n° 13214 | Fiche technique | 41506 caractères | 41506Temps de lecture estimé : 25 mn | 25/03/09 |
Résumé: J'ai eu la chance de prendre Charlotte la main dans le sac et ça me permet de l'amener doucement au rôle de soubrette docile que je lui réserve. | ||||
Critères: f ff fplusag travail fsoumise fdomine soubrette sm -fhomo -fsoumisaf | ||||
Auteur : Skya69 |
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Comme je m’attendais plus ou moins à ce spectacle, j’avais prévu la réaction que je devais avoir pour être « cohérente » avec mon image de vieille fille célibataire, très stricte et plutôt BCBG…
Je suis restée bouche bée quelques secondes (le temps de me rincer l’œil !), et sous le coup de la surprise (simulée évidemment, mais elle ne pouvait pas le savoir), je laissai échapper, d’une voix blanche, et d’un ton autoritaire pour bien marquer qu’elle n’était que ma bonne :
Depuis que nous nous connaissions, que ce soit dans le bar où nous nous étions rencontrées ou bien chez moi les quelques minutes où nous nous croisions quand elle arrivait pour faire le ménage, j’avais bien pris garde de ne pas la « mater » et de ne jamais la regarder avec insistance, pour ne pas lui donner l’impression que je pouvais être intéressée par son physique. C’était donc finalement la première fois que je pouvais détailler son corps, puisqu’elle était en petite culotte (impossible de savoir si mademoiselle était une vraie blonde), les cuisses très largement écartées, les seins nus, la main glissée sous la petite pièce de dentelle qui devait être imprégnée du nectar de son plaisir… On ne voyait même pas son sexe, mais sans que j’arrive à me l’expliquer, sa position m’avait semblé extrêmement sensuelle, et même franchement obscène.
Je me l’étais finalement bien imaginée, un petit peu plus ronde que je ne le pensais (en fait, j’ai appris plus tard qu’elle faisait 74 kilos pour 1m60), avec des seins trop lourds et qui, malgré son jeune âge, s’affaissaient très nettement sous leur poids imposant… J’ai aussi appris ses mensurations par la suite : 90 75 95, avec un bonnet C qui aurait pu être joli en théorie, mais ils n’étaient pas très fermes et on avait plutôt l’impression qu’elle avait déjà allaité trois enfants.
Pour compléter sa description, elle n’avait pas vraiment les traits fins, comme je vous l’ai déjà dit… Elle n’était pas vraiment très grosse, mais plutôt épaisse de partout, avec des hanches bien larges, les cuisses et les mollets dans le même genre et des lèvres trop pulpeuses, assez vulgaires. Elle ne correspondait donc vraiment pas aux canons de beauté actuels, et elle était surtout très loin des cadres supérieures, grandes et fines, que j’avais l’habitude de fréquenter jusqu’alors.
Pourtant, je dois reconnaître que dès notre première rencontre ses charmes ne m’avaient pas laissée indifférente, et depuis… Eh bien sans dévoiler la suite de l’histoire, je dirai que sa sensualité vulgaire me faisait depuis de plus en plus d’effet…
Ne lui laissant surtout pas le temps de s’expliquer, je fis trois pas en arrière, ressortis de l’appartement l’air très choquée, et claquai la porte d’entrée.
Au bout de quelques secondes, le temps de reprendre mes esprits après ce spectacle obscène et si choquant pour la bourgeoise coincée que je prétendais être :
Au bout de quelques minutes d’attente sur le palier, je suis revenue dans mon appartement et l’ai trouvée rhabillée, assise sur le canapé, les yeux baissés, son sac à main ramené sur ses genoux, les cuisses serrées et les joues écarlates de honte. J’ai pris mon ton le plus distant et le plus froid possible pour lui faire comprendre que l’époque où on rigolait ensemble à la terrasse des bars en commentant un film à l’eau de rose était vraiment très loin :
Je me suis arrangée pour ne pas être là les fois suivantes où elle est venue faire le ménage, lui laissant juste des petits mots très secs avec mes consignes concernant les tâches ménagères qu’elle devait effectuer…
Au bout de quinze jours, je l’attendais chez moi jeudi matin, très maquillée avec un tailleur très strict que je ne mettais que lors des grandes occasions. Assise sur mon canapé, l’air moins sèche que la dernière fois, je l’attendais et, en tapotant le coussin à côté de moi, je lui ai fait comprendre qu’elle pouvait venir s’asseoir sur le canapé…
En quelques minutes, j’étais passée du terme général « une maîtresse de maison » à quelque chose de beaucoup plus précis : ta maîtresse, pour la préparer psychologiquement à ce que j’envisageais de lui proposer…
(Tu m’étonnes que tu es prête à tout ma cocotte, tu es folle amoureuse de moi !!!)
