n° 12947 | Fiche technique | 22494 caractères | 22494Temps de lecture estimé : 13 mn | 23/10/08 |
Résumé: Sylvie et Vincent se retrouvent en début de matinée, pensant qu'Éric dort encore. Celui-ci assiste, dans l'embrasure de la porte, aux jeux auxquels son ami Vincent soumet sa femme. | ||||
Critères: fhh jalousie fmast fellation fgode fdanus fsodo jouet | ||||
Auteur : Eric4275 |
Épisode précédent | Série : De surprise en surprise Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Nous restons là, quelques minutes, à ne rien nous dire. Sylvie se baisse pour ramasser son chemisier et se «vêtir» à nouveau.
Sylvie se lève, le chemisier ne cachant que la moitié de ses fesses.
Sur ces entrefaites, Sylvie rentre dans le salon avec un plateau bien garni.
Sylvie s’est assise par terre, entre Vincent et moi, alors que nous sommes sur la banquette. J’adore voir ses seins un peu emprisonnés dans le chemisier. Je m’aperçois que je ne suis d’ailleurs pas le seul à apprécier le spectacle. Je ne peux pas cacher mon excitation.
Sylvie ne dit rien et sirote son jus d’orange. Le premier, Vincent déboutonne à nouveau son chemisier. Il déplace le pan de celui-ci pour découvrir une partie de la poitrine de Sylvie. Celle-ci ne dit rien. Il joue avec son téton, il a compris l’extrême sensibilité de madame. Vincent a le sourire. Il se penche vers Sylvie et lui chuchote à l’oreille. Sylvie se lève et quitte la pièce.
En disant cela, je me rends compte de l’incongruité de mes propos.
Vincent est parti le premier. Je le suis une minute après. Je m’arrête dans l’embrasure de la porte. Il tend un masque de sommeil à Sylvie, qui l’ajuste sur son visage. Malgré la pénombre, je remarque sur mon bureau un petit sac que je connais bien. Un spasme me tord l’estomac et les intestins.
Il s’agit du sac où nous rangeons les deux godes que nous avions achetés, mais dont nous nous sommes très peu servi, car finalement peu à l’aise avec ces objets.
Je suis sidéré. Sylvie a sorti elle-même le sac. Vincent l’ouvre maintenant. Il sort le premier gode en arborant un sourire carnassier. Il s’agit d’un modèle manuel, assez souple mais trop gros (22 sur 7). Sylvie est toujours assise en tailleur sur le lit.
Aucun commentaire.
Vincent teste la souplesse du gode en souriant. Il l’approche de la bouche de Sylvie et lui force un peu les lèvres. Elle les entrouvre et finit par prendre l’objet en bouche. Je sais qu’elle n’aime pas trop cette matière. Je ne vois pas bien l’intérêt de ce jeu. Vincent a doucement retiré le gode et présente son sexe à Sylvie.
Aucun commentaire de ma douce, mais sa bouche aspire consciencieusement puis lèche le gland de Vincent et descend le long de son membre. De la même manière qu’avec le gode, Vincent s’est rapidement «retiré» pour s’asseoir à côté de Sylvie. Il lui retire son chemisier et commence à lui tâter les seins. Il les lèche abondamment, ce qui rend de nouveau Sylvie complètement folle. Elle se redresse pour suivre la bouche de Vincent et les lui offrir au mieux.
D’un coup net, celui-ci s’arrête de la toucher et la laisse au milieu du lit. Avec toujours son masque sur le visage, elle cherche à tâtons une main, une langue.
Je n’en crois pas mes yeux. Sylvie s’allonge sur le dos, retire sa culotte et empoigne le gode. Elle écarte les jambes et passe et repasse l’objet sur son sexe. Elle le manipule lentement. Ses seins même en position allongée paraissent énormes. Le silence est total dans la pièce. À cet instant, Sylvie n’a pas l’air de se soucier de savoir si je suis là ou pas. Je vois son corps se crisper, sa bouche s’entrouvrir. Son plaisir monte doucement. D’un geste vif, Vincent lui retire le gode.
Sylvie se met en position très rapidement. Vincent lui appuie légèrement sa main sur le dos pour qu’elle se cambre davantage. Ce faisant, Sylvie relève les fesses dans une position presque indécente, les seins qui ballottent. Vincent se présente derrière les fesses de Sylvie, il me sourit. Il se saisit du gode et me fait signe de me rapprocher. Il me le met dans la main et me guide vers le vagin de Sylvie. Je présente l’objet et le fais pénétrer très doucement.
