n° 12866 | Fiche technique | 26736 caractères | 26736Temps de lecture estimé : 16 mn | 25/09/08 |
Résumé: Après la partie de carte débridée de la veille, je me retrouve à partager l'intimité matinale de mes rencontres d'un soir, pour mon plus grand plaisir. | ||||
Critères: fffh toilettes douche dispute voir exhib noculotte pénétratio gifle | ||||
Auteur : Jobix |
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C’est la chaleur et la soif qui m’ont réveillé en pleine nuit. La chambre baigne dans une douce pénombre orangée qui provient des lumières de la rue filtrées par les volets. Je mets un petit moment avant de remettre mes idées en place et de me situer dans cette chambre inconnue, la bouche pâteuse des nombreux verres avalés avant de se coucher.
Agnès, couchée en chien de fusil, me montre son dos nu. Ses fesses cachées par une grande culotte de coton blanche semblent bouger au rythme de sa respiration paisible.
Il me faut traverser la pièce où dorment les deux autres filles pour atteindre la salle d’eau et les toilettes car j’ai aussi une furieuse envie de pisser. Je me lève sans bruit et, tout aussi précautionneusement, j’ouvre la porte du séjour. Une faible lampe est restée allumée, ce qui me permet de voir les deux filles allongées l’une contre l’autre sur le canapé-lit. Un drap négligemment posé cache partiellement leur nudité, et c’est de nouveau avec plaisir que je peux admirer les seins de Lucile.
Je traverse la pièce, nu puisque mes vêtements sont disséminés un peu partout autour du canapé, j’entre dans la salle d’eau et allume la lumière une fois la porte fermée : personne n’a bougé. Je vais de suite au lavabo boire un peu et me rincer le visage. « Petite mine », me dis-je en regardant dans le miroir : mon visage mal rasé accuse la fatigue de la semaine. Je repense à toute la soirée, aux seins de Lucile et tout en urinant mon sexe reprend un peu de volume.
Je retourne au lavabo pour laver mains et pénis, quand tout à coup la porte s’ouvre : Sylvie entre, simplement vêtue de sa petite culotte. Elle met le doigt sur sa bouche pour m’intimer l’ordre de garder le silence, elle referme et se dirige vers la cuvette. Elle fait glisser sa culotte sur les chevilles et s’assied sur la lunette. Sans autre forme de procès elle se met à uriner tout en me regardant avec une pointe de malice.
Mon sexe commence à se mettre sérieusement au garde à vous. Je suis suffoqué par autant de provocation et quand elle fait signe de la main pour que je m’approche, je ne me fais pas prier. Toujours assise sur la cuvette, et sans un mot elle pose ses lèvres sur mon bout juste rincé : c’est un délice. Mais soudain, on entend à travers la porte la voix de Lucile qui appelle.
Elle se lève prend une serviette et s’essuie. Elle me donne un bisou furtif, éteint la lumière et rejoint sa copine.
Décontenancé, j’attends un peu dans le noir que plus rien ne bouge, puis je me dirige le plus discrètement possible vers la chambre. Entre-temps, la lampe a été éteinte ce qui facilite un passage clandestin. Mais au moment où je passe devant le canapé, je sens une main qui m’attrape la jambe. Je ne bouge plus et me laisse faire. Très doucement Sylvie la fait glisser entre mes cuisses et frôle mes bourses avec le dos de cette main.
Elle me prodigue cette caresse sublime pendant un instant que je voudrais éternel. Très vite, toujours sans bouger le reste du corps, elle étend ses caresses au bout de mon sexe bandé. Je ne sais si j’aurais tenu très longtemps à ce doux supplice de Tantale, car de nouveau Lucile s’est mise à bouger en marmonnant à l’oreille de Sylvie, ce qui a pour effet de stopper net son exploration manuelle.
Je me détache alors du canapé et rejoins Agnès dans son lit. Je me colle à elle, le sexe dur contre ses fesses. Je la sens frémir et reste immobile quelques instants. N’y tenant plus je passe alors mes mains de l’autre côté de son corps et caresse très doucement ses tétons. Tout à coup, je sens sa main sur la mienne, je continue à la titiller ainsi, sa main posée sur la mienne : elle ne dort plus, aussi je m’enhardis assez rapidement. Je descends la main le long de son ventre et pose mes doigts sur sa culotte.
