n° 11823 | Fiche technique | 38964 caractères | 38964Temps de lecture estimé : 23 mn | 12/10/07 |
Résumé: Les aventures d'un serveur saisonnier et d'un couple très libre. | ||||
Critères: grp fbi hbi hotel voir noculotte intermast fellation cunnilingu anulingus 69 hsodo partouze jeu portrait | ||||
Auteur : Bendé |
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Cette histoire se passe toujours dans le même hôtel. Je ferai quelques fois référence à la précédente histoire… mais petite description, grand hôtel, grand parc, pas de plage au sens habituel du terme, une falaise au-dessus de la mer. Des gens plus ou moins argentés, mais plutôt plus, même si bien sûr, la seule chose dont on ne parlait jamais c’était d’argent bien entendu. Tout cela ne veut pas dire non plus que le personnel lui était bien payé…
Ce couple venait de temps en temps. J’allais bientôt apprendre qu’ils n’habitaient pas loin, n’avaient pas d’enfants, et du coup se faisaient des week-ends, des vacances ou tout simplement des séjours, d’affaires quelques fois. Parce qu’on rencontrait du beau monde ici et donc sûrement des chefs d’entreprises. Je ne me suis pas intéressé à cet aspect des choses.
Plusieurs fois j’avais eu à les servir et j’avais remarqué que la dame ne cachait pas beaucoup ses charmes. Je les ai vus plusieurs fois monter dans leur chambre, presque toujours une suite avec un grand balcon face à la mer, avec un homme ou un autre couple.
Ce soir-là, un samedi, pas grand monde dans le restaurant. Il avait fait très beau, les gens devaient être partis à Nice pas très loin. Le couple arrive et se place dans un angle dans la partie dont je m’occupais. Lui face à la salle. Elle portait une robe très décolletée et chaque fois en arrivant je plongeais discrètement mon regard vers ces obus vraiment très proéminents.
En cours de repas, j’amenai le plat principal, Georges me fit signe de venir vers lui et il me parla à l’oreille :
Assez interloqué, je tournai la tête vers la Claire en question.
En me regardant dans les yeux, Claire avance son buste et me montre un peu plus ses seins qu’elle a très gros.
Là je voudrais tout de suite préciser que malgré leurs propos ou attitudes parfois très provocantes, que l’on qualifierait même de vulgaires parfois, ils avaient une grande classe et justement aucune vulgarité. Un goût prononcé, tous les deux, pour le sexe, mais avec une grande classe, un grand respect de chacun, la petite distance qui fait que tout est acceptable. Ajoutez à cela une vraie recherche de plaisir, une grande culture et un humour très retenu.
Je ne sais pas s’ils avaient remarqué mes regards dans son décolleté. Il faut dire que ça faisait deux ou trois jours que Marie n’arrêtait pas de se balader très peu vêtue sous mon nez et que j’avais les neurones et le reste plein d’envies. Et là le pantalon et la tête étaient dans tous leurs états. Je retournais aux cuisines en me demandant bien quelle était la meilleure marche à suivre parce qu’il y avait évidemment plein d’histoires de cul avec les clients qui circulaient dans le personnel, mais il y avait aussi eu quelques sales histoires qui avaient valu à certains collègues d’être foutu dehors… Et tous les ragots étaient invérifiables, bien entendu.
Quand je revins voir Georges et Claire, je vis bien tout de suite que Claire avait enlevé son soutien-gorge. Elle portait une robe très décolletée, noire, avec deux bouts de tissu assez larges qui descendaient de ses épaules presque jusqu’à la ceinture, mais avec donc cette séparation entre ses deux seins.
Ces seins avaient de quoi mettre en feu le plus calme ! Et ce n’était pas mon cas. Georges eut la délicatesse de changer de sujet et de se mettre à me poser quelques questions sur moi, mon travail, mon avenir. Après une déglutition sonore, parce que Claire, elle s’amusait toujours à tout faire pour que ses deux obus me sautent à la figure, et j’avais du mal à regarder Georges en lui parlant, je balbutiais de courtes réponses.
