n° 12903 | Fiche technique | 21867 caractères | 21867Temps de lecture estimé : 13 mn | 07/10/08 |
Résumé: Philippe et ses trois amies passent le dimanche chez Guillaume, qui n'est pas le dernier pour nous faire goûter à tous les plaisirs de la vie. | ||||
Critères: grp fbi hbi douche fsoumise exhib odeurs préservati pénétratio hsodo aliments | ||||
Auteur : Jobix |
Épisode précédent | Série : Mes nouvelles amies Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Comme nous l’avait promis Sylvie, l’après-midi chez Guillaume a été effectivement très agréable.
Il habite une vieille ferme située près d’un bois. Elle a été soigneusement restaurée et l’intérieur est un subtil mélange de style rustique agrémenté d’un mobilier moderne qui indique le goût raffiné du propriétaire. Le tout donne au visiteur, dès son entrée, une sensation de chaleur et l’envie de jouir de l’endroit.
Il nous a reçu avec quelques tapas arrosées d’un excellent Rioja, en terrasse pour profiter des rayons de ce beau soleil d’octobre.
Après la collation, nous avons unanimement décidé de faire une petite promenade champêtre dans les environs pour profiter de cette douce après-midi d’automne.
Guillaume est un homme d’une trentaine d’années, bien fait de sa personne, très enjoué, avec une voix qui monte parfois dans les aigus, trahissant à ces moments-là des manières efféminées. Il est rapidement apparu que c’est un grand ami de Sylvie, et de longue date. La promenade, outre qu’elle m’a permis de recharger mes poumons et mon esprit avec un oxygène savoureux, m’a donné l’occasion de bavarder de façon intime avec Agnès, et je me suis surpris à apprécier de nombreux aspects de sa personnalité. Nous avons fait le retour main dans la main comme deux jeunes amoureux, ce qui ne m’était pas arrivé depuis bien longtemps. Comme ça fait du bien de sentir une complicité naissante !
A notre retour, Guillaume nous a installé pour nous faire déguster un thé devant une flambée qu’il avait préparée dans sa cheminée. La fatigue de la veille et la sérénité du lieu nous entraînent dans une douce torpeur. C’est ce moment que choisit notre hôte pour lancer :
Cette proposition réveille des souvenirs récents, ce qui provoque une vague de protestation qui le fait tiquer.
Le tout a été dit avec un tel air gourmand par Sylvie, que Guillaume ne peut s’empêcher de lâcher :
Nous lui détaillons quelques détails croustillants et il semble tout émoustillé. Quand il comprend que j’étais de la partie, son intérêt paraît s’accroître : le doute n’est plus permis, il en est.. me dis-je.
Quand elles lui disent que je bandais comme un cerf, sous ma chemise, selon les propres termes de Lucile, il s’exclame :
Il fait sa folle, pour amuser la galerie, ce qu’il réussit assez bien ma foi. Sylvie toujours perverse lance :
A la demande générale donc, et bien qu’il me paraisse étrangement facile de m’exhiber devant un inconnu, je me lève, encore imbibé de l’atmosphère de sensualité exacerbée de ces dernières heures. Comme je veux être plus présentable qu’hier, je tombe d’abord la chemise, puis le pantalon. Je glisse le slip le long des jambes. Guillaume, surexcité, applaudit. Arrivé en bas je lui lance le slip avec le pied, il l’attrape et le renifle.
Il a lancé le " J’adore " avec une voix de tête pour bien le souligner. Je sens qu’on est parti pour un nouveau tour.
Lucile propose :
Je jette un regard sur Agnès, qui me sourit pour m’encourager, alors, si elle est d’accord, on va pas en faire tout un plat, même si je n’ai jamais fait ça à un homme. J’avais eu l’occasion de faire quelques touche-pipi lorsque j’étais adolescent, ce qui m’excitait bien et me laisse de bons souvenirs, mais je suis farouchement attiré par les femmes, pas par les hommes.
