Elle appuya son dos contre la poitrine de Serge et mit les mains derrière son dos. À la réaction de Serge, je compris tout de suite où elle les avait posées. Serge réagit immédiatement et lui caressa les seins à deux mains. Quand Nadine se retourna, bien qu’un peu surprise, elle eut un sourire et dit :



Elle posa la poêle avec les œufs sur la table, et s’approcha de moi en disant :



Et se collant contre moi, elle me tendit ses lèvres. Tout en l’embrassant, je lui caressai les seins et les fesses, et je pus m’apercevoir qu’elle était nue sous son déshabillé. Pendant ce temps, elle avait posé sa main sur mon sexe et me caressait doucement. Claire et Serge aussi étaient en train de s’embrasser, Claire ayant relevé ses bras autour du cou de Serge, elle faisait ressortir ses seins que Serge se faisait un plaisir d’honorer.



En nous regardant, nos femmes eurent un petit rire.



Et en effet, les bosses qui déformaient nos pantalons nous interdisaient de dire autre chose.


Nous nous sommes mis à table et avons dévoré le petit déjeuner. Nous étions tous morts de faim. Le repas fini, Nadine dit soudain, en regardant ma femme avec un grand sourire – que je trouvais un peu coquin :



Par contre, Serge et moi n’avons compris que quelques secondes plus tard, quand nous les avons vues se glisser sous la table. Rapidement, des mains impatientes s’attaquèrent au bouton et à la fermeture éclair de mon short. Puis une main douce saisit mon sexe et commença à me caresser. J’espérais de tout mon cœur qu’il s’agissait de Nadine, car j’avais vraiment envie d’elle, et je fus tout content quand j’entendis Claire dire :



Je sentis sa langue jouer avec le bout de mon sexe, puis sa bouche l’emprisonna, et tout doucement se mit à descendre et à remonter, dans une succion qui était à la fois un délice et un supplice. En effet, dès qu’elle me sentait sur le point d’exploser, elle s’arrêtait et ne reprenait, que quand elle sentait qu’elle le pouvait. Je voyais au visage de Serge que Claire lui faisait la même chose, et je peux vous assurer qu’à ce petit jeu là, elle n’avait rien à envier à Nadine.


Après nous avoir fait subir cette délicieuse torture pendant plusieurs minutes, Nadine se mit à me sucer avec la volonté évidente de me faire jouir. Je voulus lui rendre la monnaie de sa pièce, en résistant le plus longtemps possible. Depuis la veille, je m’étais interdit de jouir dans sa bouche pour pouvoir lui faire l’amour, mais je dois l’avouer, j’en mourrais d’envie. Alors je me suis laissé aller et, très vite, je me mis à jouir d’une façon phénoménale.


Pourtant, avec la soirée de la veille, je ne pensais pas en arriver là. Mais j’avais tellement fantasmé sur Nadine, sans le dire, lorsque je me suis laissé aller, j’ai connu un plaisir comme j’en avais peu connu, même avec Claire. Je pense que Nadine dut s’en rendre compte, car elle me gratifia de quelques bisous très tendres, mais qui me donnaient encore mille sensations.


Serge, de son côté, avait un peu mieux résisté que moi. Pourtant, je peux vous garantir que, quand elle le veut, on ne résiste pas longtemps à la bouche de ma femme. En comprenant à mes réactions que je venais de jouir dans la bouche de la sienne, Serge se laissa aller à son tour.


J’ai senti, à mon grand regret, Nadine s’éloigner et je la vis réapparaître avec Claire. Elles reprirent leurs places sur leurs chaises. Elles avaient toutes les deux du sperme qui coulait le long de leurs bouches, et elles eurent une réaction qui, pour Serge comme pour moi, nous ouvrit de nouveaux horizons. Nous n’eûmes pas besoin de parler, pour savoir que nous allions en profiter bientôt. Elles nettoyèrent le visage de l’autre avec leurs langues, et finirent par un baiser qui n’était pas feint.


