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Temps de lecture estimé : 15 mn
08/07/09
Résumé:  Après la noce, Annie accepte de rendre visite à Jean...
Critères:  fh jeunes extracon amour jalousie hmast pénétratio init journal -prememois
Auteur : Cidoup            Envoi mini-message

Série : Mémoires d'un puceau

Chapitre 02 / 03
Les visites d'Annie

Résumé : Jean a embrassé Annie lors des noces de sa sœur. Il aurait peut-être eu le courage d’aller plus loin si son beau-frère ne s’en était mêlé…


Le mariage de Chloé a peu changé notre vie de tous les jours, simplement Jacques est présent à la maison toute la semaine au lieu des seuls week-ends. Leurs horaires de travail sont décalés. Il part tôt le matin et rentre en milieu d’après-midi, tandis que ma sœur travaille souvent tard le soir, mais commence rarement avant midi. Moi, ça dépend, tantôt j’ai cours le matin et pas l’après-midi, tantôt le contraire et, une ou deux fois par semaine, toute la journée.

J’ai ainsi rapidement constaté que d’être mariée n’a pas changé les mauvaises habitudes de Chloé. Un beau matin de la semaine suivant leur retour de voyage de noce, on sonne à la porte.



Ma sœur déboule dans le vestibule un déshabillé à moitié enfilé sur le corps. Elle fait entrer un homme tout étonné de nous découvrir nus.



Elle s’enferme avec lui dans sa chambre. Je regarde Lucie. Elle soupire et soulève les épaules en un geste d’impuissance. Papa lève les yeux au ciel.



Le reste ne sort pas, perdu dans les méandres de son cerveau détérioré. Oui, pauvre Jacques, il ne mérite pas ça !


Tromper son mari ne traumatise pas ma sœur. Quand elle rentre le soir, elle se jette sur lui comme si elle était sevrée de sexe, alors que dans la matinée le couloir retentissait des gémissements qu’elle proférait dans les bras d’un de ses nombreux amants. Ils s’embrassent sans se cacher et il n’attend pas d’être seul avec elle pour la déshabiller. Lucie doit ramasser les vêtements épars sur le chemin de la chambre.


Oui, pauvre Jacques ! Tu es cocu et tu donnes raison à la chanson qui prétend que les cocus sont contents. Sa jovialité, quand il rentre du boulot dans l’après-midi, fait plaisir à voir. Dès qu’il s’est dévêtu et mis à l’aise, il vient dire bonjour. Lorsque je suis présent, il commence toujours par moi, câline au passage les fesses de Lucie et salue mon père. Souvent il l’invite à venir dans la pièce qui lui sert de bureau :



Elle n’a pas l’air convaincue, mais pousse le paternel à la suite de Jacques. La porte se referme sur eux. Je suis satisfait, Papa et lui s’entendent à merveille. En cela au moins le mariage de ma sœur a du bon.


J’ai retrouvé Annie à l’université. Malgré mon insistance, elle ne veut pas que nous nous affichions ensemble. Elle ne m’autorise à l’approcher que lorsqu’elle est persuadée que personne ne nous espionne. Là, dans un coin isolé, je peux l’enlacer. Nous échangeons des baisers brûlants, mais elle repousse mes caresses. Elle a rougit quand je lui ai susurré que je n’avais pas raccommodé ma poche, mais n’en a pas profité. Elle n’a pas reparlé de venir à la maison et je n’ose le lui rappeler. Jacques me le reproche :



Annie se laisse convaincre par ces arguments. Elle consent à venir étudier avec moi un après-midi avant que nous retournions à la faculté pour un TP. Je fais la leçon à Papa, Lucie et Jacques pour, qu’en sa présence, ils restent habillés. Ils me promettent la discrétion, mais mon beau-frère m’avertit :



Lucie opine avec empressement, Papa me lance un regard insistant. Je fronce les sourcils, puis me déride, on n’en est pas encore là…