Elle n’imagine même pas que c’est moi qui le manipule.
Ce faisant, il lui caresse les seins et vient prendre ma place dans la tenue du gode. Il progresse lentement, fait aller et venir l’objet très doucement. À chaque avancée, elle souffle un peu. Je vois son visage se crisper.
Ses petits gémissements accompagnent les va-et-vient de l’objet. Elle est maintenant complètement trempée et le gode glisse sans aucun problème. C’en est même impressionnant. Vincent arrête le mouvement. Sylvie geint.
Vincent sourit toujours et se positionne derrière Sylvie. Il lui retire le gode. Son sexe est bien dilaté, béant et le haut de ses jambes est recouvert de son jus. Il plonge deux ou trois doigts dans sa chatte. Il les ressort trempés et lui glisse l’index dans l’anus.
Vincent enduit ses doigts de salive et réintroduit un doigt dans l’anus de Sylvie. Il pratique des mouvements concentriques et lui travaille l’anus délicatement. Puis c’est un deuxième doigt qui rejoint le premier.
Vincent me fait signe de me rapprocher et de prendre le gode plus mince et très effilé. Je suis là, à côté de lui, avec cette étrange impression de le voir remuer dans l’intimité de Sylvie. Il se retire d’elle et prend ma main pour que je puisse constater à quel point Sylvie est trempée aussi bien dans son intimité que sur l’intérieur de ses cuisses. Sylvie ne bouge pas et reste le cul en l’air.
Je lui introduis le gode avec étonnement. Je progresse de quelques centimètres pas plus. Je n’aurai jamais osé ce geste avec elle. Je suis de côté et ma manœuvre est facile, même si les coups de boutoir de Vincent rendent le tout un peu instable.
Sylvie jouit comme jamais, gémissant, criant. Elle finit par s’affaler sur le lit les jambes encore tremblantes. Elle respire profondément, toute luisante de sueur.
Vincent s’allonge auprès d’elle. Nous reprenons notre respiration quelques minutes sans rien nous dire. Il me semble que Vincent n’a pas joui. Sa main guide gentiment le visage de Sylvie vers son sexe.
Elle lui nettoie littéralement le membre, les bourses. Elle le lèche comme une reine alors qu’il soupèse encore ses seins. Elle le lèche du bas des jambes jusqu’au torse, en prenant bien soin de l’effleurer du bout de la poitrine ou de lui mettre ses seins sur le visage.
Vincent a beau être résistant, il ne tient que quelques minutes d’un traitement pareil. Son corps s’arc-boute légèrement. Contrairement à ce que je pensais, Sylvie le garde en bouche et prend bien soin d’avaler et de déglutir ce qui me semble être une éjaculation importante.
Sylvie me jette un regard coquin au passage mais j’ai du mal à lui sourire. Je ne sais pas pourquoi mais la voir avaler le sperme de Vincent me choque un peu. Je me vois mal en parler maintenant à l’un des deux.
À ce moment, Sylvie fait son apparition dans la chambre, habillée d’un grand t-shirt très sobre. C’est Vincent qui prend la parole en premier.
Vincent referme la porte de la chambre. J’envisage à cet instant de parler un peu avec Sylvie. Je passe à la salle de bains. À mon retour, Sylvie s’est déjà endormie et je m’écroule de la même manière.
Il est 9 h du matin et je suis réveillé par l’étrange sensation d’être seul dans notre lit. Je me dis que Sylvie s’est déjà levée et doit déjeuner. Cela dit, je n’entends aucun bruit dans la cuisine.
Je me lève donc discrètement et progresse dans le couloir qui mène à l’entrée. De là, j’entends un léger bruit, comme un soupir, qui vient de la chambre où dort Vincent. La porte est suffisamment ouverte pour que j’assiste au spectacle sans pour autant être visible.
Vincent est assis contre la tête de lit (au fond de la pièce), les jambes écartées. Sylvie, habillée uniquement d’une culotte, a la tête entre ses jambes et le suce le plus méticuleusement du monde. Je pourrais dire aussi le plus profondément possible. Vincent lui caresse les cheveux et l’encourage d’un geste à le prendre en bouche jusqu’à la garde. Tout doucement Sylvie parvient à le prendre complètement dans sa bouche, puis revient sur le gland.
Je la regarde reprendre son butinage, lui prendre son sexe dans la main, le lever et descendre son visage pour bien le lécher au niveau des testicules. Je vois Vincent enduire ses doigts des deux mains de salive et commencer à masser les mamelons de Sylvie. Elle essaie de se dégager un peu tant ces caresses la mettent en transe. Sylvie relève la tête.
