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Temps de lecture estimé : 27 mn
29/09/08
Résumé:  La suite des aventures du saisonnier, cette fois avec Véro.
Critères:  fh ffh fbi collègues gros(ses) grosseins plage boitenuit fmast hmast cunnilingu fsodo -extraconj
Auteur : Bendé      

Série : Le saisonnier

Chapitre 04
Gourmande mais jamais « seuls » (1)

J’avais 35 ans quand je suis arrivé dans le Sud-ouest pour une nouvelle saison d’été. Toujours serveur, toujours l’incertitude sur le déroulement d’une nouvelle saison dans un nouveau lieu. Les patrons, l’équipe, le style de clientèle, tout cela rendait très variées ces saisons d’été que je faisais tous les ans. Jamais de grosses galères mais des fois quand même on finissait par compter les semaines, les jours. Et puis des fois…


Ce qui m’a attiré chez Véronique au départ, c’est son dynamisme. Toujours en forme, souriante, avenante, directe. Du coup on s’est débrouillés pour être dans la même équipe de service et ça fonctionnait bien. C’est étrange comme avec certaines personnes on ne voit plus ce qui peut être source de problèmes. Tout est simple, tout coule avec naturel. Elle est un peu dans la même situation que moi. Mariée, deux enfants, et une situation économique qui ne lui permet pas de vivre toute l’année dans sa montagne (elle les Pyrénées, moi les Alpes) et l’oblige à laisser sa famille quelques semaines ou mois pour aller remplir la marmite ailleurs.


Nous sommes devenus au fil des semaines très proches et nous échangeons beaucoup mais toujours dans cette perspective de collègues de boulot, loin de leurs familles mais respectueux de la famille et des conjoints. L’été ne facilite pas la tenue de ces convenances. Le nombre d’heures passées ensemble, les longues discussions, quelques fois assez intimes, l’ennui en dehors des heures de boulot non plus.


Nous parlons de la vie, des livres. Nous lisons beaucoup tous les deux, du coup les échanges nous font raconter un livre, s’écharper sur des auteurs, parler de nos passions communes pour d’autres. À plusieurs occasions nous sommes dans des échanges qui nous rapprochent beaucoup. On aurait quinze ans de moins et pas de vie déjà commencée, j’ai quelques fois eu le sentiment que nous étions proches de l’amour, sans en parler, mais ce sentiment quand on se retrouve seul le soir. Nous avons eu aussi de petits épisodes plus chauds, plus sensuels.


Un soir, nous sommes dans un club avec une petite piste de danse et nous rigolons bien à observer deux couples. C’est très rare que nous dansions, dans le boulot on est tout le temps debout ça nous suffit, mais on aime bien regarder les danseurs en discutant. Elle attire mon attention sur un couple. Ils dansent un slow et le gars a les deux mains sur les fesses de la femme. Sous la mini jupe. Une jupe plissée écossaise, comme une écolière, et on a une vue imprenable sur des fesses fort jolies. Peut être a-t-elle un string, mais alors il se perd entre les deux lobes bien charnus.



Toujours franche et directe, la Véro.



Là elle m’a estomaqué, je dois dire ! On a des discussions intimes mais quand même on n’est jamais allés jusque là. Le serveur nous amène de nouveaux verres et coupe court à la discussion. On repart dans le sujet d’avant, un problème avec un collègue qui fout bien le bordel dans le service par son incompétence. Il est plutôt gentil, alors on veut pas être méchant, mais ça va un moment.



Un autre couple, à moins de deux mètres de notre table, s’est arrêté de bouger, en dehors des mains, et ça se balade ferme.