Nadine, qui décidément semblait avoir pris les choses en main, et que bizarrement nous laissions faire, se retourna vers nous en disant :



Nous ne nous sommes pas fait prier davantage, et nous nous sommes glissés à notre tour sous la table. Serge et moi nous sommes regardés, et je l’ai vu se diriger vers Claire. J’en fus ravi, car je mourrais d’envie de goûter de nouveau au sexe de Nadine. Je vis bien à sa réaction qu’elle désirait que ce soit moi. Comme la veille, elle appuya ses mains sur ma tête et me colla contre son sexe. Manifestement, Nadine aimait commander et diriger.


Bien que j’aime prendre des initiatives avec les femmes avec qui je fais l’amour, lorsque l’une d’entre est plus dirigiste que moi, j’aime bien me laisser faire. Mes lèvres étaient collées sur son sexe, ma langue la fouillait, et je la sentais mouiller profondément. Je lui rendis la monnaie de sa pièce et m’arrêtai quand je la sentis sur le point de jouir. Cette amie, que je connaissais auparavant, vivait son plaisir avec des mots crus dont je ne l’aurais pas cru capable. Claire, elle aussi, avait des mots crus pour dire à Serge ce qu’il devait faire et on entendait des :



De mon côté, j’avais mis un doigt, puis deux, dans la chatte de Nadine et elle semblait adorer cela. Elle s’était un peu allongée sur la chaise, ainsi je pouvais deviner sa petite rondelle. J’avançais ma langue.



J’entendis Claire dire aussi :



Ce cri déclencha la jouissance de Nadine, qui se mit à jouir à son tour, en poussant de grands cris. Comme elle semblait en avoir l’habitude, elle avait posé ses mains sur ma tête et me maintenait fortement sur son sexe tout en jouissant.


Nous nous sommes écartés de nos femmes et je pus constater que, comme moi, Serge était en pleine forme. Je ne pus résister à la tentation, tant qu’on était sous la table, pour le caresser un peu, et je sentis sa main prendre possession de mon sexe et le caresser.



Claire regarda aussi sous la table :



Nadine reprit les choses en mains.



Se levant, elle prit Claire par la main. Je constatai que toutes les deux avaient une tenue à peu près correcte, leurs déshabillés s’étant remis en place. Serge et moi, avec nos shorts sur les chevilles, nous avions l’air un peu ridicule. Je pris l’option de laisser mon short par terre et de retirer mon tee-shirt. Serge fit de même, et c’est complètement nus que nous suivîmes nos femmes.


Nadine se dirigea vers la chambre. Arrivés là, elle nous dit :



Claire obéit à Nadine, comme nous tous, et se rapprocha. Nadine la prit par le cou et approcha ses lèvres de sa bouche. J’étais stupéfait. Claire avait toujours été fortement rebutée par les relations entre filles. Lorsque nous regardions un film coquin et que deux filles s’embrassaient, elle trouvait cela « dégueulasse »


Aussi fus-je très surpris quand non seulement elle se laissa faire, mais qu’en plus elle répondit au baiser de Nadine, et semblait y prendre un très grand plaisir. Les mains de Nadine descendirent et se posèrent sur les seins de Claire, qu’elle commença à caresser. Puis elle défit la ceinture du déshabillé de Claire, l’ouvrit et le fit glisser le long de son corps, puis fit de même avec la nuisette. Claire, toute tremblante, était nue dans les bras de Nadine. Elle fit de même avec Nadine. Nos deux femmes se retrouvèrent nues, devant nous, dans les bras l’une de l’autre, et s’embrassèrent passionnément. Serge, comme moi, avait commencé à se branler et je voyais son sexe tendu.



Comme toujours, depuis qu’elle avait pris les choses en mains, nous obéîmes immédiatement, et au sourire de contentement que fit Nadine, je vis qu’elle était très heureuse de cette domination que nous avions tous acceptée, sans rien dire. Elle allongea Claire sur le lit, se mit à lui faire des bisous sur le visage, le cou, puis descendit vers ses seins.


