n° 13351 | Fiche technique | 31078 caractères | 31078Temps de lecture estimé : 18 mn | 08/07/09 |
Résumé: Chloé la sœur de Jean se marie. Celui-ci a fait inviter sa copine Annie. Il espère dans la soirée avoir le courage de... | ||||
Critères: fh jeunes fête revede hmast massage init | ||||
Auteur : Cidoup Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Mémoires d'un puceau Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
En rangeant le grenier après la mort de Papa, j’ai découvert mon vieil ordinateur. Par curiosité, je l’ai branché. Le disque dur était intact. Cela m’a amusé de consulter mes fichiers images, la musique que j’appréciais à l’époque, les vidéos qui m’excitaient… Par hasard, je suis tombé sur un fichier dont j’avais oublié l’existence. C’était une sorte de journal intime. En relisant ce que j’avais rédigé à l’époque, le passé remonte brusquement à ma mémoire. Que j’étais jeune en ce temps là ! Il y a longtemps… si longtemps… Et pourtant il me semble que c’était hier…
Chloé se marie demain ! Cela me semble tellement incroyable… Quand elle nous a annoncé son intention, je n’y ai pas cru et j’étais persuadé que ma grande sœur trouverait une excuse pour annuler la cérémonie. Les jours ont passé, mes craintes se sont révélées vaines… Je dois reconnaître que Chloé a tout organisé de main de maître, de maîtresse, pardon : la date et l’heure à la mairie, la commande au traiteur, la réservation de la salle pour la réception dans l’après-midi et le repas de noce, etc. Pour l’instant tout va pour le mieux. Touchons du bois…
J’aime bien Jacques mon tout prochain beau-frère. Il est un peu plus âgé que ma sœur, vingt-huit ans, je crois, alors qu’elle en a vingt-cinq. Ils se sont rencontrés, il y a un an environ et depuis, il passe chez nous la plupart des week-ends et des congés. Il faut croire qu’il a des talents cachés car jusqu’alors aucun des amants de Chloé ne s’était incrusté ; après une ou deux nuits, trois, grand maximum, merci et au plaisir de ne pas vous revoir !…
Ses amants. Je n’en ai pas fait le compte, mais vous pouvez me croire, ils étaient nombreux. J’en ai rencontré le matin dans le couloir, à la recherche des toilettes, cachant leur sexe, honteux de leur nudité ! Il faut dire qu’à la maison, nous nous baladons à poils dès que le temps le permet, et les visiteurs sont sommés de nous imiter. Oh ! N’allez pas croire que nous sommes une famille incestueuse. Pas du tout ! Il ne se passe rien, absolument rien entre nous. D’accord, à treize ans, en pleine puberté, les rondeurs de ma sœur m’attiraient. Au détour d’un couloir, j’avais tenté de peloter ses seins. Une maîtresse gifle m’a calmé. Depuis nous nous côtoyons sans gestes suspects ni pensées malsaines. J’ai vingt ans maintenant et, à part quelques caresses furtives sur les fesses, par amusement plus que par lubricité, je la laisse tranquille. C’est devenu un jeu entre nous : quand je la croise, j’effleure son postérieur. Elle rouspète pour la façade et lance vers ma joue une main vengeresse que je n’évite… pas toujours. Cela amuse Jacques qui se moque de moi, quand les cinq doigts de Chloé ont imprimé leur trace rouge.
Jacques s’est rapidement mis à notre mode vestimentaire. Après un premier week-end d’adaptation, il a déambulé dans l’appartement en tenue d’Adam, sans fausse honte, comme nous. Quand je le rencontre, je ne peux m’empêcher de lorgner avec envie sur son sexe. Ce n’est pas que je ne sois pas bien monté pour mon âge et je soutiens la comparaison avec la plupart des amants de ma sœur, mais la taille de la bite de Jacques, surtout quand elle est dressée, m’impressionne. Comment une fille peut recevoir une telle énormité dans le ventre ? En tout cas, cela n’a pas l’air de déranger Chloé…
Quand elle nous a présenté Jacques, j’ai pensé que ma sœur se rangeait et abandonnait sa vie de patachon. C’était mal la connaître. Quelques temps après, j’ai rencontré un jeune homme à poils sortant de sa chambre, tout penaud longeant le mur du couloir. Le type parti, je lui en fais le reproche.
