n° 13104 | Fiche technique | 22367 caractères | 22367Temps de lecture estimé : 13 mn | 11/01/09 |
Résumé: Le processus de changement se poursuit. | ||||
Critères: ff médical poilu(e)s fépilée complexe cérébral voir exhib noculotte cunnilingu journal -f+medical | ||||
Auteur : Anne-marie Envoi mini-message |
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Je suis restée une bonne semaine indécise. La séance avec Aïcha m’avait beaucoup troublée. Deux fois j’avais cédé aux images qui s’imposaient, les seins, le sexe, les fesses de la jeune esthéticienne me faisaient fantasmer autant que le sexe d’un homme dressé devant moi. Je n’aurais jamais pensé qu’un corps de femme aurait pu me troubler à ce point. Je passais un moment devant le miroir de la chambre ou de la salle de bain à examiner mes seins et à imaginer ce que pourrait donner le maquillage. J’avais plusieurs fois essayé de passer du rouge à lèvres mais les couleurs étaient trop vives pour que je puisse me faire une opinion réaliste.
Denise m’avait appelée quelques jours après son essai et c’était une vraie réussite. Je gardais le souvenir de lèvres gonflées mais là l’aspect était impeccable et le dessin de la lèvre pas trop appuyé lui redonnait une bouche plus jeune et plus appétissante.
Nous déjeunions toujours dans le même petit restaurant qui nous servait un muscadet bien frais. Au second verre, Denise, en rougissant, me confia que ses nouvelles lèvres plaisaient beaucoup à Henri qui avait largement participé à l’investissement. Elle se pencha et dans un murmure à peine audible me confia qu’elle le suçait beaucoup plus qu’avant.
Il faisait beau, les premières chaleurs faisaient sortir les tenues d’été. Une jeune femme vint s’installer à la table à côté. Une grande brune un peu agitée qui commanda d’emblée un Martini-Gin. On ne pouvait pas ne pas la remarquer, elle avait un pull jaune et une jupe vert fluo. La jupe était d’ailleurs plus proche d’une ceinture large que d’une minijupe !
Je fis discrètement la remarque à Denise que je ne comprenais pas comment on pouvait s’exhiber de la sorte.
Elle éclata de rire en me disant que j’exagérais.
Nous reparlâmes à voix très basse des bons soins d’Aïcha qu’elle avait elle-même expérimentés à plusieurs reprises.
Je n’osais pas lui demander son avis sur le maquillage de mes aréoles. J’avais un peu l’impression de faire une bêtise, une envie d’adolescente.
La brune m’offrit sans doute involontairement une occasion de parler de ce sujet à Denise.
Elle fit tomber sa serviette à terre et se pencha du notre côté pour la ramasser. Nous avons eu alors une vue imprenable sur sa poitrine dans l’échancrure du pull jaune. Elle avait une poitrine ferme bien ronde retenue par un soutien-gorge sans doute un peu petit puisque je pus voir jusqu’aux pointes brunes au milieu d’aréoles sombres et larges.
J’avais surpris le regard de Denise, qui avait donc elle aussi pu profiter du spectacle. La brune se réinstalla, nous fit un sourire et s’absorba dans la lecture d’un magazine people en attendant le carpaccio de bœuf qu’elle avait commandé.
Denise me fit signe en moulant ses seins de ses mains et en faisant la moue que la poitrine de la voisine était superbe. J’acquiesçai et me rapprochai par-dessus nos assiettes pour lui chuchoter combien j’aimerais avoir des aréoles comme elle. Je n’eus même pas besoin d’aborder le sujet, elle me montra ses lèvres du doigt et me dit qu’Élise faisait aussi du maquillage pour les seins, pour les cicatrices, etc.
Nous finîmes le repas en parlant des prochaines vacances, je ne savais pas encore trop quoi faire. Elle me confia qu’Henry avait projeté de l’emmener dans une île de paradis mais ils n’avaient pas encore décidé laquelle.
La brune était partie rapidement son carpaccio avalé sans même un café.
