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La suite de la soirée des 30 ans de Claire

Résumé : Lors de l’anniversaire de ma femme (voir les 30 ans de Claire (1)), la soirée très sage au début avait évolué vers une soirée de sexe où nous, les hommes, avions eu les yeux bandés et les mains attachées. Nos femmes nous firent l’amour sans que l’on sache avec qui on le faisait. Il avait été convenu que lors de la prochaine soirée deux semaines après ce serait notre tour de mener la danse.

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La soirée arriva enfin. Étant beaucoup plus proche de Serge, nous en avions souvent parlé ensemble et Serge avait imaginé un scénario qui m’enchantait et m’angoissait à la fois car si à son avis (et au mien) Nadine, sa femme, serait d’accord, j’en étais moins sûr pour Claire, la mienne, (vous en saurez plus, plus loin dans cette histoire).

De plus, je lui fis remarquer :

• — Tu te rends bien compte que si nous y arrivons, il faut s’attendre à ce qu’elle nous demande la même chose.
• — Ah oui, je n’avais pas pensé à ça. Qu’est ce que tu en penses, toi ? Ça te tenterait éventuellement ?
• — Sincèrement, je ne sais pas. Je t’avoue que, non seulement, ça ne m’attire pas trop, mais qu’en plus je n’y ai même jamais pensé.
• — Ecoute, on essaie et après on verra bien ? fut sa dernière question.
• — Ma foi, on verra bien. Il sera toujours temps de décider si cela se présente.

D’autre part, lorsque nous en avions parlé entre les quatre hommes, il avait été convenu que nous ferions un tirage au sort. Chacun ne pouvant être avec sa chacune si le nom de l’épouse sortait, on refaisait immédiatement un tirage avant de remettre ce bulletin.

Il avait été convenu aussi que personne ne ferait plus l’amour quatre jours avant la soirée pour être en forme.

Ce soir-là, Claire et moi sommes arrivés les premiers.

Quand je vis Nadine, je priai pour que le tirage au sort me la désignât. Elle portait une robe qui lui arrivait un peu au-dessus des genoux, un décolleté qui dévoilait plus qu’il ne cachait et qui surtout permettait de voir qu’elle n’avait pas de soutien, ce dont d’ailleurs elle pouvait se passer fort bien.

Claire, quant à elle, avait mis une robe que j’adorais. Elle avait, elle aussi, un décolleté plongeant qui dévoilait bien sa poitrine lorsqu’elle se penchait. Elle semblait très sage, mais je ne sais par quel miracle, lorsqu’elle tournait ou s’asseyait, la robe remontait et dévoilait une grande partie de ses jambes. J’avais déjà remarqué que Serge n’avait pas été insensible dans le passé à ce spectacle.

J’ai donné un coup de main à Serge pour finir de préparer le punch pendant que Claire aidait Nadine à installer les amuse-gueules. Serge eut la même réaction que moi et souhaitait faire l’amour avec Claire.

• — Si on leur demandait de faire un échange toi et moi et eux ensembles ? me dit-il.
• — C’est délicat, on avait parlé d’un tirage au sort.
• — Oui, c’est vrai, pourvu qu’on ait du pot.
• — De toute façon si ce n’est pas ce soir, on pourra se refaire une soirée juste tous les quatre.
• — Oui, mais ce sera plus dur à faire passer, ce soir, je pense que ça irait tout seul, elles oseront moins faire un scandale.
• — Bon, on verra bien, on aura peut être de la chance.

C’est sur cette dernière remarque que je fis que, le punch terminé, nous sommes retournés au salon rejoindre nos femmes.

Je n’avais pas besoin de le lui demander pour savoir que Serge était autant excité que moi et à son regard, je vis que ma femme l’était autant que nous. Connaissant moins Nadine, je ne pouvais être sûr, mais je crus bien comprendre qu’elle aussi était excitée et au regard qu’elle me jeta, je me sentis fondre d’envie pour elle.