Ma femme est très sensible à cette caresse. Elle se laissait faire, et se mit à gémir. Elle caressait les cheveux de Nadine, puis descendit jusque sur ses seins qu’elle caressa doucement. Nadine aussi gémissait sous ses baisers et semblait très excitée. Elle se tourna et descendit encore un peu, jusqu’à arriver au niveau du sexe de Claire qu’elle se mit à embrasser. Claire regarda vers nous, et put constater que le spectacle qu’elles nous offraient ne nous laissait pas indifférents. Conformément à ce que nous avait ordonné Nadine, nous avions arrêté de nous branler. Claire me regardait droit dans les yeux, et se tendit brusquement pour laisser éclater une jouissance, que Nadine, je le vis bien, accueillit avec une joie énorme, car elle comprenait qu’elle avait pris un ascendant énorme sur nous.


Elle bougea un peu et se mit à califourchon sur Claire, lui donnant ainsi un ordre, sans avoir besoin de parler. Là encore, je fus très surpris, car sans hésiter une seconde, je vis la langue de Claire se poser sur le sexe de Nadine et se mettre à le lécher. Elles partirent toutes les deux dans un 69 passionné. J’étais à la fois très surpris et très excité, et je voyais bien que Serge était comme moi. Soudain, Nadine bascula Claire sur le côté et elles se retrouvèrent sur le flanc.



Les propos crus, plus que leur signification, nous excitèrent encore plus. Et sans nous consulter, car je crois que c’était notre envie à tous les deux, Serge fit le tour du lit pour se diriger vers Claire, tandis que je me dirigeai vers Nadine. Je commençai à lui embrasser les fesses et remontai vers son cou. Elle tourna la tête et me gratifia d’un baiser très fort, et je voyais Serge et ma femme faire de même.


Elles recommencèrent à se lécher tandis que nous essayions de les prendre. Nous dûmes les arrêter pour pouvoir les posséder. Quand je sentis mon sexe pénétrer dans la chatte brûlante de Nadine, je faillis jouir immédiatement. Heureusement qu’il y avait eu toutes les fois précédentes, sinon je n’aurais pas réussi à me retenir. À la concentration de Serge, je vis qu’il en était de même pour lui.


Je bougeais lentement mon sexe dans la chatte de Nadine, tout en sentant la langue de Claire, de temps en temps. Je voyais celui de Serge dans la chatte de ma femme, tandis que la langue de Nadine continuait de lécher le sexe de Claire et celui de Serge. Ce spectacle m’excitait au plus haut point.


Brusquement, je sentis Nadine se dégager de moi, lorsque cela lui fut possible. Prenant mon sexe avec sa main, elle le dirigea vers son cul. Comme elle n’était pas préparée, je crus que la pénétration serait très difficile. Est-ce un effet de sa jouissance précédente, de l’excitation, ou parce qu’elle en avait l’habitude, toujours est-il que je l’ai pénétrée très facilement.


Je vis que Serge essayait de faire de même, quand il eût compris ce que Nadine avait fait. Ma femme n’est pas une grande "amatrice" de sodomie, mais cette fois-là non seulement elle se laissa faire, mais elle y mit tellement de cœur que la pénétration sembla relativement facile. Nos femmes avaient recommencé à se lécher, tandis que nous les enculions, à grands coups de reins.


Claire arrêta de sucer Nadine, et posant sa tête sur ses jambes, se laissa aller à un orgasme, tellement important et fort, que cela déclencha la jouissance de Serge, ce qui déclencha notre orgasme à Nadine et à moi, et je me vidai dans le cul de Nadine. Nous sommes restés un grand moment comme cela, sans bouger, toujours prisonniers de nos femmes. Nous nous sommes même un peu endormis. Puis nous sommes allés, tous les quatre, reprendre une douche et préparer le barbecue du midi, ou plutôt de l’après-midi, compte tenu de l’heure qu’il était.


Avec Nadine et Serge, nous avons eu beaucoup d’autres soirées, mais je crois qu’aucun de nous n’a jamais retrouvé l’ambiance particulière de cette expérience, que nous n’avions pas préparée et qui s’était déroulée d’elle-même.