On avait parfois vaguement parlé des problèmes de fidélité. Petit silence puis Véro dit un peu gravement :



Elle est à la fois grave et douce. Je lui sens une petite gêne dans la respiration. Elle a commencé à me caresser la main mais arrête brusquement et croise les bras. Pour le langage, elle fonctionne de la même façon. C’est en général très lissé, tout ce qu’il y a de normal, et puis tout d’un coup ça fuse. C’est valable pour une situation qui l’énerve, elle n’a pas son pareil pour mettre en boîte un collègue qui exagère, et alors qu’elle ne parle jamais de manière cochonne, j’étais en train de découvrir que si elle s’échauffe un peu, elle ne mâche pas ses mots !



Il y a eu un petit temps de regards, sans rien se dire. Chez elle comme chez moi, ça mouline dans la tête.



Nouveau temps de silence. On se regarde fixement, les yeux dans les yeux. On se laisse distraire par les danseurs. Ils sont chauds ce soir. Le couple de tout à l’heure est revenu pas loin de nous.



Véro passe du rire à la gravité. Elle prend son parlé cru et, la seconde d’après se renfrogne.


C’est la fin des slows. Le couple a du mal à se détacher mais à force de se faire bousculer ils partent. Les yeux dans le vague, ils nous regardent.



Elle libère son pied de sa chaussure et me le colle dans l’entrejambe. Elle se lève, m’attrape le bras et m’emmène sur la piste. Des rocks lents sont diffusés, mais que l’on danse comme des slows.



On va se rasseoir.



Un temps.



Elle continue à me masser avec son pied et c’est très agréable. Un peu de talon sur les couilles, la pointe du pied sur le gland, parfait. Puis elle reprend son pied (si je puis dire) et disparaît aux toilettes. Je la regarde en souriant quand elle revient. C’est une belle nana. Elle me regarde aussi en souriant. Elle a un regard franc, droit dans les yeux, simplement. On a une connivence de vieux copains. Toute simple aussi dans sa tenue, un tee-shirt bras nus, deux seins galbés, une jupe souple marron aux genoux avec cinq ou six centimètres de dentelle transparente en bas.



Elle ouvre son sac à main. Sur le dessus je vois une petite culotte.



On repart sur la piste de danse, c’est le premier d’une série de slows. Elle me dirige. On se met à faire du surplace. En fait, on est devant la table du couple qui s’était installé devant notre table tout à l’heure. Comme eux, à peine à plus d’un mètre ; elle se cale dans mon épaule, la main sur ma braguette. Je comprends le message et pars me balader sur ses fesses. Je ne peux pas en montrer autant qu’eux tout à l’heure parce que la jupe n’est pas si courte, mais la vue doit être sympa quand même. À la fin du slow, on retourne s’asseoir.


Le couple revient. Lui a toujours la main sur ses fesses et je crois qu’elle a relevé sa jupe sur la taille. C’est vrai que ça améliore la vue. Elle a la main dans son pantalon et des fois on voit un petit bout tout rose qui dépasse. Ils nous regardent souvent. Véro se lève et met ses deux bras autour du couple. Elle leur parle en leur caressant le dos et descend rapidement vers les fesses. Ça dure quelques minutes où elle malaxe sans équivoque les fesses à l’air de la madame et le pantalon de flanelle du type.


Elle se retourne, m’attrape par la main et me tire vers la sortie.



On rentre rapidement à pied. Des fois on se donne la main ou à coté, sans rien se dire du trajet. On monte rejoindre nos piaules.



Je ne réponds que par un simple sourire. Je me fous vite à poil et plonge dans mon lit après un grand verre d’eau. J’essaie de ne pas penser à la soirée et aux dernières paroles de Véro. Je fais semblant d’ignorer qu’entre mes jambes y’a un truc qui vibre tout seul. J’y suis presqu’arrivé quand j’entends que ça gratte à la porte. La poignée se baisse. Je continue à faire semblant de dormir. Je distingue une chemise de nuit blanche. Véro sûrement. La porte se referme. Elle s’avance vers le lit.



Elle allume la lumière, me secoue, me regarde.



Elle se recule un peu et fait passer sa chemise de nuit par dessus sa tête, s’appuie contre le mur.



