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n° 13103Fiche technique20544 caractères20544
Temps de lecture estimé : 12 mn
11/01/09
Résumé:  La transformation d'une femme mûre après un divorce.
Critères:  ff poilu(e)s fépilée complexe douche massage -magasin
Auteur : Anne-marie            Envoi mini-message

Série : Changement

Chapitre 01
Changement 1

Ma vie avait basculé quelques mois auparavant lorsque j’avais trouvé mon mari, devenu mon ex, dans notre lit en compagnie de Sandra, sa secrétaire. La séparation avait été rapide sans discussion et, trop pressé, de rejoindre sa jeune maîtresse, il n’avait pas discuté les modalités et me laissait seule, certes, mais pas sans ressources. Les premiers temps avaient été difficiles, il faut surmonter la rancœur et l’affront. J’avais 44 ans, presque 45, et j’avais cru ma vie brisée. Je repensais régulièrement à la scène que j’avais surprise, je connaissais Sandra depuis quelques mois et elle m’avait paru charmante, ce qui avait été aussi l’avis de mon ex !


Je revoyais l’image de la jeune femme chevauchant le membre de mon mari, les cuisses très écartées offrant son sexe ouvert et entièrement épilé. Elle avait des cuisses fines et des gros seins qui ballottaient à chaque coup de reins. Les présentations étaient inutiles mais l’image était restée gravée dans mon esprit.




L’été approchait, avec les beaux jours je commençais à me détendre. Je ressortais avec des amies après avoir éliminé celles qui persiflaient sur mon abandon, je n’avais pas envie de commentaires. Le sexe commençait à me manquer. Ce matin je m’étais attardée dans la salle de bain. Je ne me regardais pas dans la glace mais comme beaucoup de femmes je me comparais. Sandra avait des gros seins, les miens étaient petits mais encore fermes avec des pointes très saillantes et longues qui aimaient se montrer sous les pulls ajustés. Elles étaient turgescentes, d’un mauve foncé qui se détachait sur la peau blanche et le contact de mes doigts me procurait des frissons qui accentuait encore la tension des seins. Sandra avait des cuisses fines, les miennes sont un peu fortes et recouvertes d’un léger capiton. Mes hanches sont larges les siennes fines. Son sexe épilé différait du mien abondamment velu bien qu’entretenu. J’écartais délicatement les poils noirs et je dégageais les lèvres roses en haut desquelles le bouton dressé sortait du capuchon. Mon mari adorait mon gros clitoris. Mon doigt le flatta ce qui déclencha une onde bienfaitrice. Je mouillai abondamment le doigt à l’entrée du vagin et je frottai doucement le bouton qui se tendait comme un petit pénis. Je m’étais assise sur le bord de la baignoire et je me masturbais face à la glace les cuisses écartelées. L’orgasme m’inonda de plaisir lorsque j’ajoutai au frottement de plus en plus rapide du clitoris le pincement violent d’un téton. Cela faisait la troisième fois que je me masturbais depuis le début de la semaine et nous étions mercredi !


Le mariage n’avait pas beaucoup changé mes habitudes de ce côté-là. J’avais toujours poursuivi mes masturbations. De clandestines elles étaient devenues normales et je ne me dissimulais pas à mon mari, y trouvant même une excitation certaine qui ne manquait pas de se prolonger par une bonne pénétration. J’adorais son sexe long et fin qui projetait une semence épaisse en longs jets qu’il aimait répandre sur mes poils sur mon ventre et jusque sur ma poitrine.


