Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 12853Fiche technique16239 caractères16239
Temps de lecture estimé : 10 mn
18/09/08
corrigé 01/06/21
Résumé:  Christelle, jeune femme de 35 ans, est mariée à Bertrand, un homme sans grande virilité. Elle tombe amoureuse de Mélanie, une collègue de 29 ans. Mélanie, femme décidée, pousse Christelle à quitter son mari défaillant pour venir vivre avec elle.
Critères:  ff ffh fbi collègues hsoumis fdomine humilié(e) hféminisé travesti hsodo yeuxbandés
Auteur : Lucia      

Série : La nouvelle Christelle

Chapitre 05
Christelle assume tout !

Aide-mémoire


La liaison entre Christelle et Mélanie grandit peu à peu et devient de plus en plus forte. Mélanie est entreprenante, souvent dominante, mais en tombant amoureuse de Christelle, cherche à changer son comportement un peu "macho". Néanmoins, ce côté dominant contraste avec le caractère soumis de Bertrand, le mari de Christelle. Et si, finalement, Mélanie remplaçait Bertrand ?

Christelle penche de plus en plus vers la tentation de céder à une nouvelle vie. La mollesse, la faiblesse de Bertrand l’exaspèrent. Et puis, il doit être puni pour avoir tenté de séduire Mélanie…






5. Christelle assume tout !



Le soir est arrivé.


Je suis devant la télé, Bertrand est allé coucher les enfants. Il vient me rejoindre. Je lui dis :



Il me répond alors :



À ce moment on frappe à la porte. C’est Mélanie.



Il s’exécute et part dans la chambre. Je dis à Mélanie :



Elle rigole, me prend la main, me tire vers elle et m’embrasse. Je me laisse faire, mais après un long baiser, je me dégage alors que ses mains commencent déjà à se balader.



Une fois Mélanie partie, je rejoins Bertrand. On s’allonge sur le lit.



Il ne répond pas, il baisse les yeux, sa faiblesse est touchante. Comment ai-je pu tomber amoureuse d’un homme avec aussi peu de caractère. Certes, avoir des enfants m’a incitée à rester sage, à ne pas me poser de questions sur mon couple, mais ce soir je balance.



Je me place au-dessus de lui, et je lui lance :



Toujours au-dessus de lui, je mets ma main derrière sa nuque, attire sa tête vers la mienne et l’embrasse.



J’éteins la lumière et je réfléchis. Mon homme aimerait se féminiser et ma maîtresse est un vrai homme manqué. Les choses pourraient s’arranger. Et si j’organisais une rencontre entre les deux ? C’est alors qu’une idée brillante me traverse l’esprit.


Le lendemain matin, j’annonce à Bertrand que Mélanie me laisse les clés pour aller chercher des vêtements. Je lui propose de se retrouver chez elle ce soir.


Le soir, après une journée de travail sans grande concentration, je retrouve Bertrand devant l’appartement de Mélanie et lui annonce tout de suite mes intentions.



Et lui de répondre docilement :



Ce que je n’ai pas dit à Bertrand, c’est que Mélanie nous rejoindra plus tard.


Bertrand a de la chance, il n’est pas très grand et est très mince. Ce sera facile, avec un peu de travail, de le féminiser.

Tout en le maquillant, je suis en train de penser à l’avenir familial. Je fous ma famille en l’air en réalisant les envies de mon mari. Nous allons franchir un pas irrémédiable. Mais je me sens mieux avec Mélanie. Finalement c’est elle qui veille sur moi, c’est elle qui fait de moi une femme épanouie.


Il a déjà choisi un ensemble coordonné de lingerie noire. Je réalise alors qu’il va falloir l’épiler. Je rigole intérieurement. Heureusement : Mélanie n’arrive que dans une heure.



Une demi-heure plus tard, Bertrand est prêt. Il n’est pas si mal. La petite robe lui va bien et j’aime passer ma main sous celle-ci. Son sexe est gonflé à bloc.


C’est alors que mon homme féminisé me lance :



Je le snobe.



Je vois de l’inquiétude dans ses yeux. Il commence à vouloir enlever sa robe. Je l’en empêche.



En attendant Mélanie, je lui explique un peu les choses. Ma rencontre avec Mélanie, sa drague de macho, comment je suis tombée dans ses bras. Son envie d’être un garçon. Bertrand n’avait rien vu, il m’avoue n’avoir jamais pensé que je pouvais tomber amoureuse d’une femme.



La porte s’ouvre. Je ne reconnais pas tout de suite Mélanie. Elle aussi s’est préparée. Elle s’est habillée en costume sombre. C’est un vrai homme d’affaires.


Me prêtant au jeu, je fais les présentations. Mélanie rit, Bertrand moins, il ne sait que faire.

Je lui dis ironiquement :



Bertrand ne dit rien, je lance un regard à Mélanie.

Elle s’avance vers mon mari.



Elle sort alors d’un sac une perruque blonde.



Mélanie lui prend la main et l’embrasse. Elle l’emmène sur le lit.



Il s’exécute, il enlève avec fébrilité la cravate puis la chemise de ma maîtresse. Elle ne porte pas de sous-vêtement. Elle est belle. Bertrand lui enlève maintenant le pantalon. En dessous, elle porte un boxer.



Avec douceur elle lui ôte sa robe et constate qu’il est entièrement épilé.


