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Temps de lecture estimé : 11 mn
01/02/09
Résumé:  La soirée d'anniversaire de ma femme a évolué dans un sens qui n'était pas prévu.
Critères:  grp anniversai lingerie fellation cunnilingu pénétratio partouze jeu attache yeuxbandés -groupes
Auteur : Hardi7273  (Nous fêtons les 30 ans de ma femme avec 3 couples d'amis.)            Envoi mini-message

Série : Les 30 ans de Claire

Chapitre 01 / 03
Les 30 ans de Claire

Nous sommes quatre couples d’amis qui faisons beaucoup de choses ensemble. La plus jeune d’entre nous, Christiane a vingt-sept ans, le plus vieux, moi, en ai trente-deux.


Que je nous présente :


Nous, tout d’abord – Claire, ma femme mesure 1m60 et moi 1m83. Nous vivons ensemble depuis quatre ans et nous n’avons pas d’enfant. Nous aimons beaucoup faire l’amour. Je crois que nous avons dû tout tester, y compris une certaine situation qui a failli mal tourner et nous envoyer au poste. Nous ne nous en sommes sortis que de justesse. Je vous le raconterai peut-être un jour. Ma femme est assez fine, mais avec une poitrine assez importante. Ce que, personnellement, j’adore.


Le deuxième couple d’amis s’appelle Serge et Nadine. Lui est chauffeur de taxi, elle tient un magasin de lingerie d’une marque connue qui commence par « Princesse ». Serge et moi faisons souvent du sport ensemble et même si je suis en forme, je dois reconnaître que dans certains cross que nous avons faits ensemble, il m’a littéralement crevé. Ceci pour vous dire qu’à 30 ans, il a un physique superbe, musclé et, comme en plus, il est très sympa, tout était réuni pour que nous devenions de grands amis. C’est lui qui nous a présenté Nadine, celle qui est devenue sa femme, il y a un an (j’étais le témoin de Serge, ce qui m’a fait un grand plaisir quand il me l’a demandé).


Eric et Anne-Marie forment le troisième couple. Nous les avons connus un jour lors de vacances et nous avions beaucoup ri d’apprendre que nous habitions le même quartier sans avoir jamais fait attention les uns aux autres.


Enfin, Christiane et son mari Guy sont des amis de longue date que nous avions connus lors d’une de ces réunions où on vous demande, non pas de vendre des produits ménagers, mais de trouver d’autres personnes qui les vendront pour vous. Nous n’avons jamais gagné un sou avec cela, mais nous y avons gagné des amis, ce qui est le plus important.


Nous sommes souvent partis en vacances tous les quatre ou en week-end prolongé, comme à Bruges, Prague ou encore dans le Bordelais.


Bien que nous soyons tous jeunes et parlions de sexe sans problème entre nous, il ne s’était jamais rien passé, chacun restant avec sa chacune. Le plus chaud étant les femmes qui se mettaient seins nus sur la plage… Jusqu’au dernier anniversaire de ma femme, il y a quelques semaines…


Ce soir-là, nous avions réuni tous nos amis pour les trente ans de ma femme. J’avais demandé conseil à Nadine pour lui acheter une tenue porte-jarretelles – bas – soutien-gorge, car elle adore ce genre de dessous. J’avais remarqué un ensemble noir, mais Nadine me dit que c’était commun et m’en montra un rouge qui était superbe. En plus, je lui avais pris un CD de son chanteur préféré.


Nadine lui avait apporté un body, et les autres, différentes babioles.


Comme nous avions distribué les cadeaux à la fin du repas, après un apéro assez arrosé et du vin à profusion, nous étions tous très gais et riions d’un rien, même des histoires les plus idiotes.


Vint le moment du dessert et des cadeaux. Claire ouvrit les différents cadeaux. Quand elle montra le body que Nadine lui avait offert, (elle était très contente du cadeau), elle fit mine de le mettre devant son corps pour juger de l’effet. Je ne sais toujours pas, à ce jour, qui a lancé l’idée parmi les femmes (je pense que c’est Nadine), mais il lui fut demandé d’aller le passer. Nous étions tous tellement intimes et en confiance qu’elle n’hésita pas un seul instant.