Cet épisode n’était pas fait pour calmer mes ardeurs et je ne pouvais m’empêcher de jeter des tas de coups d’œil vers ce couple avec un flot de questions dans la tête. J’y répondais par oui puis par non… Et leur apportais leur dessert, avec la crème demandée.
Ils traînèrent un peu et je les vis partir vers l’ascenseur. Je bouclais le plus vite possible la fin du service que l’on trouve toujours trop longue dans ces cas là et arrivais enfin à m’extraire des cuisines. J’hésitais à passer à ma chambre et finalement partais en costume les retrouver en rasant les murs.
Mon cœur battait la chamade quand je frappais à la porte 158. Elle s’entrouvrit. Je poussais donc délicatement, entrais et refermais. Un « Viens vite » m’invita à poursuivre ma route. Claire se dirigeait vers moi, entièrement nue.
Georges était debout, nu lui aussi, au milieu de la pièce, une grande chambre toutes lumières allumées richement décorée, mais d’une manière très agréable, pas trop clinquant. Il avait à la main une coupe de champagne qu’il leva en me regardant.
Georges était très bel homme. Grand, svelte, très souple, agile. Une petite moustache coupait son visage très rieur. Cheveux noirs frisés. Poilu, mais sans plus des épaules carrées et, sous le verre de champagne, lui aussi pointé vers moi, un beau sexe assez court, noueux comme un cep de vigne et avec un gros gland tout rose.
Claire était une femme d’une grande fraîcheur. Elle avait toujours une attitude entre une mère et une grande sœur. Elle était blonde à la française, châtain très clair si vous préférez, elle aussi très grande, un peu plus que moi. Ni fine ni grosse, de belles rondeurs là où il faut. Des fesses rondes, fermes et des seins magnifiques. Son torse en avant était prolongé par deux beaux fruits oblongs qui ne tombaient pas. Ils étaient naturels, j’en suis sûr, pas de ces choses qui ne vivent plus ! Ils avançaient au-devant d’elle, terminés par des tétons presque rouges et de petites aréoles ceinturées de petites proéminences comme des petits boutons. On aurait presque pu croire à de petites fraises qu’immanquablement on avait envie de goûter ! Son sexe, presque rasé, avait de grandes lèvres bien dessinées, proéminentes quand elle se tenait debout. Inutile de vous dire que je me délectais de son avancée vers moi d’un pas sûr et tranquille.
Arrivée devant moi elle m’attrapa les mains, les leva en esquissant un petit pas de danse avec moi, me serra et frotta sa joue contre la mienne. Elle se plaça derrière moi.
Une fois ouvert, elle le baissa sans autre forme de procès, emportant dans la foulée le caleçon, descendit jusqu’en bas et le tint fermement le temps que je dégage mes pieds. Les chaussettes subirent le même sort. Elle frotta son visage contre mes fesses, donna quelques coups de langue sur mon petit trou, et se releva.
Elle défit les boutons de ma veste, passa le T-shirt par-dessus mes épaules, j’étais moi aussi complètement nu, incapable de bouger. Elle se plaça sur mon côté droit, le ventre appuyant mon bras et me parcourut le corps en me murmurant à l’oreille :
Je retournais ma main, la levais un peu et la posais sur son coquillage. Un petit « Hummf » de bonheur accompagna mon geste. Je promenais mes doigts dans son entrejambe déjà bien humide. Elle en profita quelques minutes, puis bougea, se dirigea vers Georges en attrapant ma main. Arrivés près de lui elle posa ma main sur son sexe et Georges lui, attrapa le mien.
En me disant cela, il me caressait doucement la verge et les couilles. Je tentais de lui faire de même, ne sachant trop comment m’y prendre et regardant son sexe si différent du mien. Le sien assez court, noueux avec un gros gland. Le mien plus long, très droit d’un diamètre un tout petit peu inférieur au sien.
