Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/

Suite et fin des 30 ans de Claire

Tout d’abord, excusez-moi d’avoir tardé à vous envoyer la suite de nos aventures, mais je suis parti en déplacement ces trois derniers mois et je n’avais guère le temps d’écrire.

---

Résumé : Lors de l’anniversaire de ma femme (voir les 30 ans de Claire (1 et 2)), la soirée très sage au début avait évolué vers une soirée de sexe où nous, les hommes, avons eu les yeux bandés, les mains attachées. Nos femmes nous avaient fait l’amour sans que l’on sache avec qui on le faisait. Il avait été convenu que lors de la prochaine soirée, deux semaines après, ce serait notre tour de mener la danse. Cela s’est passé admirablement, amenant nos femmes à subir des fessées et à faire l’amour ensemble. À la fin de la soirée, lorsque Guy, Christiane, Eric et Anne-Marie furent partis, Nadine nous a dit de rester avec eux pour le reste de la nuit. Voici donc la troisième partie des 30 ans de Claire.

---

Les quatre autres partirent. Claire et moi, nous restâmes un peu pour aider Nadine et Serge à ranger. Puis, je donnai le signal du départ et ce fut sans réelle surprise que j’entendis Nadine s’écrier :

• — Non, vous ne partez pas, Claire et toi, vous allez dormir ici.
• — Et nous ne sommes pas couchés, mes chéris, dit Claire. (fin de la précédente partie)

---

Nadine reprit la parole :

• — Vous n’avez pas une petite faim, vous ?

Et elle nous prépara un petit encas que nous avons dévoré tous les quatre. La fatigue que nous commencions à sentir s’était évaporée et je dois dire que j’étais à la fois impatient et inquiet de la suite de la soirée. Je me doutais bien que nos femmes allaient vouloir nous faire subir la même chose que nous leur avions infligée pendant la soirée. Si la fessée ne me dérangeait pas trop, je dois même dire qu’au vu de leur réaction à toutes les quatre je me demandais avec curiosité ce que nous pouvions ressentir dans ce cas-là, mais je me doutais bien qu’elles voudraient me voir faire l’amour avec Serge et ça, ça ne m’attirait pas trop.

Le temps passait et je me disais que peut être avec la fatigue qui reviendrait nos femmes repousseraient cela à demain. Je regardai Serge et je me dis qu’il devait avoir les mêmes pensées.

Nadine et Claire nous demandèrent de débarrasser la table et de préparer le café. Nous enlevâmes tout, remplîmes le lave-vaisselle et fîmes le café. Nous revînmes dans le salon où nous attendait une petite surprise. Claire et Nadine s’étaient déshabillées, s’embrassaient et se caressaient. Nous profitâmes du spectacle pendant un moment. Leurs mains finirent par leur donner une jouissance qu’elles exprimèrent avec force soupirs.

Nadine se retourna vers nous et prit la parole :

• — Déshabillez-vous, mes chéris !

Très excité, je commençais à défaire les boutons de ma chemise.

• — Non, non, toi, Bernard, tu déshabilles Serge, et après, Serge te déshabillera.

Le moment était venu. Toutefois, excité comme j’étais, je n’hésitai pas longtemps. Je me dirigeai vers lui et commençai à soulever son pull, le fit passer au-dessus de sa tête. J’admirai une nouvelle fois sa musculature et emporté par l’instant, caressai ses pectoraux et ses abdos. Il frémit un peu semblant apprécier en fin de compte. Je m’attaquai à sa ceinture et au bouton de son pantalon. Nos femmes ne disaient plus rien et je jetai un coup d’œil vers elles. Elles semblaient fascinées par le spectacle et n’intervenaient pas (pour ne pas casser l’ambiance, m’avoua ma femme plus tard). Lorsque j’eus défait le bouton et fait glisser la braguette, je me mis à genoux pour lui enlever ses chaussures et ses chaussettes et enfin son pantalon. J’avais ma tête juste à la hauteur de son sexe qui était tendu sous son slip. Manifestement, mes caresses et mes actions ne le laissaient pas indifférent et moi emporté par tout ça, je me rendis compte qu’après tout ça me plaisait bien. Je saisis le haut du slip de Serge, libérai son sexe et enlevai totalement cette dernière pièce d’étoffe. Serge était maintenant totalement nu devant moi avec un sexe tendu à l’extrême. Les évènements me dépassaient totalement maintenant et je ne pus résister. Je saisis le sexe de Serge dans ma main et commençai doucement à le caresser. J’avais les yeux fixé sur ma main qui masturbait ce sexe et je trouvais très agréable ce sexe d’homme dans ma main.

