n° 13358 | Fiche technique | 19997 caractères | 19997Temps de lecture estimé : 12 mn | 15/07/09 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Après sa déception, Jean se fait consoler par Lucie. | ||||
Critères: fh fellation pénétratio jalousie init | ||||
Auteur : Cidoup Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Mémoires d'un puceau Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Résumé : Annie rend visite à Jean. Obligé de s’absenter, il la surprend à son retour dans les bras de son beau-frère…
Je me réveille en ce début de week-end après une mauvaise nuit. Malgré ma colère contre Annie qui m’a trahi, je ne peux oublier l’intense jouissance quand je l’ai baisée… Non, quand NOUS avons fait l’amour… oui, l’amour ! Une simple étreinte bestiale n’aurait pu nous transporter vers les sommets du plaisir que nous avons atteints. Oui nous, car je l’ai bien remarqué, la jouissance d’Annie, bien plus manifeste que sous les coups de reins de Jacques, n’était pas de la simulation.
Jacques et Annie… Comment a-t-elle pu me faire ça ? Ah je comprends pourquoi il était si joyeux de la voir évoluer nue comme un membre de la famille ! De quels sévices l’a-t-il menacée pour qu’elle tombe dans ses filets ? Ma pauvre Chloé, tu es cocue à ton tour !… D’accord, il ne fait que lui rendre la monnaie de la pièce, mais il aurait pu choisir une autre partenaire que ma copine !
Je me lève. La maison semble vide. À cette heure, Chloé et son mari dorment encore et Lucie soigne Papa dans sa chambre. Je prépare mon petit déjeuner. Je l’ai à peine terminé quand Lucie débarque avec la vaisselle de mon père.
Je réponds par un grognement.
Elle tend la main vers mon sexe. Je recule.
Je me laisse manipuler. Evidemment ma queue réagit !
Elle tire sur la peau.
Elle recouvre le gland et le découvre à nouveau, mais prudemment cette fois-ci. Pas de douleur, juste un tiraillement amplifié par la raideur de la verge.
Elle s’amuse à me masturber en douceur.
Elle tente de décalotter le gland.
Entre ses doigts habiles, ma queue est devenue raide à faire mal.
Elle s’accroupit entre mes genoux et porte le gland en bouche.
Elle me fait un pompier ! J’ai beau être inexpérimenté, je sais ce que c’est, j’ai suffisamment visionné de vidéos cochonnes sur internet, mais c’est la première fois que l’on pratique sur moi… Mmh ! C’est délicieux ! Je demanderai à Annie… Pfft ! Celle-là vaut mieux ne plus y penser…
Lucie s’active sur ma queue. Je la regarde faire. Elle lèche la tige, agace le bout de la langue, puis l’enfourne. Elle ressort une queue luisante de salive et recommence. Ses doigts font rouler mes testicules… Ouii !… Aah ! Je sens le sperme monter. Je suis sur le point d’éjaculer. Je veux me retirer, mais elle fait non de la tête. Elle avale le gland et une partie de la hampe, la fait pénétrer entièrement dans la bouche. J’ai l’impression de toucher sa glotte. Je gémis, mes mains agrippent le bord de la chaise pour retarder l’explosion de plaisir. J’ai beau me concentrer, la jouissance augmente, s’amplifie, éclate enfin. Je vide mes couilles dans sa bouche.
Elle déglutit avant de déclarer avec un large sourire.
Elle s’amuse avec la verge souple. Je ne dis plus rien, c’est tellement agréable…
Elle active la masturbation.
Elle approche le gland de sa bouche je ferme les yeux dans l’attente de la douce sensation.
Elle se lève.
Elle me tire par le sexe. Je suis obligé de suivre. Elle me conduit dans la chambre qu’elle partage avec Papa. Celui-ci est dans son fauteuil roulant près de la fenêtre. Sans prendre garde à lui, me tenant toujours par la verge, elle m’entraîne vers son lit sur lequel elle s’allonge cuisses écartées. Je jette un coup d’œil affolé à Papa qui manœuvre son fauteuil pour nous faire face.
J’oublie où je suis, il n’y a que le sexe poilu dans lequel la pointe de ma queue s’enfonce qui compte. Je donne un coup de rein. Aïe ! Ça tire ! J’arrête ma progression.
Lucie m’agrippe par les fesses et m’attire en elle.
Un déchirement et je me retrouve pubis contre pubis. La douleur s’atténue rapidement. Comme avec Annie la veille, l’instinct animal prend le dessus et je commence à limer…
… Pas longtemps ! Quelques coups de queue plus tard je lâche mon sperme, aussi vite que lorsque je me masturbe. Lucie, déçue me repousse.