Elle s’était allongée de dos sur la table. Elle avait les jambes écartées dans notre direction et se caressait les cuisses les yeux fermés.
Georges avait toujours mon sexe en main, mais le regard vers celui de sa femme.
Claire promenait ses mains partout sur son sexe, en écartait les lèvres pour que nous puissions voir l’intérieur, dégageait son bouton, le frottais doucement. Elle souleva ses jambes et les posa sur mes épaules. Mon sexe toujours dans les mains de Georges dont j’entendais la respiration, je regardais l’intimité de Claire, m’avançais pour souffler, me reculais pour voir la chose entière. Comme je me réavançais, Claire serra ses jambes et je me retrouvais le nez dans son sexe. Je ceinturais ses fesses glissant mes mains entre elle et la table et je me mis comme un fou à bouffer tout ce qui se présentait. Elle tendit ses jambes encore un peu, décolla ses fesses de la table. Je continuais comme un fou allant de son ventre, très agréable, d’enfouir son visage dans cette surface molle, jusqu’à entrer ma langue, comme elle tout à l’heure, dans son petit trou du cul.
Je n’hésitais pas à entrer mon nez tout entier dans son vagin, à aspirer son clito et le mâchouiller entre mes lèvres, prendre ses lèvres dans les miennes attraper à pleine bouche son sexe dans son entier et le badigeonner de ma salive.
Je tournais la tête dans tous les sens, soufflais dans son vagin, criais la bouche collée à sa fente, rien ne devait sortir, mais ça me faisait du bien.
Je m’étais presque oublié dans ce bain de chairs humides, et tout à coup je pris conscience que Georges lui ne m’avait pas oublié, qu’il me masturbait voluptueusement, un doigt dans mon anus et mon plaisir se mit à monter d’une manière inexorable. Je sentis une traction. Georges me décolla de Claire que j’entendis du coup hurler, toujours en rythme, et sans lâcher mon sexe, sans enlever son doigt il me porta presque vers le visage de Claire qui attrapa ma queue comme si sa vie en dépendait et se mit à me sucer, une main autour de ma raideur, l’autre sous mes couilles, avec autant de frénésie que j’avais tout de suite dans son cul !!
Je ne sais pas si j’ai résisté plus d’une minute à ce traitement, surtout que Georges avait lui aussi accéléré les mouvements de son doigt dans mon cul. Je me penchais en avant, m’accrochais aux deux obus que j’avais devant les yeux, me mis à bouger du bassin comme si je baisais la bouche de Claire. Le doigt de George restait en embuscade. De tels mouvements n’empêchaient pas Claire de bouger comme une folle aussi. Il y eut quelques dérapages, mais ma verge ne restait que quelques millièmes de seconde hors de la bouche ou des mains de Claire et j’éclatais dans sa bouche, ce qui ne la calma nullement. Moi non plus.
Je me calmais enfin. Je restais stoïque à profiter encore des mouvements fous et désordonnés de Claire qui semblait ne plus jamais vouloir arrêter de me sucer. C’était très bon et beau à regarder.
Georges lui n’avait pas perdu de temps. Il était parti chercher la crème que je lui avais amenée tout à l’heure à table et en avait tartiné l’entrejambe de Claire. Il était maintenant la tête entre ses jambes, de la crème partout sur le visage, la tête, les cheveux même les épaules, et lui aussi bougeait comme un fou. Je regardais ce spectacle mi amusé mi interloqué, mais il allait falloir que je m’habitue aux mœurs débridées, mais tellement belles de ces deux lascars. Claire elle avait à peine relâché ses gestes sur mon sexe et me voilà qui commençait à rebander. Je lui caressais les seins. Quelle peau agréable ! J’adorais jouer avec ces masses molles et fermes à la fois, les prendre un par un à pleines mains, les rassembler, mouiller et jouer avec les tétons…
Ce genre d’invitation ne se refuse pas ! Je grimpais sur la table, ceinturais son torse avec mes cuisses. Elle avait humidifié l’espace entre ses seins. Je plaçais mon sexe et elle attrapa ses seins qu’elle serra autour. Je reprenais de la vigueur et commençais des allers retours très agréables. Je m’avançais pour qu’elle puisse lécher mon sexe, recommençais mes mouvements…
Je baissais mon visage à la rencontre du sien et c’était parti pour un long baiser langoureux. La table se mit à bouger. Georges avait abandonné les crèmes, celle de sa femme et la chantilly, et pilonnait maintenant à une bonne vitesse de croisière. Je sentis bientôt une main se balader entre mes jambes, sur mes couilles et s’engager encore pour saisir mon sexe bien dur maintenant. Puis une langue ferme entreprit une petite feuille de rose sur mon anus qui aimait beaucoup. J’avais bien fait de rester à quatre pattes pour ce baiser.