D’un seul coup j’ai vu son visage s’illuminer, elle est quasiment tombée à la renverse du canapé, et sans que je l’incite à quoi que ce soit, elle a pris ma main, l’a serrée et l’a même embrassée, comme si je venais de lui sauver la vie…
Je savais parfaitement que j’avais été suffisamment floue pour qu’elle ne saisisse pas tout ce que j’avais en tête et de toute façon, elle semblait presque capable d’accepter n’importe quoi…
À ce moment-là, je sais que si elle part, j’ai tout perdu, mais plutôt que de tourner autour du pot pendant des semaines j’ai préféré tout risquer d’un coup… Si je gagne mon pari, après ça, je pourrai faire d’elle ce que je veux !
À cet instant sa timidité a repris le dessus, et elle a piqué un fard monumental… Elle a baissé les yeux, serré les cuisses encore plus fort (pour se procurer de délicieuses sensations, ou bien par pudeur ? Je ne le saurai jamais…)
Elle a prononcé cette phrase dans un murmure, les yeux fixés au sol, et j’aurais parié mon salaire que sa culotte était aussi trempée que si elle sortait d’une piscine… C’est la première fois que j’ai décelé chez elle l’excitation incroyable que pouvait provoquer un sentiment de honte… Comme elle avait peu confiance en elle, était très pudique et pas très jolie, elle était très souvent et très facilement submergée par la honte… J’ai évidemment, depuis ce jour-là, usé et abusé de mon autorité sur elle pour provoquer sa honte en tous lieux et en toutes circonstances…
Je continuai à alterner un langage très sec avec des mots beaucoup plus tendres, comme une patronne un peu trop maternelle, pour mettre le trouble dans son esprit et affirmer mon emprise sur elle… De toute façon, vu la tournure que prenaient les évènements, même si elle avait perdu tout espoir qu’on devienne un jour copines, puis amantes, elle était toujours folle de moi… Cela se voyait dans ses yeux quand je l’appelais « ma chérie », et elle avait probablement eu l’occasion ces derniers temps de se donner du plaisir seule dans sa chambre d’étudiante en pensant à sa patronne…
Elle a donc fait le ménage ce jeudi-là, et pendant encore deux semaines à raison de deux jours par semaine, sans que je change de manière trop évidente mon attitude avec elle. Je travaillais chez moi, donc je pouvais la surveiller… Elle se tenait à carreau, et j’étais plus stricte que par le passé, plus sèche, lui faisant quelques commentaires sur son travail de manière à la mettre mal à l’aise, mais ça restait très « soft »… Comme j’étais là, j’en profitais pour me faire servir, j’interrompais son repassage en lui demandant de me servir un thé dans mon bureau, ou d’attendre à côté de moi, debout, le temps que je finisse mon petit déjeuner, pour remporter mon assiette à la cuisine et faire la vaisselle… Bref des choses assez anodines…
Au bout de deux semaines, j’avais décidé de lui faire franchir encore un cap, et je lui proposai de venir boire un thé dans mon bureau pour que nous fassions ensemble le point sur ces deux premières semaines…
Elle était manifestement surprise mais en tout cas elle ne semblait pas farouchement opposée… Ma petite bonniche docile et passive n’allait pas être difficile à convaincre…
Je suis allée chercher une petite valise dans un placard, et je lui ai déballé la fameuse tenue « plus adaptée » : des chaussures noires en cuir, à talons (4 cm de haut), très sobres, laissant le dessus du pied nu, avec une petite sangle pour serrer autour de la cheville ; une jupe tablier noire couvrant environ un tiers des cuisses (c’est-à-dire vraiment pas beaucoup, surtout pour elle qui ne mesurait que 1m60) ; un soutien-gorge pigeonnant couleur chair (pour qu’il ne se voie pas) légèrement trop petit pour elle et avec un très bon soutien (étant donné le poids de ses mamelles !) afin de donner l’impression que sa poitrine était encore plus imposante qu’elle ne l’était en réalité, et en coton tout simple pour atténuer l’impression que j’avais choisi des vêtements sexy ; une tunique blanche à manche courte, suffisamment décolletée et provocante pour qu’on voie bien la plus grande partie du sillon de ses seins, qui devaient en plus être bien « remontés » et « gonflés » par le soutien-gorge que j’avais prévu. Et pour finir, une culotte large en coton, pas sexy du tout, plutôt genre « confortable et enveloppant », pour lui donner le sentiment que ça m’était égal qu’elle soit sexy (et lui confirmer que ses charmes ne me faisaient strictement rien), mais que ce qui comptait pour moi c’était qu’elle rentre « dans la peau d’une soubrette ».