J’ouvre les yeux pendant qu’elle me parle. Je me délecte un peu de la regarder. Elle a les yeux grands ouverts et me regarde aussi. Elle est belle dans sa furie de plaisir. Elle tire les peaux de son sexe et frotte son clito, se masse les seins et revient entre ses jambes. Je soulève mon drap et m’assois tranquillement face à elle, sur le bord du lit. Je passe une main sous mes couilles et attrape mon barreau, comme elle dit.



On se fait face les yeux dans les yeux, sauf quand elle les baisse pour regarder mes mains en action sur mon sexe, ou quand pareil je la regarde dans la fente. Je m’approche et souffle un peu sur son sexe. Elle se retourne et me montre son joli cul. Je reste accroupi et profite de la vision arrière que j’aime beaucoup. Son sexe est tout bombé et très proéminent. Ses lèvres sont généreuses, très sorties de la fente. On se refait face. Sans un mot on monte rapidement vers le plaisir. On n’a pas trop envie que les collègues soient au courant, c’est donc sans sons mais avec plein de grimaces que l’on jouit en se regardant tout du long dans les yeux, et c’est très fort. Je crache mon sperme très loin, presque sur ses pieds. Elle a les cuisses brillantes sur une bonne longueur.


Elle reprend sa robe de chambre et sans la passer, se dirige vers la porte.



Lumière éteinte elle disparaît. Je me couche et m’endors comme un bébé, à moins que ce ne soit comme un gros cochon.


J’ai envie qu’on tienne ce pari ! Mais j’ai quand même un peu peur.


Le lendemain on se rappelle bien du rendez vous avec l’autre couple. La journée se passe normalement. Les rapports avec Véro restent normaux. Du très bon copinage de boulot. On va peut être réussir à bien vivre tout ça, entre gens simples et intelligents.

Quand on débarque dans le club, il y a peu de monde. Pas de traces du couple non plus. Il n’est encore que 22h30 donc rien d’étonnant.



C’est la question que nous pose le barman en amenant nos consommations.



Cinq minutes après, il revient, le combiné à la main. Véro l’attrape. Après quelques mots, elle me fait signe de coller mon oreille.



Et elle raccroche.



Je ne sais pas trop quoi en penser mais ça m’excite aussi. On n’en reparle plus et on s’amuse à danser, faire les fous. On s’excite un peu mutuellement, un peu trop sans doute. Bizarrement ce soir-là, il y avait du monde mais rien du genre d’hier, pas de petites jupes qui se soulèvent, que des gens bien.


On se calme un peu et on met au point de manière verbale une sorte de charte pour notre « contrat » : pas le droit de mettre la pression sur l’autre pour le faire craquer, quand l’un se trouve trop dragué, il peut donner des gages et l’autre ne peut rien refuser. Chacun peut arrêter quand il veut, tout, ou une soirée, l’autre doit respecter… et quelques autres articles comme ça. Un peu avant minuit, on en a eu marre, et toujours bien excités on a essayé un club mais rien non plus. On s’est même sentis mal à l’aise assez vite avec nos fous rires. Ça semblait casser l’ambiance.


Après c’est le week-end. Pour nous, ça veut dire plein de boulot et juste dodo. La semaine d’après, on passe le même genre de soirée. Je suis assez excité mais vraiment l’ambiance est glauque et pas moyen de s’amuser. Un peu avant une heure du matin, on prend la voiture et on va au bord de la mer. C’est Véro qui a proposé et je me suis dit que ça allait nous calmer. En fait c’est pire, on se met à chanter à tue-tête dans la voiture et quand on arrive, je suis à fond !



Elle part en courant. Je passe ma main sous sa jupe quand je la rattrape.



Je passe la main dans la culotte et pousse, ça la baisse un peu. Je peux caresser les fesses, plus tranquille.



Ben voilà. Je suis à poil. C’est vrai qu’il y a pas vraiment du monde, mais un peu partout des groupes, la plupart juste des couples, et me voilà à me balader au milieu, le sexe pas loin de l’horizontale !