Lucie, c’est la jeune fille, recalée à l’examen de fin d’études d’infirmière, que Chloé a engagée, il y a deux ans pour s’occuper du paternel cloué sur un fauteuil roulant par un accident cérébral. Elle a eu plus de peine que Jacques à adopter la mode vestimentaire locale, mais maintenant elle ne rougit plus quand je la croise dans le couloir, sabre au clair. Elle, elle ne me lance pas de gifle si, par advertance, je caresse son popotin, mais son regard inexpressif ne m’engage pas à poursuivre. Ce n’est pas avec elle que je veux découvrir le plaisir.
Chloé s’avance menaçante la main levée.
Chloé a repris ses mauvaises habitudes et je croise comme avant des inconnus dans le couloir, mais plus pendant le week-end réservé à Jacques. Celui-ci ne m’a pas interrogé. Tant mieux, cela m’aurait gêné de lui mentir. Je n’en suis pas sûr, mais je crois qu’il se doute de quelque chose : des réflexions, des regards en coins… En tout cas, cela ne l’empêche pas d’être drôlement amoureux de ma sœur. Le vendredi soir quand il arrive, à peine nous dit-il bonjour qu’il l’embrasse, la pelote devant nous avant de l’emporter dans leur chambre. Leurs gémissements font rougir Lucie. Je m’amuse à la provoquer.
Elle hausse les épaules et pousse mon père et son fauteuil hors de la pièce. Ses fesses rondes ondulent en sortant. Je ferme les yeux, mon imagination s’envole. Ce n’est plus Lucie, mais Annie, l’étudiante après laquelle je soupire en secret qui pousse le fauteuil. Ici dans la maison où elle n’est jamais venue, elle serait nue comme nous. J’aurais le courage de la toucher. Je peloterais son cul. Elle me laisserait faire pour que Papa ne se doute de rien. Je guiderais sa main sur ma queue. Je glisserais les doigts entre ses cuisses. Je toucherais son sexe. J’introduirais un doigt pendant que son poignet s’active sur ma verge. Elle gémirait de plaisir.
Gémir ? Le silence en provenance de la chambre de ma sœur me réveille. Ils ont fini leurs petites affaires là dedans ! Pas question que Chloé ou Jacques me surprennent en pleine masturbation, je ne tiens pas à subir leurs sarcasmes. Je fonce aux toilettes terminer ma rêverie.
Cela a duré près d’un an… Aussi, l’annonce par Chloé de leur prochain mariage nous a surpris, Papa et moi.
Le soupir de soulagement de Papa fait plaisir à entendre, par contre je ne comprends pas pourquoi Lucie rougit, pousse une exclamation et quitte brusquement la pièce. Peut-être redoute-t-elle un surcroît de travail ? Moi, je suis perplexe, comment se déroulera la cohabitation entre Jacques et les amants de ma sœur ? Je n’imagine pas celle-ci s’en séparer. À moins que passer la bague au doigt ne la calme.
oooOOOooo
Je suis trop excité pour dormir, il faut que je raconte l’après-midi et la soirée, une merveilleuse soirée… En y repensant j’ai encore sur la langue le goût des lèvres d’Annie, lorsque nous nous sommes séparés tout à l’heure.
Donc hier après-midi, une Chloé radieuse descend les marches de la mairie aux bras de son Jacques. Je dois reconnaître qu’ils forment un beau couple. Papa me fait un sourire, un rictus plutôt, qui déforme sa bouche à moitié paralysée. Il est soulagé, lui aussi ne croyait qu’à demi ma sœur lorsqu’elle nous annoncé son intention de se marier.
Annie semble ravie de me retrouver. Cela me fait chaud au cœur. Elle est splendide dans sa robe légère qui met sa silhouette en valeur. Je suis heureux que Chloé l’ait invitée à ma demande. Peut-être ce soir j’aurai le courage.