Le souvenir de ces éjaculations violentes m’excita encore et je me caressai une seconde fois pour un orgasme presque aussi brusque. Dans la glace j’avais une mine de déterrée que je tentais de dissimuler sous un maquillage minimal. Apaisée, j’inspectai mon corps plus objectivement. J’avais quand même un petit ventre, souvenir d’une grossesse qui avait vu venir ma fille. Ce n’était pas bien grave mais quand même. La cicatrice de césarienne me chagrinait beaucoup plus et j’en voulais au médecin qui m’avait dit qu’on ne la verrait pas. On ne voyait que ça et à deux centimètres au-dessus de la lisière des poils. Je ne m’y étais jamais habituée et je portais des bas de bikini qui faisaient la joie de mes copines tellement ils étaient couvrants à la manière des culottes des années 50. Les seins ne me déplaisaient pas mais j’avais toujours trouvé l’aréole trop petite et elle était quasi inexistante lorsque les tétons bandaient. Je mettais des soutiens-gorges un peu rembourrés non pas pour augmenter artificiellement le volume de mes globes mais pour dissimuler ces tétons agressifs.


Je m’habillai rapidement après avoir jeté un œil pour vérifier que la météo mauvaise ne s’était pas trompée, il y avait des nuages du vent et les passants ne semblaient pas trop réchauffés. Je m’habillai donc normalement : en bourgeoise comme disait ma fille !


Je devais déjeuner avec une amie, nous avions rendez-vous dans un petit café près du port où nous avions nos habitudes. Le déjeuner léger fut vite expédié ; elle avait rendez-vous chez son esthéticienne, elle se faisait refaire le contour des lèvres par un maquillage permanent. Je n’avais jamais pensé à faire une chose pareille. Elle m’expliqua que c’était une sorte de tatouage mais pas définitif et que, à nos âges, ça redonnait de la forme aux lèvres qui avaient tendance à se décolorer. Elle me proposa de l’accompagner, n’ayant rien de vraiment important à faire je décidai de la suivre.


La boutique d’esthétique ne m’était pas inconnue, située dans une petite rue étroite, j’avais dû passer devant quelques fois sans trop y faire attention. L’entrée était petite et le salon d’attente ressemblait à une ancienne cave voûtée. Les murs étaient recouverts de publicités de cosmétiques avec les photos qui démontraient facilement que le produit en question permettait de rajeunir d’au moins dix ans !


L’esthéticienne était en soin et une autre jeune femme en blouse rose vint nous accueillir pour nous faire patienter. À chaque fois que j’allais chez l’esthéticienne, je regrettais de ne pas avoir fait ce métier tellement je les trouvais toujours fraîches et jolies. En face de moi une publicité qui ressemblait plus à une planche d’anatomie qu’à autre chose présentait des maquillages permanents dans le style avant-après et il y avait de jolies aréoles bien brunes. Denise avait suivi mon regard et me détailla le dessin des lèvres qu’elle avait prévu de se faire faire.


Nous n’attendîmes pas plus de cinq minutes. La maquilleuse vint chercher Denise, qui me présenta, et, bonne commerçante, elle m’invita à venir la voir travailler ou bien à faire un soin en attendant sa collègue étant libre. N’ayant jamais eu d’amour particulier pour les travaux d’aiguilles, j’optai pour la seconde solution, au moins je prendrais soin de moi. Denise me dit qu’elle devait partir rapidement après et que si je n’avais pas fini le soin elle passerait juste me montrer son résultat.


La jeune esthéticienne vint me voir et me présenta une plaquette de soins un peu comme le menu du restaurant. Elle s’appelait Aïcha. La liste des soins ressemblait à la carte d’un restaurant.


Je choisis un gommage au café et à l’orange car il était précisé sur la plaquette que c’était un excellent traitement contre la cellulite.


Je suivis Aïcha et je ne pus m’empêcher de sourire en regardant les hanches de la jeune femme qui ondulaient sous la blouse rose. Un fin cordon en relief devait marquer la présence d’un string minimaliste.


La salle de soin se trouvait vraiment dans une cave accessible par un escalier de pierre. La décoration orientale était parfaite. Toute la cave voûtée était consacrée au bien-être. Au fond, une douche à jets était séparée de la pièce par une grande baie vitrée, sur un côté un meuble de bois travaillé et sculpté servait de table sur laquelle des plats de cuivre martelé contenaient des onguents et des philtres de beauté. Un parfum doux d’encens mélangé à des parfums d’agrumes rendait l’air léger.