Elle me griffe un peu les couilles.



Je ne sais pas si c’est la vision de notre couple, mais la fille assise sur la tête de son mec se met à jouir comme nous passons devant. Véro, bien sur, avait dévié notre trajectoire pour qu’on les frôle au plus près. Nous restons regarder. Elle est assise sur la tête de son copain qui est allongé sur le dos. C’est toujours un super spectacle que de voir une femme jouir. Penchée en avant, elle se tient au short du gars, plus exactement à une sorte de bout de bois tout dur qu’il a dans le short ! Il bande ferme. La femme jouit de plus en plus en fermant les yeux.



Le gars soulève la jupe pour voir qui c’est et retourne bouffer la fente de la femme qui jouit à qui mieux mieux. Elle s’affale sur le corps de son mec qui soulève la jupe pour prendre de l’oxygène, à moins que ce ne soit pour nous montrer les fesses de la jouisseuse. Une zone plus sombre d’humidité vient tacher le short. Véro, pas timide s’avance et se penche un peu pour caresser les fesses de la femme.



C’est un peu gênant quand même, à poil au milieu de ces groupes. Des gars un peu éméchés crient à notre passage et deux d’entre eux se mettent à poil et se branlent sans vergogne. Ça me refait bander un peu.


Véro essaye de repérer les trucs intéressants. Dans le noir, c’est pas évident. En s’approchant, même si on peut avoir des doutes sur ce qui se passe vraiment, souvent on ne voit rien et les gens font semblant de dormir. La femme de tout à l’heure était trop près du but pour s’arrêter. Tout à coup, elle me saisit par la queue et se met à marcher vite vers le haut des dunes. Elle est pile devant moi je ne vois rien.



Devant nous, un mec baise une femme à quatre pattes. Oh ! Mais en dessous un autre mec essaye de la lécher pendant qu’elle lui pompe le dard.



Je saisis ma queue et je pars comme un fou à l’astiquer, mais tout à coup Véro me prend par le bras et me tire fortement au loin.



Là je lui saute dessus et entreprends de la foutre à poil. Ce n’est pas facile mais je finis par y arriver, sans doute parce qu’elle n’a rien contre. Je commence à la caresser, lui prends un téton et commence à descendre vers son ventre.



Elle me pousse et se lève



Et on continue.



On y va en courant, on se met chacun d’un côté du groupe et on se branle sans hésitation. Le gars qui fourrage dans la minette se rince l’œil mais je ne suis pas sûr que les autres aient vu quoi que ce soit. La femme ne bronche pas en recevant de mon sperme sur le dos. On était tellement à blanc, Véro et moi, que ça n’a pas été long. Je passe de l’autre coté, je récupère mes fringues, garde celles de Véro et nous nous écartons.



Je crois qu’elle dit ça pour la forme, je la sens plutôt contente de se balader à poil.


Au retour, je l’oblige juste à passer devant le groupe de mecs éméchés. Quelques-uns d’entre eux ont jeté l’éponge et dorment sur le sable. Les autres se mettent à gueuler encore plus que tout à l’heure et, là, ils se mettent tous à poil à se branler. J’ai un peu peur mais ils ont l’air cools. Véro ne se prive pas de se montrer la plus salope possible, devant, derrière, jambes écartées, fait semblant de se branler… Ils sont sept ou huit et j’en compte au moins cinq qui éjaculent sur le sable, et on se barre. En récompense je redonne ses fringues à Véro.



Cette petite marche de nuit à poil a été très agréable.


Un autre soir, alors qu’on rentre bredouilles de notre chasse aux partenaires, on arrive en haut du bâtiment dans le couloir de nos chambres, quand Véro fait demi tour.



Je la rattrape.



Des fois elle est quand même fatigante. Je m’arrête et j’hésite. Elle me fait un doigt d’honneur et continue. Je n’ai peut être pas assez de caractère, mais je la suis.