Sylvie se lève et se tient face à lui. D’un geste délicat, Vincent lui baisse la culotte jusqu’aux genoux et lui met la main sur le sexe.
Je le vois fouiller le sexe de Sylvie.
Sans mot dire, Sylvie se retourne pour lui montrer son postérieur.
Je suis soufflé de voir Sylvie s’exécuter de la sorte, comme je suis surpris d’entendre le ton ferme de Vincent ; lui qui parle toujours d’un ton très doux. Il se lève et lui rapproche une chaise.
Sylvie s’étant déplacée au centre de la pièce, ma visibilité est bien meilleure. Je crois qu’il ne me faudrait pas grand-chose pour éjaculer sans même me toucher.
Vincent tourne lentement autour Sylvie. Il lui caresse les fesses, l’effleure de son sexe en érection.
Il s’agenouille et se place sous les seins de ma belle. Il se met à les lécher, les gober, les malaxer. Sylvie soupire le moins bruyamment possible. Vincent lui fait du bien…
Il se relève et se replace derrière Sylvie.
Ses jambes tremblent. Vincent s’arrête et dégage ses doigts. J’aperçois son visage crispé par le plaisir.
Quelques secondes passent, Vincent caresse les fesses de Sylvie du plat de la main. Elle a le souffle court. Les doigts de Vincent effleurent maintenant son sexe. Chaque frôlement la fait se contorsionner. Elle se cambre encore plus, jusqu’à être dans une position vraiment indécente. Vincent comprend le message. Il reprend sa masturbation mais avec quatre ou cinq doigts, je n’ose dire la main. Sa progression est très lente mais chaque millimètre gagné arrache des gémissements à Sylvie. J’ai l’impression que son corps ondule au gré des mouvements de la main de Vincent.
Après deux à trois minutes de ce traitement, Sylvie est littéralement secouée par une onde choc, un spasme violent. Elle se relève et se maintient au bras de Vincent. Sa main se porte à sa tête dans un geste qui signifie un grand vertige. Vincent l’aide à s’asseoir sur le lit puis à s’y allonger. Quelques minutes passent avant qu’elle ne retrouve complètement ces esprits.
Sylvie lui répond par un soufflement, encore occupée à reprendre ses esprits. Vincent reste assis à côté d’elle, ne cachant pas son érection. Il lui prend la main pour la poser sur son sexe. Sylvie reste sans réaction mais arbore néanmoins un petit sourire. Vincent se relève et pose littéralement son sexe sur le visage de Sylvie.
Sylvie s’était redressée et assise sur le lit.
À peine la phrase terminée, je fais demi-tour le plus discrètement possible. Ce que je viens d’entendre me stupéfait. J’ai juste le temps de me remettre dans le lit et de faire semblant de dormir.
Sylvie rentre très discrètement et s’allonge tout doucement. Elle aura été finalement très proactive, voire plus que je ne l’imaginais. Un quart d’heure plus tard, je fais mine de me réveiller et sors discrètement de la chambre.
J’arrive à la cuisine et mets les bols sur la table. J’entends des pas dans le couloir. C’est Vincent qui se lève également.
Pas de regard entre eux. Gonflé quand même, le Vincent, de faire comme si rien ne s’était passé une heure plus tôt, alors qu’il masturbait Sylvie sans ménagement. Sylvie allait-elle obéir à l’injonction de Vincent ? «Baisser son caleçon, le prendre en bouche et le sucer lentement» ? Si Sylvie s’exécute, cela signifie que Vincent a pris l’ascendant. Je vais me lever comme ça, je serai fixé.
Je me lève pour l’attraper dans le placard au-dessus de la table. Vincent croise le regard de Sylvie. Cruel suspense. L’idée de sentir les mains de Sylvie baisser mon caleçon et la suite m’excite au plus haut point, mais ce que cela signifie sur notre relation avec Vincent m’effraie également. Je fouille le placard faisant mine de chercher.
J’attends, mais rien ne sa passe… Je me rassois, soulagé.
En fin de matinée, Vincent a pris son train.
Quelques semaines plus tard, j’ai eu une conversation avec lui et d’un commun accord, nous avons convenu de ne pas donner suite à ce type de rencontres, du moins à court terme. Je ne lui ai rien demandé et lui ne m’a rien dit sur le début de matinée.
C’est ainsi que prend fin cette première expérience sympathique et exaltante, mais dont les effets secondaires ne sont pas toujours évidents à gérer.