Aïcha me fit signe de regarder, elle préparait une mixture parfumée en mélangeant avec soins des pâtes odorantes et obtint une sorte de crème onctueuse qui coulait entre ses doigts comme une huile épaisse. J’aurais presque eu envie d’y goûter, ce qui fit rire la jeune femme lorsque je lui fis part de cette idée.


J’avais vu qu’elle avait monté fortement le thermostat du chauffage en entrant. Elle m’expliqua que c’étaient des soins ancestraux des pays d’orient qui se pratiquaient dans les hammams et dans les harems. Il fallait pour que l’effet soit optimal essayer de reconstituer cette atmosphère.


La température était montée rapidement et il faisait très chaud.


Elle m’indiqua un recoin pour installer mes affaires. Bêtement je n’avais pas pensé que je devais me déshabiller, j’étais presque gênée, mal à l’aise. Aïcha me précisa :



J’étais un peu crispée, je songeai un moment à m’envelopper du voile et me déshabiller dessous ce qui m’aurait obligé à des contorsions ridicules. Je quittai ma veste avec soulagement, on ne devait pas être loin des 30 degrés. Je tournais le dos à Aïcha et je m’aperçus que le reflet dans la vitre de la douche me permettait de la voir. Elle continuait à mélanger les potions sans faire attention à moi. Je retirai le chemisier et libérai mes seins du soutien-gorge. J’eus l’impression que les pointes jaillissaient littéralement, tendues, gorgées. Je jetai un regard sur la glace toujours sans me retourner et je vis Aïcha qui retirait sa blouse ; je la voyais de dos, elle était nue à part la ficelle d’un string qui disparaissait entre des fesses rebondies. Elle s’enroula dans un voile arachnéen qui, après plusieurs tours savants, dissimula complètement ses formes. Je retirai ma jupe et pestai contre mon accoutrement de bourgeoise. Je retirai rapidement les bas et tentai de dégrafer le porte-jarretelles.


Je sentis dans mon dos une présence, Aïcha dégrafa l’accessoire prestement. Elle me fit retourner et j’étais nue face à elle. Son voile dissimulait complètement le bas du corps mais restait très transparent sur la poitrine. Elle avait des seins lourds, je pensai immédiatement à ceux de Sandra !

Sa peau mate semblait douce, les aréoles étaient larges et très sombres avec des tétons petits mais manifestement érigés.

Elle m’apprit à mettre le voile, ses doigts m’effleuraient, légers. J’avais l’impression que les mamelons allaient éclater tellement ils étaient tendus.

Elle rit.


Elle retira mon voile et me fit allonger sur la table en me posant la tête sur un petit coussin damasquiné. Les frissons revinrent lorsque je la sentis étaler la mixture sur le bas de mon dos. Le traitement de la cellulite commençait ! Elle pétrissait mes fesses que je savais un peu molles mais pas à ce point. Elle s’acharnait sur mes cuisses jusqu’aux genoux. Le parfum de l’orange et du café devenait enivrant.


Elle me demanda de me retourner.

J’étais complètement exposée.

Elle m’enduit d’une nouvelle couche jusque sur le ventre. Au passage, ses mains frôlaient les poils ce qui me donnait la chair de poule. Je sentais mon bourgeon réagir, se dresser, sortir de sa coquille. J’étais impuissante à empêcher son érection. Je sentais dans le même temps mes lèvres s’humidifier. J’étais partagée entre la honte qu’elle s’aperçoive de mon excitation et le plaisir de laisser monter le désir. J’avais les cuisses serrées.

Aïcha exerça une légère pression pour les ouvrir. Elle me dit de me détendre en souriant.


Elle massait l’intérieur de mes cuisses. J’étais sûre qu’elle ne pouvait que remarquer mes lèvres que je sentais gonflées, ouvertes et luisantes et le bourgeon tendu qui pointait son nez sous les poils noirs. Je fermais les yeux pour ne pas avoir à croiser son regard. Ses mains virevoltaient sur ma peau accentuant sans cesse le plaisir d’être touchée. Et les mains quittèrent ma peau brusquement. Je sursautai presque.


