n° 12854 | Fiche technique | 25228 caractères | 25228Temps de lecture estimé : 15 mn | 18/09/08 |
Résumé: Les deux caporaux se portent chez Marine, l'épouse du colonel. Elle leur ouvre sa porte et ne tarde pas à céder à ses envies secrètes. | ||||
Critères: fhh couleurs extracon uniforme revede préservati -bourge -fhh | ||||
Auteur : BCBG |
Épisode précédent | Série : Marine et les mécaniciens Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Acte I : Marine est poursuivie par ses envies
Une fois arrivée chez elle, elle se précipite dans la salle de bain pour se doucher longuement en essayant, mais en vain, de vider sa mémoire de ce qu’elle vient de vivre. Son mari ne rentre que fort tard, comme bien souvent.
Le lendemain, après une nuit agitée pendant laquelle des images furtives ont occupé son sommeil, Marine passe une bonne partie de la matinée dans la salle de bain pour se préparer alors que son époux est parti depuis bien longtemps. Elle se maquille soigneusement et revêt une jupe bleu marine, large et longue. Ses cheveux sont soigneusement coiffés et attachés en queue de cheval.
Elle choisit également un chemisier de soie fine, bleu clair, une ceinture de cuir rouge et une paire de sandales noires, rehaussées. Elle se regarde dans la glace et vérifie que plus aucune trace des larmes qui ont perlé sur ses joues la veille au soir ne subsiste.
En milieu de matinée, elle est en train de lire, assise sur le canapé de son salon, lorsque la sonnette de la porte d’entrée retentit. Intriguée car n’attendant aucune visite, elle se lève prestement et se dirige vers la porte pour l’ouvrir mais sans regarder à travers le judas.
À la vue des deux visiteurs qui se tiennent sur le pas de la porte, la mère de famille a l’impression que son cœur est sur le point de traverser sa poitrine et qu’une barre lui tranche le bas-ventre à la vitesse de l’éclair. Une boule se forme au niveau de sa gorge. Les caporaux Karim et Robert se tiennent l’un à côté de l’autre, les bras ballants.
L’effet de surprise passé, Marine parvient à se reprendre et affiche un sourire de politesse.
Elle en profite pour dévisager rapidement les deux compères. Le Noir porte un jean tenu par une ceinture de cuir beige foncé et un tee-shirt rouge. Il est chaussé d’une paire de bottes de cuir noir. Sa tenue est soignée et dégage une certaine élégance. Marine détourne rapidement son regard avant que le caporal ne le remarque. Elle scrute alors le roux qui porte également un jean et une chemisette bleu ciel. Il est chaussé de baskets. La mère de famille remarque immédiatement le regard malicieux qui n’a pas tardé à se poser sur le corps de la femme.
Marine remarque la gêne qui semble posséder les deux mécaniciens.
Elle les regarde de nouveau et s’inquiète de leur présence. La peur d’un problème éventuel avec son mari lui vient immédiatement à l’esprit.
Les deux jeunes hommes se regardent rapidement.
Acte II : Marine franchit de nouveau une limite
C’est seulement lorsque la porte d’entrée est refermée que Marine se rend compte qu’une limite a été franchie et qu’elle vient de faire pénétrer chez elle deux personnages qui, même si elle ne veut pas le reconnaître, ont occupé une partie de ses pensées durant la nuit précédente. Les trois protagonistes restent dans l’entrée.
Le roux a prononcé cette phrase en bégayant et en baissant la tête. La mère de famille comprend immédiatement que cette raison n’est qu’un prétexte et sent en même temps cette crampe déjà présente au creux de son estomac se développer. Sa bouche devient sèche.
Marine est en train de se décomposer en deux Marine qui s’affrontent : celle qui lui chuchote dans l’oreille qu’elle est sur le point de commettre une chose à laquelle elle doit résister à tout prix en dépit du désir qui lui ronge le ventre, et la Marine aux sens exacerbés et au besoin de plaisir qui frappe de nouveau à sa porte et lui glisse dans l’autre oreille qu’elle doit se laisser aller et reconnaître enfin qu’elle est attirée par ces deux militaires du rang qui ne peuvent pas lui exprimer de manière plus explicite leur envie d’elle.
Les visages des caporaux se figent car Marine vient de s’adresser à eux d’une voix méconnaissable, tremblante et presque gémissante. Elle regarde les deux visiteurs l’un après l’autre d’un air craintif et s’appuie sur la commode qui se trouve juste derrière elle, les deux mains s’accrochant au rebord du meuble comme s’il s’agissait d’une bouée de secours.