Elle lui tend la main droite. Papa tend la gauche, la seule dont il conserve la maîtrise.
Je veux le conduire à la salle des fêtes toute proche où doit se dérouler la soirée. Il secoue la tête :
Elle se place à gauche de Papa. Annie m’entraîne.
Au moment de quitter mon père, j’ai eu l’impression que sa main valide remontait sous la jupe de la bonne. Non. Je me fais des idées…
Annie tourne la tête en arrière. Quand elle me regarde à nouveau, un petit sourire égaye son visage.
Nous découvrons les nouveaux mariés au milieu de leurs amis qui les félicitent. Jacques se retourne et nous fais signe d’approcher. Annie sursaute à mon bras.
Je la présente comme une bonne copine. Elle les remercie de l’invitation.
Je suis vexé du peu de cas qu’elle fait de ma cavalière. Heureusement, Jacques est plus prévenant.
Sans attendre de réponse, il dépose un baiser sur les joues. Je suis un peu contrarié : ce n’est pas parce qu’il est devenu mon beau-frère qu’il doit tutoyer mes connaissances. Heureusement, il s’est repris. Un invité les frôle qui doit les bousculer car Jacques enlace Annie et la maintient contre lui leur évitant de tomber.
Ils doivent être au bord de la chute car Jacques pour reprendre l’équilibre, glisse une jambe entre celles d’Annie qui s’accroche à ses épaules.
Je suis gêné pour eux. Ils ne se rendent pas compte que serrés l’un contre l’autre leur attitude peut prêter à confusion. Je tire sur le bras d’Annie, Jacques consent à la libérer.
Il nous quitte après avoir déposé un baiser sur la main de ma copine. La pauvre, elle est cramoisie, la chaleur sans doute…
Tout en dégustant un jus de fruit, je tente d’excuser ma sœur.
Brave Annie ! Elle ne veut pas me faire de la peine, excusant la froideur de Chloé. Elle m’embrasse au coin de la bouche.
Nous avons beaucoup dansé pendant la soirée. À un moment, ma sœur m’invite pendant que Jacques entraîne Annie. Sans me flatter, je suis un bon danseur et, avec Chloé, nous nous exerçons souvent ensemble. Nous prenons plaisir à exécuter des figures qui correspondent avec le rythme de la danse. L’assistance fait cercle et nous encourage. Je suis fier car Jacques n’est pas aussi doué que moi. Il se contente de serrer Annie contre lui et de balancer d’un pied sur l’autre.
Elle est toute rouge quand je la prends dans mes bras à la reprise suivante, sûrement la déception, son cavalier est vraiment trop malhabile.
Elle se colle à moi. Ses seins appuient contre ma poitrine. Ma virilité qui se développe doit la gêner, mais je n’ai pas le courage de m’écarter. Annie, inconsciente de mon émoi, se presse encore plus. J’ai honte de profiter de son abandon, mais c’est tellement bon de la tenir dans les bras. Presque contre ma volonté, ma main caresse la taille, descend sur les fesses. Je sens sous les doigts l’ourlet du slip, du moins c’est ce que j’ai cru à ce moment là. Confus, je remonte le poignet. Ce n’est plus un sexe que j’ai entre les jambes, mais un véritable bout de bois. La musique ne cesse pas. Je n’y tiens plus. Il faut que je me soulage aux toilettes, sinon… sinon quoi ? J’ignore, je ne suis plus capable de réfléchir. Par un effort surhumain, je parviens à me détacher d’Annie.
Elle m’entraîne dans le parc. Il fait doux, l’air nous fait du bien après la chaleur étouffante de la salle. Ma copine m’emmène à l’écart dans un bosquet sombre. Elle veut me faire asseoir sur un banc. Ce n’est pas une bonne idée. Dans mon état d’excitation, je suis capable de gestes condamnables qui la choqueront. Je préfère m’accouder à la balustrade qui surplombe la deuxième partie du parc. Annie me rejoint en soupirant. Je sais, elle aurait préférer s’asseoir, mais c’est plus prudent, car dans l’obscurité complice, je ne réponds plus de rien.