Georges m’appelait à venir le rejoindre. Le temps que je descende, il disparut dans la salle de bain et revint avec un tube de pommade. Il me montra le petit trou de Claire et me fit signe de la lécher pendant qu’il lui relevait les jambes. Très agréable à faire ! Claire bougeait son petit cul. Elle ne semblait pas insensible.
D’une main ferme, Georges écarta ma tête et posa un gros morceau d’une pommade translucide, joua un peu avec le petit œillet et me fit signe de continuer. Il me fit signe aussi d’enfoncer les doigts, ce que je fis. Claire bougea, descendit de la table et après m’avoir embrassé et fait un large sourire, elle se mit par terre à quatre pattes. Georges m’attrapa par le sexe, me fit mettre à genoux et fit rentrer mon sexe dans le vagin de Claire. Quel bonheur ! Je bougeais lentement, me délectant de chaque centimètre. Georges, de temps en temps, me poussait sur les fesses ou m’attrapant par les hanches me faisait bouger plus vite en riant.
Il passa ses deux mains entre Claire et moi et me fit sortir. Il se saisit à nouveau de mon sexe et le positionna sur le trou du cul de Claire, le tenant bien fermement en main en me caressant les couilles de l’autre main. Devant moi, le postérieur magnifique s’amusait de mon gland. Son sexe était aussi très beau vu de l’arrière, très bombé, fendu comme un abricot. Elle poussa et d’un coup mon gland disparut dans ce si petit trou. « Humf… » fit-elle en stoppant. Pas longtemps. Elle reprit la poussée et engloutit mon sexe en entier, chassant la main de Georges qui se mit à me caresser les fesses. Il reprit le tube, s’en badigeonna le sexe et me renfonça un doigt dans le cul.
C’était très bon. Je commençais à bouger, ressortant pour retourner très vite faire disparaître mon barreau dans ce joli petit trou. Beau à voir, j’aimais beaucoup regarder.
À genoux il se dirigea derrière moi et, après quelques minutes, comme j’étais le sexe complètement enfoncé dans le cul de Claire et que je m’étais avancé pour lui caresser les seins, il commença à pousser et je le sentis entrer doucement, inexorablement. Une poussée lente et ferme. Je ne savais pas trop si j’aimais ou pas. En tous les cas, je ne pouvais pas dire que ça me faisait mal. Il se mit alors à jouer de mon corps et de son sexe. Il sortait son cep de mon cul et tirait sur mes hanches, ce qui me faisait donc sortir du cul de Claire pour m’empaler sur le barreau de Georges. Il poussait et je m’enfonçais donc en Claire et m’éloignais de Georges ! Je me prêtais à son jeu un moment. Claire pas toujours d’accord sur le rythme provoquait quelques contretemps.
Mon désir devint plus impérieux et je pris de l’autonomie, bougeant quand je voulais, dans le sens que je voulais. Claire avait repris une sorte de « Vas-y, vas-y » dont sans doute le plaisir déformait la prononciation et qui ne ressemblait plus à grand-chose. Je défouraillais deux ou trois fois, Georges aussi eut quelques sorties incontrôlées, mais le rythme devint de plus en plus rapide et je crachais mon sperme quelques secondes avant Georges tandis que Claire faisait des sons qui auraient pu faire penser qu’elle pleurait. Les mouvements de son cul m’indiquaient le contraire et encourageaient plutôt mes assauts. La sensation du sperme me remplissant le cul fut très agréable, même dans ce tumulte.