En même temps je frotte doucement mon sexe contre son dos. Elle semble presque passive, cependant elle accompagne subtilement mes geste très lents. Je passe mes doigts sous sa culotte et fouille son épaisse toison. Très rapidement je la sens qui mouille, et me serre encore plus près d’elle.
Je lui passe la langue sur le lobe de l’oreille, ce qui déclenche en elle une petite contraction de plaisir. C’est une astuce que j’essaye systématiquement depuis que j’ai découvert sur une fille un peu coincée avec qui je couchais que c’était le moyen le plus radical pour lui faire ouvrir les portes du plaisir. J’en usais et en abusais pour parvenir à mes fins car sa réaction était immédiate et je pouvais sentir presque instantanément sous mes doigts la liqueur d’amour qu’elle sécrétait à la faveur de ce traitement. Visiblement avec Agnès, c’est une bonne piste.
Au bout d’un moment je baisse sa culotte et elle m’aide avec ses jambes. Toujours collé à son dos, je passe mes jambes entre les siennes, nous jouons quelques instants avec nos pieds et puis je glisse mon sexe dans le sien par derrière. J’entame des mouvements du bassin, très doucement, comme si je voulais ne pas la sortir de sa torpeur.
À ma grande surprise, elle se met à contracter en rythme les muscles de son vagin ce qui rajoute à mon plaisir. Avec un tel traitement je ne tarde pas à jouir sans pouvoir l’amener à l’orgasme.
Soudain inquiet et pas mal culpabilisé, mais un peu tard, je lui demande :
Elle se retourne, me remercie dans un souffle et m’embrasse longuement et doucement. Encore abrutis de fatigue c’est dans cette position que nous nous rendormons.
Le soleil du matin tape directement sur le lit vide, j’ouvre l’œil et les oreilles et j’entends des voix dans le séjour. Je n’ai rien d’autre pour m’habiller que ma chemise que j’enfile et je baisse très discrètement la poignée de la porte pour voir ce qui se passe.
Je ne sais pas si elle m’ont entendu, toujours est-il qu’elles font comme si elles étaient entre elles.
Agnès est assise sur le bout du canapé, elle n’a que sa culotte sur elle. Les deux filles sont allongées sous le drap, la tête de Lucile reposant sur le bras de Sylvie.
Sylvie observe silencieusement la scène entre ses deux copines, qui se défient du regard. Je vois que la nuit n’a pas forcément adouci les mœurs.
Soudain Agnès attrape le drap et le tire complètement dévoilant les deux beautés nues enlacées. Elle observe la situation et détecte un bout de tissu sous le dos de Lucile. Elle tire dessus, faisant apparaître son soutien-gorge disparu. Ce faisant, elle se met à genoux et Lucile profite de l’occasion pour la prendre dans ses bras et la coller contre elle pour essayer de l’embrasser. Agnès se retire brutalement.
Après un moment d’observation pendant lequel les deux filles se défient du regard, Agnès se penche à nouveau, lentement, très lentement, pour récupérer le bout de tissu. Lucile ne bouge pas, puis au dernier moment lui passe la main entre les cuisses. L’effet est immédiat, Agnès lui délivre une taloche cinglante, du genre de celles qu’on délivre parfois sur le coup d’une colère irréfléchie à un gamin pris en flagrant délit en train de piquer dans le porte monnaie.
La gifle a claqué sec sur la joue de la destinataire qui reste interdite quelques instants, visiblement vexée et tout cela dans un silence absolu. Tout à coup, Lucile lui rend son geste, ce qui me laisse pantois devant une telle bêtise de sa part. Aussitôt les filles s’empoignent les cheveux et luttent avec force cris. Agnès crache à la figure de son adversaire :
La situation aurait probablement rapidement dégénéré si Sylvie et moi ne les avions pas séparées avec vigueur.
Et elle se retourne pour pleurer nerveusement dans mes bras.
Lucile a lancé cette dernière pensée sur l’air de cette vieille chanson de Zanini, ce qui arrache un sourire à Sylvie.
Les deux filles, plus détendues, s’embrassent alors sous nos yeux, enfin sous les miens puisque Agnès est toujours dans mes bras, à moitié pleurnichante.