J’avais l’impression de sortir d’une sorte de rêve.


La peau était détendue mais recouverte d’une sorte de couche verdâtre, un peu comme dans un enveloppement de boue.

Elle m’expliqua qu’elle allait préparer une douche et elle me recouvrit d’une sorte de couverture légère sous laquelle j’eus l’impression de bouillir lentement, mais je sentais mes muscles se détendre et une torpeur bienveillante me gagner. Je refermai les yeux, la chaleur était intense et j’avais l’impression que mon clitoris était le centre de mon corps, j’eus une sorte de plaisir, pas un orgasme violent comme je les connais habituellement mais une sorte d’onde de plaisir douce qui gagne tous les recoins et monte dans la tête en une vague infiniment douce.


Je rouvris les yeux et ce fut là que Denise fit irruption dans la pièce avec son dynamisme qui touchait souvent à l’agitation.

Elle me montra ses lèvres avec enthousiasme, j’avais les yeux embués et sa bouche me sembla plus enflée que belle. Elle me fit un rapide baiser sur le front en me précisant qu’Henry l’attendait, son nouvel amant l’accaparait de plus en plus.

Elle souleva la couverture et, en connaisseuse, reconnut la mixture café orange. Elle me souffla dans l’oreille que le meilleur du soin était la douche !

Elle fit un détour pour embrasser Aïcha.


La jeune femme préparait une autre mixture peu encourageante pour ce que je pouvais en voir. C’était du savon noir qui prépare la peau à l’exfoliation, un complément du traitement qui venait d’être fait et Aïcha me précisa que j’aurais également droit à un massage à l’huile d’Argan.


Elle ouvrit les jets de douche qui devaient délivrer une eau très chaude et très fine car une sorte de brouillard envahit rapidement la zone de douche sans s’échapper dans la pièce.


Je vis alors Aïcha dérouler lentement son voile, il y avait deux tours autour de la poitrine qui se libéra rapidement. Il y avait cinq tours autour des hanches et elle découvrit son ventre et ses cuisses. Il ne restait qu’un mini string de couleur rouge qui ne cachait que la fente. Les lèvres épaisses et entièrement épilées encadraient le mince tissu enfoui dans son intimité. Elle s’approcha en souriant et retira la couverture, elle me prit par la main pour m’aider à me redresser. J’étais groggy, un peu vertigineuse. Elle me mit presque debout, j’étais vacillante. Avant d’entrer sous la douche, elle retira le string qu’elle jeta sur la table, j’eus le temps de noter que le tissu devait être trempé.


La vapeur était telle que je ne voyais rien. Je sentis les mains d’Aïcha qui prenaient possession de moi. Elle me savonnait à la fois énergiquement et très doucement. De bas en haut et de haut en bas. Ses mains vinrent sur mes seins et étirèrent doucement les mamelons, ce qui provoqua des frissons intenses. Elle descendit sur le ventre, évita le sexe et remonta doucement en frottant ma toison. Je devenais électrique, le moindre effleurement était un délice. Elle redescendit puis s’attarda sur la fente, jouant une seconde avec un clitoris exubérant. Elle se rapprocha et je sentis dans mon dos la caresse savonneuse de ses seins dont elle se servait comme d’une douce éponge. Elle ressaisit ma poitrine, faisant rouler les tétons entre ses doigts, je crus sentir un baiser dans le cou mais je me trompais peut-être.


