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Temps de lecture estimé : 8 mn
21/11/08
Résumé:  Après Patricia, Laurence découvre Agnès, femme mariée.
Critères:  ff telnet fdomine cunnilingu attache yeuxbandés -initff
Auteur : Pages      

Série : Découverte de l'amour au féminin...

Chapitre 02 / 03
Agnès

Cette première rencontre avec Patricia m’a bouleversée. Nous avons découvert ensemble les plaisirs saphiques. Jamais un homme n’a su me faire jouir à ce point. Suis-je devenue lesbienne ou étais-je déjà une lesbienne latente ? Je m’endors en pensant à Patricia et à notre après-midi d’amour. Je respire son odeur dont mes draps sont imprégnés et m’endors en rêvant à elle…


Dimanche, je me lève tard comme j’aime le faire. Petit déjeuner, lecture, douche et me voilà fin prête. J’ouvre enfin mon ordi. Pas de message de Patricia, cela me rend morose. A-t-elle seulement réalisé son fantasme ? Aura-t-elle envie de me revoir ? J’aimerais la serrer dans mes bras, l’embrasser, la caresser et lui faire l’amour. Sa peau d’ébène et son odeur me manquent. J’ai envie de sucer son sexe, de la voir et l’entendre jouir.


Un nouveau message en réponse à mon annonce :


Femme mariée la trentaine, bi, aimerait vous rencontrer. Je suis disponible ce week-end, mon mari étant absent pour raisons professionnelles. Voici mon tél : …


Elle ne manque pas de culot cette nana, je ne suis pas là pour remplacer les absences de son mari. Après tout, je pourrais peut-être occuper mon dimanche après-midi, en faisant d’elle mon jouet de quelques heures.


Au téléphone, c’est une voix agréable qui me répond. Nous discutons quelques minutes et je lui dis que le mieux serait de se rencontrer pour faire connaissance. Rendez-vous est pris pour dans une heure.


Juste le temps pour moi de faire un peu de rangement et c’est vêtue d’un kimono de soie blanc que je lui ouvre la porte. Je découvre une jeune femme blonde, les yeux verts, mince avec un sourire agréable, une petite bourgeoise vêtue d’un tailleur blanc montée sur hauts talons.


Je la fais entrer, elle prend place sur le fauteuil et moi sur le canapé. Je lui propose un rafraîchissement qu’elle accepte. En allant chercher les jus de fruits, je prends la décision de profiter de ce jouet fort agréable.


Je rejoins le salon, pose les verres sur la table en prenant soin de me pencher afin d’offrir mes seins à sa vue. Je sens son regard se poser sur ma poitrine, je me relève et m’assois dans le canapé en repliant mes jambes, mes pieds au contact de mes fesses, ma position ayant pour but de faire glisser les pans de mon kimono afin de lui faire découvrir mes cuisses. Nue sous la soie, je sens la pointe de mes seins durcir à son contact et mon sexe s’inonder sous le regard d’Agnès qui ne me quitte pas des yeux.


Lorsque je croise son regard, je remarque que ses joues rougissent et, pour augmenter sa gêne, je la complimente sur son physique. Je prends plaisir à la dominer, décidée à mener le jeu. Je regarde ses jambes fuselées et bronzées. Elle est très attirante, mais malgré le feu qui couve en moi, je me délecte de chaque minute qui passe, ne voulant rien précipiter.


Je lui demande si elle a déjà fait des rencontres via le site et elle me répond que je suis la deuxième. Afin d’entretenir son embarras, je lui demande de me raconter sa première rencontre. Ses joues rougissent et je la sens gênée. Elle finit par m’avouer que la femme ne lui plaisait pas et qu’elle avait refusé tout contact physique. En fait, il ne s’est rien passé. Je lui rétorque en la regardant droit dans les yeux :



Un « lève-toi et déshabille-toi ! » sort de ma bouche, d’un ton autoritaire. Sans y croire, je la vois se lever et déboutonner le haut de son tailleur, qu’elle pose sur le fauteuil, bientôt rejoint par sa jupe. Je me délecte à découvrir son corps pendant qu’elle enlève son chemisier. Sa poitrine est plus volumineuse que la mienne et son galbe fessier superbe. Mon bas-ventre est en feu mais je ne laisse rien paraître.


