n° 12831 | Fiche technique | 22397 caractères | 22397Temps de lecture estimé : 14 mn | 09/09/08 corrigé 01/06/21 |
Résumé: La suite des aventures de notre jeune asiatique soumise... d'abord un intermède, ensuite sa première mission. | ||||
Critères: f fh hplusag jeunes couleurs asie frousses extraoffre inconnu grossexe grosseins bus toilettes fsoumise hdomine noculotte fmast intermast facial fellation fgode pénétratio double fdanus fsodo jouet -fsoumisah | ||||
Auteur : Mister AD Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : La jeune Asiatique et le chibre Chapitre 03 | Fin provisoire |
Cette histoire fait suite à "la jeune asiatique et le chibre". Entre le deuxième épisode et l’intermède, notre jeune amie asiatique et soumise a subi un entraînement au sein d’une petite communauté. Disons simplement qu’elle a travaillé dans un hôtel comme femme de chambre…
Ce texte sera disponible sous peu, une fois les corrections terminées. Voici donc la suite de ses aventures…
Mister AD
Plusieurs semaines se sont écoulées depuis ton aventure dans cet hôtel de Montréal. Suite à mes recommandations, tu n’y es restée qu’un seul mois de plus pour parfaire ton éducation de soumise. Tu as mis quelques semaines avant de te remettre de cette expérience, tes petites fesses toujours sensibles depuis tant de pénétrations féroces.
La Maîtresse de l’hôtel avait bel et bien fait de toi une bonne fille répondant aux besoins de tes Maîtres. Tu avais ainsi découvert toutes sortes de plaisirs qui t’étaient encore inconnus.
Tu retournes par la suite vivre dans ton petit appartement, revenant assez régulièrement me voir à mon bureau. Bien entendu, tu y es obligée. L’aide que t’apporte Katherina, mon employée, t’est indispensable par moments. Elle te guide admirablement, t’apprenant à bien satisfaire mes caprices, ainsi que ses désirs à elle.
Étant toujours étudiante et n’ayant pas d’emploi régulier, tu travailles à temps partiel avec Katherina au sex-shop. Tu découvres peu à peu l’univers dans lequel j’évolue. Tu n’hésites pas à t’amuser lors de mon absence, à jouer avec quelques-unes des nouveautés dans la section des jouets.
Tu découvres tant de plaisirs qui ont été absents de ta vie jusqu’ici. Le soir, chez toi, tu reviens sans cesse avec un nouveau gode, de nouvelles billes, que tu testes pour ta propre connaissance.
Tu ne touches pourtant pas à ton petit trou, étrangement interdit de contact selon mes ordres. Tu ne dois laisser personne y toucher sans mon autorisation. Seulement à quelques rares occasions, je t’ordonne de te branler devant moi, impudiquement, un gode planté tout au fond de ta chatte, vibrant à toute allure, et un plug anal dans ton cul. Prise entre ces deux jouets, tu savoures lentement et solennellement ma bite que je masturbe dans ta bouche, ma main posée sur ta nuque.
Il arrive que nous sortions les soirs de week-end. Je t’emmène prendre un verre, soit seule ou en compagnie de Katherina. Parfois je vous emmène toutes les deux dans mon antre pour une nuit sans repos.
En quelques mois, tu deviens une excellente soumise. Tu es toujours pleine d’espoir et d’énergie. D’autres soirs, j’entre dans des clubs échangistes, toi à mes côtés. Gardant admirablement ton sérieux et contenant ton excitation à merveille, tu me suis alors que je fais connaissance avec les membres du club. Je choisis les gens les mieux posés et biens vigoureux, hommes ou femmes, pour participer à nos ébats.
Dans les étages supérieurs du club se trouvent les chambres privées. J’ai une suite bien sûr toujours disponible pour mes activités. Après avoir choisi les candidats potables selon leur forme et en sondant ton regard qui passe du calme à la lubricité, je les invite à monter dans la suite.
Là-haut, je t’admire. Je te vois obéissante et sensuelle. Ton regard si tendre se pose sur les engins gigantesques des candidats. Tu fais alors office de servante pour l’occasion, allant d’un à l’autre pour servir des rafraîchissements. Peu après, tu perds ta culotte, tes seins se libèrent de ton corsage. Tu offres une seconde tournée, te penchant sur chaque membre pour le prendre dans ta bouche.