• — Suce-le, dit soudain une voix près de mon oreille.

Pris par ce que je faisais, je n’avais pas vu que Claire et Nadine s’étaient approchées de nous et regardaient, très excitées par ce qu’elles voyaient.

Je ne sus jamais qui m’avait dit cela, mais j’obéis sans hésiter à cette demande. Cela faisait un moment que j’en avais envie. Quand ma femme me suçait, je me suis souvent demandé ce qu’elle pouvait ressentir.

J’approchai donc ma bouche de ce sexe. Essayant de me rappeler comment faisait ma femme, je posai doucement mes lèvres sur le gland. Puis, je jouai avec ma langue sur le méat, descendis le long de la tige, embrassai et léchai les bourses, remontai doucement et enfin je le pris en bouche, essayant de le rentrer au maximum. Je trouvais ce contact très agréable et comprenais pourquoi ma femme aimait cela. Manifestement, à ses gémissements, Serge appréciait mes actions.

• — C’est pas possible, tu l’as déjà fait, me dit Nadine.

Je me libérai la bouche et lui dis :

• — Non, c’est la première fois, je te jure.
• — En tout cas, tu te débrouilles aussi bien que nos femmes.

Serge, par ces paroles, venait de nous trahir et je vis au petit sourire de nos femmes que cela ne faisait que confirmer leurs soupçons.

Je recommençai ma fellation et je sentis monter l’excitation de Serge et mon envie de le faire jouir dans ma bouche quand, à mon grand regret, Nadine m’arrêta :

• — Ne le fais pas jouir, après il n’osera plus te le faire. Alors que maintenant, excité comme il est, il ne va pas hésiter. Ne t’inquiète pas, tu auras le temps de le faire jouir et de boire sa semence.

J’étais moi-même très tendu, mais toujours habillé. Je me levai.

Serge commença à son tour à me déshabiller. Mais autant j’avais été un peu hésitant au début, autant lui se précipita au point qu’il arracha un bouton de ma chemise dans les éclats de rire de nos femmes. Je fus rapidement nu et, lui aussi, commença à me faire une fellation. Il me semblait plus hésitant que moi, mais se débrouillait plutôt pas trop mal.

Cette fois ce fut ma femme qui intervint

• — Mettez-vous en 69 et sucez-vous tous les deux !

Je me précipitai, car depuis un instant j’en mourrais d’envie. Je le pris en bouche et lui fit de même sous les conseils de ma femme qui le guidait. Je sentais Nadine tout près de moi qui me regardait faire, très excitée elle-même. Elle m’encourageait :

• — Vas-y, suce-le, fais-le jouir maintenant, tu vas voir, je suis sûre que tu vas aimer.

Tout cela m’excitait encore plus et je m’appliquais, soudain à de petits frémissements de sa verge, je sentis qu’il allait jouir. Je ne savais pas trop comment faire pour en profiter au maximum, alors je mis ma bouche sur le haut de son sexe et le branlait doucement tout en continuant de lui chatouiller le bout de son sexe avec ma langue. Au mouvement de ses reins, je me rendis compte qu’il appréciait énormément et soudain il se tendit, rentrant son sexe un peu plus dans ma bouche et se mit à jouir. Les premières giclées allèrent taper le fond de ma bouche avec violence, les autres furent un peu plus souples. J’avalai tout cela, trouvant un goût un peu salé, mais que je ne trouvais pas désagréable. J’entendis un gémissement à côté de moi, c’était Nadine, qui depuis quelques temps se masturbait et qui comprenant que Serge venait de jouir (je n’avais pas pu tout garder en bouche et un peu de sperme coulait le long de ma bouche) jouissait elle aussi. Cela eut raison de moi et je me mis moi aussi à jouir dans la bouche de Serge qui en avala un peu, mais retirant sa bouche, prit le reste sur la figure. J’entendis distinctement Claire qui jouissait, elle aussi, de ce spectacle.