La jeune femme, incapable de soutenir une seconde de plus les regards des deux caporaux, baisse les yeux. Sa respiration se fait sifflante et sa poitrine tend le tissu du chemisier à chaque inspiration. Un moment de silence s’installe, presque dérangeant et uniquement troublé par le tic tac régulier de la pendule ancienne posée sur la commode.
Lorsque Marine voit une des mains du caporal Karim se diriger lentement vers elle, son visage affiche une expression de surprise intense, comme si elle venait de reconnaître dans la rue une amie qu’elle n’avait plus vue depuis de nombreuses années. Ses yeux, grands ouverts, regardent le Noir avec une lueur d’effarement et sa bouche s’ouvre pour former un « Ô ».
Incapable de bouger, les mains encore un peu plus rivées aux poignées du meuble, elle regarde la main à la peau foncée approcher de l’un de ses seins pour s’y poser délicatement en épousant la forme du globe recouvert du tissu fin du chemisier.
Elle regarde le Noir avec un air implorant la pitié et une moue identique à celle que pourrait afficher un enfant auquel on annonce que le jouet qu’il convoite ne lui sera pas offert tout de suite. Les doigts fins et longs du mécanicien se referment lentement sur la masse chaude et vivante. Marine parvient à étouffer le cri qui était sur le point de sortir de sa gorge. La chaleur et la douceur de la main semblent transformer sa poitrine en volcan.
Le sein est soulevé, tout doucement, pour être soupesé et amoureusement massé. Le caporal regarde l’épouse d’officier presque timidement, l’air coupable. Cette dernière parvient à trouver la force de poser mollement une de ses mains sur l’avant-bras du mécanicien.
Ce dernier ne bouge pas.
Mais la conviction est absente de la requête que vient d’exprimer Marine.
Acte III : Une Marine se soumet à l’autre
La Marine qui lui susurrait de s’abandonner a depuis longtemps terrassé la Marine qui la suppliait de résister à cette flamme qui lui brûle les entrailles. Le plaisir procuré par la caresse de la main du mécanicien est tellement intense que Marine abandonne la partie et ses doigts lâchent leur prise alors que ses yeux clairs fixent celui qui lui inflige cette douce torture.
Le Noir et le roux se regardent. Ils semblent se comprendre. Le caporal Robert, respirant de plus en plus fort, s’approche un peu plus de Marine qui le regarde tendrement. Il pose ses mains sur les épaules de la femme et avance son visage pour poser ses lèvres sur la bouche de la jeune femme qui, par son immobilité, accepte le baiser. La langue du roux darde ensuite et s’introduit entre les lèvres finement recouvertes d’un rouge élégant.
Les deux muscles entrent en contact et se lient immédiatement. Le caporal Robert caresse d’une main le visage de Marine pendant le baiser qui se poursuit. Les muqueuses se séparent ensuite et le soldat se laisse tomber au sol en s’agenouillant. La jeune femme sent les deux mains du mécanicien se poser sur ses chevilles pour remonter ensuite très lentement sur la peau blanche et douce.
Marine ferme les yeux alors que le caporal Karim déboutonne délicatement le chemisier pour libérer les deux mamelles gonflées et avides de liberté. Les masses blanches sont chacune hérissées d’un bout de chair rouge foncé, dressé. Le Noir entreprend de masser les deux globes en même temps. Il les caresse, les soupèse, agace les deux extrémités, les soupèse de nouveau.
Marine pose ses deux mains sur les avant-bras du caporal Karim. Elle le regarde d’un air absent et sa bouche, légèrement ouverte, laisse échapper un petit gémissement continu. Le Noir, excité, approche son visage et colle ses deux lèvres sur celles de la mère de famille, qui laisse pénétrer la langue impatiente du caporal et darde la sienne à sa rencontre.
Le caporal Robert ne reste pas inactif et promène ses deux mains sur les cuisses pleines et blanches. Les doigts se referment régulièrement sur la chair accueillante, pour la pétrir. Les deux paumes chaudes continuent leur ascension et Marine manque de tomber à terre en émettant une sorte de borborygme lorsque les phalanges du roux frôlent le tissu de la culotte dont les bords laissent échapper quelques mèches folles.
Les picotements provoqués par la caresse sont tels qu’elle pose les plats de ses deux mains sur le crâne rasé qui se trouve au niveau de son puits intime. Un cri bref, sec et strident vient de sortir des cordes vocales de la femme. Le Noir, abandonnant la bouche de Marine, vient de gober un des mamelons alors que ses mains ont saisi les fesses rondes à la peau douce pour les caresser.
