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Temps de lecture estimé : 10 mn
18/12/08
Résumé:  Après un petit plaisir offert par son stagiaire, un homme d'affaires ne peut s'empêcher de continuer de découvrir de nouvelles expériences.
Critères:  fh hh hbi jeunes extracon collègues grossexe gymnastiqu pénétratio -inithh
Auteur : Deralust

Série : Ma vie n'est plus la même

Chapitre 02 / 04
Je prends le contrôle

Dans la dernière semaine, mon stagiaire au corps de dieu grec m’a fait découvrir une nouvelle facette de mon appétit sexuel. Après une petite fellation à la salle de sport, nous nous sommes laissés, et je suis retourné à la maison, me remémorant les plaisirs que Charles venait de me procurer. Ce faisant, une autre érection est alors apparue sous mon pantalon, et c’est ainsi que je suis rentré, la mallette devant moi pour cacher la bosse qui déformait mon pantalon. Ma femme, venant m’embrasser pour me saluer, s’est aperçue de mon état. Elle s’est collée plus à moi encore, et a mis beaucoup d’ardeur pour un simple baiser de bienvenue.


Ce soir-là, j’étais déchainé, tout comme elle. J’étais tellement excité par les sensations vécues l’après-midi, que j’en ai fait voir de toutes les couleurs à ma femme. En me mettant au lit, je lui ai sauté dessus, je lui ai littéralement mangé les seins, ce qui n’a pas manqué de lui donner de bons tremblements, puis je suis descendu à son sexe, que j’ai léché, mordillé et englouti.

Elle est alors partie dans un orgasme comme jamais elle n’en avait eu. Elle s’est mise à trembler et à crier, enserrant ma tête de ses jambes de façon à la comprimer contre sa chatte.


Après quelques minutes d’extase, et ensuite de repos, question de revenir à elle, elle s’est mise à quatre pattes devant moi, m’invitant de son cul bien rond à la posséder. Je me suis empressé de me placer derrière elle, de poser mes mains de chaque côté de ses hanches, et d’un seul coup en la ramenant à moi, je l’ai pénétrée. Sa caverne immense convenait toujours parfaitement à mon engin. Elle a poussé un petit cri, mélangé de douleur, de surprise et de plaisir. Je lui ai laissé quelques secondes pour s’habituer à moi, puis j’ai rapidement commencé plusieurs coups de va-et-vient, imprimant la cadence de mes mains et avec mon bassin. Mes testicules venaient buter contre ses grandes lèvres alors que mon sexe coulissait gracieusement à l’intérieur du sien. Mon gland, qui écartait ses petites lèvres à chaque passage, lui donnait un immense plaisir. Quelques fois, il sortait complètement de sa fabuleuse caverne, mais d’un coup de hanches, je la pénétrais profondément à nouveau. Après une vingtaine de minutes de ce traitement, ma femme est partie dans un autre monde pour une seconde fois, j’ai senti ses parois internes se resserrer, emprisonnant mon sexe dans le sien, et après un frisson intense, qui est parti de mes orteils jusqu’à ma tête, j’ai éjaculé au plus profond de son être en criant mon plaisir.



Je ne pouvais quand même pas lui avouer que je fantasmais sur mon stagiaire depuis deux jours, et qu’il m’avait fait une fellation comme jamais elle n’avait réussi à le faire elle-même. Ça l’aurait tuée et aurait ruiné ma famille et mon mariage. Je suis peut-être malhonnête là-dedans, mais le mal que la vérité apporterait serait beaucoup plus grand que ce petit mensonge. À partir de ce moment, j’ai décidé que jamais je ne révèlerais mes petits penchants à ma femme. (À ce moment-là, je ne savais pas ce qui devait arriver quelques jours plus tard.)


Le lendemain, lorsque je suis arrivé à mon bureau, j’ai aperçu le regard insistant de mon stagiaire en passant près de lui. Ses yeux vert profond m’ont transpercé l’âme, et je me suis senti fondre alors que je renversais la pile de documents placée sur le bureau de ma secrétaire. Je me suis empressé de me confondre en excuses et d’entrer me cacher dans mon bureau. Jamais je n’avais été aussi maladroit. Alors que je venais tout juste de m’asseoir derrière le bureau, Charles est entré, un sourire radieux illuminant son visage d’ange.