Rouge de confusion, je veux m’enfuir.
C’est son instinct d’infirmière qui prend le dessus. Je n’ose la contrarier et l’accompagne dans le vaste cabinet de toilette spécialement aménagé pour Papa. Elle prend du coton et une bouteille d’alcool. D’un geste précis elle me décalotte.
Une goutte de sang perle sous le gland.
Elle tamponne avec le coton.
La réflexion que m’avait faite Papa la veille. Aujourd’hui c’est vrai ! On peut dire que j’ai été gâté ! Un dépucelage en deux temps ! En public en plus ! Pour une opération qui devrait se dérouler dans l’intimité, il y a mieux !
Papa qui nous regarde par la porte ouverte grogne son impatience.
Lucie se place à côté de mon père et fouille entre ses jambes. Elle extrait un sexe mou qu’elle manipule avec douceur. Lui de sa main valide caresse entre les fesses. Je découvre trop de choses en même temps. Je m’enfuis et les laisse à leur plaisir.
Dans le couloir je rencontre Chloé. En passant près de moi, je la vois s’écarter et lever la main, puis me dévisager d’un air interrogateur. Qu’est-ce que j’ai fait ? Ah oui ! Je suis tellement perturbé que j’ai oublié de caresser son cul comme d’habitude, d’où son étonnement.
Ben ça alors ! J’étais loin de me douter… Quoique… Certaine attitudes, des réflexions jusqu’alors incompréhensibles s’éclairent tout à coup. Comme par exemple, lorsque nous sommes entrés dans la chambre Lucie et moi et qu’elle a dit que Papa avait l’habitude. L’habitude de voir Jacques la baiser, ouais !
Je la regarde sortir. Que dirait-elle si elle savait que son mari culbute la bonne en son absence ?
De retour dans ma chambre je repense à l’attitude de mon beau-frère. On prétend que perdre sa virginité donne de l’esprit aux filles. Ce doit-être la même chose pour les garçons car je déchiffre maintenant les bruits bizarres que je percevais à travers la porte de son bureau quand il invitait Papa et Lucie à le rejoindre. C’étaient les gémissements d’un couple en train de baiser ! Les mêmes que j’entends lorsque Chloé et Jacques s’enferment dans leur chambre. Celui-là, c’est un beau salaud ! Est-ce qu’il ne pouvait pas se contenter de Lucie au lieu de s’attaquer à Annie ?… Annie… Moi qui croyais qu’elle m’aimait suffisamment pour me réserver ses faveurs.
Un doute m’envahit : quand je les ai surpris hier, était-ce la première fois qu’ils baisaient ensemble ? Je revois Jacques se proposer pour raccompagner ma copine à ma place, la durée anormale de son absence, son air satisfait au retour. Ouais ! Il pouvait être satisfait, sûr qu’il se l’était payée en chemin ou chez elle ! Et quand il l’a invité dans sa chambre lors de sa première visite. L’hésitation d’Annie. Quand je pense que j’ai insisté pour qu’elle le suive ! Soi-disant, il devait lui rendre son mouchoir ! Mouchoir ? Pourquoi tous les deux bafouillaient, s’emmêlaient dans les articles, disant « la » au lieu de « le ». Lapsus révélateur ? La quoi ? Mon dieu ! Je me souviens, nous étions accoudés à la balustrade le soir des noces, Jacques s’est baissé pour enlever une branche, drôle de branche, oui ! Il lui ôtait sa culotte ! Celle-là même qu’il a ramassée en partant ! Et moi qui était là et qui n’ai rien vu, rien compris… Ont-ils osé faire l’amour à côté de moi ?
Un ricanement contenu me secoue. Pourquoi je me pose la question ? La réponse est évidente. Les gémissements et les contorsions d’Annie étaient révélateurs, mais à ce moment là, abusé par la caresse qu’elle me prodiguait, j’étais incapable de voir ce qui me crevait les yeux. J’étais vraiment bouché. J’étais… j’étais puceau ! C’est bien la peine d’avoir passé le bac avec mention, être parmi les meilleurs de sa promo, pour être aussi con ! Je suis atterré par ma découverte. Ah ! Ils ont dû bien rire de mon aveuglement !
On frappe à la porte. Jacques m’invite à passer à table. Sa voix réveille ma fureur. Je bondis hors de la chambre et lui saute dessus.
Je le martèle de coups de poings. Il se protège comme il peut sans riposter. Chloé intervient.