Elle s’absenta quelques instants et revint uniquement habillée du body. Nous en eûmes tous le souffle coupé. Nadine avait le compas dans l’œil, le body lui allait à merveille, mettant ses seins en valeur et soulignant ses hanches et épousant son sexe comme une seconde peau.


Nous lui disions qu’elle était super belle comme cela, je vis que les compliments, et plus encore nos réactions, surtout celle des hommes, lui procuraient un très grand plaisir. Elle ouvrit le dernier cadeau, le mien (pas le disque qu’elle avait déjà ouvert au début !). Quand elle montra l’ensemble, tout le monde s’exclama qu’il était superbe et Nadine, mentant un petit peu, dit que je l’avais choisi tout seul, ce qui me valut un baiser des plus fougueux sous les quolibets de tous les autres.



Nadine intervint :



Ma femme hésita un peu. Les autres semblaient suspendus à sa décision. Je vis bien que tous les hommes auraient apprécié qu’elle se changeât sur place, quant à moi, j’étais un peu hésitant.


Claire me regarda, semblant me demander mon avis.


J’hésitais un peu, je voyais Nadine qui me regardait d’une manière un peu étrange et les autres qui attendaient ma décision. Je savais qu’ils ne m’en voudraient pas si je disais non, mais je sentais qu’ils seraient tous un peu déçus. Je dois dire que j’étais un peu excité par tout cela et l’alcool, et la bonne humeur de toute la soirée aidant, je pris une décision qui aujourd’hui encore me surprend.



Comme elle semblait avoir un peu de mal à se défaire de son body, Nadine alla l’aider. Je crus remarquer qu’elle s’attardait un peu sur les seins de Claire, mais je n’en étais pas sûr. Avec l’aide de Nadine, Claire se retrouva complètement nue.


Plus personne, homme ou femme, ne parlait et je voyais bien que les autres gars avaient, comme moi, quelques difficultés avec leurs pantalons. Quant aux femmes… c’était moins visible, mais aux respirations, je voyais bien qu’elles ne restaient pas non plus indifférentes à ce qu’il se passait.


Claire mit d’abord le porte-jarretelles, prit une chaise et commença à mettre ses bas. Toujours nue, elle écartait les jambes et nous pouvions tous voir son sexe qui semblait un peu humide. Elle mit l’autre bas. Puis se relevant, elle se tourna et mit le string qui allait avec l’ensemble. Nous avions maintenant une vue parfaite sur son cul. Elle exagéra la courbure pour se vêtir et le temps pour monter et mettre en place le string. Nous étions tous super excités et je commençais à me douter que la soirée ne serait peut-être pas aussi sage que toutes celles que nous avions passées jusque-là. Enfin elle mit le soutien-gorge et se retourna vers nous. Elle eut un mouvement de surprise. Pris par le spectacle, je n’avais plus fait attention aux autres, mais en me retournant, je vis que Nadine avait posé sa main sur le sexe de Serge, que Guy avait la sienne sous la robe de Christiane et que Éric et Anne-Marie s’embrassaient passionnément, les mains d’Éric sur les seins d’Anne-Marie.


Claire se rapprocha de moi, se mit à califourchon sur mes jambes. Je pouvais sentir l’humidité de son sexe à travers mon pantalon.



Les autres s’interrompirent et, lentement, elle se redressa, se mit à genou, embrassa mon sexe par-dessus le pantalon, puis défaisant la braguette, elle sortit mon sexe et se mit à me sucer devant tous les autres. J’étais à la fois, surpris, gêné et excité et profitais de l’instant les yeux fermés. À mon grand regret, elle s’arrêta et appela Nadine et les autres femmes. Elles allèrent en cuisine pour discuter. De notre côté, nous nous sommes tous demandé, si nous étions d’accord pour aller plus loin. Bien évidemment, aucun d’entre nous ne refusa. Nous attendions tous le retour de nos femmes, très impatients. Je voyais bien qu’ils étaient tous aussi excités que moi. Ils avaient aimé voir Claire me faire une mini-fellation et nous étions tous en attente d’une excellente soirée. Nous ne savions pas encore ce que nous réservaient nos femmes.