Claire se laissa tomber ventre à terre, se retourna, me fit signe de venir en 69. Nous nous léchâmes comme pour apaiser nos chairs. Le reste de notre énergie, nous le passâmes à discuter tranquillement en buvant le champagne que j’avais vu et pas encore goûté. Je dormis dans leur lit, énorme, et me sauvais pour prendre mon service le lendemain alors qu’ils dormaient encore.
Je ne les revis pas le lendemain. Ils passèrent un week-end deux ou trois semaines plus tard. On se fit quelques coucous discrets, mais rien de plus. Puis, ils revinrent quelques jours. Dès le premier soir, ils me firent signe. Je vins leur parler.
Claire vint m’ouvrir quand je frappais à 21h 30 précises. Elle me retint dans le petit sas d’entrée et m’embrassa à pleine bouche les mains très baladeuses plongèrent dans mon pantalon, sous mon t-shirt. Quelques secondes eurent raison de ma retenue et moi aussi je me baladais sous sa robe et découvrais qu’elle n’avait ni culotte ni soutien-gorge. Comme quoi, une robe simple et neutre pouvait cacher bien des choses. Et c’est les vêtements dans un drôle de désordre que nous entrions dans la chambre.
Chambre salon devrais-je dire. Et je fus un peu déçu de voir Georges assis dans un fauteuil à discuter avec deux autres couples.
Claire se leva et me fit signe de la suivre. Nous avons préparé de quoi amener pour l’apéro et elle me dit de ne pas m’inquiéter, que nous allions bien nous amuser. « Quand ils seront partis » pensais-je. Nous posions nos bouteilles et gâteaux sur la table basse et retournions nous asseoir. Je ne faisais pas trop attention à la discussion. Assez vite Claire se mit à me caresser la cuisse. D’abord assez discrètement puis de plus en plus franchement. Malgré la gêne que ça me procurait, et parce qu’en plus les caresses devenaient de plus en plus précises, je commençais à bander.
J’essayais de me calmer en regardant les invités. Les deux femmes étaient assez mignonnes. 40 ? 50 ? Je ne sais pas. Une petite boulotte, mais très craquante, vive, gourmande sûrement. L’autre un peu trop fausse blonde à mon goût, mais assez mignonne avec les cheveux ramenés en faux chignon avec une grosse barrette. Jupes assez courtes toutes les deux, et pour la boulotte, un t-shirt qui lui moulait bien des seins assez gros qui semblaient tout ronds. Tout ça ne me calmait pas beaucoup !
Claire, bien sûr, s’en aperçut et me massa directement le sexe à travers le pantalon. Puis, je n’en croyais pas mes yeux, ou mes sensations parce que je ne regardais pas cet endroit précis évidemment, elle entreprit de baisser la braguette du pantalon. Avec une main, c’est pas évident ! Mais elle y arriva, se fraya un passage, saisit ma verge et la sortit. Je voyais les uns et les autres continuer à discuter et se tourner régulièrement vers nous. Je ne peux pas dire qu’ils semblaient choqués ou quoi, mais ils détournaient le regard quand il croisait le mien.
Elle se mit à quatre pattes, souleva sa robe en se la rabattant sur le dos. Quel beau cul ! Je donnais un coup d’œil circulaire. Il me semblait que les femmes étaient plus amusées par la tournure des choses que les hommes. Ils étaient aussi plus passionnément impliqués dans la discussion.