Agnès me regarde timidement, je la contemple sans rien dire. Elle passe les mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge et laisse apparaître deux seins en forme de poire qui pointent fièrement. Mon Dieu, elle est magnifique !


Je tire sur la ceinture de mon kimono dont les deux pans s’écartent laissant apparaître ma poitrine et mon sexe glabre. Nous nous regardons avec passion. Je me lève et viens me placer derrière elle, plaquant mes petits seins contre son dos, position que j’avais particulièrement aimée avec Patricia. Je sens la chaleur de son corps. Mes doigts glissent lentement sur ses hanches à la rencontre de son string qui bientôt repose sur le sol.


Dans la grande glace du salon, je regarde son sexe surmonté d’une toison blonde, taillée en ticket de métro. Son ventre est plat et musclé. Son corps est vraiment parfait et désirable.


Une vague de cyprine inonde mes lèvres pendant que l’incendie se propage dans mon corps. Mes mains viennent se plaquer sur ses seins dont je pince les pointes. Agnès soupire de plaisir. Je lui malaxe longuement les tétons en lui étirant les extrémités. Elle gémit et ses fesses viennent se plaquer contre moi. La chaleur de nos corps se mélange.


Peur ou désir, mais je la sens trembler. Je l’embrasse dans le cou tout en faisant glisser mes mains sur son ventre à la limite de son pubis, en jouant avec ses poils blonds. Mes doigts progressent sur l’intérieur de ses cuisses en effleurant son sexe. Agnès laisse échapper des petits soupirs et je sens sa respiration s’accélérer. Je me grise de son parfum et me délecte de la douceur de sa peau.


Ses bras pendent le long de son corps, elle n’ose rien tenter mais savoure son plaisir. Je lui propose sur un ton langoureux :



Agnès se retourne, le feu du désir brille dans son regard. Alors qu’elle ouvre la bouche pour répondre à ma question, je place mon index dessus pour lui interdire de parler. Je prends mon jouet par la main et me dirige vers la chambre. Je quitte mon kimono et j’attrape un foulard que je passe devant ses yeux et noue derrière sa tète. Elle ne se défend pas. Aveugle maintenant, je l’allonge sur le lit.


Agnès est sur le dos, je tire ses bras vers le haut et, une à une, j’attache ses mains aux barreaux du lit à l’aide de deux autres foulards, avant de faire de même avec ses chevilles que j’attache aux pieds du lit. En croix, Agnès est à ma merci. Je regarde mon jouet dont la superbe poitrine monte et descend avec sa respiration.


Je m’assois à ses côtés, caresse sa joue, son cou et sa bouche. Mon sexe s’est transformé en fontaine, je sens mon liquide couler dans la raie de mes fesses. Je caresse sa douce peau, tout en me délectant du spectacle. Mes mains glissent sur sa poitrine, prenant possession de ses deux poires fermes. Agnès soupire, parfois ses dents mordent sa lèvre inférieure. Je glisse maintenant sur son ventre plat et musclé, mes doigts le parcourent à la limite de son pubis. Son bassin ondule, ses reins se creusent, sa respiration s’accélère et elle gémit sans discontinuer. Je la sens au sommet de l’excitation.


Mes mains glissent maintenant à l’intérieur de ses cuisses recouvertes d’un fin duvet blond, l’endroit le plus doux de la femme. Mes doigt effleurent ses grandes lèvres, s’égarent sur son ventre et reviennent vers ses cuisses. Je vois son sexe s’ouvrir et perler comme une rose. Je passe un doigt entre ses lèvres en remontant vers son clito et de nouveau caresse son ventre et ses cuisses.