Eric, Anne-Marie, Guy et Christiane arrivèrent tous les quatre ensemble, habitant le même coin, ils n’avaient pris qu’une voiture. Ils semblaient eux aussi complètement excités. Leurs femmes, comme les nôtres, étaient vêtues très sexy et je me dis que nous allions décidément passer une bonne soirée quel que soit le tirage. Prenant Guy et Eric à part, nous leur avons parlé de notre petit projet. Ils ont accepté avec empressement, Guy nous disant que de toute façon pour Christiane il n’y aurait aucun problème sur les deux points.

L’apéritif se passa normalement, tout au plus avions-nous tous les yeux un peu brillants et nous pouvions percevoir une certaine impatience de tout le monde. Le dîner se passa, lui aussi, très bien et c’est dans une excellente humeur que la table débarrassée, nous nous sommes rendus au salon.

Comme pour nous donner un signal de début, nos quatre femmes allèrent s’asseoir sur le canapé et attendaient.

Serge, en tant que maître de maison prit la parole.

• — Vous êtes toujours d’accord pour être à nos ordres à partir de maintenant ?

La réponse fut unanime. Quatre « oui » fusèrent impatiemment de nos femmes.

J’intervins :

• — À partir de maintenant, vous êtes nos esclaves et vous ferez tout ce qu’on vous dira !
• — Esclaves, vous entendez quoi par là ? demanda Nadine
• — Vous obéirez et vous ferez tout ce qu’on vous demande ! lui répondis-je

Ma femme posa elle aussi une question :

• — Et si on refuse quelque chose ?

Le premier point délicat que nous avions abordé avec Serge arrivait sur le tapis. Ce fut lui qui répondit :

• — Celle qui refuse aura une fessée.

À la mine de Claire, je vis que ça ne l’enchantait pas beaucoup. Elle allait réagir quand Christiane prit la parole à son tour :

• — Dites donc, nous, on ne vous l’a pas imposé.

Ce fut Guy (son mari) qui lui répondit :

• — Oui, mais nous n’avons rien refusé. Et puis je pense que, toi, de toute façon tu ne diras pas non.
• — En effet, moi j’aime bien de temps en temps.

Tout le monde sembla un peu surpris par cette annonce, mais pour Serge et moi, l’essentiel était atteint, Claire n’avait pas manifesté un refus formel et j’espérais bien qu’elle ferait un petit truc qui lui vaudrait une fessée. Ce n’est pas que je sois particulièrement adepte de cela, mais j’avais envie d’essayer de la fesser et pourquoi pas d’en subir une pour voir.

Eric intervint à son tour :

• — Vous êtes prêtes, les femmes ?

Il y eut quatre oui dont celui de Claire un peu hésitant.

Serge reprit la parole :

• — Déshabillez-vous toutes les quatre.

Nos femmes se levèrent et commencèrent un strip-tease qui, s’il n’avait pas le côté très maîtrisé des professionnelles, s’en trouvait néanmoins beaucoup plus excitant. C’était la première fois que je voyais toutes mes amies totalement nues et, croyez moi, je ne le regrettais pas. Chacune dans son style, était superbe.

Serge disposa quatre chaises et, à notre tour, nous leur avons attaché les mains et mis un foulard sur les yeux. Quand nous fûmes sûrs qu’elles ne voyaient plus rien, chacun à notre tour, nous avons caressé leurs seins et à leurs soupirs nous avons compris qu’elles aimaient bien. Nous nous sommes écartés pour procéder au tirage au sort afin qu’elles n’entendent pas qui se retrouvait avec qui. Arrivés dans la cuisine, Eric parlant avec l’assentiment de Guy nous dit quelque chose qui nous fit très plaisir :

• — Nous voudrions vous demander quelque chose, je sais que nous avions prévu de faire un tirage au sort, mais nous aimerions tous les deux échanger nos épouses. Moi, ce soir, c’est de Christiane que j’ai le plus envie et lui c’est d’Anne-marie. Vous pourriez faire l’amour avec nos femmes lors d’une prochaine soirée.