Le reste de la journée s’est passé comme toutes les autres. Charles faisait bien son travail, sans laisser paraître quoi que ce soit ; cependant, pour moi, la journée n’en finissait pas. Je ne cessais de penser à ce qui pourrait arriver le soir même. J’imaginais le magnifique sexe de Charles coulissant dans ma bouche sous les jets d’eau des douches, ou son cul offert à mes coups de reins dans la salle de racquet-ball. Le soir venu, lorsque je suis entré dans les vestiaires, j’ai découvert Charles, torse nu, qui m’attendait.



J’ai alors senti Charles défaillir sous mon regard insistant. Le rouge lui a monté aux joues et il s’est empressé d’enfiler son short et son polo de sport. Ce n’est que dans la salle de racquet-ball que j’ai remarqué que ce short lui moulait complètement le paquet, et que son polo mettait magnifiquement en valeur ses pectoraux à travers le tissu. Pour en ajouter, mon stagiaire ne manquait pas une occasion de se placer devant moi en se penchant légèrement vers l’avant pour mettre en valeur ses fesses rebondies. Au fil du match, les plus minimes contacts se faisaient de plus en plus insistants. Il me félicitait à chaque bon coup en me tâtant les fesses, plutôt qu’en les tapant comme tout bon adversaire. Je me suis aussi dégourdi. Lorsque je passais prêt de lui, je lui flattais les pectoraux en lui claquant les fesses. Au départ, Charles menait largement la partie. Il était très fier de son coup et ne manquait pas une occasion de me dire que le café serait bon, très bon. Cependant, vers la fin, j’ai réussi à réduire l’avance jusqu’à même l’emporter.



C’est ainsi que nous sommes revenus dans les vestiaires et que nous sommes allés vers les douches. Charles a choisi la douche en face de moi et s’est mis à se savonner le corps de façon extrêmement provocatrice. Il ne cessait de laver, ou plutôt de caresser son sexe, qui a commencé à prendre de la vigueur. Cette vision a eu de l’effet sur mes sens et j’ai moi-même commencé à bander.



Maintenant, c’était trop tard. J’avais franchi le pas. Je me doutais de ce qui allait suivre dans la soirée. Ma femme avait un contrat et les enfants allaient à une fête d’amis. C’était ce soir ou jamais, et depuis les derniers jours, j’espérais secrètement franchir le pas et satisfaire mes pulsions toutes nouvelles.


Curieusement, il a rapidement terminé de se doucher, et nous sommes allés nous habiller. Nous avons pris chacun notre voiture et je l’ai suivi jusqu’à son appartement, situé dans une grande tour résidentielle. Lorsqu’il a ouvert la porte d’entrée, j’ai découvert un immense loft décoré de façon très masculine. Il s’est empressé d’ouvrir les longs rideaux qui tombaient du plafond, et j’ai aperçu une vue fantastique de la ville.


Alors que je regardais la cité, j’ai senti Charles arriver derrière moi. Il m’a tendu un verre par-dessus l’épaule et m’a enserré la taille par derrière. Son menton est venu se poser sur mon épaule et nous sommes restés là, tels deux amoureux, pendant quelques instants. Dans ses bras, je découvrais un nouveau genre de relation. J’étais habitué à me sentir homme lorsque ma femme était dans mes bras, mais là, avec Charles qui me surplombait en m’enlaçant, je me sentais plutôt féminine. C’est ainsi que mes sens et mes désirs ont pris le contrôle de mon corps. J’ai attrapé la tête de cet homme tout en restant collé contre son torse, j’ai cambré les hanches et je me suis mis à jouer du bassin. Je l’ai embrassé langoureusement. Je me sentais femme. Lui n’est pas resté insensible à mes provocations, et il a commencé à jouer avec mes pectoraux, de la même manière que j’aurais joué avec les seins de ma femme. Je n’en pouvais plus. Je me suis retourné, lui ai léché les oreilles en lui lançant qu’il me fasse découvrir sa chambre à coucher. Il s’est alors empressé de me faire monter les escaliers menant à la mezzanine où se trouvait sa chambre, qui surplombait tout son appartement.


Je l’ai alors forcé à s’asseoir sur son lit drapé de blanc, et j’ai commencé un strip-tease digne des plus grandes danseuses. Tout en me déhanchant, j’ai lentement soulevé mon chandail, question de dévoiler mes abdominaux bien dessinés, jusqu’à l’enlever complètement. Je me suis alors retourné et j’ai graduellement descendu mes jeans, révélant peu à peu mes jolies fesses rebondies à travers mes sous-vêtements. J’ai attendu d’être vêtu seulement de mon slip pour me retourner et m’avancer vers Charles qui, comme le dévoilait son pantalon, n’était pas insensible à ma danse sensuelle.