• — Serge, tu as retiré ta bouche, tu n’as donc pas fait jouir Bernard dedans, tu vas être puni, s’exclama ma femme.

La deuxième partie était donc arrivée.

Nos femmes se relevèrent, amenèrent Serge sur le canapé et le firent s’allonger sur le ventre.

Ce fut Nadine qui commença la fessée. Je peux vous assurer une chose, c’est que si nous avions un peu hésité au début, elles, elles n’hésitèrent pas et ce fut une vraie punition. À un moment, Nadine releva Serge et le fit se mettre debout face à moi, et toutes les deux se remirent à le fesser. À ma grande stupéfaction, le sexe de Serge, qui venait de jouir dans ma bouche, était tendu et il semblait pratiquement proche de la jouissance. Je décidais donc de tenter l’expérience à la première occasion. Ce fut ma femme qui me la donna :

• — Bernard, viens lui donner la fessée, toi aussi.
• — Non, je ne ferai rien contre Serge. C’est mon ami et je ne le taperai pas.

Serge ouvrit les yeux et semblait surpris, mais il comprit très vite le pourquoi de ma réponse.

Au grand sourire que me tendit ma femme avant de reprendre son ton dur et autoritaire, je vis qu’elle me remerciait de ma réaction. Je me dis que j’en aurais sûrement plus tard un grand remerciement.

Elle s’approchèrent de moi. Je pensais qu’elles allaient moi aussi m’allonger sur le canapé, mais non, excitées comme des puces, elles commencèrent à me donner la fessée à grands coups de claques sur mes fesses.

Je me rendis compte immédiatement que je n’aimerais jamais cela. Autant d’avoir vu les femmes ou Serge se faire fesser m’avait excité, autant la subir me fit plus mal qu’autre chose. Je ne comprenais pas ce qui pouvait leur avoir donné tant de plaisir. La réaction ne se fit pas attendre, je débandai immédiatement. À mes réactions tant physiques que morales, les femmes comprirent tout de suite qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas.

• — Ça ne te plaît pas ? me demanda ma femme.
• — Non, pas beaucoup, ça me fait mal et je n’en tire vraiment aucun plaisir.

J’avais décidé de jouer franc jeu avec elles.

• — Mais bon, comme j’ai insisté pour vous la faire subir et que vous avez accepté, vous pouvez continuer.

Elles s’arrêtèrent. Ma femme semblait visiblement très déçue.

• — Ben non, ce qui est agréable, c’est comme pour Serge, que le partenaire en tire du plaisir sinon ça n’en vaut pas la peine.

Malheureusement, j’avais complètement plombé l’ambiance. Serge, lui aussi, avait débandé. Nos femmes ne semblaient plus excitées du tout. Nous nous assîmes sur le canapé et commençâmes à parler.

Serge et Claire qui étaient les plus proches s’étaient assis sur un des canapés et Nadine s’était assise près de moi sur l’autre.

• — Qu’est ce qui ne te plaît pas, me demanda ma femme.
• — Ça me fait mal, je n’en tire aucun plaisir, je n’ai qu’une hâte : que ça s’arrête.
• — Mais quand tu regardais Serge ou quand tu nous la donnais tout à l’heure, ça semblait t’exciter, non ? me dit Nadine.
• — Oui, vous aviez tous l’air de prendre tant de plaisir que c’est pour cela que j’avais vraiment envie d’essayer. Alors je veux bien de temps en temps m’y plier pour vous faire plaisir.
• — Oh non, de toute façon, si tu dois toujours avoir cette réaction, il vaut mieux que tu y renonces, me dit Nadine.

Ma femme reprit la parole d’une toute petite voix :

• — Mais moi, ça m’a bien plu en fin de compte, tu voudras bien m’en redonner de temps en temps.

Je la regardais, un peu étonné.

• — Bien sûr, ma chérie, si ça te plaît pourquoi pas.