Elle s’appuie contre moi. Je passe le bras autour de son cou. Ma main pend sur son épaule, je sens sur le bout des doigts le doux renflement de sa poitrine. Ah si j’osais ! Avec quel délice je caresserais ses seins ! J’ai bien trop peur de la faire fuir. Je suis si bien à ses cotés…
Annie mordille le lobe de mon oreille.
Je tourne la tête, ma bouche touche la sienne. Oh ! Un petit bout de langue frétille et s’insinue entre mes lèvres… C’est délicieux !… La mienne se précipite à la rencontre… les deux muscles entament un ballet voluptueux dans ma bouche puis dans la sienne. On ne m’avait jamais, je n’avais jamais embrassé de la sorte. C’est divin… Un véritable acte d’amour.
Une forme claire accompagnée par une autre plus sombre s’approche en contre bas. La lune qui passe à travers les feuilles les éclaire un instant. Oh ! On dirait la robe de Chloé. Que vient-elle faire là ? Avec son mari, ils devaient passer la nuit dans un hôtel des environs. Annie l’a aussi reconnue.
Le couple s’installe sur un banc juste au-dessous de nous. On ne distingue que la robe, tache à peine moins sombre que l’environnement. On devine qu’ils s’embrassent avec passion. Connaissant ma sœur, je sais qu’ils ne se contenteront pas de ces préliminaires. Je veux entraîner Annie loin de ce spectacle choquant. Elle résiste.
Bon, elle a peut-être raison. Je veux reprendre ses lèvres.
Annie se penche pour voir si le couple nous a détectés.
Elle a raison, je me penche à mon tour. Si je n’avais pas reconnu la robe tout à l’heure quand la lune l’a furtivement éclairée, je ne saurais dire qui est le couple sur le banc au-dessous de nous. Il ne se doute pas que nous l’observons. Le murmure de la brise dans les feuilles couvre nos chuchotements.
Maintenant, la tache claire monte et descend sur le tas plus sombre.
Je tente sans succès d’entraîner Annie.
Je suis contrarié. Depuis l’arrivée de Chloé et de son mari, Annie refuse que je l’embrasse, craignant qu’on nous surprenne. Oh ! Mais c’est une idée ça ! Si je tente une caresse elle n’osera pas se dérober de peur de trahir notre présence. Je l’attire contre moi. Ma main plonge sur sa poitrine, empaume un sein qui palpite. Annie gémit. Je ne me laisse pas apitoyer. Je pianote sur la chair tendre. Elle tente d’immobiliser ma main contre elle, mais mes doigts explorent le globe. Ah ! Quel plaisir de toucher cette poitrine tendre ! Je découvre le téton qui durcit, je m’amuse à le triturer. Consciente de son impuissance, elle s’abandonne à ma caresse. En dessous, la tache claire danse toujours.
Nous nous séparons brusquement. Une ombre nous rejoint. Mon dieu ! Jacques ! Mais alors qui est avec Chloé ? Je suis furieux ! Ma sœur est incorrigible, encore avec un amant ! La nuit de noce ! Pourvu que le mari ne s’aperçoive de rien ! Annie aussi a compris le danger.
Jacques se penche. Mon cœur bondit dans ma poitrine, il va reconnaître Chloé ! Fausse alerte. Il se relève hilare.
Il s’installe contre la balustrade à côté d’Annie.
Nous restons immobiles. On n’entend plus que les gémissements du couple en pleine action et le bruissement des feuilles.
Jacques interrompt Annie.
Faut-il qu’elle soit perturbée pour le tutoyer juste après avoir fait sa connaissance ! Elle se repend bien vite.
Annie agrippe mon poignet qu’elle serre convulsivement. La lune disparaît derrière un nuage. On ne distingue plus rien, même pas Jacques à nos cotés. Je veux me libérer pour passer le bras autour des épaules de ma voisine.
Je sens sa main glisser dans ma poche. Zut ! C’est celle dont le fond est percé ! J’ai oublié de signaler l’incident à Lucie ce matin en essayant le costume. Ça y est ! C’était couru d’avance ! Les doigts fureteurs découvrent le trou. Je veux me dégager.