Merde après tout ! On est chez eux, elle sait ce qu’elle fait. Je plongeais mon visage entre ses fesses. Quel plaisir de retrouver ces rotondités, ces odeurs ! Un « Humf… » désormais connu me dit qu’elle avait aussi senti la connexion. Elle avançait doucement, s’arrêtait, collait son buste au sol pour bien faire ressortir son cul que je puisse bien la lécher, reprenait son avance et faisait le tour des invités, passait entre eux… Lors d’un passage, une main saisit ma bite qui me pendait entre les jambes au travers de ma braguette. Je crois que c’était une main de femme. Je me serais bien arrêté, mais j’étais comme aimanté par le cul de Claire.
La discussion avait de plus en plus de moment de silence et j’entendis un homme dire :
Une femme répondit par l’affirmative en précisant à son homme :
Alors que nous passions près d’une des deux femmes, Claire se retournant me dirigea entre les jambes qui s’ouvrirent comme par magie. Magie aussi sans doute le fait que le postérieur vint à ma rencontre s’asseoir sur le bord, confortable, de la chaise. Chouette, c’était la petite boulotte. Ce ne fut pas le « Humf… » de Claire, mais c’était quand même un soupir de satisfaction qui m’accueillit. Changement de peau, d’odeurs, de façon de réagir.
La femme se leva, troussa sa robe enleva sa culotte et se rassit. Je jetais un coup d’œil circulaire pour voir ma Claire, bien chauffée par mes soins, la bite d’un des hommes enfoncée en elle et la bouche autour du sexe de l’autre invité assis qui passait tour à tour son regard sur tout cela sans oublier sa femme qui avait la tête de Georges entre les cuisses. Ça ne lui suffit pas, elle se leva à nouveau et se dirigea au centre de la pièce sur le tapis. Elle fit voler ses habits. Et s’allongea sur le dos regardant si je la suivais. Elle était vraiment mignonne avec un petit sourire gourmand qui me plaisait bien. Je m’empressais aussi de faire voler mes habits.
Je m’allongeais sur elle et nous nous jetâmes dans un baiser plein de fougue. Elle nous fit rouler, se dressa sur ses bras, me regarda toujours avec ce sourire et plongea sa main vers ma bite qu’elle malaxa sans retenue. À mon tour, je nous fis tourner, me dressai sur les bras, la regardai et plongeai mon visage entre ses seins que je léchais avidement. Hum, ces seins ronds et épais me plaisaient. Je continuais à descendre et plongeai entre ses jambes qu’elle redressa comme si j’avais touché un ressort. Je lui attrapais les cuisses, remontais encore plus ses jambes en les écartant et promenais mon nez et ma langue de son clito à son trou de balle, mignon comme tout, assez sombre par rapport au reste de sa peau. Je remontais à nouveau vers son visage, mais ne m’arrêtais qu’en ayant mon sexe au-dessus de son visage.
Je remontais mes pieds autour de sa tête et, le corps appuyé sur mes cuisses je me tenais accroupi au-dessus de son visage. Elle pouvait à loisir me malaxer l’engin, tout tendu qu’il était, et le lécha aussi partout n’oubliant aucun repli. Sa langue savait se faire dure pour titiller mon petit trou. Divin. Je replongeais vers son sexe, cette fois-ci en 69.
Je sentis du mouvement à côté de nous. C’étaient Georges et l’autre dame qui s’installaient à quelques centimètres dans la même position que nous. Nus tous les deux. J’avais mal jugé cette dame, elle était belle, toute longiligne, des petits seins pointus, tout coniques. Georges, au bout de quelques minutes, me tapota l’épaule, me proposant de changer de partenaire. J’aimais bien celle-ci, mais… ce fut fait. Et avant de savoir quoi que ce soit de cette femme, je me retrouvais le nez dans son cul, qu’elle avait fort agréable tant au niveau de l’odeur que du dessin, et elle me léchait la bite. Nous parlerons tout à l’heure.