Vous pensez bien que nous avons accepté de leur faire plaisir et de leur rendre ce service.

Je pris la parole :

• — Je vous propose une chose, si une femme refuse quelque chose ou se met dans la position d’une fessée comme on ne doit pas parler pour rester anonymes, on frappe dans nos mains, tout le monde s’écarte et nous donnons tous la fessée à la coupable.

Tout le monde fut d’accord.

Guy rajouta :

• — Je suis sûr que Christiane va refuser rapidement de faire quelque chose pour avoir une fessée. Elle aime bien et me le demande souvent.

Comme nos femmes l’avaient fait quinze jours avant, nous avons retiré et caché leurs habits pour les obliger à nous servir nues en fin de soirée.

Nous nous sommes déshabillés et sommes revenus dans le salon.

Inutile de vous dire que nous étions tous en pleine forme. Guy se dirigea vers Anne-Marie, Eric vers Christiane, je me dirigeai vers Nadine et Serge vers Claire. Je me mis à genoux devant Nadine et je commençai un massage de ses pieds, puis je remontai sur ses mollets en m’y attardant un peu. À ses frissons, je vis qu’elle semblait apprécier. Je regardai Serge, ses mains étaient déjà sur le haut des cuisses de Claire qui les écartaient attendant une caresse beaucoup plus précise. Je remontai moi aussi le long des cuisses de Nadine et posai doucement une main sur son sexe qui était déjà bien humide. Puis comme convenu avec serge, nous avons abandonné ce lieu magique et posé nos lèvres sur leurs seins. Là encore, les soupirs de nos femmes prouvaient qu’elles appréciaient. Mes lèvres sont redescendues le long de son corps et je posais ma bouche sur son sexe qui coulait littéralement. Je commençai à la sucer et je sentais poindre son plaisir. Elle m’encourageait d’ailleurs à haute voix et annonçait sa jouissance toute proche, j’entendais Claire qui, elle aussi, disait que c’était bon et qu’elle allait jouir et, bizarrement, au même moment, elles connurent leur première jouissance

Je profitais de son plaisir en continuant de petites caresses quand soudain j’entendis frapper dans des mains. Serge et moi nous sommes relevés immédiatement sous les cris de frustration de nos femmes.

Nous nous sommes écartés et Serge demanda qui s’était rendu coupable d’un refus. À voix basse, Eric nous dit que Christiane avait refusé de le sucer quand il avait présenté son sexe devant sa bouche après l’avoir lui-même fait jouir avec sa langue. Guy nous confirma qu’elle l’avait fait exprès parce qu’elle adorait sucer et avaler. À voix haute, Serge dit :

• — Christiane a refusé de faire une fellation à son partenaire inconnu, elle a donc mérité une punition. Son mari va la prendre sur ses genoux et elle va recevoir la fessée qu’elle mérite.

Guy s’installa sur la chaise à la place de Christiane et la mit en travers sur ses genoux. Je fus le premier à lui donner une claque sur ses fesses. N’ayant pas (encore) l’habitude de cette pratique, j’y allais doucement. Guy s’écria :

• — Ce n’est pas une caresse que tu dois faire, mais une fessée ! Attends, je te montre.

Et il abattit très fortement sa main sur les fesses de Christiane qui poussa un petit gémissement. Je recommençai à mon tour en y allant cette fois plus fort, puis m’enhardissant, j’y allai carrément d’une dizaine de frappes. Chacun d’entre nous y alla. Comme j’étais placé derrière elle, je présentais un doigt sur son sexe par curiosité, tandis que les autres y allaient gaillardement. Je fus très surpris de voir qu’elle mouillait abondamment et semblait prendre un plaisir extrême à cette fessée. Je fis aller et venir mon doigt dans sa chatte pendant que les autres continuaient chacun leur tour leur fessée et je pus remarquer que cela ne les laissait pas indifférents. Les autres femmes quant à elles retenaient leur souffle même si je crus m’apercevoir que Nadine et Anne-Marie tendaient l’oreille. La seule qui me semblait le moins emballée, c’était ma femme.