Tu lèches aussi les chattes offertes à ta langue. Puis, chacun d’entre eux vient te prendre, leur membre te défonçant sans repos. Tu subis chacun des assauts sans crier. Tes gémissements se couvrent aussitôt. Tu avales tout le foutre qu’on t’offre. Tu obéis à mes ordres et tu te laisses baiser par ces inconnus. Ta bouche se remplit de foutre, tu l’avales. Ta bouche se déforme sous l’assaut de ces pénis, tu les aspires. Ton désir se comble. Mon désir explose devant ces scènes d’une perversion inouïe.
Je reste parfois de mon côté, la conjointe d’un des hommes me suçant avidement, ou bien se laissant pistonner allègrement… Je te regarde et jouis très souvent en prenant plaisir devant ton plaisir.
Et c’est en te regardant te soumettre à mes perversions que j’en viens à la conclusion que la pause a assez duré. Tu es prête pour la prochaine étape. J’ai maintenant des missions importantes à te confier. Tu n’as alors que très peu de temps pour te reposer. Prépare-toi au pire.
L’autobus arrive à l’heure prévue à la gare de Montréal. Tu montes à son bord, te demandant sans cesse quel peut être le but de cette mission que je viens tout juste de te confier.
Tu as quitté ton domicile au milieu de la soirée, prenant ton sac de voyage et peu de bien, n’oubliant surtout pas l’élément clé : l’enveloppe brune. Tu ne devais pas l’ouvrir tant que l’autobus n’était pas parti.
En parcourant l’allée, tu de diriges lentement vers le fond, pour aller t’asseoir près d’un couple dans la fin vingtaine. Tu parcours du regard les autres passagers. Quelques personnes âgées, des gens d’apparence ordinaire. Tu fixes quelques secondes un Black bien costaud, portant un complet. Lorsque tu passes près de lui dans l’allée, il ne lève même pas les yeux de son ordinateur. Tu souris intérieurement, te remémorant les quelques aventures précédentes, où un autre Black très bien membré avait malmené ta petite chatte. Tu te sens devenir quelque peu humide, accélérant le pas vers ton siège.
Tu baisses les yeux vers tes bagages à main, dont ton gros sac de cuir. Des images du Black traversent ton esprit, puis tu repenses au contenu du sac. Grâce à ce sac, je t’accompagne partout où tu vas. Mon membre de caoutchouc repose toujours dans sa boîte, au fond du bagage. Tu l’ouvres, mais pour en ressortir l’enveloppe brune que je t’ai confiée.
Jetant un regard méfiant autour de toi, tu sens l’autobus avancer. Un long voyage s’amorce. Sans même en savoir la raison, tu te diriges vers une lointaine bourgade très éloignée de Montréal. Cette bourgade, du nom de Saint-Françoise-de-la-Réjouissance, est si éloignée et perdue, qu’elle ne figure presque sur aucune carte.
Avant d’ouvrir l’enveloppe, tu regardes un moment les passagers des sièges devant toi. Puis tu regardes rapidement le couple de l’autre côté de l’allée. La femme chuchote à l’oreille de son copain. Riant et se frottant allègrement contre lui.
Tu admires un moment les magnifiques cheveux roux de la jeune femme et sa silhouette voluptueuse. Son décolleté plongeant dévoile sa superbe poitrine. Tu te mords la lèvre inférieure, mouillant un peu plus en l’imaginant nue, baisant son copain… ou même te bouffant la chatte.
Tu te concentres de nouveau sur tes documents. Et là, tes yeux s’agrandissent. Tu trouves dans l’enveloppe une série de rapports et de photos étranges… Ce que tu lis te renverse. Tu mouilles de plus en plus, les photos des plus explicites te préparent à ce qui s’en vient au nord. Tu tentes de croiser les jambes, tournant chaque page, ton sexe brûlant désire de plus en plus tes caresses. Tes yeux se tournent rapidement vers le dos de la tête du Black, penché sur son ordi… puis sur la jeune femme à côté.
Celle-ci caresse vivement la bosse qui s’est formée sous le pantalon de son copain. Elle se lèche les lèvres, regardant autour d’elle. Tu croises alors son regard. Elle se mord les lèvres, souriant, te déshabillant du regard.
En décroisant tes jambes, tu dévoiles de nouveau tes cuisses, ta peau pâle, ta jupe remonte encore plus… La jeune femme regarde son copain et lui chuchote encore une fois à l’oreille.