Je ne me reconnaissais pas, j’avais envie de la voir et même de la sentir contre moi. Je me retournai mais la vapeur était trop épaisse, je ne distinguais qu’une ombre. Ses mains étaient sur mes seins, sur mes fesses, sur mon sexe. Elle s’était emparée de moi. Elle appuya sur le clitoris, juste un peu et je criai de jouissance, étourdie par un orgasme foudroyant. Je sentais mes jambes se dérober et je m’appuyai contre le mur, noyée de plaisir et de vapeur. Aïcha presque invisible avait pris ma main et l’avait posée sur son sein. La peau était d’une extrême douceur, je sentais l’aréole grumeleuse et lorsque je touchai le petit téton, je crus deviner une sorte de gémissement. Je lâchai le sein et descendis sur le ventre. C’était la première fois que je caressais une femme. Le ventre était un peu bombé infiniment doux et j’arrivai sans trop l’avoir voulu vers le pubis dont je sentis le renflement avant de découvrir la douceur des lèvres dilatées et entrouvertes de désir. La chair était glissante de son désir, complètement trempée. Je touchais le désir d’une femme dur et dressé fièrement au sommet de la vulve, presque aussi imposant que le mien. Je le saisis entre deux doigts et le pinçai doucement, je la sentis parcourue d’un frisson qui la secoua entièrement et elle laissa échapper une sorte de râle.

L’eau cessa de couler et la vapeur se dissipa, nous étions offertes aux regards l’une de l’autre.


En souriant, elle se saisit d’une serviette parfumée et me sécha. Elle restait nue, presque offerte. Jamais je n’avais regardé une femme avec cette intensité. Les seins lourds bougeaient à chacun de ses mouvements, je pensais à Sandra. J’avais envie d’avoir des aréoles aussi larges et foncées. Je m’enhardis à lui faire des compliments sur son corps.


Elle souriait, elle me dit qu’elle aimait beaucoup ma poitrine et je me laissai aller à lui dire combien je regrettais de ne pas avoir d’aussi belles aréoles qu’elle.

Elle se saisit gentiment du mamelon et l’étira doucement, la chair érectile réagit aussitôt, il faisait un bon centimètre. J’avais encore des frissons. Elle approcha son sein du mien et me dit qu’avec un maquillage permanent je pourrais avoir presque la même chose et qu’on pourrait même retrouver exactement la couleur du mamelon.


Elle me fit de nouveau allonger sur la table et s’enduisit les mains d’huile Argan. Le parfum en était un peu fade. Elle se plaça à ma tête pour me masser le dos. Son sexe était juste à la hauteur de mes yeux, elle était restée nue. La fente était superbe et j’avais envie d’essayer aussi l’épilation, ce que j’avais toujours refusé à mon mari.

Je refermais les yeux, me laissant dorloter.


Me rhabiller fut difficile, j’étais à la fois extraordinairement détendue et complètement molle. Elle me déconseilla de remettre les bas après l’huile. Je me retrouvai ridicule encore, ayant déjà agrafé le porte-jarretelles que je retirai et roulai en boule dans mon sac avec les bas.


Elle me demanda d’attendre un peu avant de remettre le soutien-gorge. Elle avait remis sa blouse rose mais pas le string qui restait toujours abandonné sur le coin de la table. Elle disparut rapidement dans l’escalier. Je m’étais impulsivement saisi du minuscule tissu rouge et l’avais porté à mon nez. Il était imprégné de l’odeur de son sexe, mélange de pipi et de mouille comme disait mon ex lorsqu’il saisissait le soir ma culotte et la sentait, ce que je trouvais alors de la dernière vulgarité.


Elle revint rapidement avec sa patronne et lui expliqua mon désir de teinture d’aréole. La femme entreprit de m’expliquer la technique, me déconseilla de faire trop large comme celles d’Aïcha, ce qui serait trop disproportionné par rapport à la taille de ma poitrine. Elle examina la peau, joua un peu avec les tétons en me faisant des compliments sur leur taille. Elle m’expliqua par ailleurs qu’elle exigeait toujours une consultation médicale avant ce genre de technique afin d’éliminer toute contre-indication.


Elle me donna la carte d’un médecin dont l’adresse était proche et qui était spécialisé en médecine esthétique. Je glissai la carte dans mon sac, pas encore décidée complètement.


Je remerciai Aïcha et la gratifiai d’un pourboire royal.

Elle me sourit et murmura rapidement que je pouvais garder sa culotte. Je regardai honteuse le morceau de tissu chiffonné que j’avais gardé dans la main.