La fessée et mon doigt continuaient et soudain dans un grand cri, Christiane connut une grande jouissance.

• — Maintenant, mon bel inconnu, je vais te faire la pipe de ta vie, dit-elle encore un peu essoufflée de son plaisir.

Nous avons relevé Christiane de son inconfortable position et l’avons rassise sur sa chaise, chacun se dirigeant vers la femme qui lui avait été assignée. Je jetai un coup d’œil et je vis effectivement que Christiane se donnait à fond avec sa bouche pour remercier son compagnon d’un soir.

Serge me dit doucement dans l’oreille qu’il était temps de tenter l’expérience dont nous avions parlé. Il se dirigea vers Claire et lui présenta son sexe que ma femme engloutit sans hésiter. Contrairement à ce que j’avais pensé, elle semblait très excitée et je peux vous assurer que, dans ces cas-là, elle est la meilleure suceuse de la terre. Je présentais mon sexe à Nadine qui, comme ma femme, le prit en bouche et commença à me sucer, elle aussi d’une manière merveilleuse.

Serge me fit un signe de tête et à regret je me retirai de la bouche de Nadine qui en sembla déçue. Il fit de même avec Claire et se mettant à côté d’elle, il lui écarta les jambes pour commencer à caresser son sexe. Elle se mit à gémir sous la caresse. Je fis lever Nadine et la fit s’agenouiller. Elle crut que j’allais m’asseoir à sa place et lui redemander de s’occuper de moi. Je l’avais mise à genoux en face de Claire et lui appuyant sur la tête, l’amenais doucement vers le sexe de ma femme. Quand elle se rendit compte qu’il s’agissait d’un sexe de femme et non d’homme, elle eut un mouvement de recul. Comme je m’y attendais, j’avais placé ma main sur sa tête et appuyais de nouveau fortement pour la repositionner. Elle se mit alors à sucer le sexe de Claire qui n’avait pas compris tout de suite ce qui se passait. Quand enfin elle comprit, elle eut un sursaut et cria :

• — Non, arrêtez, je ne veux pas ça !

Le moment que je redoutais depuis le début de la soirée était arrivé. C’est une chose de parler d’un fantasme, une autre de le réaliser. Le premier test, lui faire découvrir l’amour avec une autre femme, semblait complètement raté. Le second, la fessée m’angoissait encore plus. Je voulais renoncer à cela et j’espérais que Serge ferait de même. Mais lui alla jusqu’au bout et frappa dans ses mains. Les deux autres se relevèrent et s’écartèrent à regret de leurs compagnes.

Comme tout à l’heure, Serge prit la parole :

• — Claire a refusé de se laisser faire. Comme Christiane tout à l’heure, elle mérite une fessée.
• — Il n’est pas question que je fasse l’amour avec une femme ! dit Claire qui semblait en colère.

J’étais affreusement mal à l’aise. Je me rendais bien compte que, la soirée finie, j’aurais des comptes à rendre. Je ne pourrais pas prétendre que cela m’avait été imposé, je le lui avais demandé déjà plusieurs fois.

Christiane, qui décidément m’étonnait, elle qui m’avait toujours paru très sage, intervint :

• — Tu as tort, ma chérie, c’est très agréable.

Serge reprit la parole.

• — Quoi qu’il en soit, elle a refusé quelque chose, elle doit être punie.
• — Ça non plus je ne veux pas.
• — Tu n’as pas le choix, tu as accepté tout à l’heure. Allez, Bernard, prends ta femme sur tes genoux et que la punition commence.