Et toi, tu n’en peux plus. Toutes ces images et ces rapports étranges dans l’enveloppe t’ont allumé terriblement. Tu veux à tout prix changer de culotte, et en profiter pour te doigter… Non, encore mieux.
Tu fouilles ton sac pour trouver la boîte contenant mon vit… puis tu te lèves vivement pour entrer dans la cabine de toilette. Rapidement, après avoir verrouillé la porte, tu fais glisser à tes chevilles ta petite culotte colorée.
Tu relèves ta jupe, ton sexe coulant à flot entre tes cuisses. À l’aide de tes doigts, tu en écartes les lèvres, ton jus luit sous la faible lumière de la cabine. Nerveusement, tu réussis à sortir le membre de caoutchouc du boîtier. Tu le frottes un très court moment entre tes doigts.
Les veines sur sa surface te rendent folle. Sa texture si réaliste te donne l’eau à la bouche. Je suis près de toi dès ce moment. Tu frottes ton clito frénétiquement avec le gland, ton jus se répand sur sa surface, puis tu l’enfonces lentement de toute sa longueur.
Activant la plus basse vitesse, tu sens tes yeux se retourner, une décharge électrique remontant sur ta colonne… Il entre et ressort en toi… Comme si tu ne contrôlais plus dès lors le mouvement de ta main, la pénétration étant entièrement sous mon désir. La vitesse de la pénétration s’accélère. Tu ressors entièrement le membre de ta petite chatte, écartant toujours les lèvres de quelques doigts. Puis je reviens à la charge, la vibration semblant augmenter légèrement toute seule.
Vulgaire, sans retenue, tu es assise sur le siège des toilettes. Ta culotte roulée en boule sur le sol de la cabine est toujours bien couverte de ton plaisir. Ta main se démène entre tes cuisses, mon membre artificiel te pistonne avec vigueur. Tu frottes ton clito… tu vacilles.
Tu suces rapidement le bout de tes doigts, tu les mordilles même. Tu t’empêches de crier. Tes cuisses se serrent et calent mon énorme membre au fond de toi. La vibration se poursuit de plus belle… et tu jouis. Tu frissonnes, et, en sueur, tu trembles de plaisir. En retirant le vibro de ta chatte, tu penses un moment à le nettoyer entièrement avec ta langue… pourquoi pas ?
Tu retournes t’asseoir à ta place. Tu trembles encore un peu. Le front en sueur, tu serres l’objet dans ton sac. La jeune femme à tes côtés semble s’être endormie la tête sur les genoux de son homme. Ton plaisir t’a épuisé.
Le soleil déjà couché, l’autobus poursuit sa route dans la nuit, vers ta destination étrange. Tu décides de fermer les yeux pour somnoler un peu… tu en as besoin j’imagine. Tu replaces instinctivement ta jupe, et croises tes mains sur toi… et tu t’endors.
Tu es réveillée en sursaut. Quelqu’un t’a frôlé l’épaule en passant dans l’allée pour se rendre aux toilettes. Tu bâilles et tu regardes devant… la cabine de l’autobus plongée dans une étrange noirceur. La route est toujours aussi vague devant. L’obscurité entoure le véhicule dont seul le son du moteur confirme qu’il est toujours en mouvement.
Le Black n’est plus au-devant. Il vient d’entrer dans la cabine de toilette. À côté, tu restes surprise de ce que tu découvres. La jeune femme rousse et plantureuse ne dort visiblement plus. Sa tête remonte à petits coups près du ventre de son homme. Tu n’as plus de doutes sur ses activités. Elle avale à grand bruit la bite de son copain, lèche et aspire le gland, sa salive s’étendant sur tout le long de la tige rigide.
Tes paupières s’ouvrent. Tu tentes de distinguer le plus de la scène malgré la noirceur. La rousse replace ses cheveux, caresse d’une main les couilles, puis reprend vigoureusement sa pipe. Tu deviens soudainement fébrile. Ton ventre se réchauffe à cette vision si excitante. La jeune femme se déplace, elle est visiblement très excitée elle aussi. Son copain glisse sa main à l’intérieur de son décolleté, souriant silencieusement et extirpant un sein bien rond et alléchant de sous le soutif.
Tu entends à peine la femme gémir des caresses sur sa poitrine, ses tétons bien durs sont triturés entre les doigts agiles de l’homme. Elle glisse enfin sa main vers ses cuisses, remontant sa jupe pour se doigter.