Yvette est un peu gênée.



Et là commence une longue messe basse, sans curé mais c’était sûrement aussi bien comme ça. Progressivement, je ne sais pas ce que Véro lui dit, mais Yvette semble moins sûre dans ses réponses. Elle me jette un coup d’œil de temps en temps. Véro est entrain de la chauffer. Elles se dirigent vers le bureau derrière, laissent la porte ouverte. Véro réapparaît et me fait signe de les suivre en même temps qu’un gros clin d’œil.



Véro enlève carrément son tee-shirt et regarde vers Yvette.



Yvette ne sait pas trop comment elle doit le prendre.



Sans attendre, elle tâte les mamelles qui sont impressionnantes. Evidemment ça tombe un peu, voire ça dégouline, mais c’est impressionnant, y’a de quoi se noyer ! Ils sont tout blancs et descendent presque à la ceinture. Elle soupèse, caresse, écrase délicatement.



Yvette est pas mal gênée. Ses bras se coincent dans son haut ; Véro, avant qu’elle n’ait pu dire quoi que ce soit, lui enlève tout et notre Yvette est là, debout, rien au-dessus de la ceinture. Le bidon aussi est impressionnant, on ne voit pas la ceinture de la jupe plissée, noire et courte, très courte même qu’elle porte avec un corsaire moulant qui lui va jusqu’à mi-mollets. Véro tend son torse.



Yvette hésite un peu et y met de plus en plus d’intérêt. On dirait que ça l’excite pas mal. Véro le voit bien et en rajoute.



Elle se recule et s’appuie les deux bras en arrière sur un bureau, les seins en avant, un appel au viol ! Yvette y prend goût, à cette papouille. J’ai l’impression que le flair de Véro a raison, c’est une chaude qui cache bien son jeu ! J’ai l’impression aussi qu’elle s’y prend vraiment bien et que Véro en rajoute de moins en moins dans ses petits cris et autres manifestations de plaisir.



Véro se baisse, fait valser son short, sa culotte et remet ses seins sous le nez d’Yvette, qui reprend son travail. Elle louche régulièrement sur le minou de Véro qui commence à onduler du cul, passe une cuisse entre les jambes d’Yvette se frotte avec une superbe indécence. Elle ronronne de plus en plus. Sans prévenir, elle se redresse et entreprend d’enlever le reste des habits d’une Yvette bien chaude maintenant, qui, loin de protester, lui donne même un coup de main. Heureusement parce que je ne pense pas que Véro ait imaginé la difficulté de faire passer un corsaire moulant au-dessus de tous ces bourrelets.


N’empêche qu’elle a de la classe, Yvette. Elle est douce et belle dans ses gestes, et moi, loin d’être dégoûté, je bande, la main en coquille sous mes couilles. Véro reprend sa place, une cuisse entre les cuisses d’Yvette, mais la fait tourner et s’appuyer sur le bureau. Putain, ça y va ! Elle se frotte à la cuisse à une vitesse vertigineuse ! Elles s’écrasent le torse, seins contre seins presque comme des lutteuses.



Yvette se met le dos par terre. Véro s’assoit sur ses seins, un pied un peu en avant et continue à se frotter. Elle attrape un sein à pleines mains et se l’enfonce dans la fente, frottant sans doute son clito sur le téton et bouge le cul d’avant en arrière. Elle passe à l’autre, remonte écraser son cul et sa fente sur le visage d’une Yvette qui en ressort abasourdie en se léchant les babines.



Je balance mes fringues et plonge entre ces formidables cuisses, c’est incroyable. Elle a une peau d’une douceur étonnante. C’est mou et doux. Je lui passe les mains sous les fesses et y mets tout ce que je peux. Elle a très peu de poils et un tout petit clito pas facile à trouver, mais qui la fait réagir à la seconde. Elle mouille beaucoup. Avec une main je cherche son trou du cul. Sa raie des fesses est toute trempée. Je tourne autour de la rondelle et quand Véro lui laisse la parole, elle dit en boucle « Eh ben, eh ben !».