Je découvrais un clito tout long ! Une mini bite ! Elle aimait bien que je l’aime et la lui lèche. Elle prenait mes couilles une par une dans sa bouche et me massait le gland avec ses doigts qu’elle mouillait régulièrement, c’était très bon. Georges avait dû trouver ça rigolo et proposa de changer plusieurs fois. Les deux hommes avaient changé de sens aussi autour de Claire qui se faisait pénétrer par celui qu’elle léchait avant qui ne s’était même pas déshabillé.
Dans un des changements, les deux femmes se mirent à quatre pattes, tête-bêche et je m’empressais de rejoindre la petite boulotte et de lui enfoncer mon dard d’un seul coup.
Je restais planté là, la saisis par les hanches et pris du plaisir à écraser ses fesses rondes contre mes hanches en tournant doucement. Je la voyais qui regardait la bite de Georges s’amuser à l’entrée de la grotte de l’autre femme qui avait, elle, les yeux rivés sur nos fesses. Elle détacha une main du sol et s’amusa avec mes couilles. J’écartais un peu les jambes pour agrandir son terrain de jeu.
On entendit un gros râle bien grave, c’était le gars qui pénétrait Claire. Il avait pris son sexe, de belle taille, en main et crachait sa purée sur le postérieur de Claire. Elle resta docilement jusqu’à la dernière goutte et vint nous rejoindre en restant à quatre pattes et à reculons. Quelle vision ! Elle se posta devant la petite boulotte que je pilonnais toujours consciencieusement et qui avait quitté des yeux les jeux de Georges pour voir ce beau cul venir jusqu’à elle et entreprit un nettoyage batifolage dans ce cul magnifique qui ondulait de plaisir. Moi je ne bougeais plus trop parce que cette vision allait m’amener vite à l’inexorable.
Y’avait pas vraiment de réponse, juste une sorte de roucoulement.
Et Georges se retrouva dehors pendant que Claire prit les fesses à pleins bras et se mit à lécher la belle petite chose qu’elle venait de décrire.
Georges prit, lui, le chemin de la bouche d’à coté, qui ne demandait que ça de toute façon et se mit à le lécher avec force bruits. Claire avait remplacé sa langue par un doigt.
Claire, sans enlever le doigt du cul, se mit sur le dos, la tête dans l’entrejambe susnommé et la fit descendre sur sa bouche. Elle n’y allait pas de mains mortes. Je vis la tête de ma voisine se relever et j’avais presque face à moi un visage complètement déformé par le plaisir qui montait, la bouche grande ouverte elle semblait chercher l’air.
Je ne me le faisais pas dire deux fois et me dirigeais vers ce cul chauffé à blanc. Claire m’attendait, me prit le sexe trempé de mouille et le posta sur la petite rondelle qui vibrait toute seule. Sans attendre, elle me poussa un grand coup sur les fesses et je me retrouvais tout entier dans le joli cul de cette dame. Là le « Hummf » on l’a fait tous les deux ensemble !
Claire partit en courant, faillit se télescoper avec le bonhomme qu’elle léchait avant de nous rejoindre et qui avait bien vu qu’il y avait un trou de libre et voulait s’y promener un peu. Elle revint avec deux coussins qu’elle mit entre les jambes de notre amie, écarta les miennes, se glissa entre elles, ceintura les fesses que j’enculais et me dit « A fond » en plongeant son nez, sa bouche, ses dents, joues, yeux vers le clito - petite bite.
Elle était à fond en effet. Sa tête bougeait en tous sens et faisait des bruits incroyables. Georges qui aimait beaucoup enculer, s’était déplacé autour de la boulotte et avait la langue enfoncée à préparer le terrain. Le pauvre autre bonhomme avait donc pris sa place en bouche de cette boulotte qui écarquillait les yeux, la bouche déformée par le chibre qui bougeait en elle pour regarder ma queue écarter la rondelle de sa copine.
Je ne suis pas sûr que notre boulotte avait tant que ça l’habitude d’accueillir ses amants par là. Les yeux étaient au bord des orbites et si Georges rentrait trop vite ils risquaient de tomber par terre. Elle ne pouvait rien dire parce que le sexe qu’elle avait dans la bouche était très actif et la ramonait par là aussi. Georges alla doucement et s’enfonça délicatement. Il fit deux ou trois allers-retours calmement.