Elle en est restée bouche bée et ne savait pas trop comment elle devait réagir…
Je ne voulais surtout pas lui laisser le temps de réfléchir, et sachant qu’elle pouvait être parfois assez gamine (elle n’avait que 22 ans !) et s’amuser d’un rien, je lui présentais ça presque comme un déguisement…
Voyant qu’elle était quasiment convaincue, j’en rajoutais, pour l’amener à dire spontanément ce que j’attendais qu’elle dise :
La voyant de nouveau rougir comme une pivoine, j’ai compris que sa pudeur reprenait le dessus…
Elle est revenue au bout de quelques minutes, en parfaite soubrette docile et soumise (même si elle ne le savait pas encore)…
Même si je ne voulais surtout pas qu’elle s’en rende compte, j’ai eu l’occasion pendant les trois heures qui ont suivi de détailler son corps et la manière dont elle portait son nouvel « uniforme »…
Son décolleté était assez provocant, mais il n’était pas sensuel au sens classique du terme… Au risque de me répéter, j’avais soigneusement choisi sa tenue pour qu’elle soit excitante à mes yeux mais en essayant de ne surtout pas lui donner l’impression qu’elle me plaisait, ou que je la voulais sexy. Ce décolleté était plutôt vulgaire et caricatural, comme un personnage de bande dessinée, avec ces deux grosses mamelles exagérément remontées et comprimées, dont n’importe qui comprenait obligatoirement qu’elles tenaient ainsi grâce à un soutien très ferme…
Quant à ses cuisses, elles étaient suffisamment épaisses pour être beaucoup trop grosses, et visiblement obscènes sous cette jupe trop courte, mais sans exagération tout de même ce qui fait qu’elles restaient sexy et excitantes…
Pour bien se les imaginer, toujours selon nos fameux canons de beauté, elle avait le genre de cuisses qui devaient faire dire à ses copines de fac un peu langues de vipères, pendant l’été, des choses du genre :
Mais moi… Les canons de beauté, je les avais oubliés depuis que je connaissais Charlotte, et elle me plaisait beaucoup (c’est peu de le dire !)…
Enfin son chignon effectivement extrêmement strict (ses cheveux blonds lui tombaient maintenant en dessous des épaules, elle n’avait pas dû aller chez le coiffeur depuis notre première rencontre) renforçait cette tonalité d’ensemble, d’une jeune femme docile et soumise…
Charlotte a donc fait le ménage ce jour-là dans sa nouvelle tenue, offrant involontairement, et apparemment sans s’en rendre compte (il faut reconnaître qu’elle était aussi très naïve et que cela faisait deux mois que je passais mon temps à la persuader qu’elle était la dernière personne au monde qui puisse m’inspirer du désir sexuel ou une quelconque pensée sensuelle) à sa maîtresse de superbes points de vue sur ses cuisses, son fessier, et ses splendides mamelles dès qu’elle se penchait pour épousseter quelque chose… Et à vrai dire, dès qu’elle bougeait tout simplement, tellement sa tenue était ajustée sur ses formes, et trop courte…
Je n’ai pas poussé les choses trop loin ce jour-là, l’acceptation par Charlotte de la tenue de soubrette étant déjà un cap important pour elle dans sa nouvelle vie… La semaine suivante, une routine s’installait déjà, et sa tenue l’attendait dans ma chambre…
Au bout d’une minute ou deux d’une voix forte :
Je suis entrée le plus vite possible, pour ne pas lui laisser le temps de s’habiller, et tout en faisant attention à ne pas trop la regarder, je fouillais dans ma table de nuit pour récupérer mon portable. Elle était entièrement nue, et se tenait debout près de ma chaise, s’apprêtant à poser sa culotte et son soutien-gorge pour prendre ceux de son uniforme.
J’avais évidemment prévu mon coup et je me doutais que se déshabiller dans la chambre de sa maîtresse ne devait pas laisser Charlotte insensible…
Je regardais « par hasard » et « involontairement » dans la direction de ses cuisses, et… Pour la première fois, j’ai enfin vu la jolie toison bien blonde, pas très épaisse, qui ornait son pubis… Et surtout des traces suspectes sur les nombreux bourrelets appétissants de ses cuisses…
La rougeur instantanée sur ses joues, l’expression paniquée de son regard puis ses yeux qui descendent et qui scrutent la moquette intensément pour ne pas croiser mon regard, ses mains qui se portent pudiquement devant son pubis, tout me prouvait que j’avais vu juste, et que nous allions enfin pouvoir nous amuser…
Elle a obéi sans un mot, et je savais que si elle était légèrement troublée avant que j’arrive, le cours des évènements ne pouvait qu’accroître sa honte, et… Vous m’avez comprise !