Je fais un ménage complet de ma chambre pour la recevoir. Je change même le fond d’écran de mon ordinateur. Une belle blonde à la poitrine généreuse entrain d’enfoncer un gode dans sa chatte rasée n’est pas un spectacle à mettre sous les yeux d’une jeune fille ! Je le fais sans regrets, car depuis la noce, ce n’est plus cette image qui me fait bander, mais le souvenir de la caresse dans le parc. En fermant les yeux, je me projette en pensée près de la balustrade… Jacques ne serait pas là… Je ferais glisser son slip sur les fesses… Pendant que sa main s’active sur ma queue, mes doigts s’insinueraient entre ses lèvres intimes, découvriraient les orifices secrets… Nous jouirions ensemble… Aaah !… Elle recevrait ma semence dans la paume pendant que la rosée de son plaisir humecterait mes phalanges…


J’essuie les taches de foutre qui maculent le parquet. Il est temps d’aller la chercher à l’arrêt du bus. Je respire un bon coup : il me faut garder la tête froide. Malgré la furieuse envie de me jeter sur elle, dès son entrée dans la chambre, je dois éviter tout geste inconsidéré si je veux qu’elle revienne.


oooOOOooo


La maisonnée au complet (sauf Chloé qui travaille à cette heure-ci) nous accueille dans le vestibule. Annie serre la main valide de Papa, échange un bonjour sec avec Lucie et tend les doigts à Jacques qui les refusent.



Il la prend dans les bras et lui inflige un baiser sur chaque joue. Je vois Papa et Lucie sourire, je suis content de l’accueil qu’ils font à ma copine. L’étreinte se prolonge plus qu’elle ne devrait. Cela indispose Annie qui rougit fortement. Je me précipite à son secours.



Il consent à la libérer.



Elle rougit encore plus. Je l’entraîne dans ma chambre. En chemin, elle rectifie sa jupe qui était remontée dans l’embrassade.


Nous travaillons ferme. Enfin nous, ce n’est pas exact, car la présence de ma copine ne favorise pas la concentration. Mon imagination s’envole… Elle est nue à mes cotés… Ses tétons roses attirent mes doigts… Elle pose la main sur ma cuisse… Remonte doucement vers l’aine…



Je me réveille brusquement les doigts sur la bosse de mon sexe.



Son sourire moqueur me fait détourner le regard. Par bonheur, elle n’insiste pas.



Nous nous replongeons dans les révisions… Tout à coup je remarque l’heure au réveil.



Nous rangeons les affaires.



Dans le vestibule nous rencontrons Jacques.



Je regarde ma montre. Il faut que je me presse. Passer près de chez Annie me fera faire un détour, je risque d’être en retard.



J’insiste :



Un rapide baiser sur la joue de ma copine, un signe de la main à Jacques et je fonce vers le garage. Au moment de franchir la porte j’entends mon beau-frère inviter Annie à venir dans sa chambre, sûrement pour lui rendre le mouchoir…


Le soir dans ma piaule, je me traite d’imbécile. Dire que j’ai passé un après-midi seul avec celle qui occupe mes pensées et que je ne l’ai même pas embrassé ! Je pense qu’inconsciemment j’avais peur de ne pas pouvoir me maîtriser. J’ouvre mon ordinateur. Ah ! C’est vrai ! Mon fond d’écran a changé. Qu’à cela ne tienne ! Je me branche sur un site de photos érotiques pour accompagner ma caresse…


Le lendemain j’interroge Annie.



Pourquoi rougit-elle ? Ce n’est pas comme s’il lui avait remis une pièce de lingerie intime.



Je regarde à gauche et à droite. Personne, j’enlace ma copine.



Elle me tend les lèvres avec un sourire…


oooOOOooo


Elle est revenue, nous avons bien travaillé. Cette fois, les cahiers fermés, je la prends dans mes bras, nos bouches se joignent, nos langues s’emmêlent…


Nous basculons sur le lit. Sa jupe remonte sur la cuisse. La tentation est trop forte, je pose la main au-dessus du genou et caresse la peau nue. Elle gémit faiblement. Cela me rend mes esprits. Non, ce n’est pas bien, je ne dois pas profiter d’un instant d’égarement, Annie me le reprocherait. Je me lève précipitamment.