Elle ne lui laisse que la culotte, et commence à lui caresser tout le corps. Elle joue avec les tétons dressés de Bertrand, les serre, les mord. Bertrand ferme les yeux. Son sexe prend des proportions que je ne lui connaissais pas. J’ai envie de le branler pour le soulager. Je m’avance vers lui. Mélanie, d’un regard, accepte que je m’occupe un peu de lui.


Tout en le branlant j’embrasse ma maîtresse. Sa maîtrise de la situation m’excite. Tout comme la docilité de mon mari. Je le vois allongé sur le lit, les yeux fermés. Il se laisse totalement faire. Il gémit par intermittence.


Après quelques minutes, je demande à Mélanie :



Je pars à la salle de bain chercher le gode ceinture. À sa vue, Bertrand se relève. Mélanie le repousse sur le lit. Il se rebelle en se relevant de nouveau.



Je me mets sur le lit à côté de Bertrand, je lui caresse la main pour le détendre.



Mélanie s’est harnachée. Elle prend l’autre main de Bertrand et la pose sur le phallus.



Bertrand s’exécute après quelques secondes. La scène est sexy. Par ses caresses, Bertrand donne à Mélanie le rôle de l’homme. Bertrand, docile et obéissant, perd le peu de virilité qu’il avait.

Mélanie me fait signe. Je pousse Bertrand. J’avance ma tête et je commence à sucer ce faux pénis. Je lui montre le chemin. Je me désengage et je l’amène à son tour à lécher le sexe factice de Mélanie. Elle se tient droit debout. Bertrand est à quatre pattes sur le lit.


Mélanie redevient la Mélanie macho que je connais. Elle ne laisse pas de répit à Bertrand. Elle met la main derrière la nuque de mon ancien homme et l’oblige à sucer le phallus sur toute la longueur.

Bertrand fatigue mais Mélanie ne le laisse pas ralentir.

Pendant ce temps je suis allé chercher un peu de crème et pendant la fellation de mon mari je commence à préparer ses petites fesses. J’avoue que même si la situation est excitante j’éprouve un peu de compassion pour Bertrand. Il n’a jamais été pris par là.


Quand je commence à le préparer avec la crème, il se raidit alors je le caresse tout doucement. Et progressivement j’insère un doigt, puis deux, ça y est : l’étau commence à se desserrer.


Mélanie fait stopper la fellation de Bertrand.


Elle me dit :



Je pars chercher une écharpe. Je la place sur les yeux de mon mari. Je vois son regard paniqué. Je me sens bien et je ne lui réponds que par un regard particulièrement froid.


C’est alors que Mélanie, sans faire de bruit, détache le gode ceinture et me le tend. Sans dire un mot, elle me fait comprendre que c’est à l’épouse d’assurer le devoir conjugal.


J’attache le gode à mes hanches. Je regarde mon entrejambe. Je suis un garçon et je vais prendre possession des fesses de mon mari. J’ai envie de rentrer tout de suite en lui, mais mes années d’épouse me font aller plus doucement. Néanmoins, malgré la douceur de mon entreprise, la taille du gode fait mal à Bertrand et il demande d’arrêter, mais je n’en ai pas l’intention.

Le gode est entré aux deux tiers. J’ai envie de sentir ma peau contre la sienne. Je pose mes mains sur ses hanches. Puis je mets mes mains sur sa poitrine. Je le sens fébrile. Je lui caresse les tétons. Je continue de m’enfoncer en lui. Je mets une main sur son sexe et le branle à fond.

Ça y est : je suis entièrement en lui. Je profite de ce moment, je ferme les yeux. Je veux le finir. Je me sens bien. Si j’avais su que cela m’aurait donné tant de plaisir.


Je rouvre les yeux et je vois Mélanie. Je lui dis :



Elle s’allonge près de moi.



Ces mots dits, je me sens forte. Je mets Mélanie à quatre pattes et je décide de la prendre en levrette. J’avais déjà imaginé cette scène en accomplissant mon devoir conjugal avec Bertrand. Je ferme les yeux une nouvelle fois et savoure mes va-et-vient dans son bas-ventre.

Je me penche en avant pour rentrer encore plus profondément en elle. J’approche mes lèvres de son oreille. Doucement, je glisse mon souffle chaud dans le pavillon, ce qui la fait légèrement frissonner. Je pose ma main sur son sein, que je sens gonfler, s’épanouir. Sa respiration se fait plus forte et s’accélère quelque peu. Elle me dit :



Sans sortir de son corps et avec une belle souplesse, nous arrivons à la position souhaitée par ma chérie. Je la regarde, elle a les yeux qui brillent. Ses cheveux en bataille, ses joues roses, son corps qui vibre, qui m’appelle à reprendre mon mouvement. Tout en elle me fait me sentir la nouvelle Christelle. Une femme plus sûre d’elle qui ne subit plus.


Alors, frénétiquement, je lance le gode au plus profond d’elle. Je veux la faire jouir. Moi-même je suis excitée comme jamais. Mélanie est si belle en dessous de moi. Ses gémissements me donnent envie d’y aller encore plus fort. Je sens mon cœur qui bat à une vitesse folle. Je vais jouir. Je crie. Elle crie aussi. Je m’écroule sur elle. Elle me caresse tout doucement. Je profite de ce moment.



Une fois ce délicieux moment passé, je réalise que Bertrand ne s’est pas privé de se branler en nous regardant.


Je lui lance d’un air dédaigneux :



Je le vois remettre sa robe, mettre en place sa perruque et partir. Une fois la porte fermée, je regarde Mélanie et nous éclatons de rire.