Marine laisse sortir une longue plainte de sa gorge. Le gémissement viole le silence qui régnait jusqu’à présent dans la maison. Le caporal Robert glisse une main entre les cuisses de Marine et enveloppe sa paume autour de la motte pour en épouser le plus fidèlement possible le contour. L’étau se referme sur le tissu de la culotte qui protège à peine les deux lèvres brûlantes.
Les doigts de Marine ont saisi les épaules de Robert pour trouver un appui solide. En effet, les jambes de l’épouse se mettent à trembler légèrement, signe annonciateur d’une montée brusque de son plaisir. La main du roux se met à caresser sur un rythme régulier le triangle intime.
Les deux hommes respirent bruyamment.
L’intérieur de son ventre est rendu à l’état de fournaise. La supplication semble accroître l’état d’excitation des deux mâles car le Noir accentue les morsures délicates qu’il inflige au mamelon qu’il est en train de torturer, et les doigts nerveux de Robert saisissent les bords de la culotte pour la faire descendre jusqu’au niveau des genoux de Marine.
La forêt, faite de la pilosité noire et épaisse, se libère, se développe. Le roux admire pendant un instant le spectacle dont il n’a que trop brièvement profité la veille. Ensuite, il saisit à pleines mains les cuisses qui se sont instinctivement écartées, pour approcher sa tête et coller sa bouche sur le sexe recouvert du tapis dense, diffusant ainsi une onde électrique qui frappe de plein fouet le bas-ventre de Marine.
Le cri perçant résonne dans l’habitation. C’est autant une exclamation de surprise que de peur et de jouissance intense. Les ongles de Marine s’enfoncent dans les épaules de Robert. Le visage de la jeune femme est en feu et une grimace la rend presque méconnaissable.
L’épouse implore Robert d’une voix étranglée mais, paradoxalement, elle pose de nouveau les paumes de ses mains sur le crâne du roux pour le caresser et comme pour l’encourager.
Robert, la langue sortie, lisse sur un rythme régulier la fente gorgée du produit intime continuellement dégagé par le ventre de la femme. Le Noir abandonne le mamelon brillant et recule légèrement. Marine lance un regard vers lui et remarque la lueur de désir animal qui fait briller les yeux de Karim.
Le roux vient d’engager le majeur de sa main gauche entre les lèvres trempées pour les séparer délicatement.
Marine fixe le Noir dont les longs doigts tremblants déboutonnent les boutons de la braguette de son jean.
Le majeur de Robert se présente à l’entrée du puits et le pénètre délicatement.
Marine, les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte se cambre sous l’effet produit par cette introduction. Sa mâchoire inférieure se met à trembler et ses mains abandonnent le crâne du caporal pour se refermer violemment sur le tablier de la commode. Le majeur est engagé à mi-course et commence à coulisser dans le fourreau tapissé d’un liquide abondant et mielleux.
Marine tente de retrouver sa respiration. Le Noir vient de dégager une queue longue, fine et droite. Le gland, libéré, est en forme d’olive et brun. Le sexe, sorti de la braguette béante, est tendu et domine deux couilles enflées enveloppées dans leur sac à la peau sèche.
Robert poursuit son mouvement jusqu’à ce que Marine lui fasse comprendre en posant ses deux mains sur ses épaules qu’elle désire qu’il s’écarte. Le roux retire sa phalange brillante, recule et se remet debout. Ses lèvres sont encore enduites du jus intime qu’il a précédemment goûté et son visage est en feu. Comme son camarade, il saisit les boutons de la braguette de son jean, nerveux.
Marine fait passer son regard de la tige du Noir aux doigts du roux qui ne tarde pas à extirper une masse courte, épaisse, blanche et à l’extrémité encore recouverte du prépuce. Les doigts tremblants de Robert saisissent le membre pour décalotter un gland triangulaire et presque plat. Une pilosité rousse et bouclée sort en partie de la braguette.
Les deux hommes sont pratiquement immobiles, le bassin aussi tendu que leur sexe. Ils regardent Marine, qui fixe les deux verges, ces deux membres qui se présentent à elle et semblent l’appeler à la rescousse. L’épouse du colonel s’approche des deux mécaniciens qui se tiennent côte à côte puis, les yeux presque fermés, avance ses deux mains pour saisir du bout des doigts les deux bites. Les tiges sont chaudes, palpitent et les deux hommes tressaillent légèrement en respirant fortement. Les doigts de Marine se referment sur les sexes et entament une caresse régulière.