Je reparlai de mes projets esthétiques et lui dis que j’avais déjà évoqué le problème avec Élise et qu’elle voulait une consultation médicale au préalable. Elle n’eut pas l’air étonnée. Elle savait qu’Élise était prudente et qu’en plus elle avait une liaison qu’elle qualifia de sulfureuse avec le médecin en question. Elle avait aussi été envoyée en consultation, elle me le décrivit comme charmant et me souffla que sa secrétaire devait être une jeune femme dévouée dans tous les sens du terme. Je la questionnai mais elle ne me dit rien de plus tout en laissant flotter un sourire entendu. Elle me dit d’aller à la consultation et que de toute façon cela ne m’engageait à rien et qu’en plus c’était remboursé mais elle me prévint qu’il pratiquait des tarifs au-dessus de la moyenne. Elle revint sur la brune en me demandant mon avis sur les soutiens-gorges seins nus. Je dus avoir l’air d’une gourde et devant mon air d’incompréhension elle me dit que le soutien de la voisine n’était pas trop petit mais qu’il était conçu pour laisser les pointes libres. Elle ajouta que je devrais essayer et me fis un rapide baiser, toute pressée qu’elle était de retrouver son Henry.
Moi je n’avais plus de « Henry » et je rentrai à la maison songeuse, indécise.
Il faisait chaud, je décidai de prendre une douche. Je restais nue devant le miroir triturant mes seins que je présentais dans mes mains en forme de coupe comme ce soutien-gorge dont me parlait Denise et qui mettait si bien les seins de la brune en valeur. Mes pointes dures se tendaient faisant disparaître dans leurs excroissances turgescentes le peu de foncé d’aréole que j’avais. Les ondes de plaisir et d’excitation partaient de mes tétons et semblaient descendre entre mes cuisses. Une main s’égara dans l’épaisse toison noire pour retrouver le bouton déjà gorgé de sang qui pointait son nez rose au milieu des poils sombres. Je câlinais doucement le clitoris, entre deux doigts. Sa grosseur et sa longueur me permettaient de le prendre entre le pouce et l’index et je le tirais au dehors. Mon ex disait que je pouvais me frotter et le branler comme un homme et cela me gênait. Je pense que c’est aussi à cause de ce clitoris plus développé que la moyenne que je n’avais jamais voulu me raser le pubis ni les lèvres malgré des demandes répétées de mon ex qui avait fini par abandonner. La fameuse Sandra n’avait pas hésité elle…
Je me masturbais rapidement par nécessité absolue de jouissance pour soulager la tension entre mes cuisses mais je n’étais pas totalement satisfaite. L’orgasme me surprit par son intensité et je vacillai sur mes jambes en attendant que les frissons qui électrisaient mon corps se calment. Je pris enfin la décision de téléphoner pour un rendez-vous avec le médecin conseillé et semblait-il indispensable avant les travaux esthétiques.
Je composai le numéro une première fois et raccrochai à la première sonnerie comme une gamine qui renonce à faire une blague. Nue, assise au bord du lit, je me sentis ridicule et je recomposai vaillamment le numéro.
Une voix douce avec un petit accent que je ne parvins pas à identifier me répondit dès la troisième sonnerie. Je restai très floue en demandant simplement un rendez-vous avec le docteur Lambert. Elle me demanda mon nom, mon téléphone et bien entendu pour quelle raison je souhaitais ce rendez-vous. Je bredouillai tellement qu’elle me fit répéter plusieurs fois tellement je devais être incompréhensible. Je repris posément et le fait de décrire ce que je voulais et ce pour quoi je demandais la consultation fit regonfler mon clitoris.
Une fois le rendez-vous pris pour le lendemain je me rallongeai et, les cuisses largement encartées, je jouai doucement avec mes lèvres inondées de mouille et mon clitoris qui durcissait. Je me caressai doucement laissant un doigt fureteur glisser sur la fente jusqu’aux replis de l’entre-fesses. Je caressai mon anus avec précaution passant le long des replis du petit muscle circulaire tant et si bien que mon doigt mouillé par le liquide vaginal abondant s’introduisit dans le canal étroit qui l’enserra. Je le fis aller et venir doucement dans ce petit orifice que je n’avais jamais confié à personne en dehors de mon doigt. Je précipitai la jouissance par une caresse et un pincement du clitoris m’expédia illico dans un orgasme qui me fit crier.
La soirée passa lentement devant une série télévisée insipide. Je pensais à mon rendez-vous, comment allai-je m’habiller ?
Je réussis à m’endormir rapidement. La nuit fut étonnement calme. Je me réveillai le matin avec une envie pressante et en me soulageant je pris un réel plaisir à vider ma vessie ce qui me refit mouiller.