J’ai avancé très lentement ma main droite vers son pubis, afin de faire durer son supplice (je me souviens que j’avais compté dans ma tête et ma main a mis environ 15 secondes pour franchir la distance qui la séparait de son sexe).
Elle se tenait debout, raide devant moi, droite comme un I, alors que j’étais assise sur le rebord de mon lit. J’ai posé ma paume sur le haut de sa cuisse et avec le pouce, j’ai effleuré à plusieurs reprises la peau si douce qui se trouve juste en dessous des grandes lèvres, à la jonction des cuisses…
Il a suffi de quelques secondes pour que mon pouce soit recouvert d’un liquide blanc et épais… En plus de ses nombreuses qualités, ma future soumise produisait une mouille abondante…
J’ai profité du fait qu’elle ne me regardait pas pour admirer son corps bien trop lourd, ses hanches larges, ses cuisses toujours aussi épaisses, qui décidément me faisaient énormément fantasmer, et ses seins trop gros qui s’étalaient sur son torse, tombant quasiment jusqu’à son nombril, avec des tétons qui semblaient durcis et tendus, prêts à craquer tellement elle était excitée… J’aurais donné n’importe quoi pour caresser ce corps de déesse… Mais il n’en était pas question pour l’instant, je devais suivre mon scénario…
Pendant de longues secondes je l’ai regardée, ma main toujours posée sur sa cuisse, mon pouce immobile sur ses grandes lèvres, l’obligeant à soutenir mon regard, et je sentais que ma chatte devait être à peu près dans le même état que la sienne…
Elle n’avait pas ouvert la bouche depuis que j’avais fait irruption dans la chambre, et elle avait apparemment la gorge serrée… Et c’est peu de le dire !
Tout en la regardant dans les yeux, j’ai recommencé mes petits va-et-vient avec mon pouce le long de ses lèvres, et l’humidité et la moiteur entre ses cuisses ne faisaient qu’augmenter, pour mon plus grand bonheur, et pour le plus grand désespoir de Charlotte qui n’avait probablement jamais eu autant honte de sa vie… Elle n’avait probablement jamais non plus connu un plaisir sexuel aussi intense…
La honte était tellement forte qu’elle s’est mise à trembler, et ses jambes ne la portant plus, elle est tombée à genoux, à mes pieds, puis assise par terre en tailleur… J’avais une vue plongeante sur sa chatte gonflée, excitée et si appétissante… Sa toison était trempée, comme si elle venait de prendre une douche. J’étais moi-même très excitée (mais je ne voulais pas le laisser paraître), surtout à la vue de cette chatte large et rebondie, qui n’avait pas dû être pénétrée très souvent, mais qui était déjà légèrement dilatée, encadrée par des lèvres trop grosses… Tout cela était probablement l’un des effets du surpoids de la demoiselle…
Je ne regardais pas la petite fente toute fine d’une jeune femme chaste, mais bien la chatte ouverte, obscène et pleine de bourrelets d’une femme bien en chair, pulpeuse et charnelle, qui était déjà largement initiée aux plaisirs solitaires…
Elle était toujours assise à mes pieds, et quand elle a levé ses yeux vers moi, j’ai lu dans son regard qu’elle me vouait une adoration qui dépassait mes espérances, elle m’était reconnaissante au-delà de ce que j’imaginais.
Elle était dans un tel état d’excitation nerveuse et sexuelle qu’elle a dû s’y reprendre à deux fois avant d’arriver à se lever, et à se diriger vers ses vêtements, en gardant les cuisses serrées et d’un pas hésitant… La faute à ses jambes flageolantes et à sa chatte qui réclamait la main de sa maîtresse…
À partir de ce moment-là, il était clair qu’elle était bien sur la voie d’une soumission complète, et je trouvais bien plus humiliant d’utiliser avec elle des petits mots tendres, des petits mots qu’elle aurait rêvé de me voir utiliser avec elle puisqu’elle était (et est toujours) amoureuse de moi… Sauf que dans ce contexte, ce n’était pas du tout les mots d’une femme pour son amante, mais les mots d’une femme pour sa chienne… Et elle le comprenait parfaitement, j’aurais dit « ma chérie » sur le même ton à une petite chienne de six mois ramenée de la SPA que j’aurais eu à éduquer…
Je me suis approchée d’elle par derrière et de la main gauche, j’ai exercé une pression ferme sur ses reins pour l’obliger à exagérer encore plus sa cambrure naturelle pourtant déjà très prononcée.