Je suis alors monté sur le lit de façon à ce que mon entrejambe soit à la hauteur de son visage et, tout en attrapant sa tête par derrière, j’ai appuyé mon sexe tendu à travers le tissu contre sa bouche. Il m’a alors masturbé avec sa bouche.

Lorsqu’il a voulu attraper le bord de l’élastique, pour ainsi libérer mon engin de mon slip, je me suis rapidement retiré et je lui ai fait signe de patienter. J’aimais me sentir femme devant cet homme viril qui me regardait avec un regard rempli de désir. J’ai alors baissé mon sous-vêtement, et mon sexe s’est vivement redressé au moment où il a été libéré. Je me suis retourné, dos à mon futur amant, et je me suis assis sur lui de façon à ce que mes fesses nues se retrouvent sur son sexe tendu à travers ses jeans. C’est ainsi que j’ai débuté des mouvements circulaires du bassin, frottant mon cul contre son entrejambe. Il m’a alors caressé le dos, débutant par les épaules et descendant jusqu’à mes hanches, puis mes fesses. Un grand frisson m’a alors parcouru et j’ai ressenti un désir montant dans mes entrailles. Je me suis alors aperçu que c’était le sexe de Charles frottant sur mon petit trou qui me faisait cet effet. J’ai ainsi eu le goût qu’il prenne possession de ma caverne encore jamais explorée. Je me suis retourné vers lui et il a tout de suite lu dans mes yeux mon désir.



Il s’est rapidement dévêtu et a attrapé un tube de lubrifiant. Après avoir enfilé un condom sur son sexe, qui m’a alors paru beaucoup trop gros, il m’a fait mettre à quatre pattes, le cul relevé dans les airs. Ainsi offert, j’anticipais la douleur que l’engin monstrueux de Charles me causerait. C’est alors qu’il a commencé à me lécher, et le plaisir qui m’a envahi m’a fait oublier toutes mes appréhensions.


Peu après, Charles a pointé son gland contre mon entrée. Il a lentement poussé, et j’ai été surpris par la facilité avec laquelle mon cul acceptait sa présence. Au moment où son gland est complètement entré, j’ai été soulagé. Le reste a suivi plus facilement. Mon amant a alors commencé de doux mouvements de va-et-vient, question que je m’habitue à cette présence.

J’ai alors senti un vrai plaisir provenant du plus profond de mon être. Charles s’est alors retiré et s’est couché sur le dos. Je l’ai enjambé et je me suis empalé sur lui. Ainsi, je contrôlais moi-même les va-et-vient avec des mouvements de hanches, et je le sentais encore plus profondément. Je sentais bien son gland frôler mon entrée sans jamais sortir complètement, et s’enfoncer au plus profond de ma caverne.

J’ai déposé mes mains sur ses pectoraux et lui a commencé à me masturber. Il suivait la cadence que j’imprimais avec mon bassin en la reproduisant sur mon sexe. Parfois, il soulevait lui même le bassin, ce qui me surprenait et me faisait monter graduellement vers l’orgasme. Peu à peu, Charles soupirait plus fort et accélérait ses mouvements de bassin, ainsi que la vitesse à laquelle il faisait coulisser ses mains sur mon sexe. Puis tout à coup, il s’est raidi et a lâché un cri tout en descendant au maximum ses mains sur ma virilité, ce qui a étiré ma peau à son comble, et nous sommes partis dans un intense orgasme. Charles s’est vidé les couilles dans mon cul et moi j’ai explosé sur son torse musclé. Je me suis alors écroulé sur lui et nous nous sommes endormis ainsi collés l’un à l’autre.


Lorsque je me suis réveillé, Charles m’avait laissé dans son grand lit blanc. J’ai alors entendu le son de la douche et j’ai eu envie de le rejoindre. De toute façon, je devais me laver avant de rentrer. Quand je suis entré dans la salle de bains, j’ai aperçu mon nouvel amant au travers des vitres buées. Il était déjà en train de se masturber.



C’est ainsi que j’ai laissé mon premier amant, un sourire aux lèvres, me promettant de recommencer le plus tôt possible, tout en me rendant soudain compte que je n’avais toujours pas goûté au plaisir de tenir son sexe dans ma bouche. J’en salivais déjà.