L’occasion est trop belle pour me venger.
Elle sait ça aussi ! Il n’y a que moi qui n’étais pas au courant !
Jacques s’avance le bras tendu.
Que faire ? J’hésite, puis accepte la paix proposée. Chloé sourit.
Ce dimanche après-midi, Lucie m’a attiré dans la chambre de Papa. Elle m’a montré comment elle le caressait pendant que je la prenais par derrière, en levrette m’a-t-elle expliqué. J’ai dû les décevoir car, comme lors de mon « deuxième dépucelage », je n’ai pu me retenir et j’ai éjaculé trop rapidement. Honteux, je les ai laissé seuls et me suis réfugié dans ma chambre. Comment se fait-il qu’avec Annie j’ai résisté de longues et merveilleuses minutes ? Je commence à regretter de l’avoir jetée dehors. J’aurais dû faire preuve d’un peu de tolérance. N’empêche, ce qu’elle m’a fait mérite une punition. La semaine prochaine je l’éviterai. Cela lui fera les pieds de mariner quelques jours ! Ensuite je lui accorderai mon pardon…
Mon journal intime s’arrête là, cela pourrait s’intituler « Mémoires d’un Puceau »…
Je me souviens parfaitement maintenant : le lundi suivant Annie s’est approché timidement. Je l’ai ostensiblement ignorée, elle n’a pas insisté. Le manège a duré trois jours. Bien fait pour elle je pensais, elle n’en sera que plus reconnaissante quand je condescendrais à lui parler. L’imbécile que j’étais ! Aveuglé par ma petite fierté masculine… Elle s’est lassée la première et a disparu brutalement à la veille de la session d’examen. On m’a dit qu’elle était partie aux Etats-Unis chez un parent. Je ne l’ai jamais revue.
Pour me consoler mon beau-frère m’a présenté des copines qui ont parfait mon éducation sentimentale. Il m’a avoué que lui et Annie étaient déjà amants avant la noce. À la demande de sa femme il avait l’intention de ne pas poursuivre leur relation, mais mon insistance et l’état de frustration dans le quel je laissais Annie l’avait fait rechuter. Chloé et lui sont toujours ensembles. Ils n’ont pas changé de style de vie et continuent à rechercher le plaisir en couple ou séparément. À la fin de mes études j’ai quitté la maison, n’y revenant que quelques jours par an pour saluer mon père. Je me suis marié, deux fois. Je viens de divorcer de ma seconde femme. J’ai eu des aventures, j’en ai toujours, mais à ma grande honte, je dois admettre que j’ai rarement satisfait mes partenaires pour cause de précipitation.
J’ai encore malgré les années, planté comme une écharde dans le cœur le souvenir de mon unique étreinte avec Annie. Jamais par la suite, je n’ai retrouvé le plaisir éprouvé. Jamais une étreinte n’a duré aussi longtemps. Jamais la jouissance n’a été aussi parfaite. J’ai beaucoup réfléchi à ce phénomène et n’ai trouvé aucune réponse. Quant au fait de ne pas avoir perdu mon pucelage à ce moment là, je crois que la dilatation du vagin d’Annie par la grosse queue de Jacques, explique qu’il a accepté mon gland sans le blesser, le sperme de mon beau-frère agissant comme lubrifiant. J’ai par la suite expérimenté sur Lucie qu’effectivement, si je la baisais après Jacques, ma queue de taille moyenne clapotait à l’aise dans sa chatte. Mais cela ne guérissait pas mon éjaculation précoce ! Pourquoi alors avec Annie ? Est-ce l’amour que je lui portais qui m’a rendu performant ? Autant de questions sans réponse.
Un gros soupir soulève mes épaules. J’ai le sentiment, non, pas le sentiment, j’ai la conviction d’avoir gâché ma vie sentimentale en n’acceptant pas la main tendue par Annie. Je me rends compte bien trop tard que nous étions faits l’un pour l’autre. Comment ai-je pu être aussi bête ? Ah si je pouvais remonter le temps. Je lui aurais pardonné. Nous nous serions réconciliés. Elle se serait installée à la maison. Si de baiser avec mon beau-frère avant de faire l’amour avec moi s’était révélé nécessaire à son, pardon, à notre épanouissement, la belle affaire ! Je suis sûr que Chloé n’y aurait pas vu d’inconvénient. Nous aurions été heureux. Nous aurions eu des enfants. Euh !… Des enfants ? Comment savoir dans ces conditions s’ils étaient de Jacques ou de moi. Je suis sûr qu’on aurait trouvé une solution…
Fin