Toujours aussi mal à l’aise, je me dirigeai vers ma femme et lui prit le bras pour la faire se lever. Je m’attendais à une résistance, mais elle ne m’en opposa aucune. Je m’assis et la mis sur mes genoux. En s’allongeant, elle dit doucement :

• — Je te le ferai payer, mon chéri, et très vite.

Très surpris, je m’aperçus qu’elle semblait maintenant excitée et même impatiente. Je lui caressai un peu les fesses et je la sentis frémir. C’est un signe que je connais bien et qui montre qu’elle est excitée. Je la caressai un peu, descendit mon doigt sur son sexe que je trouvais très humide. Les femmes, ne voyant rien, attendaient, très tendues. Mes compères me regardaient faire et je pouvais deviner leur attente et leur excitation. Je la caressai encore quelques secondes et soudain, levant la main, je l’abattis fortement sur ses fesses. Elle eut un sursaut et je sentis son corps se tendre. Le signal étant donné, chacun à leur tour, les trois autres commencèrent la fessée. Claire gémissait et s’agitait sur moi. Guy, comme j’avais fait tout à l’heure pour sa femme, lui pénétra la chatte avec ses doigts.

• — Mais c’est qu’elle mouille cette salope ! s’écria-t-il.

Est ce le traitement qu’elle subissait ou la phrase que venait de prononcer Guy, toujours est-il que Claire eut un orgasme comme je ne lui en avais jamais vu. Elle cria de plaisir en s’agitant sur moi.

Serge et Eric l’aidèrent à se relever. Je pus constater que nous n’y étions pas allés de main morte emportés par l’excitation : Ses fesses étaient toutes rouges.

En se levant, elle me tendit ses lèvres et je l’embrassais fougueusement. Ce qui lui valut une nouvelle claque de Serge sur les fesses :

• — Dis donc esclave, ce n’est pas à toi de demander un baiser, c’est à ton maître de te l’offrir.

Jouant les soumises, elle répondit d’une petite voix

• — Oui…

Je lui mis à mon tour une claque sur ses fesses (c’était d’ailleurs plus une caresse qu’une fessée, elle s’en rendit bien compte) :

• — Oui, qui ?
• — Oui, maître.
• — C’est bien, retourne à ta place.

Je l’ai rassise sur son siège et nous sommes tous retournés vers nos « esclaves ». J’embrassai de nouveau Nadine, glissai une main vers son sexe. Elle resserra les jambes en disant d’une voix excitée :

• — Non, je ne veux pas.

J’allais taper dans mes mains, quand Guy tapa dans les siennes. Nous nous sommes donc éloignés le sourire aux lèvres. Décidément nos femmes avaient l’air d’apprécier les fessées.

Serge reprit la parole :

• — Nadine et Anne-Marie ont elles aussi refusé de faire quelque chose. Elles vont donc être punies. Nous allons faire deux équipes de deux et leur donner la fessée qu’elles méritent.

Guy et Eric s’occupèrent d’Anne-Marie, tandis que Serge et moi, nous nous sommes occupés de Nadine. Là encore, la fessée et les doigts dans le sexe amenèrent nos deux esclaves à la jouissance.

J’aidai Nadine à se redresser et la ramenai vers Claire qui, elle, était de nouveau assise sur sa chaise. Serge était en train de la caresser et elle gémissait chaque fois que deux doigts la pénétraient. Serge retira sa main. Je sentis que Claire se crispait de nouveau un peu sachant ce qui l’attendait. Mais Serge m’écarta, fit se lever Claire et s’allonger par terre. Me faisant signe de retourner Nadine. Je compris immédiatement ce qu’il voulait faire et faisant passer une jambe de Nadine de chaque côté de la tête de Claire je lui fis comprendre de s’allonger. Quand elle sentit un corps sous le sien, je la vis sourire. Je pense qu’elle avait compris ce que nous envisagions de faire. Elle s’allongea et je dirigeai sa tête vers le sexe de Claire, tandis que de son côté, Serge faisait pareil avec Claire. Je regardais attentivement ma femme. Après un petit recul, quand elle comprit ce qu’on attendait d’elle, elle posa d’abord sa bouche sur le sexe de Nadine. J’étais terriblement excité. Je voyais qu’elle ne s’était pas encore décidée à se donner à fond, mais j’étais presque sûr maintenant qu’elle allait franchir le pas.