Véro, acharnée depuis dix bonnes minutes maintenant, explose littéralement et, comme propulsée par un ressort, s’affale cinquante centimètres au-dessus de la tête d’Yvette presque à quatre pattes, le visage écrasé par terre, inerte.


Voyant ça, je m’avance et place mon chibre entre les mamelles d’Yvette, m’astique le machin les yeux plantés dans le cul de Véro qui ne pouvait pas choisir une meilleure position pour que je me rince l’œil. Elle a la moule rouge vif. Normal, après le temps qu’elle a passé à se la limer sur les tétons et la langue de celle qui s’écrase maintenant les seins à pleines paluches autour de mon engin au paradis.


Mais j’ai envie d’autre chose. Je dis à Yvette de se mettre à genoux. Elle a presque le nez dans le cul de Véro qui n’a toujours pas bougé. Je me poste à genoux derrière et m’enfonce dans la moule toute humide. Ça fait toute sorte de bruits quand je m’écrase sur ses fesses. C’est incroyablement voluptueux. Ça serre et c’est mou en même temps. Je fais un peu exprès de donner de grands coups en la baisant et de la pousser de plus en plus. Elle se retrouve le nez en plein dans le cul de Véro qui n’a pas le moindre signe de réaction. Elle est vraiment crevée !!


Maintenant qu’Yvette en est là, je ralentis et regarde ses réactions. Elle hume, enfonce son nez, lèche la fente encore rouge, comme une glace. Prends le temps de goûter comme si c’était une sauce en se reculant pour regarder ce joli petit sexe bombé. Elle bouge un peu son cul comme pour me dire de ne pas trop m’endormir. Je reprends mes coups de boutoir et à chaque fois Yvette cogne son visage sur l’abricot de Véro, qui finit par s’écrouler sur le côté.


Du coup, Yvette se concentre un peu plus sur mon petit ramonage et je sens que ça monte chez elle. Ça aide à monter chez moi et je ne vais pas tarder à lâcher la purée. Je commence à perdre le souffle, et la tête ; j’ai les couilles proches de la fusion.


Mais là, coup de théâtre, la sonnette de la porte retentit ! Yvette est littéralement prise de panique. Elle défouraille avec un bruit de ventouse, repasse son haut, sa jupe, tente un peu de remettre son corsaire, laisse tomber électrisée par un deuxième coup de sonnette, passe juste ses chaussures et part vers la porte. Sa mini est vraiment ras-la-touffe ! Ses fesses dépassent.


Moi je me retrouve comme un con tout proche de l’éjaculation, complètement désorienté. Heureusement, nous n’avions pas allumé et Yvette a claqué la porte. Véro bouge et se met sur le dos, jambes écartées, dans une position d’une indécence assassine. Je saisis mon membre bandé et, les yeux plongés dans le sexe de Véro je me branle. Qu’il est beau ! Les lèvres sont proéminentes, écartées. Ça se met bien en ordre, un peu comme le rideau qui s’ouvre au théâtre et je vois un joli clito tout rouge, dessous des petites peaux, de très roses à très brunes, entourées de poils un peu désordonnés par ses folies. Quand je sens le plaisir monter je m’avance et crache tout sur le ventre de l’endormie.


Ça la réveille et comme un zombie, elle reprend son short et son tee-shirt. Elle manque de partir à poil, se ravise, met ses fringues n’importe comment. Je fais pareil mais alors qu’on va sortir, Yvette revient.



Elle fait voler ses fringues, se dirige vers Véro qui la regarde sans aucune réaction, lui enlève le tee-shirt, le short, lui met une grosse tape sur les fesses, se retourne vers moi, me baisse le short sur les pieds, attrape ma bite complètement molle et, dépitée retourne vers Véro et sans un mot l’allonge par terre, s’assoit tête-bêche sur son visage et met son cul en action. Vu l’état de Véro, j’ai peur qu’elle ne l’étouffe. C’est à son tour de mettre son cul à bouger, et ça y va. Je vois deux mains qui se lèvent, entourent ses cuisses ; ça y est, Véro se décide à assumer.