Elle me regarde l’air étonné. Elle m’en veut de l’avoir forcée à subir la caresse. Pourvu qu’elle accepte de revenir ! Avec un soupir elle s’assied sur le lit et rabaisse sa jupe.



Dans le vestibule nous rencontrons Papa et Lucie.



Elle m’interroge du regard. Je l’encourage d’un hochement de tête.



Prenant son bras, il entraîne la jeune fille sans me laisser le temps de l’embrasser. J’envie mon beau-frère et son aisance avec les femmes. J’aimerais pouvoir en faire autant, mais ma timidité me paralyse. Je jette un coup d’œil dehors en entendant l’auto sortir du garage. Elle tourne dans le mauvais sens. Jacques va sûrement faire sa course avant de raccompagner Annie chez elle…


Il rentre deux bonnes heures plus tard l’air béat. Il est visiblement satisfait de ses achats.



oooOOOooo


Nous révisons un chapitre difficile. Surtout pour moi car je n’arrive pas à débarrasser mon esprit des pensées lubriques qui m’assiègent dès que je suis à côté d’Annie. Tout à coup la porte s’ouvre sur Lucie dénudée.



Elle fait semblant d’effacer une poussière sur ses seins fièrement dressés.



Je n’en crois pas un mot. Je suis sûr qu’elle l’a fait exprès pour embêter Annie qu’elle semble ne pas porter dans son cœur.



Annie fixe le battant qui se referme.



Annie dégrafe sa jupe qu’elle plie sur une chaise. J’assiste ravi à son strip-tease, maladroit certes, mais tellement émouvant. Après avoir ôté le dernier dessous, elle tourne sur elle-même.



Je veux l’enlacer, elle se dérobe en riant.



Elle tient à m’accompagner jusqu’à la porte d’entrée. Nous croisons Jacques qui revient du travail. Il sourit de toutes ses dents :



Lui aussi est nu comme lorsqu’il n’y a pas d’étranger à la maison. Ma parole, Lucie et lui se sont donnés le mot ! Je vais leur reprocher, mais je me tais, ils ont eu raison puisque cela me vaut le plaisir d’admirer ma copine dans toute sa splendeur.



Annie a charmé la maisonnée, tant mieux. Je me dépêche de descendre au garage…


Je mets plus de temps que prévu. Les deux premiers magasins visités n’avaient pas la marque que mon père préfère. J’ai du aller à l’autre bout de la ville pour en trouver. Je range les packs d’eau à leur place habituelle et monte avec deux bouteilles que je donne à Lucie.



Elle en décapsule une pour remplir un gobelet qu’elle tend à Papa. Il a l’air tout excité.



D’un coup de menton, Lucie désigne la chambre de Chloé.



Elle hausse les épaules.



Papa tousse en s’étranglant de rire. Pris d’un horrible soupçon, je fonce dans la chambre de ma sœur.


Je reste cloué sur le seuil, pétrifié par le spectacle : Elle est bien là, mais pas seule ! Annie, mon Annie que j’osais à peine toucher de peur de l’offusquer, gémit à quatre pattes sur le lit pendant que Jacques la pilonne de furieux coups de rein.



Je suis tétanisé, incapable de bouger au bord de l’écœurement sans pouvoir détacher mes yeux de l’horrible vision. Je sens que l’on me déshabille. Une main entoure ma queue dressée. J’entends dans un brouillard la voix de Lucie, car c’est elle qui s’occupe de moi, claironner avec envie.



Jacques, ce salaud qui renchérit !



Ils gémissent de conserve avant de s’effondrer. Ils restent immobiles plusieurs secondes. Je suis toujours incapable du moindre mouvement et laisse Lucie maintenir mon excitation par une douce masturbation. Puis Jacques se relève.