Sylvie se sépare de son amie et demande :
Et pour donner plus de force à ma proposition diplomatique, je pose un tendre baiser sur le front d’Agnès, ce qui, je l’espère, devrait l’amadouer. Le silence gêné qui suit est suffisamment long pour que j’ai la très désagréable sensation d’avoir fait chou blanc. Heureusement Lucile rompt ce malaise :
Après un temps elle reprend :
Mais Agnès ronchonne :
J’ai cru un bref instant que Lucile allait exploser, mais elle prend une profonde inspiration et reprend :
Devant la mine boudeuse de celle-ci Sylvie intervient :
Elle se retourne, regarde les deux filles et dit :
Elles s’exécutent, se font un sourire un peu forcé, puis de façon inattendue, Agnès se penche et pose ses lèvres sur celles de son adversaire d’il y a quelques instants.
Elle enfile un tee-shirt sur son corps nu, se dresse et part de suite à la cuisine. Lucile se lève aussi, la nudité resplendissante, et se dirige vers la chambre :
Elle revient rapidement, vêtue d’un peignoir chamarré qui évoque le Japon. La ceinture serrée met en valeur ses belles formes, l’ensemble lui va à ravir : c’est la classe dès le matin. Elle tend à Agnès un tee-shirt bleu clair et un peignoir blanc. Celle-ci remet son soutien-gorge.
J’aime ces petits gestes familiers, comme de refermer la bretelle d’un soutien-gorge, ce signe d’intimité qu’on ne partage pas avec n’importe quelle fille de rencontre, et je ne me fais pas prier.
Pendant qu’elle finit de s’habiller, je regroupe mes vêtements éparpillés et, mu par une subite impulsion, je décide de ne mettre que mon slip en plus de ma chemise, plus très nette d’ailleurs. Peut-être ai-je envie de maintenir l’ambiance sensuelle de ce petit matin, je dis petit, mais il est quand même pas loin de onze heures et je suis assez surpris que parmi nous quatre, personne n’ait la gueule de bois, ce qui aurait dû être le cas avec tout ce qu’on a avalé la veille au soir. On dirait que j’ai affaire à de sérieuses fêtardes.
Rapidement la cuisine sent le café chaud et le pain grillé, et c’est avec plaisir et appétit partagés que nous nous installons autour de la table ronde. La conversation se réduit aux nécessités pratiques pour que chacun puisse déguster les ingrédients de cette table bien garnie.
C’est au moment le moins attendu, que je sens soudain un pied sur ma cuisse nue. Il est évident que c’est celui de Sylvie, qui est en face de moi. Je songe spontanément : « Elle en veut cette cochonne, il va falloir qu’elle règle l’addition tôt ou tard ». Cette idée met aussitôt en transe mon zizi qui était au repos, d’autant plus que les explorations de Sylvie se font de plus en plus profondes et précises.
Quel hypocrite je suis, je n’ai envie que d’une chose, c’est de poursuivre cette escapade avec ces dames, quitte à partager avec quelqu’un d’autre.
À cette phrase un petit signal d’alerte se déclenche dans mon cerveau, mais celui-ci est bien trop absorbé par le traitement que fait subir la plante de son pied à mon sexe bandé, et il m’est difficile de prononcer, de la façon la plus naturelle que je peux feindre, la question qui suit :
Elle m’agace celle-là avec son allusion à ma virée nocturne. Elle a donc joué la comédie, avec Sylvie peut-être aussi. De plus en plus perverses ces filles…
Je me lève machinalement, je pose un petit baiser de remerciement sur le front d’Agnès, comme un nouveau geste de complicité sentimentale, et c’est là que je me rends compte que mon érection est bien visible à travers mon slip, légèrement humide au bout.
Agnès qui ne s’était encore rendue compte de rien, baisse les yeux et rougit instantanément comme si elle était coupable de ce forfait, si forfait il y a.
C’est un peu confus, que je bafouille tout en battant retraite vers la salle d’eau. Je ne suis pas un adepte de la douche froide, et la séance, si elle m’a lavé des scories de la nuit, ne m’a guère calmé, obsédé par toutes les images de la nuit passée et tourmenté par le tour que pourrait prendre la suite, les combinaisons possibles se bousculant dans mon imagination.
Alors que Agnès prend la suite, j’essaie d’aider les deux autres à ranger un peu le capharnaüm. Chaque tâche me donne la possibilité de contempler la poitrine de Lucile à travers l’échancrure de son peignoir de plus en plus lâche. Et plus torturant encore, Sylvie profite de toutes les occasions pour montrer ses fesses nues sous son tee-shirt relevé, et je suis persuadé que c’est rarement par hasard. Elle prend un malin plaisir à se baisser pour ramasser des objets imaginaires exhibant ainsi ses globes blancs et sa petite fourrure rousse.