Nous pensions tous faire l’amour avec nos partenaires à côté des autres, quand elles revinrent, elle nous firent une proposition :


Reine de la fête, c’est ma femme qui parla :



Comme nous hésitions un peu, elle rajouta :



Les autres dirent toutes qu’elles étaient d’accord, rajoutant que, même à la maison, nous n’aurions droit à rien.


Nous nous sommes regardés et je vis bien que, comme moi, tout le monde avait envie de tenter l’expérience. Nous avons donc été d’accord.



Nous nous sommes déshabillés très vite.


Pour un observateur extérieur, la scène devait paraître assez cocasse : quatre hommes nus en érection, une femme en soutien-gorge, string, porte-jarretelles et bas et trois femmes complètement habillées.


Nous avons mis quatre chaises les unes à côté des autres, nous nous sommes assis et avons attendu. Ma femme est partie chercher quatre foulards et quatre ceintures. Puis elles nous ont attaché les mains. Si nous pensions tous pouvoir nous libérer, nous en fûmes pour nos frais. Nos mains furent attachées très solidement, il nous était impossible de bouger nos poignets. Puis elles nous mirent le foulard sur les yeux. Là encore, ce fut d’une belle manière et je ne pouvais plus rien voir du tout.


Nous attendions la suite. Comme promis, aucun de nous quatre ne parlait. Nous pouvions entendre nos femmes chuchoter. Puis des bruits de fermeture-éclair, d’étoffes qui se défaisaient. Cela me semblait excitant au possible. Ne pouvant plus voir mes acolytes, j’imaginais qu’il en était de même pour eux.


L’attente me sembla interminable. Je vous assure, messieurs, essayez, vous verrez !


Ce qu’il y a d’amusant dans cette situation, c’est que lorsque l’on ne voit plus rien, les autres sens ont l’air de se développer beaucoup plus instantanément.


Les palabres avaient l’air d’être finies ou alors les femmes parlaient plus doucement. J’étais toujours dans l’attente, quand je sentis tout à coup des mains caresser mes mollets. Je sursautai autant de surprise que de plaisir. J’avais l’impression que mes sensations étaient décuplées. Les mains remontèrent lentement le long de mes jambes et se saisirent de mon sexe. J’étais tendu au maximum. Le fait de ne pas pouvoir deviner qui me faisait ces caresses était un piment supplémentaire. Puis une bouche se posa doucement sur mon sexe et une langue agile commença à jouer avec. Puis ma partenaire me prit dans sa bouche et commença une lente fellation dont je profitais au maximum. Je n’étais sûr que d’une chose, il ne s’agissait pas de ma femme.


Me faire sucer sans savoir par qui et imaginer que ma femme devait faire la même chose à quelqu’un d’autre eut raison de moi et dans un râle, je me mis à jouir dans cette bouche accueillante qui n’en perdit pas une goutte.


La bouche se retira, des lèvres se posèrent sur la mienne pour un baiser où je pouvais encore sentir le goût de ma jouissance.