Agnès gémit et m’implore de la faire jouir. Je dépose un baiser sur sa bouche en lui disant : « on a tout le temps… » À plusieurs reprises mon doigt glisse dans ce sexe chaud et vient à la rencontre de ma bouche, me faisant découvrir le goût de son délicieux nectar. Je repars dans mes caresses et de nouveau mon index glisse dans sa fente humide et vient se poser sur sa bouche, l’obligeant à sucer mon doigt, lui faisant ainsi découvrir le goût de son intimité. À chaque fois que mon doigt glisse entre ses lèvres, elle cambre ses reins pour avancer son sexe à sa rencontre.


Mon jouet semble prêt ! Je me mets à cheval sur elle et je plonge ma bouche dans son intimité, me régalant de l’odeur de son sexe avant que ma langue aspire ses lèvres, boive sa liqueur et joue avec son clito. J’enfile deux doigts dans son vagin et commence à la masturber sans ménagement pendant que ma bouche et ma langue travaillent son bouton de plaisir. Agnès se tord dans tous les sens comme un ver, ses soupirs sont devenus des râles de plaisir. Soudain son corps se tend comme un arc, ses muscles se contractent et sa gorge hurle son plaisir.


Pendant qu’un orgasme puissant traverse mon jouet, mes doigts et ma langue accélèrent la cadence, décidés à l’achever. Agnès, la bouche ouverte, semble chercher de l’air, anéantie par sa jouissance.


Je la détache et quand je retire son bandeau, ses yeux plein de larmes semblent me remercier. Je me blottis contre elle et ma bouche prend possession de la sienne, nos langues s’enroulent dans un baiser fougueux. Je n’en peux plus, mon sexe en pleine éruption se frotte contre la cuisse d’Agnès.


Un : « Fais moi jouir ! » sort de ma bouche suppliante. Agnès me renverse sur le dos et sa bouche découvre pour la première fois le goût d’un sexe féminin. Je sens ses doigts me remplir et ma lave couler vers mon anus. Proche de la jouissance, je sens un de ses doigts pénétrer mon petit orifice.


Les assauts de sa langue sur mon clito et la pénétration de ses doigts dans mes deux orifices provoquent l’explosion de mes sens. Je hurle mon plaisir, mon corps se tend, mes reins se creusent et mes mains s’agrippent au drap comme si elles voulaient l’arracher. Un moment intense de bonheur et un orgasme puissant me chavirent. Je voudrais que ce moment ne finisse jamais.


Quand je retrouve mes esprits, Agnès m’embrasse tout en me caressant avec douceur. Nous échangeons ainsi bisous et caresses mutuelles pendant de longues minutes. Elle me dit avoir trouvé ce moment merveilleux, compliment que je lui renvoie.


L’après-midi est très avancé quand nous quittons notre lit d’amour pour prendre une douche. Agnès s’habille, mais je confisque son string et pendant qu’elle finit de se vêtir, je la regarde en sentant le bout de tissu. J’enfile mon kimono et la raccompagne à la porte.


Arrivées dans le couloir, je la plaque contre le mur. Je l’embrasse tout en glissant une main sous sa jupe. Mes doigts prennent d’assaut son sexe et je la masturbe sans ménagement. J’ai l’impression de la violer, mais elle répond à cet assaut en écartant les cuisses afin de faciliter le passage vers son puits d’amour. Je sens son clitoris gonfler et j’avale ses cris de jouissance en l’embrassant avec passion.


Je sens la main d’Agnès se glisser sous mon kimono mais je l’arrête en prétextant l’heure avancée. Elle me dit avoir très envie de me revoir et nous nous embrassons une dernière fois. Moi aussi j’aimerais la revoir, mais le fait qu’elle soit mariée me gêne un peu, malgré l’envie folle de la posséder une nouvelle fois.


L’avenir le dira…