Je m’approche de lui, pose la main sur sa braguette. Je sens qu’il est déjà en légère érection alors instinctivement je passe la main entre ses cuisses et lui empoigne doucement les couilles, ce qui ne manque pas de le faire se trémousser de plaisir.
J’ouvre la braguette et passe la main sur son slip. Son sexe se raidit, et je prends plaisir à lui caresser à travers le coton, sans réaliser que je commence à bander devant tout le monde. Je fais tomber son pantalon et les filles applaudissent. Je me place derrière lui pour mieux montrer mes caresses. Il en profite pour coller ses fesses à mon ventre. Je glisse alors les mains dans son boxer et fait apparaître son sexe au public féminin ravi. Je descends son slip sur les chevilles et l’envoie comme un trophée vers les filles, qui sans aucune pudeur se le passent de l’une à l’autre pour, elles aussi, le renifler.
Guillaume se tourne vers moi et s’approche, je suis plus petit que lui et l’extrémité de ma bite touche ses couilles, ce qui est nouveau et divin à la fois. Il approche ses lèvres des miennes et nous échangeons un baiser somme toute assez pudique.
Je les regarde et lance :
Entre-temps, Guillaume s’est permis de me saisir la bite et, bien excité, je le laisse m’embrasser plus sensuellement. Je ferme les yeux pour m’imaginer que je suis avec une femme, ce qui n’est guère difficile tant ses caresses sur mes fesses et ma poitrine velue me titillent.
Au bout d’un moment on s’écarte, les filles nous fixent, intriguées, sans rien dire.
Aussitôt Sylvie et Lucile comme à leur habitude s’embrassent à pleine bouche.
Dans un premier temps, Lucile et Agnès se regardent en chien de faïence, leur différent n’est donc pas totalement effacé. Alors Sylvie pose ses lèvres sur celles d’Agnès qui se laisse faire passive. Sylvie étreint sa partenaire et lui caresse doucement le bas du dos sans lâcher ses lèvres. La technique est suffisamment convaincante pour que les deux filles se passent la langue de façon bien plus ardente.
Pendant ce temps Guillaume n’a pas perdu pas son temps : il s’est collé à moi, son sexe dur contre mon dos, ses mains caressant doucement mon torse et ma bite : je me laisse faire, séduit par le spectacle des femmes. Sylvie prend Agnès par la main et l’approche de Lucile. Sous son impulsion, les lèvres des deux filles se rencontrent d’abord prudemment, puis timidement et enfin sans retenue. Sylvie règle la danse et intervient de temps en temps avec sa bouche. Le spectacle est fascinant et excitant et, en outre, je suis touché par le fait qu’elles fassent enfin la paix.
Après les explications, il dit :
Après un moment d’hésitation collective, Sylvie annonce :
Elle s’approche, Sylvie baisse pantalon et culotte. Elle installe Lucile, qui se laisse faire de manière bien complaisante, le ventre sur ses genoux et elle passe doucement la main sur ses belles fesses. Elle pose un première petite claque, toute gentille : pas de réaction…
Puis une deuxième un peu plus fort. Alors Lucile pousse un couinement hors de proportion avec la tape, Sylvie poursuit et Lucile en rajoute, avec une voix de petite fille râleuse, ce qui nous amuse beaucoup. Les deux filles se livrent maintenant à un show érotico-rigolo.
Et les coups redoublent, jusqu’à ce que Lucile dans un délire de pleurnicherie surjouée, hurle :
La main du bourreau reste suspendue en l’air, et Sylvie demande :
Et elle se lèche les doigts qui effectivement sont bien humides. Agnès s’approche, suce à son tour les doigts de Sylvie puis pose un baiser sur la bouche de Lucile :
Elle se relève et lui fait un gros baiser sonore sur les fesses. Elle revient vers moi, hilare, je la prend dans mes bras tandis que Guillaume continue à me titiller. J’ai l’impression que sa bonne humeur est communicative et que tous les nuages s’envolent entre les filles. Il s’écarte de moi et lance :
Le voilà parti dans la cuisine, la bite à l’air, dressée. On entend le réfrigérateur s’ouvrir puis se refermer. Il revient triomphant comme un porte-drapeau avec quatre chocolats liégeois en trophée.