Cela faisait un bout de temps que nous parlions, Nadine, assise à côté de moi, avait sans y penser, posé sa main sur ma cuisse. Elle ne semblait pas y prendre garde, mais cette main douce posée sur ma cuisse et le fait que tout le monde ne prit pas trop ombrage de ma réaction réveilla mon envie. Mon sexe commença à donner des signes de réveil. Nadine s’en aperçut et tout doucement commença à caresser ma cuisse, remontant vers mon sexe. Les deux autres ne disaient plus rien et l’ambiance petit à petit remonta, surtout quand Nadine d’un coup me dit :

• — Par contre, sucer Serge a eu l’air de te plaire.
• — Ah ça oui par exemple, j’ai adoré !
• — Serge, lève-toi et viens !

Il se leva et se mit devant moi. Sans hésiter, je pris son sexe à demi bandé dans ma main, le caressai, et approchant ma bouche je me mis à le sucer de nouveau. Là encore, je trouvai cela très agréable. Ma femme s’était assise à côté de moi et je pouvais sentir deux mains me caresser, me redonnant une belle vigueur.

• — Puisque tu n’aimes pas la fessée, pour te faire pardonner, tu vas laisser Serge te sodomiser, dit soudain Nadine.

Là encore, je n’étais pas trop emballé, mais je n’osais pas refuser pour ne pas plomber une deuxième fois l’ambiance. Mais j’étais quasiment sûr que, comme tout à l’heure, j’allais de nouveau débander. Nadine alla chercher un tube de crème.

• — Mets-toi à genoux par terre ! m’ordonna-t-elle d’une voix autoritaire.

J’obéis immédiatement. Je voyais que ma femme semblait intéressée par ce qu’il se passait, tandis que visiblement Serge semblait très excité par l’idée de m’enculer.

Nadine posa un peu de crème, provoquant un effet de froid sur mon anus, puis doucement elle commença à me caresser, entra un doigt et le fit bouger un peu. Ensuite elle prit Serge par le sexe, le plaça sur mon petit trou. J’avais fermé les yeux dans l’attente des évènements.

• — Vas-y tout doucement, laisse-le s’habituer.

Effectivement Serge, appuya doucement. Je sentis mon petit trou céder doucement et le sexe de Serge m’envahir. Ça me faisait un peu mal, mais beaucoup moins que je ne l’aurais cru et je finis par m’habituer à cette présence qui s’enfonçait doucement dans mon cul. Soudain, je sentis le ventre de Serge contre mes fesses. Il était entièrement rentré en moi. Il se retira doucement et revint toujours doucement. Maintenant le mouvement se faisait plus facilement et la douleur s’étant totalement effacée, je commençais à ressentir du plaisir à cette pénétration. Serge accéléra son mouvement de va-et-vient et inconsciemment je me tendais vers lui quand il se retirait.

Nadine s’en aperçût.

• — Regarde-le Claire, il adore ça, se faire enculer, ce petit salaud.

Je rouvris les yeux pour voir ma femme qui regardait attentivement cette queue me posséder. Elle se masturbait les yeux fixés sur le sexe de Serge. Emporté par mon plaisir, je me mis à gémir.

Ce fut Nadine qui reprit la parole :

• — Ça te plaît de te faire enculer, hein ?

Ses paroles augmentaient encore le plaisir que je ressentais et je ne pus m’empêcher de gémir.

• — Oh oui, c’est bon ! Continue Serge, Continue. Plus fort !

Nadine avait pris mon sexe en main et me masturbait. Serge avait maintenant des mouvements amples et forts et lui aussi me parlait.

• — Putain, c’est bon. Je sens bien ma bite dans ton cul. Je vais te défoncer !

Et des tas d’autres paroles comme cela.

La main de Nadine, le sexe de Serge, la masturbation de Claire, les paroles que tout le monde me disait, eurent raison de moi et, me laissant tomber en avant, je jouis dans les mains de Nadine.

Serge fut entraîné avec moi et j’eus l’impression qu’il s’enfonçait encore un peu plus. Est-ce ce mouvement ou ma propre jouissance, mais il éclata et je sentis son sperme envahir mes intestins me donnant une impression qu’un liquide chaud m’envahissait totalement. Ce fut une impression sensationnelle et je me sentis partir de nouveau, si ce n’est physiquement, du moins dans ma tête.