Nous avons fini rapidement et, pour attendre la sortie d’Agnès, Lucile propose un café. Nous nous installons, moi dans le fauteuil, elles sur le canapé qui fait face, pour déguster le petit noir. La conversation tourne autour de moi, de mon métier, pourquoi je suis ici, etc. Je dévoile ainsi quelques bribes de mon histoire personnelle.
Tout ceci serait fort banal, si je n’avais une vue imprenable sur la chatte de Sylvie qui ne fait aucun effort pour la cacher, au contraire, et des flashs réguliers sur celle de Lucile, et bien entendu sur sa poitrine elle aussi de plus en plus dénudée.
Les garces ont décidé de me supplicier jusqu’au bout, mais je suis bien résolu à résister, de ne pas céder trop à cette tentation, car je sais que mon heure viendra tôt ou tard. Agnès stoppe mon difficile combat en sortant de la salle d’eau, et je vois immédiatement sous le tee-shirt bleu de Lucile qu’elle n’a pas remis son soutien-gorge. Va comprendre !
Elles se dirigent en chœur vers la douche, encore embuée et sentant bon l’univers féminin. Je sers un café à Agnès, m’installe à son côté sur le canapé, et c’est à ce moment là que je réalise que les filles ont laissé la porte ouverte pour qu’on puisse les voir. Je me serre contre l’épaule pour jouer les tendres, mais c’est surtout pour mieux profiter du spectacle, l’air de rien.
Et le spectacle est beau et bien rôdé. Les deux filles s’enlacent tendrement avec affectation, nues dans le bac à douche ouvert, et s’embrassent avec ostentation et force caresses, sans même avoir pris la peine d’ouvrir le robinet.
Agnès semble complètement tétanisée en les regardant, et soudain elle murmure :
Et sans attendre ma réponse, elle pose la main sur mon sexe dur, sans cesser de les fixer. Je n’en reviens pas de son comportement, de ses actes contradictoires. Elle paraît toujours sur le recul et pourtant elle est capable de prendre des initiatives aussi surprenantes que celle-là. Entre le baiser à Lucile, le fait de ne pas mettre son soutien-gorge et ça, elle n’est pas aussi inhibée qu’elle veut le faire paraître. À croire que la douche a eu le même effet que sur moi. En guise de réponse, pour garder ma contenance, je me penche vers elle pour l’embrasser.
Elle fait la maligne maintenant ? Et elle prend la direction des opérations ! Soit, laissons faire, après tout, il y a eu des situations plus difficiles à gérer dans ma vie !
La douche coule enfin, et les filles se passent mutuellement le savon. Elles nous font un show érotique, du plus classique qui soit, mais terriblement efficace, d’autant plus que ma voisine a ouvert ma braguette et glisse ses doigts directement sur mon slip qui n’en peut plus d’être aussi tendu depuis ce matin. L’élastique va finir par lâcher à ce rythme-là !
Les sensations sont délicieuses, et chauffé à blanc comme je le suis depuis quelque temps, je sens que je ne vais pas tenir aussi longtemps que mon slip. Mais tant pis ! Je suis fermement décidé à me laisser guider, pour voir jusqu’où elle peut aller… Jusqu’où elles peuvent aller !
Il est évident que si nous les voyons parfaitement dans leur numéro d’exhibition saphique, à l’inverse elles n’ont pas de difficultés à voir le sourire béat d’Agnès qui a maintenant sorti mon membre de sa gaine de coton et elles peuvent constater qu’elle me branle ouvertement d’un geste lent et régulier, presque en harmonie avec leur propres caresses.
C’est au moment où Lucile s’est agenouillée pour entamer un probable cunnilingus que la conclusion inéluctable de mon doux supplice arrive. Je lâche plusieurs jets de sperme droit devant moi, intenses, violents qui vont s’écraser sur la table basse, et encore plus surprenant, une partie tombe dans une des tasses à café. Agnès se penche alors vers mon sexe, lèche les dernières gouttes pour le nettoyer. Elles m’embrasse aussitôt pour me faire partager le goût de mon sperme et annonce :
Elle prend la tasse maculée, y verse un peu du café qui reste, brasse le tout à la petite cuillère, goûte et me tend cet étrange breuvage. Lucile et Sylvie observent attentivement la scène et je sens que je ne peux que m’exécuter.
Bien que légèrement écœuré par le goût de ce mélange étrange, j’arrive cependant à lâcher :