Lucile s’exécute et sans faire de manières s’allonge sur le dos. Guillaume prend alors le premier dessert, le vide sur le sein droit et essaye de parfaire la décoration en laissant la crème chantilly sur le sommet. Il prend le second et renouvelle l’opération sur l’autre sein, le troisième est posé sur le nombril, le dernier sur son minou. Le tout se passe dans un silence digne d’une cérémonie, avec une lenteur toute calculée.
Complètement électrisé par ce spectacle peu banal, je me jette de suite sur le premier sein qui se présente. Rapidement, Agnès déguste l’autre sein et, barbouillés de chocolat nous échangeons des baisers gourmands, tout en léchant la poitrine de Lucile.
Avec sa langue, Guillaume fait des dessins de chocolat sur le ventre de Lucile et passe sa main libre entre mes fesses. Sylvie a pris la part qui reste, c’est à dire un entre-cuisse qui ne doit plus guère avoir de secret pour elle.
Elle relève le visage, tirant sa langue pleine de chocolat, le regard malicieux. C’est une invite irrésistible à laquelle je ne résiste pas et c’est avec un plaisir immense que je lui suce la langue comme si c’était une petite bite.
Pour la satisfaire, Agnès se penche alors vers elle et laisse couler chocolat et mousse mélangés de sa bouche vers celle de Lucile qui déguste avec délectation cette becquée. Agnès, de plus en plus excitée, roule son visage sur le sien et la barbouille ainsi partout.
A cette vision, j’abandonne Sylvie, et je vois que Guillaume, à ma grande surprise, prend mon relais. Avec ma langue je nettoie le visage d’Agnès, je n’en peux plus de désir. Toute le monde est surexcité. À un moment Guillaume me tape sur l’épaule et me montre le bout de son sexe plein de chocolat :
Et sans aucune appréhension je lèche le bout de son sexe, j’en profite pour lui caresser les bourses, ce qui lui arrache des gémissements de jouissance. Nous sommes en plein délire !
Agnès pelote Lucile sans vergogne, tandis que Sylvie qui a largement fini son dessert, passe la langue dans la fente de Lucile, haletante, qui lui tient la tête.
Soudain Agnès enlève son tee-shirt couvert de chocolat :
Et à notre stupéfaction, la soit-disant timide Agnès tombe pantalon et culotte, prend Lucile par la main et l’amène vers la salle d’eau. Nous les regardons sortir, puis Guillaume tout-à-coup me dit :
Son sexe toujours en main je le regarde, incrédule, puis je réponds :
En effet c’est une pratique qui ne m’attire pas, et aucune de mes relations féminines ne m’a explicitement demandé ce genre de choses. Nonobstant ma remarque, Guillaume se dirige vers une commode, en retire un préservatif, du gel et sans aucune autre discussion s’approche de mon sexe ; il le suce doucement comme s’il y avait besoin de ça pour provoquer mon érection et il m’enfile avec dextérité le bout de latex sur le gland. Il se met à quatre pattes devant moi, me tend le gel et dit :
Devant mon hésitation, Sylvie, que j’avais complètement oubliée, me prend le flacon, en verse un peu et commence à lui passer les doigts dans l’anus pour préparer l’introduction, ce qui ne manque pas de faire couiner Guillaume. Je suis fasciné par ces préparatifs, sans bien réaliser que je vais être l’acteur principal de la suite. Elle s’arrête, se place derrière moi, prend mon sexe en main et le présente devant le petit trou de son ami.
Alors je le prend par les hanches et avec l’aide de Sylvie, je pratique la première sodomie de ma vie. Sylvie reste collée à mon dos, me stimulant par ses caresses. Je commence, une fois introduit, à faire des mouvements de va- et-vient quand je pense à lui prendre son sexe et à le branler en même temps. J’ai l’impression d’être maladroit, mais rapidement je sens les contractions de mon partenaire et son sperme gicle sur son ventre. Je continue un peu, puis me retire sans avoir encore éjaculé. Alors Sylvie retire la capote et se met dans la même position que lui. Cette fois, c’est sans hésitation que je la prends en levrette, et excité comme nous sommes, nous venons quasiment simultanément à l’orgasme sous l’œil attentif de Guillaume.