Je lui emboîtais le pas. Je n’allais pas tenir longtemps. Je sentais le visage de Claire sous moi et quand je reculais mes couilles se frottaient sur ses seins. Je traînais parfois sur cette étape en bougeant de gauche à droite, elle s’en aperçut et prit ses seins à deux mains et les frotta contre mes fesses et mes noisettes. Quand je m’enfonçais, je sentais le fourreau de ma belle qui vibrait en tous sens, vibration activée par les succions de Claire. Tout fut déclenché par l’homme que Boulotte suçait. Elle devait lui faire subir le plaisir que les grands coups de Georges faisaient monter en elle.
Il l’avait attrapée par les deux oreilles et se mit à gueuler des « Oh putain ! » à répétition en bougeant le cul et en lâchant tout dans la bouche, active, elle aussi. Boulotte soufflait comme un bœuf, par le nez puisqu’il ne lui restait que ça. « Pareil » dit avec humour, Georges qui visiblement se mit à remplir la Boulotte. Quelques secondes avant Claire, qui décidément sentait bien les choses, avait pris mes couilles et celles de mon voisin dans les mains. Je ne sais pas si c’est cela qui l’a fait partir, mais je le suivais à quelques secondes juste avant le « pareil » de Georges. Je m’étais installé dans de courts mouvements très rapides et la femme au bout de ma queue faisait des sons discontinus avec des variations rythmiques assez affolantes.
On s’est tous affalés plus ou moins enchevêtrés sur le tapis. Je ne crois pas que l’on ait dormi, mais y’a eu un moment sans rien. Et puis ça a recommencé à bouger. C’était cette incroyable Claire qui s’était mise en mouvements, un peu comme un serpent ou en roulant par terre et sur les corps. Et là y’a eu un moment rigolo ou sans un mot tout le monde s’est mis à bouger comme elle l’avait fait et du coup on passait de dessus à dessous et d’une bite à une bouche, d’un joli sourire à une fente humide. C’était aphrodisiaque. D’ailleurs les queues que l’on croisait étaient de moins en moins molles.
On a fini cette folle soirée sur le balcon. Claire a descendu les stores des côtés et elles se sont toutes les trois accoudées en regardant la mer. Nous les hommes, hormis celui qui était en costumes qui ronflait sur le canapé, juste la bite sortie de sa braguette, on se baladait entre elles très délicatement, presque sobrement. On léchait un cul, on trempait notre petit biscuit dans une cramouille, on se mettait à participer à la discussion.
Tout cela a duré pas loin de deux heures et ça m’a permis de me vider les couilles dans chacune des femmes. À fond dans la Boulotte qui me plaisait décidément beaucoup. Très amoureusement dans Claire qui trouve toujours un petit truc piquant. Là ce fut de dire à Boulotte de me lécher les couilles pendant nos ébats. Pour l’autre, je me suis activé pendant qu’elle racontait une histoire, apparemment rigolote, en se passionnant dans son récit. J’ai explosé alors que tout le monde se mettait à rire. Je ne sais pas ce qu’elle a ressenti, mais ça l’avait sans doute chauffée parce qu’après elle a fait du charme à Georges jusqu’à ce qu’il s’encastre en elle et la secoue jusqu’au cri que Claire a couvert en mettant la bouche de la jouisseuse entre ses jambes.
Cette petite discussion sexuée était charmante. Parler de tout et de rien et se retrouver l’instant d’après le nez dans le cul d’une de ces jolies dames était tout à mon goût. C’est comme ça que j’appris qu’en fait, Georges et Claire savaient par des connaissances communes que leurs amis ou connaissances plutôt, étaient échangistes sans qu’eux sachent qu’ils étaient au courant. Ça leur avait donné l’idée de monter cette petite mise en scène qui m’avait mis bien mal à l’aise au début !!