Je décidai de ne rien faire, de traiter cette excitation matinale par le mépris. Je refusais de céder aussi facilement à la tentation de la jouissance d’autant que l’image des seins et de la vulve d’Aïcha commençait à m’envahir. Étais-je en train de devenir lesbienne ?
J’avais rendez-vous à 11 h.
Je décidai d’assumer mes goûts, bourgeoise j’étais, bourgeoise je serais. Je mis mes dessous gris, un ensemble que j’aimais bien : le soutien-gorge corbeille me donnait une poitrine un peu provocante et l’épaisseur de la dentelle masquait au moins en partie la grosseur du téton. J’ajustai la culotte bien couvrante dans laquelle je pris bien soin de dissimuler les poils noirs dont les boucles cherchaient souvent à s’échapper. J’optai pour le costume trois pièces et bouclai résolument un porte-jarretelles assorti, qui moulait ma taille et faisait ressortir l’épanoui de mes hanches. J’ajustai des bas fumés sans couture. Je trouvais les bas à couture vulgaires. De toute façon je n’avais aucune raison de retirer la jupe. Je pris soin de mettre un petit haut facile à retirer : une soie beige très fine qui ne dissimulait rien du soutien-gorge. La jupe était courte sans être mini et la veste cintrée complétait la panoplie.
Il faisait beau et je décidai d’y aller à pied. Un bon quart d’heure de marche qui me mit le moral au beau fixe, je remarquai au moins trois messieurs qui m’avaient bien observée. Un jeune homme s’était même retourné, j’avais vu le reflet dans une vitrine, les yeux fixés sur mes fesses qui roulaient peut-être plus que d’habitude.
Partie très en avance, je m’octroyai un petit expresso à la terrasse du Café des Lierres dont les tables avaient envahi le trottoir d’une petite place que j’adorais pour son calme. Il y avait encore peu de monde. Une seule autre table était occupée par un jeune couple. Le soleil commençait à chauffer et j’entrouvris ma veste, je remarquai le regard de l’homme sur ma poitrine et aussi le coup d’œil sur mes jambes gainées. Il se pencha vers son amie et elle me regarda aussi en souriant. Simplement pour le plaisir je décroisai mes jambes lentement et leur offris sans doute une vue imprenable sur le haut de mes cuisses et les jarretelles. J’en éprouvai un indéniable plaisir.
Lorsque je quittai la table, ils me gratifièrent tous deux d’un sourire que je rendis volontiers.
Le cabinet du médecin était à deux pas de l’institut où Aïcha m’avait prodigué ses soins. Juste dans la rue d’à côté. L’immeuble était ancien et parfaitement restauré. La plaque dorée indiquait le nom et les horaires de consultation ainsi que la spécialité de médecine esthétique dont le Docteur Lambert avait reçu le diplôme d’une université du nord de la France et aussi d’une université américaine. C’était certainement un gage de qualité et cela devait aussi expliquer l’importance des honoraires dont m’avait parlé Denise. La secrétaire m’avait d’ailleurs précisé que le Docteur n’était pas conventionné.
Le cabinet était au premier étage, une plaque précisait de sonner et d’entrer. La porte ouvrait sur un couloir étroit qui menait directement à la salle d’attente. Il y avait une femme qui attendait en feuilletant distraitement un magazine people. Les sièges confortables mais bas obligeaient à tenir les jambes serrées si on ne voulait pas être rapidement indécente. Je pris le fauteuil en face de la femme. Elle avait une petite quarantaine, très maquillée mais sans que cela devienne outrancier. Elle avait un visage assez fin malgré un nez qui aurait mérité d’être plus discret. Elle portait une jupe courte qui remontait largement à mi-cuisses et un chemisier blanc sous lequel je devinais les seins libres par les oscillations dont ils étaient agités dès qu’elle bougeait.
Il n’y avait pas un bruit, la secrétaire était invisible.