Tu fais lentement la même chose. Tu glisses tes doigts sous ta jupe, la remontant à tes hanches… pour découvrir l’absence de ta culotte. Caressant ta chatte déjà à nouveau très humide, tu regardes la bite du gars disparaître entre les lèvres affamées de la femme. Sa salive luit sous la faible lumière, tout comme la mouille de son sexe qui se répand sur le siège et entre ses doigts.
Ta respiration se fait difficile, tu presses tes seins sous ta main, ta chatte brûlante désirant plus que tes caresses. Tu te demandes alors où peut bien être ta culotte.
Au même instant, le Black se pose une tout autre question. Tenant entre ses mains une queue énorme, bien gorgée d’excitation, il tient aussi ta culotte tout près. Il respire à fond ton odeur intime, regardant la récente tache que ta mouille a faite sur le dessin de Mickey Mouse. Sa bite se massant au creux de ses grandes mains… il se branle rapidement en imaginant la probable propriétaire de la culotte. Et il entend alors un court gémissement tout près de la porte.
Soudain, en entendant la porte de la toilette s’ouvrir, tu tentes de replacer ta jupe sur ta petite chatte, reprenant tant bien que mal tes esprits. Le couple voisin, lui, ne fait rien pour arrêter ses ébats. Les doigts de la rousse s’activent toujours sur son clito déjà en bonne voie d’exploser de plaisir.
Le jeune Black apparaît devant toi. Il a déjà rangé son membre, malgré l’énorme bosse qu’il forme sous le pantalon. Tu le regardes, surprise de le découvrir… puis découvre également la bosse. Tu hésites à dire quelque chose, le désir te déchirant le ventre.
Il s’assoit sans attendre à la place voisine. Et là, il lève sa main près de toi : ta culotte Mickey entre ses doigts. Tu peux alors sentir l’odeur enivrante de son jus. Tu te mords les lèvres. Jetant la culotte à côté, il prend ta main et vient la poser sur la bosse monstrueuse. Il te fait signe de le caresser. Tes doigts se crispent sur son sexe, tu sens bien la tige s’étirant sous le tissu, d’une longueur impressionnante.
Après quelques pressions de tes doigts, l’homme change vite d’avis et ouvre sa braguette pour t’exposer son vit. Tu te figes devant la beauté et la grosseur de son membre, l’eau à la bouche. Tu le branles d’abord lentement puis entames une rapide masturbation. Tu n’as pas le choix, il est si électrisant et excitant.
Tu lui permets en écartant les cuisses de placer sa main sur ton sexe et de te doigter à son tour. Ses doigts longs et épais se faufilent entre tes lèvres, excitant ton clito, pénétrant tes chairs moites. Tu n’as toujours pas le choix, tu dois même le branler à deux mains tellement il est gros, tes mains si petites.
De son autre main, il te penche la tête et t’invite, te recommande même de prendre la chose dans ta bouche. De son côté, la jeune rousse est penchée vers vous, les seins en dehors de son décolleté, les mains de son copain malaxant avidement et adroitement sa poitrine voluptueuse. Elle cambre ses reins vers lui, se positionnant tant bien que mal. Elle retient alors un long gémissement, la queue de l’homme la défonçant presque aussitôt. Sa chatte est si humide que seuls les clapotis de son excitation se font entendre près d’elle. L’homme arrive même à faire claquer silencieusement son ventre contre le bassin de sa copine.
Le Black, très excité, appuie de plus en plus sur ta tête. Tu avales comme tu le peux la tige épaisse, le gland se frayant un chemin entre tes lèvres. Tu le branles dans ta bouche soyeuse, ta langue en léchant tous les côtés, aspirant ce membre foncé et odorant. Tes lèvres se tordent sous la taille de la chose, tu regardes rapidement le Black, ce dernier fixant les seins de la rousse se balançant, sans que les mains de l’homme les retiennent.
La bouche pulpeuse de sa copine s’ouvre pour laisser passer l’air, sa respiration si rapide et pourtant silencieuse… Ses lèvres s’écartent sous de longs cris inaudibles de plaisir.
Le Black maltraite presque ta bouche, ses doigts alternant entre ta chatte et ton anus à peine dilaté. Tu espérais pourtant qu’il ne touche pas à ton petit trou toujours sensible depuis tes récents ébats. Tu serres les cuisses sur sa main, ne pouvant plus tellement contenir ton plaisir. Tes gémissements s’étouffent dans ta gorge, bloqués par la masse de chair entrant et sortant.