Ses seins alourdis et gonflés à l’extrême par l’excitation pendaient comme deux outres sous son torse, et comme je lui avais demandé de se mettre sur les coudes, le bout de ses seins touchait le sol et au moindre mouvement, ses tétons frottaient douloureusement contre la moquette et provoquaient de nouvelles vagues de plaisir dans son ventre…
Toujours à cause de sa cambrure, ses grosses fesses se dressaient fièrement vers le plafond, et son pubis au lieu d’être tourné vers le sol était presque à la verticale, et me faisait face. Son vagin était orienté comme son anus aurait dû l’être si elle avait été dans une position normale…
J’ai approché ma main droite, et sans aucun préliminaire, j’ai entièrement enfoncé mon majeur en elle.
Je commençai de lents va-et-vient tout en la maintenant bien cambrée pour que la moquette continue à irriter ses tétons. Pendant que mon majeur était en elle, mon pouce caressait délicatement et tendrement ses lèvres pour la mener le plus vite possible à l’orgasme…
Au bout d’environ une minute, j’ai senti qu’elle n’en était pas loin et que ses tétons étaient probablement tellement durs que le contact avec la moquette devenait quasiment insupportable…
J’ai délicatement ressorti mon doigt, et sans lui permettre de changer de position, j’ai fait le tour de la chambre pour me mettre face à elle…
J’avais évidemment employé ce terme à dessein… Je ne la caressais pas pour lui donner du plaisir, je ne faisais que lui donner un orgasme pour la soulager comme on soulage une vache en tirant son lait… Le temps que sa respiration se calme et qu’elle reprenne ses esprits pour être en état d’articuler, son désir avait encore augmenté et sa frustration devenait palpable…
Elle transpirait de chaque pore de sa peau et son corps tout entier exprimait un désir incontrôlable, à tel point qu’elle donnait de petits coups de reins dans le vide, espérant arriver ainsi à se faire jouir seule, ce qui était évidemment improbable… À moins qu’elle n’ait cherché un hypothétique meuble contre lequel elle aurait pu frotter son clitoris en feu, mais il n’y avait rien autour d’elle…
Elle m’était déjà presque entièrement soumise et se masturber elle-même ne lui était manifestement même pas venu à l’esprit, tout simplement parce qu’elle savait intuitivement que je ne l’aurais pas toléré…
Je me suis mise à caresser le sommet de son crâne et ses cheveux, puis sa nuque, avec tendresse…
Dans un murmure, encore à bout de souffle malgré les quelques secondes qui s’étaient écoulées et qui lui avaient permis de reprendre ses esprits :
De retour derrière elle, j’ai enfoncé sans ménagements mon majeur et mon index au plus profond de son intimité… J’ai aussi fait glisser mon autre main sous son ventre et j’ai commencé à titiller son clitoris manifestement très sensible…
Son orgasme a été immédiat… Sa respiration s’est encore accélérée et en quelques secondes tous les muscles de son corps se sont contractés pendant qu’une longue traînée de cyprine s’échappait de son vagin aux rythmes de ses contractions. Un long gémissement s’est échappé de sa gorge et elle s’est effondrée, roulée en boule sur la moquette comme une petite chienne.
Quand elle a commencé à reprendre ses esprits je me suis approchée d’elle et je lui ai donné mes doigts à lécher…
Anéantie par l’orgasme, elle s’est exécutée, sans dire un mot. Quand elle a pu se remettre debout, je lui ai ordonné d’aller prendre une douche froide, et elle a ensuite fait ses trois heures de ménage. Comme je m’y attendais, elle était très attentive à la moindre de mes consignes, et beaucoup plus efficace dans les tâches ménagères qu’elle ne l’avait été par le passé…
Nous n’avons pas évoqué ce qui s’était passé et à la fin de ses trois heures de ménage je lui ai demandé, comme si c’était parfaitement naturel, de se déshabiller devant moi afin que je puisse « faire une petite inspection ». Sa chatte était parfaitement propre et sans aucune trace de désir. Mon inspection a évidemment provoqué un début d’excitation, mais j’ai fermé les yeux en lui disant que j’étais fière d’elle malgré ce qui s’était passé, et que son éducation commençait bien…
À suivre…