La femme reposa sa revue, me fit un sourire. Elle me dit que le Docteur était en général à l’heure. Nous engageâmes la conversation. Elle était bavarde. Elle me raconta qu’elle venait chez le docteur Lambert depuis plusieurs années pour s’entretenir. Elle avait fait un traitement contre les rides et plusieurs maquillages permanents sur les lèvres et sur les sourcils. Je n’osai pas lui demander pour sa poitrine. Enfoncée dans le fauteuil, ma jupe découvrait mes cuisses au-dessus de la lisière du bas. Elle me demanda si je venais aussi pour la cellulite. Je répondis que non avec une pointe d’agacement, elle n’insista pas mais poursuivit en m’informant qu’elle faisait un traitement pour la cellulite depuis presque trois mois et que c’était très efficace. Elle remonta sa jupe pour me montrer le haut de ses cuisses aussi capitonnées que les miennes mais en précisant qu’elle avait perdu trois bons centimètres de tour de cuisse. Elle avait la peau blanche, elle devait avoir quelques années de plus que ce que j’avais imaginé.
La secrétaire entra, une blonde filiforme, les cheveux très courts. Elle se dirigea vers ma compagne d’attente et lui remit un papier en s’excusant pour le retard. Elles échangèrent quelques mots à voix basse et la femme quitta la pièce en me gratifiant d’un grand sourire.
La secrétaire vint vers moi. J’eus un peu de mal à m’extraire du fauteuil ce qui très probablement lui donna une vue complète de mes dessous.
Elle s’appelait Sigrid ce qui allait très bien avec sa blondeur. Elle était vêtue d’une blouse qu’elle laissait flotter. Elle portait un tee-shirt blanc sous lequel pointaient des mamelons manifestement nus et un short rose tellement moulant que tout le détail de son sexe était visible. Les lèvres étaient dessinées parfaitement, la couture du short s’insinuait dans la fente. Je me demandai comment elle pouvait ne pas mouiller et tacher son short.
Elle était très mince avec un bassin un peu large ce qui lui donnait un air juvénile. Ses cuisses fines ne se touchaient pas ce qui accentuait la visibilité de la vulve.
Le cabinet du médecin était sobre mais chic. Les murs recouverts d’une tenture marron glacé donnaient une impression de chaleur et de protection.
Le Docteur Lambert était ce qu’on appelle un bel homme. La petite cinquantaine et je l’avais imaginé plus jeune. Les cheveux gris très courts mais répartis sur toute la surface du crâne que je vis lorsqu’il se rassit après être venu m’accueillir.
Il ouvrit une fiche à mon nom et me demanda l’objet de ma visite.
Je lui expliquai sans problème, j’avais fait le pas.
Il me dit que cela ne posait aucun problème technique. Il m’interrogea sur d’éventuelles maladies ou allergies. La secrétaire notait mes réponses.
Il se leva et me fit signe de passer sur la table d’examen en me demandant bien sûr de me déshabiller. Je retirai la veste, le chemisier en passant les mains dans le dos pour dégrafer le soutien-gorge, il me fit un signe et demanda à Sigrid de m’aider. Je sentis les doigts fins de la blonde se faufiler sous l’attache et elle libéra mes seins. J’étais troublée, il me fit asseoir sur la table. Il regardait ma poitrine avec attention et me demanda ce qui me déplaisait. Je lui expliquai combien j’avais envie d’avoir des aréoles larges et foncées. Il m’expliqua que si j’avais été blonde il l’aurait sans doute déconseillé mais très brune comme j’étais cela serait très bien.
Il me fit mettre debout et commença à examiner mes seins, il les palpait. J’avais la chair de poule. Il toucha les tétons complètement érigés en me disant qu’ils étaient superbes, que peu de femmes avaient des mamelons aussi érectiles et longs. Sigrid ne quittait pas des yeux ma poitrine. Il me demanda comment j’imaginais mes nouvelles aréoles. J’essayais de décrire ce que je voulais. Il demanda à Sigrid de me montrer l’album photo. Il y avait une collection de photos de seins de tous les genres, des petits des gros des très gros. Il me dissuada de faire une aréole trop importante compte tenu de mon 85C. Ensuite on passa à la teinte. Il pensait que je devais faire assez foncé à la vue de la couleur de mes cheveux et il me demanda si c’était naturel. Il me fit voir quelques photos, c’était difficile.
Il me dit qu’il se basait souvent sur la couleur des lèvres de la vulve qui chez les brunes sont très souvent bien pigmentées. Il m’expliqua que la couleur des aréoles naturelles était très souvent proche de celle des lèvres. Il ajouta "même chez les blondes" en regardant Sigrid.
Elle ouvrit un autre catalogue où les mamelons côtoyaient les vulves. Je n’arrivais pas à me faire une idée et je n’avais jamais bien regardé la couleur de mes lèvres qui en plus étaient trop couvertes de poils pour que je puisse me faire une idée.