Sûrement un peu fatigué, je sentis Serge me coucher sur le coté, son sexe toujours dans mon cul. Claire gémissait en se masturbant. Nadine lâcha mon sexe et se précipita sur elle. Elle posa violemment sa bouche sur son sexe. Prise de plaisir, Claire s’allongea. Nadine se tourna et se mit à califourchon sur elle lui donnant son propre sexe à s’occuper. Je regardais ce spectacle tout en me masturbant et je sentais mon sexe se raidir de nouveau très surpris moi-même. Je sentais le sexe de Serge qui s’était un peu ramolli se regonfler lui aussi et il reprit ses mouvements de va-et-vient dans mon cul. Je n’aurais pas imaginé cela possible, mais de nouveau Serge était en train de me faire l’amour, me remplissant le cul de ses mouvements, toutefois plus léger, plus souple, je dirais presque plus tendre. Nadine, sous doute sentant les mouvements de Serge, me regarda et me dit :

• — Attends, ne te fais pas jouir, je viendrai te sucer pendant que Serge t’encule.

À ces mots, Serge s’arrêta de bouger. Je pouvais sentir son sexe profondément enfoui en moi.

Pendant ce temps, Nadine et Claire, sans doute très excitées par le spectacle qu’on leur avait donné, jouirent pratiquement ensemble dans la bouche l’une de l’autre.

Toujours très excitée, les yeux brillants, Nadine s’approcha de moi, se glissa en position de 69 et prit mon sexe tendu dans sa bouche. Elle me suça un instant puis dit :

• — Vas-y Serge, encule-le pendant que je le suce. Oui c’est ça, je vois ta queue qui l’enfile. Vas-y plus fort. Et toi continues à me sucer, c’est bon, c’est bon !

Serge, obéissant à sa femme, se mit à me labourer de nouveau puissamment. Pendant ce temps, j’avais posé ma bouche sur le sexe de Nadine qui était trempé. S’arrêtant de parler elle me reprit en bouche, me pratiquant la meilleure fellation que j’ai jamais eue.

J’étais sûr que Serge allait tenir longtemps compte tenu des jouissances qu’il venait de connaître, mais est-ce dû à une très grande excitation, au fait de sentir sa femme me sucer ou était-ce que j’avais un cul très accueillant, toujours est-il que contrairement à ce que je pensais, il jouit très vite. Sentant sa semence m’inonder, je partis moi-même dans une jouissance profonde, inondant la bouche de Nadine qui eut du mal (me dit-elle ensuite) à tout avaler. Tout cela provoqua la sienne et elle explosa dans ma bouche là encore à ma grande surprise d’une manière énorme.

Nous étions tous très fatigués, aussi après un dernier café, Nadine donna le signal d’un repos bien mérité.

Pour finir, je vous dirais, que ma femme, quand on alla se coucher, était encore très excitée et que dans la nuit je fus réveillé par une bouche gourmande qui fût très vite remplacée par un sexe trempé dès que ma queue fut assez raide. Après cela, nous avons dormi jusque tard le lendemain.

Par la suite, ma femme me réclama des fessées de temps en temps. Nous en avons fait un petit jeu. Quand elle souhaite en avoir une, elle fait en sorte de me titiller. Je le comprends toujours assez vite et répondant à son jeu, je fais semblant de me mettre en colère et je lui donne une fessée. J’ai bien essayé plusieurs fois pour lui faire plaisir de me faire fesser, mais le résultat est invariablement le même, je débande immédiatement. Par contre, quand c’est moi qui la donne, ça me met dans une forme terrible. Généralement après je la sodomise, parce que c’est ce quelle aime le moins. Je vais donc au bout de la punition.

Nous avons refait plusieurs soirées, surtout avec Nadine et Serge, mais aussi avec les deux autres couples. Serge est bien évidemment « passé à la casserole », selon l’expression de Nadine, mais il n’aime pas trop. Alors je ne le sodomise pas souvent.

C’est d’ailleurs assez amusant, mais ma femme et Serge n’aiment pas trop la sodomie, alors que Nadine et moi, on adore. il me sodomise presque à chaque soirée. Et moi, je m’occupe souvent du cul de Nadine.

Et surtout, Serge et moi, ce que nous adorons, c’est nous faire un 69 qui va jusqu’au bout, toujours au grand plaisir de nos femmes. Je ne pensais pas que les femmes puissent être sensibles à cela, mais les nôtres en tout cas, elles le sont.

Voilà comment nos vies sexuelles ont basculé à partir d’un anniversaire un peu arrosé.