Les caporaux Robert et Karim décollent leurs bras et gémissent en même temps, les yeux dans le vague et en affichant des mines d’agonisants. Le visage de Marine est écarlate et ses yeux passent de ses mains blanches qui continuent de prodiguer leurs caresses aux figures des deux militaires du rang qui ne finissent pas de se décomposer sous l’effet du plaisir que la mère de famille leur inflige.
Ses doigts aux ongles délicatement entretenus quittent de temps en temps les deux tiges pour se refermer sur les quatre glandes gonflées afin de les caresser et de les presser doucement. Elle affiche un petit sourire en coin et se délecte de ce moment qui la rend consciente du plaisir mutuel qui la lie à ces deux hommes avec lesquels elle n’a pourtant aucun point commun.
Marine sent bientôt les deux bites enfler encore un peu plus et les libère. Les deux compères affichent une mine qui fait comprendre à Marine qu’ils ont atteint le paroxysme de leur désir. Le Noir et le roux se regardent. Le caporal Karim enfonce une main dans une des poches de son jean et parvient à en retirer deux sachets contenant des protections. Marine regarde les deux mâles retirer les préservatifs des sachets et les dérouler de leurs doigts tremblants sur les bâtons durcis.
La jeune femme, après un regard adressé à chacun des deux hommes, se tourne vers la commode, écarte les jambes et se cambre. Ses deux avant-bras sont posés sur le meuble et son front repose sur ses deux mains jointes. Les caporaux Karim et Robert se regardent. C’est ce dernier qui prend l’initiative de se positionner derrière Marine. Il saisit le tissu de la jupe afin de la retrousser jusqu’à la taille de sa propriétaire.
Les deux mécaniciens nourrissent pendant un instant leur regard du spectacle qui s’offre à eux. La croupe de Marine, les deux globes de chair blanche, les cuisses pleines, la motte intime recouverte de cette pilosité abondante et dont le centre s’ouvre sur deux lamelles boursouflées et brillantes. Les deux petites lèvres sont bordées de mèches folles collées les unes aux autres.
Les cuisses écartées maintiennent la culotte enroulée autour des genoux de Marine. Cette dernière mord une de ses mains pour étouffer un cri qui aurait sûrement fait trembler les murs de la maison. Le caporal Karim vient de glisser une paume chaude entre les cuisses de la femme et ses doigts fébriles n’ont pas tardé à fouiller les chairs trempées.
L’inventaire se déroule méticuleusement pendant de longues minutes.
À titre de conclusion, le Noir enfonce avec douceur son majeur dans l’antre tapissé comme pour en sonder la profondeur. Marine émet un long grognement étouffé et se dandine en accentuant sa position cambrée.
Le doigt est retiré. Robert, fou d’excitation, pousse son camarade pour saisir d’une main une des hanches de Marine. De l’autre, il présente sa queue à l’entrée du sexe de la mère de famille et fléchit légèrement les jambes. La tige blanche pénètre progressivement dans le ventre de Marine dont les cuisses tremblent de manière perceptible.
Robert, une moue déformant son visage, empoigne les hanches de l’épouse de son chef et continue sa poussée. Les ongles de Marine griffent le bois précieux du tablier de la commode sous l’effet produit par la tige brûlante pénétrant son conduit intime. Une fois la queue entrée de toute sa longueur dans les entrailles de Marine, le caporal entame un mouvement de reins souple sur un rythme régulier afin de faire coulisser sa bite dans le fourreau offert.
Le mouvement stoppe de temps en temps et Robert reste planté un instant, le bassin collé aux deux masses chaudes et rebondies.
Le militaire mélange ses gémissements à ceux de Marine. Voulant marquer une pause, il passe ses bras sous le ventre de sa partenaire et s’allonge sur son dos pour se coller à elle. La femme sent le souffle brûlant du mâle sur sa nuque.
Il reprend ensuite ses assauts en respirant bruyamment. L’accouplement se poursuit sur un rythme plus lent mais le caporal, incapable de maîtriser son désir montant, accélère bientôt ses coups de reins. Le corps de Marine est secoué et la commode, sous l’effet des attaques viriles, émet des grincements selon le rythme imposé par les étreintes.
Le militaire du rang se cabre une dernière fois en serrant ses mâchoires, le visage déformé par une grimace mais sans pouvoir filtrer un cri sec qui se poursuit par une longue plainte.