Je tire une chaise et m’assois. Je regarde ça, détaché, fatigué. Pourvu qu’elle jouisse vite, qu’on aille se coucher. Je m’accoude sur le bureau et manque de m’endormir et de tomber de la chaise. Je me redresse, m’accoude à nouveau et me fais mal. Je me suis appuyé sur un stylo.


Ça me donne une idée. Je le prends et je me mets sur le côté des deux femelles en chaleur, enfin surtout une. Elle a ses gros lolos qui pendent et se secouent au rythme imposé par con cul. Je pose le stylo par terre et me mets à malaxer toute cette masse. J’y plonge le visage, qui m’amuse à le promener là dedans, rencontrant des tétons que je suce avidement à pleine bouche. Ça lui plaît. Puis je m’écarte, reprends mon stylo et me place derrière. Avec une main, j’écarte les fesses et je me mets à jouer avec son trou du cul. Les « Eh ben, eh ben ! » de tout à l’heure se remettent en route. Des fois c’est plus : « J’y crois pas, j’y crois pas ! » toujours répétés plusieurs fois. J’enfonce le stylo. C’est humide là-dedans.


Yvette se met à avoir des soupirs, ou je ne sais comment appeler ça, mais on dirait une petite fille qui chantonne bizarrement en jouant à la marelle. C’est incroyablement excitant. Je me mets à tourner le stylo dans tous les sens en faisant gaffe quand même, surtout que le popotin ondule pas mal. Elle passe de ses mélopées de petite folle à des « Oh ben merde, oh ben merde ! » qui sont vraiment pas possible. Véro semble y mettre encore un coup de plus. Tout ça me remet dans une forme proche de la folie. J’enlève le stylo, je le lance, je baisse mon short et je m’enfonce sans modération dans ce cul.



Et elle répète la fin de la phrase je ne sais combien de fois. Mais loin de me calmer ses cris m’excitent encore plus et je fourrage là-dedans comme un dératé. Véro aussi est complètement à fond.


Là, Yvette stoppe tout, pousse un « Putain d’merde ! » tonitruant, se met à trembloter de tout le corps comme si elle grelottait de froid, s’écroule le visage entre les jambes de Véro avec le corps qui continue à être pris de ces secousses, Véro continue à la sucer comme une folle. Elle me saisit les couilles et les presses, limite douleur. Je me mets à jouir comme un fou dans de grands mouvements avec ces bruits quand je m’écrase sur les fesses d’Yvette. Il me semble que Véro jouit aussi en bougeant toujours son cul et sa tête comme une folle. Et puis plus rien. Véro détache ses mains qui s’affalent par terre. Je m’écroule sur le côté.


Quand je me réveille, les deux filles n’ont pas bougé. Je les secoue en cherchant mes fringues. Véro émerge la première. Elle met un moment à comprendre où elle est. Faut dire qu’elle est sous le cul d’Yvette et que la vision au réveil doit être bizarre. Elle la pousse. Yvette s’affale sur le côté en grognant. Véro, à deux à l’heure, s’habille. Sans autre réaction elle va sortir.



Elle se retourne, regarde.



Elle s’avance et la secoue :



On a été obligés de la secouer cinq bonnes minutes et après de l’aider à s’habiller. Les seuls mots qu’elle ait dits, toujours ses « Eh ben, eh ben !» On l’a aidée à marcher et à s’asseoir sur la chaise où on l’avait trouvée. Elle n’a pas répondu à nos bonsoirs et on a filé se coucher.



Là, quand même, cet épisode nous a calmés. Nous sommes restés calmes quelques jours… mais arrivait cette fameuse invitation !


J’y vais ? J’y vais pas ?




(à suivre)