Deux mains me saisirent les bras et me firent comprendre de me lever. Je me retrouvais debout, puis d’un appui sur mes épaules, les mains m’enjoignirent de me mettre à genou. Je compris que mon inconnue d’un soir prenait ma place sur la chaise. Deux mains impatientes appuyèrent sur ma tête pour m’amener à un sexe déjà bien humide. C’est avec un grand plaisir que je me mis à sucer ce sexe de femme excitée. Ce n’était pas facile avec les mains attachées dans le dos. Je risquai plusieurs fois la chute, mais aux gémissements qui accompagnaient ma langue, je comprenais qu’elle appréciait le traitement. J’essayais de déterminer de qui il s’agissait, mais cela me fut impossible. Comme moi quelques instants auparavant, ma partenaire connut un orgasme très rapidement, ses mains appuyant très fortement ma tête contre son sexe. Je la sentis me repousser et se lever. Elle me prit par les bras pour me faire me relever, ce qui se révéla plus difficile que de s’agenouiller, car je ne pouvais pas m’aider de mes mains. Enfin je fus debout. Je fus rassis sur la chaise. De nouveau, la bouche gourmande prit possession de mon sexe qui retrouva très vite une belle vigueur. Alors je sentis une jambe passer par-dessus les miennes et un sexe se rapprocher du mien. Une main prit mon sexe pour le présenter et un sexe féminin l’engloutit totalement. Les sensations que je ressentais étaient extraordinaires. Toujours amplifiées par le fait que je n’avais toujours pas pu déterminer de qui il s’agissait. Le corps de femme faisait maintenant de grands mouvements de haut en bas et me possédait totalement. Le pouvoir qu’elle avait sur moi, car elle me voyait et savait que je ne pouvais pas la voir semblait l’exciter énormément, car très vite, elle connut une nouvelle jouissance. Elle continua ses mouvements et très vite ce fut moi qui me libérai dans son ventre. J’avais l’impression de n’avoir jamais joui aussi fort et aussi longtemps de ma vie. Pendant ce temps-là, aux bruits que j’entendais, je compris que les autres non plus n’étaient pas restées inactives. Ma partenaire affalée sur mon cou respirait fortement. Je n’arrivais toujours pas à savoir à qui j’avais bien pu faire l’amour.


Puis, je la sentis se lever et, après un dernier baiser, à mon grand regret s’éloigner. Aux soupirs de mes trois amis, je compris que les autres femmes s’étaient éloignées, elles aussi.


Le temps passait et nous étions toujours attachés et avec notre foulard sur les yeux. Nous commencions à nous demander ce que nos femmes faisaient quand je sentis des mains défaire la ceinture et me libérer. J’enlevai mon bandeau très vite. Nos femmes étaient toutes rhabillées et nous souriaient, un peu moqueuse. J’ai voulu prendre mes vêtements quand soudain, je me rendis compte qu’ils n’étaient plus là, comme les vêtements des trois autres.



Je la rapportai et servis les huit flûtes. Cette situation m’excitait et je bandais toujours. Je pus remarquer que les autres garçons aussi.


Il faut dire que nous avons fait le service à ces dames toute la soirée et qu’à chaque fois qu’elles le pouvaient, elles nous touchaient, nous caressaient ce qui nous rendait difficile de nous calmer. Chaque femme s’occupait du sexe de son mari. Petits baisers, mini-fellation, masturbation plus ou moins poussée.


À force, évidemment, tous les quatre, nous avons connu une nouvelle jouissance sous les bravos des femmes, quand l’un d’entre nous explosait. Le tapis du salon allait avoir besoin d’un sacré nettoyage.


Puis le temps passa, agréablement d’ailleurs, Nadine dit qu’il était temps de rentrer. Nos femmes nous rendirent nos vêtements, nous nous sommes rhabillés et les trois autres couples sont partis après des échanges de baisers entre tous. J’espérais pouvoir profiter de l’occasion pour deviner qui m’avait donné tant de plaisir, mais cela me fut impossible.


Nos amis partis, le ménage fait, nous sommes montés nous coucher.



Nous avons fait l’amour plusieurs fois dans la nuit. Je crois que ma femme était aussi excitée que moi de cette aventure et elle m’a réveillé autant de fois que je l’ai réveillée.


Il avait été prévu, avant la soirée, que, dans quinze jours, nous nous retrouverions tous chez Nadine et Serge. Nous avions convenu entre hommes, à un moment où nos femmes n’étaient pas là, que lors de cette soirée, c’est nous qui mènerions la danse. Nos femmes l’ont accepté sans aucun problème. Mais il s’agit là d’une autre histoire que je vous raconterai plus tard.