Malgré sa dénégation, Annie reste sur le lit, les fesses offertes. Malgré moi je ne peux m’empêcher de l’admirer, splendide d’impudeur. On me pousse. J’arrive à avancer d’un pas, puis de deux. Les fesses m’attirent comme un aimant. Une main secourable guide ma queue en bonne position. Je m’enfonce dans un océan de douceur.



Non ! Je ne veux pas faire l’amour dans un con qui vient de recevoir la queue de mon beau-frère ! Je veux m’enfuir, loin de cette chambre, loin de la maison, loin d’Annie. Mon esprit m’ordonne de me retirer, mais mon corps n’obéit pas. Au contraire, je pénètre encore plus profond, déclenchant un profond soupir d’Annie qui agrippe le dessus de lit.


Je trouve d’instinct les mouvements ancestraux de l’accouplement.



Oh ! Ils ne me dérangent pas ! Ils peuvent rester si ça les chante, ce n’est pas ça qui va m’empêcher de faire l’amour. Non, de baiser Annie, car ce n’est pas l’amour ce qui me dirige en cet instant, mais une pure bestialité. Il doit en être de même pour elle qui miaule comme une chatte en rut. Malgré ma rancœur, je succombe au plaisir, plaisir divin, incomparable. La douceur du vagin enveloppe la verge d’une étreinte onctueuse. Les ondes provoquées irradient depuis mon bas ventre dans tout le corps. Je sens mes poils qui se hérissent. Je dois être recouvert de chair de poule… Aah !… Mes nombreuses masturbations, même la caresse d’Annie dans le parc ne m’ont pas apportés le dixième, que dis-je, le centième du plaisir que toutes les fibres de mon corps ressentent. Vive l’amour qui est capable d’apporter un tel bonheur !


Annie aussi s’abandonne à la jouissance. Elle lance ses fesses contre mon ventre à chaque pénétration. Ses gémissements s’amplifient, ce n’est pas de la comédie. La fierté du mâle dominant décuple mon énergie. Jamais je n’avais résisté aussi longtemps. Je craignais l’éjaculation précoce, vu la rapidité à laquelle mes caresses me mènent à la conclusion. Je suis soulagé de constater qu’il n’en est rien. J’aimerais que ces moments de pure jouissance durent éternellement…


Même les bonnes choses ont une fin. Je sens la semence monter inexorablement dans la tige. Malgré mes efforts pour la maintenir et poursuivre ma chevauchée, elle jaillit en de multiples soubresauts de la verge, arrachant à Annie un cri perçant et un frémissement de tout le corps…


Je redescends doucement sur terre et avec le retour à la réalité, ma rancœur refait surface. Je m’écarte de la jeune fille affalée, haletante, une trainée de sperme coulant le long de la cuisse. Comment ai-je pu qualifier son abandon de « splendide impudeur » tout à l’heure ? Elle me dégoûte maintenant. J’essuie ma queue au-dessus de lit. Tiens ? Je n’ai absolument pas mal ! Je croyais que perdre son pucelage était douloureux.



C’est le comble ! Elle se fait baiser par mon beau-frère et elle me joue la comédie de l’amour !



La colère m’aveugle, je poursuis indifférent aux larmes qui jaillissent de ses yeux :



Elle se redresse piquée au vif.



Elle se lève et se dirige vers la porte.



Je baisse la tête.



Je patiente un bon quart d’heure assis sur un fauteuil et ne quitte la chambre que lorsque je suis certain de ne pas la rencontrer. Je dois affronter les regards interrogateurs de Lucie et Jacques surpris de ne pas m’avoir vu sortir avec Annie. Je ne leur donne aucune explication. Papa, lui, est ravi.



Je hausse les épaules et m’enferme dans ma chambre. Mon premier travail est de réinstaller la blonde pulpeuse sur mon fond d’écran. Au dîner, Chloé, mise au courant par Jacques, s’écrie :



Le soir, enfoui sous les couvertures, je repense à la journée. Malgré la colère contre Annie, je ne peux oublier les moments merveilleux quand nous avons fait l’amour. Un profond désespoir m’envahit et je pleure comme un gamin…


A suivre