Alors tu retires un moment le membre de ta bouche, respirant de longues goulées d’air, branlant d’une main la tige visqueuse… Ta salive s’écoule sur son gland gonflé, un filament reliant tes lèvres à la chose. Le Black t’invite vivement à te relever et il t’emmène vers les toilettes.
À peine après avoir verrouillé la cabine, le Black te pousse vers l’avant, tirant brutalement ta jupe vers le haut. Sa main frotte sur ta chatte alors suintante. Tu te crispes, te retenant contre la paroi devant la cuvette. Tu cambres bien tes fesses et tu sens la bite énorme encore bien couverte de ta salive. Le gland chaud et poisseux se colle à ton entrée, et il pousse bien fort.
La tige s’insère avec effort en toi. Tu sens tes chairs s’écarter avec difficulté. Tu pousses de petits gémissements, déchirée de l’intérieur… Et là, il ressort, puis entre à nouveau, encore plus loin. Ses testicules claquent une fois contre ton pubis. Ta sueur s’écoule sur ton corps. Ta peau luisant dans l’obscurité, ta toison débordante de gouttelettes.
Ses mains s’agrippent sur tes fesses, il te pousse vers l’avant pour mieux te ramener vers sa bite ensuite. Tu sens l’énormité en toi, qui va-et-vient, qui te prodigue tant de plaisir et qui agrandit ta chatte. Tu n’entends plus rien d’autre que le son de ta propre respiration… Le Black à l’aspect si paisible est une véritable bête.
Ses doigts serrent si fort tes fesses que ses jointures blanchissent. Tu ne peux que te pencher encore plus vers l’avant, te cambrant toujours plus. Ses mouvements sont ceux d’un animal. Il grogne presque et respire bruyamment. Il se glisse près de ton oreille et te chuchote un paquet de trucs que tu ne discernes qu’à moitié.
Tu te tords de plaisir devant cette bestialité. Ses grandes mains se déplacent, l’une d’entre elles enserre bien fort ton sein droit. Ton téton est si dur que tu jouis presque à son contact. Tu te retiens contre la paroi, te balançant en avant et en arrière, les coups résonnent dans tout ton corps.
Tu jouis une seconde fois… ta chatte se serrant tant bien que mal sur cette masse de chair te pistonnant le ventre. Tu te crispes encore une fois, pousses d’autres gémissements. Le Black se retire et te retourne pour te faire face.
Tu sens l’énorme vide en toi, ta main se posant sur ta plote béante, un trou laissé par la chose. Le Black se branle devant ton visage, tu te branles encore et encore, la chaleur de ton ventre tarde à disparaître. Il pose une dernière fois son gland sur tes lèvres, un jet blanc et épais explose dans ta bouche. Puis un autre, et encore un autre. Une quantité incroyable se répand, tu arrives à peine à tout avaler. Se branlant encore un peu, le foutre cessant de s’écouler de son vit, il le range dans son pantalon et sort rapidement de la cabine.
Tu restes un moment seule dans la faible lumière de la toilette. Tes seins brûlent, tes pointes encore dures et sensibles. Tu te caresses encore du bout des doigts, ton clito lui aussi hyper sensible. Sur le bord de ta bouche, tu sens les restes du sperme odorant. Tu en as encore une bonne quantité sur la langue et sur les dents… Avalant le restant, tu te relèves pour replacer tes vêtements.
En sortant, tu constates que le Black a retrouvé sa place et son ordinateur. La rousse maintenant presque nue se branle à l’aide d’un gode. Ce dernier entre et ressort de sa chatte à une vitesse folle, ce qui te laisse constater que la bite de son copain lui pistonne l’anus. La vitesse et le silence de leurs ébats t’excitent à nouveau.
La jeune femme t’attire vers elle alors que tu reviens à ton siège. Posant sa main sur ton épaule, elle approche son visage du tien pour t’embrasser sensuellement. Ses lèvres pulpeuses caressent ta bouche et viennent récupérer le jus toujours présent sur ton menton. Sa langue s’insère dans ta bouche pour la nettoyer.
Au lieu d’attendre ta réponse, elle recule un peu et reprend ses caresses. Tu te cales dans ton siège, touchant légèrement ta chatte sensible. Tu regardes la fin de leurs ébats, te sentant toujours bien réveillée.
Tu te demandes alors combien de temps reste-t-il au voyage. Qu’est-ce qui peut bien t’arriver d’autre à bord de cet autobus ? Et que diable va-t-il t’arriver là où tu dois aller ?
À suivre…