Après un petit moment de récupération, nous nous avisons que les deux autres filles sont toujours absentes. Nous allons vers la salle d’eau. C’est une pièce immense, comparativement à ce qu’on voit d’habitude, et la zone de douche proprement dite est un recoin ouvert dont la limite est simplement matérialisée par un caillebotis. De la même façon que Sylvie et Lucile ce matin, les deux filles s’embrassent sous la douche tout en se savonnant. Comme l’espace est suffisamment grand, nous les rejoignons. Nous nous prenons par la main pour faire comme une ronde et alternativement nous nous rapprochons pour ne former qu’un groupe serré et compact et puis nous recommençons à élargir le cercle, sous la pluie tiède et dans de grands éclats de rire.
Chaque cycle est l’occasion de multiples baisers et caresses et, sans considération de sexe, nous ne formons plus qu’un. Au bout d’un moment, nous reprenons savons et gel douche et nous finissons cette toilette collective et mutuelle, Guillaume et moi étant de nouveau en érection. Après un rapide séchage nous retournons, nus, près de la cheminée. Après avoir réactivé le feu, qu’on avait oublié - on se demande pourquoi ! - Guillaume va nous chercher quelques boissons.
Sylvie et Lucile sont enlacées ensemble, tandis que je reprends ma place auprès de Agnès. J’ai envie d’elle et c’est tout naturellement que pour la deuxième fois de la journée je la pénètre doucement tout en l’embrassant. J’ai envie de faire partager ce moment de tendresse, et Agnès sans doute aussi car c’est sans aucune fausse pudeur que nous faisons l’amour devant nos trois amis. Nous arrivons ensemble au septième ciel sous les yeux attendris de nos comparses, c’est tout au moins ce que j’ai envie de voir dans leur visage.
La verge de Guillaume est toujours au garde à vous.
Lucile l’interroge :
De le voir ainsi, et bien qu’un peu repu de sexe après toutes ces aventures, je décide de le finir. Je m’approche de lui et sans commentaire, j’embouche son sexe qui n’est heureusement pas trop volumineux. Je me dis que je le fais plus pour le satisfaire à lui qu’à moi, car je suis parfaitement contenté pour ce soir. Pourtant je suis heureux de l’amener à l’éjaculation, rien que par ma bouche et mes quelques caresses. Je ne peux éviter de recevoir un peu de sa semence et je pense de suite à l’embrasser pour lui faire goûter son propre sperme. Et c’est avec malice que je fais ensuite partager ce même goût aux trois filles.
C’est sur ce dernier apéritif, que nous nous rhabillons pour terminer la soirée et jouir d’un repos bien désiré.
Depuis ce week-end mémorable, je revois régulièrement Agnès pour partager sorties et amours. Sylvie assiste de temps en temps à nos soirées et parfois même à nos ébats, ce qui n’est pas pour me déplaire.
Lucile habite dans une rue adjacente à la mienne, je la revois donc régulièrement, et elle se confie de temps en temps à moi. Elle sent que Sylvie est moins présente et que leur couple est en danger. Pour ma part, je la trouve toujours aussi attirante, elle le sait. D’ailleurs au cours d’une soirée en tête-à- tête chez elle, elle s’est un peu laissée peloter, mais j’ai vite compris que c’était plus par lassitude devant mes assauts que par réel plaisir. Je m’en suis d’ailleurs voulu aussitôt, j’avais l’impression d’avoir abusé d’elle et j’avais peur d’avoir ainsi détruit la confiance qu’elle avait alors en moi.
Quant à Guillaume, nous nous sommes revu deux ou trois fois, mais à aucun moment nous n’avons remis le couvert. Il semble qu’il ait un petit ami sérieux. Dommage…
Dommage ?