Marine croit sentir les jets de liquide chaud qui lui donnent l’impression d’envahir son ventre, mais qui remplissent la protection qui entoure le sexe de Robert. La chaleur se diffuse et procure un plaisir dont la jeune femme se délecte. Elle ne peut s’empêcher d’émettre une série de jappements en tapant de ses poings le meuble sur lequel elle s’appuie. Les deux protagonistes restent ensuite figés un instant avant que le caporal Robert se retire doucement, visiblement repu mais comme exténué.
Marine ne bouge pas. Le Noir s’approche alors et redresse la jeune femme, délicatement. Il la retourne. Marine a le visage défait. Elle regarde le caporal Karim avant d’entourer le cou du mécanicien de ses bras et d’appuyer son visage contre la poitrine du Noir. Ce dernier lui caresse doucement le crâne puis, passant un bras dans le dos de la femme et l’autre sous ses jambes, il la prend dans ses bras et la soulève. Il la porte dans le salon pour la déposer ensuite sur le tapis de valeur qui habille le parquet brillant. Il saisit la culotte pour la faire glisser et libérer une jambe de Marine.
Celle-ci, de manière presque automatique, replie ses jambes et les écarte le plus possible. La saignée séparant les cuisses apparaît au grand jour, libérée, ouverte et réclamant une étreinte. Karim lisse sa queue afin de lui faire adopter la raideur voulue. Il s’allonge ensuite sur l’épouse qui l’accueille et colle presque aussitôt sa bouche dans le cou charnu et brûlant pour l’embrasser.
Marine ferme les yeux, un sourire de plaisir aux lèvres, entoure la nuque du mécanicien de ses bras et emprisonne la taille de son partenaire à l’aide de ses cuisses. Le Noir fait lentement pénétrer la longue tige foncée dans le sexe trempé. L’épée palpitante envahit tout doucement l’antre secret de Marine.
Une fois logé au plus profond des entrailles de l’épouse infidèle, Karim entame un mouvement régulier pour faire coulisser le bâton de chair. Marine mord l’épaule de son amant pour ne pas hurler de plaisir et sent deux larmes de bonheur perler aux coins de ses yeux. Elle est en train de goûter à un plaisir que certaines convenances pourraient réprouver mais qui pourtant lui fait traverser un univers paradisiaque.
Le Noir continue de déposer une succession de baisers dans le cou à la peau douce et referme régulièrement ses dents dans la chair pour la mordiller amoureusement. Le bassin du caporal rebondit sur celui de marine et émet à chaque fois de légers claquements alors que le corps de la femme adultère encaisse les assauts.
Au delà de l’épaule sur laquelle elle a refermé ses mâchoires, elle peut contempler les deux fesses musclées de son partenaire se soulever régulièrement pour redescendre ensuite. L’étreinte semble durer une éternité et Marine souhaite qu’elle continue encore. Ses ongles sont enfoncés dans la chair du dos du caporal Karim qui, en guise de réponse, mordille un peu plus fort le cou de celle qu’il est en train de posséder.
Les claquements se font entendre sur un rythme plus soutenu. Marine comprend que le dernier assaut va bientôt se produire. Le Noir se redresse brusquement sur ses avant-bras et tend son bassin pour une ultime attaque. Une grimace tord son visage alors qu’une longue plainte sort de sa gorge. Marine saisit les hanches du caporal à pleines mains alors que des flots de lave envahissent le préservatif. La bouche ouverte et le regard fixé sur le visage du Noir qui la domine, elle cherche sa respiration, tétanisée par la jouissance qui lui vrille le ventre.
Karim s’allonge sur Marine, épuisé. Le couple reste dans cette position un moment avant que le caporal se redresse. Il se relève, encore marqué par cette étreinte et rajuste ses vêtements. Il soulève ensuite la femme pour l’aider à se remettre debout. Vacillante, Marine se serre contre le torse du Noir et appuie son visage contre sa poitrine. Il l’entoure de ses bras et la serre contre lui pour déposer ses lèvres sur le front brûlant et transpirant de sa partenaire.
Retrouvant ses esprits, Marine le repousse doucement et remet silencieusement de l’ordre dans sa tenue. Elle retourne ensuite dans l’entrée comme pour faire comprendre aux deux hommes qu’il est temps pour eux qu’ils partent. Ils sont sur le point d’ouvrir la porte.
Les deux militaires du rang s’arrêtent et se tournent vers la jeune femme qui avance alors vers eux, un sourire reconnaissant mais presque triste aux lèvres. Elle caresse du bout des doigts d’une de ses mains les visages des deux soldats puis se dresse sur ses pieds pour déposer rapidement ses lèvres humides sur une des joues des mécaniciens.
Elle ouvre ensuite la porte d’entrée pour laisser les deux soldats partir.