Nadine, quant à elle, ne se posait pas toutes ces questions. Dès que sa bouche fut en contact avec le sexe de Claire, elle fit de petits baisers et très vite sortit sa langue et se mit à lécher ce sexe de femme qu’on lui offrait. À mon avis, ce n’était pas la première fois. Je me demandais ce que faisaient les autres et je jetai un coup d’œil vers eux pour m’apercevoir qu’ils avaient fait exactement la même chose que nous et que Christiane et Anne-Marie étaient en pleine action pendant que leurs maris se masturbaient en les regardant. Immédiatement, je me dis que du coup, nos femmes à Serge et à moi qui devaient bien se douter maintenant avec qui elles étaient depuis le début auraient un doute quand elles en parleraient avec les autres. Claire gémissait sous les coups de langues de Nadine et soudain se lança. Elle se mit elle-même à jouer avec le sexe de Nadine et, se donnant à fond, se mit à la lécher partout. Surprise par cette langue qu’elle n’attendait plus, Nadine s’arrêta de s’occuper de Claire pour se consacrer à son plaisir qui vint très vite dans un grand cri. Dès qu’elle eut joui dans la bouche de Claire, elle s’occupa de nouveau d’elle et c’est ma femme qui se mit à jouir rapidement, elle aussi dans un grand cri.

Serge et moi, nous étions très heureux d’avoir réussi notre pari insensé, mais nous n’avions toujours pas joui ni l’un ni l’autre, aussi je pris Nadine, la fis glisser sur le côté et lui présentai mon sexe à sucer, ce qu’elle s’empressa de faire. Puis je présentai mon sexe tendu à un tel point qu’il m’en faisait presque mal devant le sien et la pénétrai d’un coup. Serge avait fait de même avec Claire. Lui comme moi, nous jouîmes très vite dans ces ventres accueillants.

Nous nous relevâmes. Guy et Eric, de leur coté, avaient aussi épuisé leurs forces avec leurs compagnes et nous sommes partis en cuisine nous rhabiller. Nous les avons libérées. Elles ont pu voir que nous avions préparé du champagne pour tout le monde. Nous avons bu le champagne, demandant à nos conjointes de faire le service. Comme elles, quinze jours plus tôt, nous en profitions pour caresser qui un sein, qui une fesse. Elles semblaient toutes encore très excitées. Quand elles sont allées en cuisine chercher de quoi se restaurer, nous les avons entendues parler entre elles. Guy qui s’était approché discrètement, revint nous dire qu’elles pensaient avoir trouvé avec qui elles avaient fait l’amour, mais qu’à comparer leurs expériences, elles n’en étaient pas très sûres. Claire et Nadine revinrent un peu plus tard que les deux autres. À mon avis, elles avaient mis au point un plan pour la suite.

Après quelque temps toutefois, Eric, Anne-Marie, Guy et Christiane manifestèrent le désir de partir. Nous avons ramené les habits de tout le monde et les avons regardés s’habiller. Ce que je trouvais d’ailleurs très excitant.

• — La soirée est finie ? Nous sommes libérées ? Nous ne sommes plus vos esclaves ? demanda Nadine.
• — Oui ! dit Serge, approuvé par les autres.

Les quatre autres partirent. Claire et moi, nous restâmes un peu pour aider Nadine et Serge à ranger. Puis je donnai le signal du départ et ce fut sans réelle surprise que j’entendis Nadine s’écrier :

• — Non, vous ne partez pas, Claire et toi, vous allez dormir ici.
• — Et nous ne sommes pas couchés, mes chéris ! dit Claire.

Ce que fut la suite ? Cela fera partie de mon prochain récit.