Je sentais venir le problème, il allait me demander de regarder mon sexe. Il expliquait les teintes et les rapports de contraste avec la peau.
Il se retourna et dit à Sigrid de me montrer sa couleur à elle pour que je concrétise ce qu’il venait de m’expliquer.
La secrétaire souleva son tee-shirt exposant une superbe poitrine ronde d’une fermeté magnifique surmontée de mamelons foncés au milieu d’une aréole brune parfaitement dessinée. La couleur ne m’intéressait plus, j’étais fascinée par les petites barrettes d’or qui traversaient les mamelons de part en part et qui étaient fermées par des petits diamants qui brillaient. Le médecin remarqua mon regard et il sourit.
Il se retourna vers moi et saisit un de mes mamelons qui réagit immédiatement en prenant quelques millimètres.
J’eus un frisson en imaginant la douleur de l’aiguille traversant le petit amas de chair. Il m’expliqua la couleur des aréoles de Sigrid et lui fit un signe. Elle garda le tee-shirt remonté sur les épaules et d’un geste sans gène descendit son short sous lequel, comme je l’avais supposé, elle était nue, la vulve entièrement lisse. Un très petit protège-slip évitait les taches trop voyantes de ses humeurs vaginales. Le petit morceau de tissu était d’ailleurs taché et les lèvres entrouvertes par la couture du short étaient visiblement luisantes de mouille. En haut des lèvres un petit bourgeon de chair luisait aussi par la mouille et par le petit anneau qui le traversait.
Le docteur Lambert me fit remarquer que les lèvres vaginales étaient presque exactement de la couleur des aréoles.
Sans pudeur la jeune femme retira le protège-slip et le remplaça par un propre en me regardant bien dans les yeux.
Le médecin me demanda si j’acceptais qu’il examine mes lèvres. J’hésitai, ne sachant quelle contenance prendre, n’osant dire oui alors que j’en avais envie et n’osant dire non car je sentais ma culotte tachée de mon jus qui perlait depuis que Sigrid s’était exposée.
Il me rassura et me dit que cela ne prendrait que quelques minutes.
Sigrid avait remis de l’ordre dans sa tenue et détacha ma jupe dont le zip résistait. La jupe tomba à mes pieds, je m’apprêtais à baisser ma culotte lorsqu’elle s’accroupit devant moi et baissa le tissu fin dont le centre était largement auréolé d’une tache humide signant l’entrée de mon vagin.
Le médecin se mit également devant moi et me dit qu’il allait regarder. Il écarta quelques poils. Je sentais mes lèvres qui s’inondaient de plus en plus.
Il se redressa en souriant et me dit que le bijou m’irait également très bien sur le clitoris ; il me dit qu’il avait eu du mal à préciser les teintes en raison de mon buisson abondant. Il fit la remarque que peu de femmes portaient encore de tels buissons.
J’avais un peu honte mais j’étais également fière de cette différence. Il me dit que je pouvais me rhabiller et que Sigrid me montre le petit cabinet de toilette. Je retirai carrément le slip et marchai en porte-jarretelles derrière Sigrid. La jeune femme ouvrit une porte dissimulée dans la tenture. Il y avait un petit cabinet avec même une douche ultra moderne. Elle prit une sorte de petite serviette très douce et commença à essuyer mon sexe dont les lèvres pleuraient de désir. Je sursautai, elle passait doucement sur le clitoris. Le monticule de chair durcissait et se dressait au sommet des lèvres luisantes. Elle était devant moi, agenouillée, le visage juste à la hauteur de mon intimité. Elle écarta doucement les lèvres et déposa un baiser sur le clitoris j’eus un mouvement de hanche pour aller à sa rencontre. Elle me lécha et je jouis très vite en m’appuyant sur ses épaules pour ne pas défaillir. Elle se redressa et déposa un très léger baiser sur mes lèvres, furtivement. Elle me glissa doucement qu’elle mourrait d’envie de me percer les seins et le clitoris, j’en eus presque un orgasme cérébral.
Apaisée je retournais rapidement dans le cabinet. Le Dr Lambert me donna un certificat comme quoi j’étais apte à avoir un maquillage permanent de la poitrine.
Je quittai le cabinet plus légère de 100 euros…