J’insiste, un bref déchirement, le tissu cède, la main s’engouffre dans l’ouverture.
L’ordre bref m’immobilise. Je frémis lorsque les doigts tâtent la protubérance à travers le slip. Ils enserrent la tige qui durcit à vitesse grand V.
J’en bafouille de plaisir. Je ferme les yeux. Oh ! Cette sensation ! La première fois qu’une main étrangère touche mon sexe ! C’est tellement meilleur que lorsque je me caresse ! Annie tortille des hanches. Il me semble que mon beau-frère se baisse.
J’interroge celle-ci.
La main a glissé sous le slip, elle empoigne la verge. Oh ! C’est divin ! L’excitation est trop forte.
Oh non elle ne me fait pas mal ! Je bafouille des mots incompréhensibles sous l’emprise d’un plaisir violent. Ma queue tressaute dans les doigts d’Annie et crache sa semence. Jamais une masturbation ne m’avait fait un tel effet. J’halète comme un phoque.
Annie le rassure à ma place.
Elle aussi est émue de m’avoir caressé.
Annie et moi répondons en chœur.
Elle ne retire pas la main. Les doigts s’enroulent autour de la verge souple, c’est délicieux. Cela fait autant d’effet à Annie qu’à moi car elle soupire, gémit presque près de mon oreille. À nouveau je veux la serrer contre moi.
C’est à cause de Jacques qu’elle ne veut pas. Ah ! S’il n’était pas là ! Comme pour me remercier de mon obéissance, la main s’active dans mon slip. C’est frustrant d’éprouver autant de plaisir sans pouvoir le rendre ! Je ne sais pas ce que fait mon beau-frère. Il doit se morfondre à côté de nous qui ne lui portons aucune attention. Je m’en fous, les amoureux sont seuls au monde dit-on, c’est bien vrai.
La caresse fait autant d’effet à Annie qu’à moi. Elle gémit au rythme des mouvements de son poignet. Tout à coup, elle frotte son ventre contre ma cuisse de bas en haut tout en exhalant de profonds soupirs.
Sa main serre ma queue aussi raide que tout à l’heure. Bien que je n’en aie aucune envie, par politesse, je lui propose de rejoindre la salle des fêtes.
Il doit lui masser les mollets, ce que je devrais faire si j’avais le courage de renoncer à la caresse. Mais pourquoi soupire-t-il lui aussi ? Cela l’embête tellement ?
Le plaisir monte dans ma verge. Je ferme les yeux. Je suis heureux, la fille que j’aime est à mes cotés et m’offre une merveilleuse preuve d’amour. L’explosion de jouissance m’arrache un fort gémissement, presque un cri. Dans mon délire, il me semble entendre Annie et Jacques accompagner mes soupirs.
Nous restons un long moment immobiles. La lune revient, brisant l’obscurité totale. Annie retire la main de ma poche et se penche au-dessus de la balustrade.
Tant mieux ! Quelle catastrophe si Jacques avait surpris sa femme ! Inconscient de son infortune, il se baisse et ramasse quelque chose de clair.
Qu’ont-ils tous les deux à mélanger les genres ? Annie, je comprends, elle est émue par la caresse qu’elle m’a prodiguée, mais Jacques ? Je ne dis rien car il a eu la bonne idée de l’inviter ! L’occasion unique à ne pas rater !
Le silence retombe. Je repense avec délectation aux instants passés. J’ai encore sur la verge le souvenir des doigts d’Annie.
C’est gentil de dire cela, mais, en réalité, nous t’avons bien laissé tomber !
Il disparaît dans l’ombre. Ouf ! Il est parti ! Annie se tourne vers moi. Nos bouches se rejoignent…
Les frasques de Chloé me turlupinent et m’empêchent de savourer pleinement cet instant de grâce.
Elle se suspend à mon cou.
Je passe le bras autour de sa taille. En marchant ma main glisse sur les fesses. Annie se serre contre moi. Je caresse les rondeurs. Je m’étais trompé tout à l’heure, il n’y a pas d’ourlet à son slip…
A suivre